La Tradition déviée au profit du séparateur

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Comment les institutions utilisent les mots et les symboles pour enfermer la population dans des égrégores du plan astral et éjecter de la conscience la présence JE SUIS ?

La Vie fait son Œuvre, la jacinthe prend sa forme unique, se pare de sa couleur singulière, offre son incomparable parfum…

Mots et symboles

Les mots que nous utilisons sont des véhicules qui se chargent de ce que nous leur donnons. Les symboles eux aussi sont remplis de ce que les humains leur attribuent. Le mot symbole est en lui-même porteur de ce phénomène. À l’origine le symbole désigne « un objet brisé en deux dont deux hôtes conservaient chacun une moitié, et que ceux-ci ou leurs descendants reconstituaient pour prouver le lien qui existait entre eux ». L’objet « Symbole » est donc l’exact contraire du « Diabolus », qui désigne « celui qui divise, désunit, qui trompe ».

Les événements, les faits vécus en France

Il me paraît évident que l’année 2024 qui vient de s’achever a permis de constater que les personnes qui dirigent la société et le monde, et en particulier les institutions de la France, officialisaient leur engagement à servir le diable, le séparateur, la force qui s’oppose à l’Amour. Les cérémonies d’ouverture et de fermeture des Jeux Olympiques ont annoncé clairement la couleur en passant des messages à peine subliminaux par de multiples moyens derrière une esthétique soi-disant artistique. L’opéra urbain nommé « La porte des ténèbres » organisé fin octobre à Toulouse a tranquillement confirmé que le diable était reconnu « gardien du Temple ». Le 3ème événement consacrant le séparateur a eu lieu les 7 et 8 décembre avec l’ouverture de Notre Dame de Paris, devenue totalement profane afin de servir la propagande du dirigeant du pays France entouré de ses amis. L’état s’est là approprié l’édifice et en a fait son temple pour les rituels qui servent son choix de chasser le Divin de la conscience de la population française, voire mondiale puisque le retentissement des JO et de la restauration de la cathédrale de Paris avait une portée clairement internationale.

Le coup de grâce du Vatican

Le coup de grâce arrive maintenant avec l’ouverture du Jubilé 2025 par le pape François, le 25 décembre à Rome. Pour en savoir plus sur ce que l’institution religieuse catholique signifie avec la notion de Jubilé, c’est là.

Le moins que l’on puisse dire est que la tradition chrétienne en général et catholique en particulier, ne manque pas de symboles pour communiquer sur son dogme et les croyances auxquelles elle invite ses fidèles. Visiblement, le catalogue des symboles n’était pas suffisant puisque l’institution a commandé une « mascotte » spécifique à l’année du jubilé. Là encore, l’esthétique de l’objet pourra être diversement appréciée mais personne ne pourra manquer de se demander le sens du bâton fourchu porté par le pèlerin. Je me garde d’interpréter davantage ce que Luce, la figurine mascotte vient véhiculer, préférant m’intéresser à l’artiste qui a été choisi par le Vatican pour procéder à sa création. Une rapide recherche sur internet m’a fait trouver cet article du journal le progrès.
J’en ai extrait quelques lignes au sujet de l’artiste Simone Legno et de sa mascotte : « Le Saint-Siège semble s’être laissé séduire par les sirènes d’un certain marketing wokiste, au détriment de sa mission sacrée. Ce choix inquiétant soulève des questions fondamentales sur l’identité de l’Église et sur la façon dont elle s’adapte à un monde qui rejette ses valeurs », ne décolère pas Tribune chrétienne, dans un autre article.
Les créations de vibromasseurs de l’artiste sont aussi pointées du doigt par ses détracteurs : « N’est-il pas troublant que le Vatican ne se soit pas préoccupé des associations de ce créateur avec des articles tels que des vibromasseurs en forme de diable et des licornes arc-en-ciel ? Le Dicastère pour l’Évangélisation ne peut pas ignorer les répercussions que cela a sur l’image de l’Église », s’étrangle Tribune chrétienne. La figurine de Luce doit être déclinée en plusieurs produits dérivés vendus au moment du Jubilé. »

La mascotte devient symbole opératif

Il me semble que nous avons là la fabrication d’un symbole qui est chargé de toute une idéologie où le diable est honoré. L’objet devient l’outil qui incarne l’égrégore formé par les pensées nourries par l’artiste et son militantisme wokiste, par son goût pour les jouets sexuels en forme de diable. Le créateur se met tout entier dans sa création. L’église catholique en choisissant ce créateur d’objets lui offre son réseau de distribution, sa caisse de résonance. La mascotte est un symbole opératif qui va agir en direct sur toutes les personnes qui vont l’acquérir ou être en relation avec elle. C’est le principe-même de la magie, de l’utilisation des forces astrales dans le monde physique.

Se sortir des griffes du diable

Avons-nous besoin d’autres confirmations de ce choix du diable, du séparateur, de l’opposition à l’Amour fait par les dirigeants de ce monde ? Que pouvons-nous faire face à ce choix institutionnel qui s’impose aux habitants de la France et de la planète entière puisque l’église catholique est présente sur l’ensemble de la Terre ?

La séduction de l’être psychique

Si notre choix personnel est de se soustraire l’influence du diable, c’est possible, même dans un pays où les institutions ont choisi d’obtenir leur pouvoir des forces du séparateur. Il est même probable que le diable soit là au service de l’unification, en invitant tous les êtres qui le voient aux manettes des pays, à lui dire non et à se positionner dans leur être divin, à choisir le Christ, comme Jésus le fit lors de sa retraite dans le désert et qu’il fut confronté aux trois tentations.
Les 3 tentations que connaît Jésus par Lucifer et Ahriman peuvent se résumer à une séduction exercée par son être psychique qui lui propose d’exercer sa magie en utilisant les forces subtiles duelles du corps astral de la terre. En s’en remettant à la pensée, aux sentiments et aux émotions, l’être humain met toute sa conscience dans son propre corps astral, lieu de la dualité, et plonge aussitôt dans l’univers subtil des égrégores qui se sont constitués. C’est le lieu de la confusion la plus totale, le plan où toutes les formes se déforment, où la fausse lumière éblouit, où les promesses sont mirobolantes, mais où toute satisfaction d’une demande est assortie d’un don d’énergie à consentir en contrepartie.

L’escalade de la demande

Dans le monde astral, vivent les égrégores et les êtres psychiques qui ont besoin des humains pour être nourris. Ils se régalent de notre attention, de nos pensées, de nos émotions et petit à petit voudront plus d’intensité, toujours plus d’intensité au point de piloter les humains, qui sont leurs instruments pour créer des situations immorales, violentes, où des collectifs créent des vagues de peur, de colère, de tristesse, d’euphorie, de passions. Pour ne pas devenir l’instrument du psychisme blessé, il y a lieu de maîtriser le plus possible ses émotions, ses sentiments, ses pensées, de s’ancrer dans le réel du corps. Les égrégores et les entités de l’astral cherchent les personnes dont la conscience est remplie par leur organisme psychique, qui ont déserté leur organisme physique qui est le lieu de la perception de leur nature spirituelle. Lorsque la conscience d’une personne émet sur une fréquence astrale, les êtres de l’astral s’installent, cherchent à se nourrir et à nourrir les entités qui vivent sur ce plan. L’être humain est alors squatté, manipulé et devient l’esclave d’un maître diabolique. C’est ainsi que le satanisme s’est installé sur la Terre.

Une photo de Priscilla de Brabandère que je félicite et remercie

L’invitation à choisir le Christ

Le Christ, ce qui est oint par le Divin, est conscience solaire, information de l’Amour inconditionnel. Jésus est né dans la dualité, son être spirituel a choisi, tout comme nous, de faire l’expérience de la densité, du libre arbitre, de l’oubli, de la croyance à son impuissance d’homme. Par le Christ en lui, Jésus vit l’Unité avec JE SUIS (« Moi et le Père, nous sommes un, Jean 10-30 », il retrouve sa puissance sur la matière en multipliant les pains, changeant l’eau en vin guérissant des malades, marchant sur l’eau. Par la transfiguration, il retrouve la mémoire de sa substance divine et n’est plus frappé de l’oubli.
Par le Christ incarné en soi et reconnu par notre conscience, par le choix de se souvenir de qui nous sommes et du sens de notre présence sur la Terre, nous sommes inspirés, non pas par les entités de l’astral, mais bien par notre Moi Divin, par l’Amour et le désir de participer à la paix et la guérison de l’humanité.

L’intention active de vivre l’unité

À partir du moment où nous avons recouvré la mémoire, que nous savons que nous sommes une Essence Divine Singulière manifestée en humain, que nous sommes venus installer la vie divine sur la Terre, notre conscience peut aisément s’ancrer dans le corps physique, esprit densifié et ainsi observer tout ce qui s’y passe et provient de notre corps astral, de notre psyché. La conscience n’est alors plus happée par les pensées, les émotions et les sentiments, mais reste le maître qui prend en compte les 3 organismes dont elle a la gestion : l’organisme physique, l’organisme psychique et l’organisme spirituel.
De cette manière nous ne sommes plus perméables aux offensives des forces astrales qui cherchent à s’incarner, et nous n’intéressons pas ces forces. Si notre intention est bien de vivre l’Unité Homme-Esprit que nous projetons de vivre en nous incarnant, pour faire en sorte que l’humanité constitue un règne qui lui soit propre et cesse d’être hébergée dans le règne animal, pour que chaque humain dise un JE souverain et établisse avec ses voisins une société où l’Amour inconditionnel est la loi, alors nous déjouons sans effort les tentations du diable de nous posséder.

Cet article est lié à l’émission vidéo ci-dessous qui traite du sujet :

22 commentaires sur La Tradition déviée au profit du séparateur

La science au service de la souveraineté

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Cet article est la présentation d’une série d’émissions réalisées sur YouTube en compagnie de Julien Ramonet, docteur en sciences physiques, pour stimuler la souveraineté de chaque individu. Dans cette saison 2024, Julien met sa légendaire rigueur scientifique au service de tous ceux qui désirent étayer leurs opinions, leurs choix sur une compréhension « mathématique » des phénomènes de la société.

Après la série de vidéos consacrée à la compréhension des sciences de la matière telles que les sociétés dites évoluées les ont formalisées, Julien aborde ici le champ de la psychosociologie.

La première série de nos émissions est présentée cet article du présent site grâce auquel chaque vidéo est répertoriée.

  1. Les paradoxes des choix : élections, représentation des citoyens, décisions collectives
    Émission réalisée en direct le samedi 22 juin 2024
    Documents présentés téléchargeables

  2. La science au service de la souveraineté #2 : le pari de l’intelligence
    Émission diffusée le 2 septembre 2024
    Documents présentés téléchargeables

  3. La science au service de la souveraineté #3 : Introduction à la psychosociologie
    Émission diffusée le 6 janvier 2025
    Documents présentés téléchargeables

  4. La science au service de la souveraineté #4 : Expériences marquantes en psychosociologie
    Émission diffusée le 20 janvier 2025
    Documents présentés téléchargeables

  5. La science au service de la souveraineté #6 : Ennéagramme épisode 1 sur 2
    Émission diffusée le 28 avril 2025 et supprimée par YouTube à cause des droits d’auteur du court extrait des Inconnus diffusé dans l’émission.
    Documents présentés téléchargeables

  6. La science au service de la souveraineté #5 : Ennéagramme épisode 2 sur 2
    Émission diffusée le 12 mai 2025
    Documents présentés téléchargeables


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Science et Conscience, Physique et Métaphysique

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Cet article est la présentation d’une série d’émissions réalisées sur YouTube en compagnie de Julien Ramonet, docteur en sciences physiques, pour favoriser la rencontre de l’Esprit avec les sciences dites exactes.

https://www.youtube.com/watch?v=1NOTlYkyzYw
La vidéo de présentation de la série

L’objectif de cette collection de vidéos est de faciliter la compréhension des sciences de la matière telles que les sociétés dites évoluées les ont formalisées, afin de les mettre en parallèle des enseignements du courant de la spiritualité libre et incarnée prônant l’unité de la matière et de l’Esprit. Chaque auditeur de ces capsules a l’opportunité d’acquérir des connaissances propices à l’accroissement de son discernement.

Pour ces vidéos, j’ai l’immense privilège de bénéficier de l’offrande d’un docteur en sciences physiques, ingénieur, Julien Ramonet, qui a accepté la caméra et le micro captent ses propos pour les diffuser sur une antenne clairement orientée vers la spiritualité. Qu’il en soit remercié sincèrement.

La première vague d’émission a été enregistrée les 8 et 9 octobre 2022 et traite des bases de la physique. Une deuxième vague nous amènera vers la physique relativiste et la physique quantique, que les spiritualistes s’approprient si souvent pour justifier leurs enseignements, parfois au grand dam des scientifiques classiques. Le premier élément de cette seconde vague a été enregistré le 28 novembre 2022.

Puis, avec l’épisode 27 de la série Science et Conscience, nous entamons le début de la seconde saison. Il précise le sens des mots employés en physique institutionnelle qui sont souvent utilisés dans les transmissions à vocation spirituelle de façon peu rigoureuse.

Merci à Julien de mettre son savoir en partage avec un public large et non initié à la science.

Julien dans son exposé, s’appuie sur des documents qu’il a réalisés et qu’il met ici à notre disposition. Chaque document lié au thème de l’émission est téléchargeable.

  1. Le vocabulaire des mesures physiques avec les unités utilisées et les ordres de grandeur.
    Mise en ligne le 12 octobre 2022.
    Documents présentés téléchargeables

  2. La structure de la matière avec la constitution du corps et de ses atomes.
    Mise en ligne le 26 octobre 2022.
    Documents présentés téléchargeables

  3. La structure de la matière, suite, avec la composition de l’atome et les particules élémentaires.
    Mise en ligne le 9 novembre 2022.
    Documents présentés téléchargeables

  4. Les différents types d’ondes.
    Mise en ligne le 23 novembre 2022.
    Documents présentés téléchargeables

  5. L’eau, sa structure et ses propriétés physiques et chimiques.
    Mise en ligne le 7 décembre 2022.
    Documents présentés téléchargeables

  6. Le carbone et le graphène
    Mise en ligne le 4 janvier 2023
    Documents présentés téléchargeables

  7. Mécanique classique
    Mise en ligne le 18 janvier 2023
    Documents présentés téléchargeables

  8. Relativité restreinte
    Mise en ligne le 1er février 2023
    Documents présentés téléchargeables

  9. La relativité générale
    Mise en ligne le 15 février 2023
    Documents présentés téléchargeables

  10. La mécanique quantique
    Mise en ligne le 1er mars 2023
    Documents présentés téléchargeables

  11. Les phénomènes quantiques 1
    Mise en ligne le 15 mars 2023
    Documents présentés téléchargeables

  12. Les phénomènes quantiques 2
    Mise en ligne le 29 mars 2023
    Documents présentés téléchargeables

  13. Vie, mort et postérité d’une étoile
    Mise en ligne le 12 avril 2023
    Documents présentés téléchargeables

  14. Rayonnement et radioactivité
    Mise en ligne le 18 avril 2023
    Documents présentés téléchargeables

  15. La thermodynamique
    Mise en ligne le 10 mai 2023
    Documents présentés téléchargeables

  16. Chaleur et énergie
    Mise en ligne le 24 mai 2023
    Documents présentés téléchargeables

  17. Physique de la Terre 1, situation dans l’univers et histoire
    Mise en ligne le 7 juin 2023
    Documents présentés téléchargeables

  18. Physique de la Terre 2, structure et phénomènes intérieurs
    Mise en ligne le 21 juin 2023
    Documents présentés téléchargeables

  19. Physique de la Terre 3, La surface de la terre
    Mise en ligne le 5 juillet 2023
    Documents présentés téléchargeables

  20. Physique de la Terre 4, Atmosphère et météorologie
    Mise en ligne le 19 juillet 2023
    Documents présentés téléchargeables

  21. Cristallographie et Physique du désert
    Mise en ligne le 2 août 2023
    Documents présentés téléchargeables

  22. L’expérience Virgo
    Ce sujet est celui de la Thèse de doctorat de Julien, soutenue avec brio en août 2003. Nous ne pouvions pas manquer cet anniversaire.
    Mise en ligne le 30 août 2023
    Documents présentés téléchargeables

  23. La physique du corps humain
    Mise en ligne le 13 septembre 2023
    Documents présentés téléchargeables

  24. La physique de la médecine
    Mise en ligne le 27 septembre 2023
    Documents présentés téléchargeables

  25. Au-delà de la physique actuelle
    Mise en ligne le 11 octobre 2023
    Documents présentés téléchargeables

  26. L’histoire de l’univers #26
    Mise en ligne le 25 octobre 2023
    Documents présentés téléchargeables

  27. Vocabulaire et digressions : mécanique et des champs quantiques # 27
    Émission diffusée le lundi 8 juillet 2024
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  28. Vocabulaire et digressions : l’énergie #28
    Émission diffusée le 22 juillet
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  29. Vocabulaire et digressions : ondes et vibrations #29
    Émission diffusée le 5 août 2024
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  30. Vocabulaire et digressions : Information, plan, dimensions #30
    Émission diffusée le 19 août 2024
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  31. Interactions entre la matière et le rayonnement – 1 théorie #31
    Émission diffusée le 16 septembre 2024
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  32. Interactions entre la matière et le rayonnement – 2 émission des ondes électromagnétiques #32
    Émission diffusée le 30 septembre 2024
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  33. Interactions entre la matière et le rayonnement – 3 – Transformations mutuelles #33
    Émission diffusée le 14 octobre 2024
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  34. Interactions entre la matière et le rayonnement – 4 – Les phénomènes optiques #34
    Émission diffusée le 28 octobre 2024
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  35. Interactions entre la matière et le rayonnement – 5 – Transparence #35
    Émission diffusée le 11 novembre 2024
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  36. Science et conscience : comprendre le loto #36
    Émission diffusée le 25 novembre 2024
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  37. Science et conscience : les paradoxes mathématiques #37
    Émission diffusée le 9 décembre 2024
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  38. Science et conscience : les paradoxes en physique #38
    Émission diffusée le 23 décembre 2024
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Avec ces 38 épisodes, nous concluons une première longue série. Une nouvelle série de 6 émissions sur le temps est proposée à la diffusion au premier semestre 2025

  1. Science et conscience : Le temps 1 sur 6, définition #39
    Émission diffusée le 3 février 2025
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  2. Science et conscience : Le temps 2 sur 6, mesure #40
    Émission diffusée le 17 février 2025
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  3. Science et conscience : Le temps 3 sur 6, perception #41
    Émission diffusée le 3 mars 2025
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  4. Science et conscience #42 : Le temps 4 sur 6, nature #1
    Émission diffusée le 17 mars 2025
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  5. Science et conscience #43 : Le temps 5 sur 6, nature #2
    Émission diffusée le 31 mars 2025
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  6. Science et conscience #44 : Le temps 6 sur 6, nature #3
    Émission diffusée le 14 avril 2025
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  7. Science et conscience #45 : La matière et le froid, 1 sur 3
    Émission diffusée le 26 mai 2025
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  8. Science et conscience #46 : La matière et le froid, 2 sur 3
    Émission diffusée le 9 juin 2025
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  9. Science et conscience #47 : La matière et le froid, 3 sur 3
    Émission diffusée le 23 juin 2025
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  10. Science et conscience #48 : Nombre d’or et suite de Fibonacci, épisode1 sur 2
    Émission diffusée le 7 juillet 2025 2025
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  11. Science et conscience #49 : Nombre d’or et suite de Fibonacci, épisode 2 sur 2
    Émission diffusée le 21 juillet 2025
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  12. Science et conscience #50 : la symétrie, 1 sur 1
    Émission diffusée le 4 août 2025
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Un commentaire sur Science et Conscience, Physique et Métaphysique

Ces dissociations qui assurent notre survie

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Ces dissociations qui assurent notre survie

Dans la période des révélations que nous vivons en cette année 2024, j’ai, à plusieurs reprises évoqué les phénomènes de dissociation que vivent de nombreuses personnes traumatisées. La série des interviews des Survivantes que j’ai menées sur mon antenne YouTube a mis en lumière ce dispositif dissociatif et il m’a paru pertinent d’aller chercher des explications conceptuelles sur le sujet. Magali Fabre m’a aussitôt proposé ses services pour répondre à mon besoin. Qu’elle en soit remerciée.

Présentation de Magali Fabre, experte dans les phénomènes de dissociation

Magali Fabre est psycho praticienne à Carpentras, dans le Vaucluse.

Résultant de son propre cheminement de conscience, son accompagnement thérapeutique est inspiré par une vision holistique de l’individu : Corps – Psyché – Esprit, qui se reflète dans les approches thérapeutiques qu’elle déploie : l’IFS (Internal Family System), l’IR (Intelligence Relationnelle) et la thérapie MOSAIC. Au croisement entre les neurosciences, la psychologie moderne et la spiritualité, ces thérapies novatrices et puissantes qui s’appuient sur la posture engagée du thérapeute permettent des libérations profondes grâce à une écoute fine de nos réalités corporelles et des différentes facettes de notre personnalité (les ‘parts de soi’).  Il en résulte alors une plus grande clarté intérieure et un rapport à soi plus bienveillant, permettant une meilleure connexion à soi et à l’autre pour agir de façon plus consciente et alignée. Elle propose de l’accompagnement individuel et en groupe.

Plus d’informations sur www.lam-agi.com  (http://www.lam-agi.com/)

Deux émissions et deux supports pédagogiques

Au cours de la première partie de son exposé, Magali présente les différents types de traumas et leurs conséquences. Nous voyons notamment les phénomènes de dissociation de la personnalité auxquels nous avons recours pour survivre lorsque nous vivons des situations très insécurisantes. Magali, en s’appuyant sur des bases théoriques solides, cartographie littéralement ce que nos cerveaux vivent dans le cas d’expériences de grave déséquilibre.

L’exposé et les supports pédagogiques de cette première partie sont disponibles ci-dessous.

Au cours de la seconde partie, Magali présente les aspects corporels des traumatismes et de leurs conséquences. Il est notamment question de bien comprendre le fonctionnement de notre système nerveux qui montre une fois de plus comment le corps prend en charge ce que le psychisme ne sait pas gérer. Les méthodes thérapeutiques sont aussi exposées en fin d’émission.

L’exposé et les supports pédagogiques de cette seconde partie sont disponibles ci-dessous.

https://www.youtube.com/live/gJ2TUdha23g

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L’omniprésence du Divin dans TOUTES les créatures

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Pendant l’émission d’hier soir avec Dalila, j’ai vu passer dans le tchat des invitations à considérer les prédateurs sexuels pédocriminels comme des portails organiques. Je m’appuie sur cet étiquetage brandi lors des échanges pour rappeler mon point de vue sur ce sujet.
Mon point de vue est tranché et dénote fort de celui d’un grand nombre d’enseignants de la conscience qui véhiculent cette théorie de la présence de portails organique au sein de l’humanité.

L’émission avec Dalila où des commentaires évoquent les portails organiques

La théorie des portails organiques

Je connais bien évidemment la théorie largement présente chez Dolorès Canon, et relayée par de nombreuses personnes en vogue sur la toile. Si j’ai bien compris un « portail organique » serait une créature d’apparence humaine dépourvue d’Essence Divine, « d’âme ». On parle aussi de coquille vide, d’êtres dépourvus de sentiments, d’émotions ».

Je ne suis pas une spécialiste de ce sujet et pour cause puisque, personnellement, je considère que toute la création et toutes les créatures sont Présence Divine manifestée, densification de l’Amour infini. Pour moi, rien ne saurait être dépourvu d’Esprit, sans divinité point d’existence. C’est mon point de vue, c’est ma décision après observation du réel et questionnement sur le sens de l’existence, et je me réjouis de l’avoir prise. Cette façon de voir exclut totalement la notion de portails organiques sur la terre.

Un peu d’extrapolation

« Des pas qui mènent au large », photographie d’Irlande de Rose-Marie Valentin

Imaginons un seul instant que demain, sur la base que certains d’entre nous ne seraient pas des vrais humains dotés d’Esprit ou d’âme, un individu, ou un groupe d’individus trouve une sorte de « test PCR » ou autre gadget pseudo scientifique ou spirituel, pour détecter la présence du divin chez les humains et décide de chasser de l’humanité ceux qu’ils estimeraient dépourvus d’une âme ! Un nouveau pass sanitaire, devenu « pass spirituel » serait alors inventé pour admettre avec ces régents du monde les êtres qui répondent aux critères qu’ils auraient retenus vrais.

L’arbitraire de la détection serait la nouvelle loi.

Selon moi, c’est exactement ce que font déjà les personnes qui étiquettent leurs semblables de « portail organique », sans test préalable mais uniquement à partir de leur décision subjective. C’est un contrôle « spirituel encore plus fort que le contrôle social organisé par les états. Je dois dire que j’ai parfois un peu froid dans le dos quand des humains s’arrogent le droit de diagnostiquer d’autres humains, car l’histoire est truffée d’expériences de la sorte et qui ont toutes mené à des bains de sang. Un sang pourtant informé de la présence du Christ en lui, par l’incarnation-même sur la Terre.

Outre le désir sans doute non conscient d’imposer une règle à l’ensemble de la population pour mieux la diriger, il me semble que c’est aussi encore une fois, une stratégie mise en œuvre pour se rassurer, se confirmer qu’on est bien du bon côté de la dualité, en mettant l’autre, dont le comportement ne nous est pas admissible, du mauvais côté. Évidemment chez les spiritualises on ne dit pas « mauvais côté » mais un pudique « ce n’est pas juste ».

En ces temps d’élections en France, j’aime me rappeler que ce n’est point parce qu’une majorité de personnes dans un groupe social ou spirituel donne le même enseignement, que celui-ci est fondé, vrai. Jésus se souvient encore de ce qu’un propos minoritaire peut susciter chez ses contemporains.

Voir la présence divine en chacun de nous est notre mission

D’aucuns me diront qu’ils ont déjà rencontré des « portails organiques » et je veux bien entendre le ressenti qu’ils ont eu face à certaines personnes avec lesquelles ils avaient une relation. En effet, Il est possible que nous ayons rencontré dans notre existence des personnes chez qui nous n’avons pas vu la présence divine. Nous savons aussi que l’observateur est responsable de son observation et qu’il est pertinent qu’il se souvienne que peut-être il n’a pas vu un élément dans son observation, mais que cela n’exclut pas que cet élément y ait été présent.

Jésus a accueilli Christ dans son corps pour initier l’individuation dans l’humanité, et ainsi passer d’un dieu unique à 8 milliards de dieux vivant pour l’Amour. Au Golgotha, son sang a été versé sur la Terre, a imprégné le corps éthérique de celle-ci pour que chaque humain naissant après lui soit porteur de Christ. A ma connaissance il n’y a pas d’examen préalable à la naissance pour déterminer ceux qui vont être divins et ceux qui seraient des coquilles vides.
J’appelle tous ceux d’entre nous qui sont intéressés par la vie divine sur la terre, l’avènement du corps divinhumain propre à l’espèce que nous avons créée pour évoluer, à se défaire de toute tendance à juger autrui et à le dépourvoir de sa divinité. C’est au contraire en voyant le divin partout et en chacun que nous lui redonnerons le premier rôle, que nous le reconnaîtrons en tant que sens de l’existence.

Pour aller plus loin

Une alternative au décret posé sur autrui qu’il serait un portail organique pourrait consister à aller voir en soi ce qui convoque dans nos expériences relationnelles des êtres dont nous ne voyons pas la divinité. Si nous nous souvenons que nos situations vécues sont des scènes externalisées de nos scènes intérieures, alors nous ne pouvons plus déplorer une confrontation avec une personne qui pompe notre énergie et n’a aucune conscience éthique, aucun respect pour nous. Ce prédateur est en nous-mêmes et pompe l’énergie d’une autre part de nous-mêmes et notamment de l’enfant blessé qui vit dans nos cellules. Dès lors que JE, la conscience/instance de décision se mobilise et remonte sur le trône du souverain à la place du psychisme dualiste qui avait pris les commandes, la situation peut changer. La posture n’est pas facile à adopter car c’est précisément l’axe évolutif que nous expérimentons. Mais tout peut commencer par ne plus accuser l’autre de n’être point divin.

2 commentaires sur L’omniprésence du Divin dans TOUTES les créatures

Pour nous aujourd’hui, 9 repères de la vie de Jésus

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À quelques jours du solstice d’hier, de la Nativité, j’ai été poussée à proposer une lecture spécifique de la vie de Jésus. Rien de nouveau sous le soleil, me dit mon détracteur mental tout au long de cette écriture. Cependant, au constat de ce que mon corps me donne à voir, il doit y avoir dans cette lecture de la vie de Jésus, un courant qui active l’onde divine en soi. Je vois en tous cas dans ces 9 étapes itératives un véritable parcours fléché pour tout humain conscient d’aller vers son unification.

L’Etna vu d’avion, une photographie de Karin Nourrisse qui nous invite à prendre de la hauteur au-dessus de la fournaise qui sévit sur la Terre

Arbitrairement, j’ai fait le choix de 9 repères dans la biographie de Jésus, messager essentiel que nous nous sommes envoyés pour mieux savoir comment mener notre projet de 8 milliards de divins souverains vivant en fraternité. Ces 9 repères sont à sentir de façon non linéaire, mais superposés car tous en action simultanément en nous. Chaque étape apporte une information et amène des questions, toutes vecteurs de développement de notre conscience. Les 9 étapes explicitées et support de questions sont : la Nativité, L’Épiphanie, L’épisode du Temple à 12 ans, Le baptême dans le jourdain, Les tentations dans le désert, La transfiguration, La transsubstantiation, La résurrection, L’ascension.

Préalable

L’évolution personnelle est là pour l’évolution collective. L’évolution de la conscience permet l’évolution de l’espèce humaine appelée à sortir de son animalité pour incarner totalement la divinité.

« L’entité spirituelle humanité » a fait le choix d’organiser sa manifestation en se dotant d’une forme animale où les instincts et les lois de la nature allaient lui permettre, à force d’expérience, de conquérir intentionnellement une souveraineté individuelle. En s’incarnant, « l’entité spirituelle humanité » a le projet que, chaque individu, par sa conscience propre et l’exercice de son libre arbitre, parvienne à manifester fidèlement et totalement son Essence Divine singulière.

L’incarnation de Jésus ne peut se comprendre vraiment que si elle se place dans ce contexte. Ce qu’incarnation de l’entité Jésus apporte est déterminant pour notre époque : l’invitation de l’homme et à se reconnaître un individu totalement divin, à dire par le Christ en moi « JE » suis ce que JE SUIS, divinité incarnée. C’est à ce prix que l’espèce humaine peut s’affranchir des lois de la nature et faire advenir l’espèce divinhumaine, homme-esprit unifié dont le corps de cristal-lumière provient de la métamorphose de son ancienne forme carbone.

Toute la biographie de Jésus nous invite à voir que le corps est authentiquement divin, pur Esprit densifié, Amour manifesté mais empêché d’Être par la psyché qui règne encore dans notre conscience.

« La couronne de la Nativité », un mandala du 18 décembre 2023 signé Sophie Jégu

1.       Nativité, naissance : l’Esprit de Jésus se manifeste dans la densité d’un corps de chair

Une entité spirituelle vient se manifester dans l’humanité avec le projet d’incarner personnellement le divin afin que chaque humain après lui incarne personnellement sa divinité, son essence spirituelle singulière, son JE SUIS.

La naissance c’est la réalité d’un corps de chair façonné par l’entité spirituelle de Jésus, porté par une femme « immaculée conception. Marie a été conçue par ses parents en pleine conscience de qui elle EST et de la fonction qui allait être la sienne dans l’humanité et son évolution. L’entité spirituelle de Jésus choisit Joseph pour sa capacité à l’humaniser, à donner à son Esprit un bagage humain approprié à son projet. En résumé, Jésus dit à son père, Joseph « Apprends-moi à devenir un homme capable de porter un jour le Christ dans ma chair, afin que l’incarnation de Dieu puisse vivre parmi les hommes, et moi pendant cet apprentissage, je me souviendrai toujours que je suis Esprit, que je suis Dieu comme le minéral est Dieu, comme le végétal est Dieu, comme l’animal est Dieu ! »

L’incarnation de Jésus qui va incorporer le Christ nous aide à nous incarner aussi, à admettre la réalité d’un corps en tant que phénomène spirituel.

Les questions pour nous aujourd’hui

Sommes-nous maintenant conscients d’être un Esprit qui a demandé à nos parents de chair de nous humaniser ?
Sommes-nous d’accord pour aller chercher notre potentiel Christ qui veut s’actualiser ?
Sommes-nous prêts à fouiller dans les couches psychiques qui se sont superposées dans notre conscience pour trouver notre germe divin ?
Sommes-nous en fin prêts à ne plus contester notre évidente incarnation qui n’est rien d’autre que la conséquence de notre divine décision ?

2.       L’Épiphanie : Le monde sait que Dieu s’est fait chair

Par la visite des Rois Mages à l’enfant qui vient de naître, nous savons que le monde est informé de l’incarnation du Divin sur la Terre dans le corps d’un humain singulier. En suivant l’étoile qui indique la voie, en l’occurrence et à un certain niveau notre soleil qui est la manifestation visible de l’Amour Inconditionnel, 3 rois viennent honorer le corps, la psyché et l’Esprit de l’humain qui va, parmi ses semblables, amorcer l’individuation et transmuter sa chair grâce à la conscience solaire.

Les Rois Mages sont les représentants de tous les pays du globe terrestre. Ils affirment par leur visite que tous les peuples de la Terre sont concernés par l’événement de l’incarnation du Divin parmi les humains. En reconnaissant la spécificité de l’enfant, ils attestent et officialisent explicitement la mission de Jésus qui n’est plus alors le fils de ses parents mais bien un être déterminant pour l’avenir de l’humanité.

L’Épiphanie marque le point de départ de l’individuation, un processus qui va se poursuivre durant 2000 ans et va apprendre à l’humain à dire JE. L’humain contient sa propre totalité et est indivisible, il manifeste parfaitement le TOUT collectif tout en portant la responsabilité d’une information singulière.

Les questions pour nous aujourd’hui

Acceptons-nous cette fois-ci, d’accueillir les Rois Mages près de nous ?
Acceptons-nous d’assumer ce à quoi nous nous sommes engagés pour le monde en venant ici sur la Terre ?
Si nous-mêmes, nous ne nous reconnaissons pas, comment les Rois Mages pourront-ils venir vers nous, comment le monde pourra-t-il nous reconnaître ?

3.       À 12 ans : l’épisode du Temple

Dans Luc 2, 41-51 il est dit : « Les parents de Jésus allaient chaque année à Jérusalem pour la fête de la Pâque. Lorsqu’il eut 12 ans, ils y montèrent avec lui comme c’était la coutume pour cette fête. Puis, quand la fête fut terminée, ils repartirent, mais l’enfant Jésus resta à Jérusalem sans que sa mère et Joseph s’en aperçoivent. Croyant qu’il était avec leurs compagnons de voyage, ils firent une journée de chemin, tout en le cherchant parmi leurs parents et leurs connaissances. Mais ils ne le trouvèrent pas et ils retournèrent à Jérusalem pour le chercher.

Au bout de trois jours, ils le trouvèrent dans le temple, assis au milieu des maîtres ; il les écoutait et les interrogeait. Tous ceux qui l’entendaient étaient stupéfaits de son intelligence et de ses réponses. Quand ses parents le virent, ils furent frappés d’étonnement, et sa mère lui dit : « Mon enfant, pourquoi as-tu agi ainsi avec nous ? Ton père et moi, nous te cherchions avec angoisse. » Il leur dit : « Pourquoi me cherchiez-vous ? Ne saviez-vous pas qu’il faut que je m’occupe des affaires de mon Père ?» Mais ils ne comprirent pas ce qu’il leur disait. Puis il descendit avec eux pour aller à Nazareth et il leur était soumis. Sa mère gardait précieusement toutes ces choses dans son cœur. »

De toute évidence, ici, Jésus est « agi » par sa mission. La puissance de sa Divine Volonté est plus grande que l’éducation reçue, ce que son entité spirituelle requiert s’impose au jeune humain. Il est au rang des maîtres dans le saint des saints. Son canal est ouvert et sa bouche dit ce que son Moi Divin souffle dans sa conscience.

En relativisant sa condition humaine pour donner priorité à sa mission spirituelle, il est probable que cet événement fonde déjà quelques phrases dites plus tard par Jésus comme : « Avant qu’Abraham ne fut, JE SUIS », Je suis dans ce monde mais je ne suis pas de ce monde ».

Les questions pour nous aujourd’hui

Alors que nous avons dépassé l’âge de 12 ans, sommes-nous prêts à désobéir à nos parents, à nous affranchir de l’éducation reçue pour donner priorité à l’engagement que JE SUIS a pris en se manifestant par notre intermédiaire ici ?
Avons-nous suffisamment confiance en nous-mêmes pour rejoindre ceux qui prétendent connaître les lois divines et les enseignent et leur dire ce que notre Essence Divine Singulière nous montre, nous invite à offrir ?
Avons-nous assez de foi, de conscience de la réalité du divin dans notre corps, notre psyché et notre JE, pour parler en notre nom qui comprend aussi Dieu dans sa totalité ?

4.       Le baptême dans le Jourdain

Jésus a 30 ans, il a parcouru le chemin humain nécessaire à son intégration totale dans le monde incarné, tout en conservant dans sa conscience la vérité de sa nature divine et de sa fonction au sein du collectif de son temps et plus largement, de l’espèce humaine. Son cousin Jean l’a précédé au Jourdain pour pratiquer avec l’eau, un baptême nouveau. Jean est une caricature de l’homme-animal pensant qui sait tout à fait qu’il est là pour la fin d’un temps. Lorsqu’il voit Jésus il reconnaît l’homme nouveau et dit : « il faut que je décroisse pour qu’il croisse ». Il va accomplir sa mission à la perfection. Il sait, par sa divine inspiration, qu’il a la charge de permettre à la conscience solaire d’adombrer Jésus. Sans doute que l’immersion dans l’eau va permettre au feu solaire de pénétrer sans dommage dans la chair de celui qui a été préparé à cette cérémonie bien avant de s’incarner. L’information du Christ, conscience de l’Amour Absolu présent et visible dans notre système solaire, grâce à notre soleil, est désormais mêlée à la chair d’un humain. C’est la fin de l’involution et l’amorce de l’évolution, de la remontée vers la conscience totale de nous et du monde.

Les questions pour nous aujourd’hui

Où en sommes-nous de notre propre évolution ?
Avons-nous fini de croire que nous serions des êtres biologiques régis par un système nerveux de mammifères ?
Notre conscience est-elle encore dirigée par un psychisme dualiste où la pensée cherche à rivaliser avec l’Esprit qui nous constitue en vérité ?
Savons-nous recevoir dans notre chair le rayon de lumière solaire qui hisse notre conscience en nous-mêmes pour être le Christ incarné ?
Sommes-nous d’accord pour mettre notre corps au service de l’Esprit pour qu’il nous transperce et élève ensemble notre conscience et notre fréquence ?

5.       Les tentations du désert

« Ce qui t’est donné par la grâce, tu devras en prendre la responsabilité. » Cette phrase m’a été donnée et la vie de Jésus l’illustre parfaitement à cette étape du retrait dans le désert. Fraîchement adombré par la conscience solaire, les cellules dotées d’un programme attendu certes mais pas encore connu des humains, Jésus a besoin d’aller intégrer ce que l’onde divine a provoqué aussi dans sa psyché et le désert, isolé du bruit du monde astral est l’endroit adéquat. Il dispose pleinement de son JE, il a les cartes en main pour le jeu qu’il est venu jouer parmi les humains. Il a reçu le Christ par la grâce du baptême, à lui d’en prendre la responsabilité, de le choisir délibérément à chaque carrefour de son chemin. 3 tentations constituent ces carrefours : transformer des pierres en pain, pour calmer sa faim ; se jeter du sommet du Temple de Jérusalem pour voir si Dieu le protège et retient sa chute ; s’incliner et se prosterner devant le Diable pour obtenir le pouvoir sur tous les royaumes du monde.

À ces 3 suggestions, Jésus reconnaît le séparateur, la part de lui qui veut rivaliser avec l’Esprit. Il se mobilise, dit non à son mental qui se montre pourtant tout puissant, et choisit le Christ. Il rejoint en lui-même l’étage de l’Unité, jonction du sommet et de la profondeur, il ne plonge pas dans les paramètres matérialistes de l’humanité amnésique, pas plus qu’il ne se prend pour un pur esprit libre de l’incarnation, il est déjà au centre de la croix, dans ce point de rencontre parfait de l’homme et du divin. En faisant son choix, il donne à la conscience de la terre et de l’humanité une fréquence nouvelle, une opportunité inédite pour construire la nouvelle espèce.

Les questions pour nous aujourd’hui

Alors que nous sommes initiés à la présence du Christ en nous, comment nous comportons-nous lorsque notre psyché nous promet monts et merveilles ?
Alors que nous sommes baptisés par le feu de l’Esprit, quel choix faisons-nous au quotidien lorsque les dispositifs humains semblent répondre à nos besoins ?
Alors que notre chair est adombrée par le Principe Lumière, que faisons-nous lorsque se présente la possibilité de prendre le pouvoir, le contrôle des situations que nous vivons ?
Quelle part de notre énergie consacrons-nous à combattre encore le vieux monde dans lequel nous avons fait nos armes avant d’être le preux chevalier de lumière que nous sommes devenus ?
Mettons-nous aujourd’hui notre nature divine au défi de nous prouver sa présence ?

Interlude

À ce stade de l’écriture de ce parcours, je sens qu’un sommet a été atteint, que la fréquence de Jésus est à son paroxysme. Là, Jésus est totalement Christ. Il a choisi, il a dit oui. L’incorporation est à son maximum. Il est rempli de l’information de la conscience solaire, de l’Amour absolu et il peut aller dans le monde avec un corps qui ressemble toujours à celui de ses contemporains, mais avec une conscience qui est différente, une conscience qui est celle à laquelle nous sommes invités aujourd’hui. Nous pouvons nous relier à cette conscience qui est déposée dans l’atmosphère de la planète, dans la conscience collective de l’humanité.

« Tout est possible » – une écorce peinte de Catherine Tissier

6.       La transfiguration

Dans Matthieu, 17, 1 il est dit « Jésus prit avec lui Pierre, Jacques, et Jean, son frère, et il les conduisit à l’écart sur une haute montagne. Il fut transfiguré devant eux ; son visage resplendit comme le soleil, et ses vêtements devinrent blancs comme la lumière. Et voici, Moïse et Élie leur apparurent, s’entretenant avec lui. ». Le « fils de l’homme » se montre là dans sa vérité divine. Jésus a une conscience de lui suffisamment remplie de sa nature spirituelle créatrice et puissante, qu’il a une maîtrise totale de sa manifestation dans la matière. Soutenu par les entités spirituelles de Moïse et Élie, Jésus ordonne à ses atomes de se transformer de s’agence selon une loi Divine, totalement affranchie des lois de la nature, de la matière. La conscience qui sous-tend son existence ne subit plus le formatage humain reçu, mais organise sa présence sur la terre comme cela est nécessaire pour l’évolution de l’humanité.

Un peu plus loin il est dit aussi : « Comme ils descendaient de la montagne, Jésus leur donna cet ordre : ne parlez à personne de cette vision, jusqu’à ce que le Fils de l’homme soit ressuscité des morts. » De toute évidence, la transfiguration du mont Thabor n’est une étape préparatoire de la conscience collective. L’information de la possibilité donnée à l’homme d’autoriser la lumière de son corps-Esprit à briller n’est pas encore recevable dans la conscience humaine. Il convient d’attendre que la psyché soit prête à supporter l’idée que le corps est totalement divin, tandis qu’elle le comprime encore dans la densité et l’opacité.

Les questions pour nous aujourd’hui

Quelle conscience avons-nous de notre corps ?
Le voyons-nous pur Esprit manifesté ou le voyons-nous grossière matière qui a besoin d’être spiritualisée ?
Sommes-nous prêts à nous hisser sur une fréquence si élevée que nos atomes vont en être transformés, que nos électrons libérés peuvent devenir des photons ?
Avons-nous une conscience de l’individu que nous sommes, capable de dire un JE si affirmé que nous sommes nous-mêmes le garant de notre présence sur la terre, indépendamment de toute forme, de tout niveau de densité ?

7.       La transsubstantiation

C’est le dernier repas de Jésus avec ses amis. Le plan de son arrestation et de sa condamnation est sur le point de s’accomplir et Jésus demande même à Judas de ne pas faillir dans l’engagement qu’il a pris de livrer le fils de l’homme aux dirigeants temporels, tant religieux que civils, de l’époque. Les institutions humaines vont broyer la lumière qui les a visitées, détruire la forme visible de la conscience divine venue les féconder. Jésus est d’accord avec cette étape de son existence. Par sa conscience, par l’épisode de la transfiguration, il sait que Christ en lui, lui fait vivre ses expériences avec une fréquence unifiée qui l’affranchit de toutes les souffrances de la dualité.

Il sait que beaucoup croiront encore que seul Jésus est en capacité de donner à Christ les clés de son existence. Il décide donc transmettre à ses amis les plus proches, en plus de l’enseignement théorique déjà donné, une pratique opérationnelle. Tout comme il l’avait fait avec les miracles accomplis tout au long du chemin, il montre là le pouvoir de la conscience sur la matière. Il explique que la conscience humaine a la capacité d’informer la matière au point de la transformer, de remettre l’onde divine au premier plan en elle. Ainsi, le morceau de pain devient porteur de l’information de Christ porté en soi, le verre de vin devient porteur de l’information du sang du Christ porté en soi. Par la Cène et la transmission de la transsubstantiation, Jésus donne le pouvoir du Christ à chaque humain qui le veut bien.

Les questions pour nous aujourd’hui

Où en sommes-nous de notre capacité à reconnaître le pouvoir du Christ incarné que nous sommes sur la matière ?
Sommes-nous disposés à être dépositaires de l’enseignement transmis par Jésus ?
Dans le quotidien de notre condition humaine, acceptons-nous de poursuivre la mission de celui qui a acté de sa nature Melchisédech en offrant sa puissance divine à tout ce qui l’entoure ?
Sommes-nous d’accord pour donner à toute l’humanité la joie de se nourrir de l’Amour inconditionnel ?

8.       La résurrection

Annoncée au jour de la transfiguration, la résurrection en est une répétition à une niveau plus élevé puisque là, la mort du corps physique est intervenue. Là, Jésus nous dit que la conscience de l’homme est totalement affranchie de l’apparence, du monde de la forme et qu’au contraire, c’est bien cette conscience, celle de l’individu, qui régit la manifestation. Avec la résurrection Jésus nous dit l’inutilité de la mort physique, dès lors que la conscience individuelle est d’accord pour se confronter à la non conscience, aux obstacles qui se sont interposés durant l’expérience de l’existence à la circulation de la lumière en nous. La mort du corps est une option que nous avons prise pour satisfaire au goût de la psyché pour tout ce qui a un début et une fin, mais voici que si le souverain que nous sommes règne de droit divin en son royaume, la nature éternelle de la création est rétablie. Pour satisfaire son appétit pour la mort, la psyché peut donc continuer à détruire le temple sacré du corps-Esprit, la conscience de l’homme-Christ rassemble une fois de plus les atomes nécessaires à sa manifestation visible sur la Terre.

Les questions pour nous aujourd’hui

Où en sommes-nous de notre goût pour la mort, de notre crainte de l’éternité ?
Sommes-nous prêts à utiliser la puissance du Christ en nous pour agir sur nous-mêmes et notre environnement et rendre l’expérience de l’existence joyeuse et paisible ?
Est-il arrivé pour nous ce temps de la fin de la dictature de la légende humaine dans laquelle nous avons baigné et qui a diminué notre lucidité ?
Nos yeux sont-ils prêts à voir que la matière est en réalité de l’information qui s’est cristallisée et qu’elle est sous notre haute responsabilité ?

9.       L’ascension

La dernière étape que je retiens de la vie de Jésus est bien évidemment l’Ascension. Un jour IL sentit que son temps sur la terre dans une forme identifiable était terminé, que son œuvre devait se continuer dans le subtil absolu d’où il pourrait toucher les consciences humaines d’une manière informationnelle. IL s’éleva et son corps lumière ne fut plus perceptible par les sens. Il avait préparé ses amis et plus largement l’humanité à sentir le Christ au-delà du sensible, au-delà de l’audible, au-delà du visible, au-delà de l’homme Jésus qu’il fut. Lui qui avait enseigné que la mort n’est qu’une option complétait son œuvre en montrant le détachement total vis-à-vis de la forme. La permanence de la conscience, l’éternité de l’être ne sont pas dépendantes d’une forme, d’une apparence. Jésus nous dit avec son ascension que ce qui est essentiel, c’est d’agir selon les besoins de l’espèce humaine, en fonction de l’évolution de la divine perfection. La conscience est reine et peut aussi bien se manifester dans le visible dense, que dans la vibration lumineuse, que ne pas se manifester. La conscience divine individuée et indivisible est, libre de toute contingence, seulement intéressée par son engagement à servir la croissance de l’Amour, la prolifération de la Lumière.

Les questions pour nous aujourd’hui

Sommes-nous libres de vivre indépendamment de toute fréquence donnant ou non une apparence à l’entité spirituelle que nous sommes ?
Quel sens reconnaissons-nous à notre présence au sein de l’humanité, au sein de la conscience collective ?
Savons-nous voir notre présence terrestre depuis la conscience de notre divinité et ainsi sentir notre engagement spirituel ?
Sommes-nous conscients que nous participons activement à l’évolution du Divin en étant sur tous les plans simultanément, à la fois totalement célestes et bien incarnés ?

Cet article a servi de base à une émission sur YouTube :

https://youtube.com/live/tYtVRnEs5Kk?feature=share
Émission du 18 décembre 2023
27 commentaires sur Pour nous aujourd’hui, 9 repères de la vie de Jésus

Marie-Madeleine nous enseigne

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Le contexte de cet article

Nous sommes le 13 décembre, jour de la Ste Lucie et veille de la Ste Odile. Ces deux femmes parlent de lumière et de vue. Lucie par son nom qui dit la lumière et Odile, par sa biographie : née aveugle, elle recouvre miraculeusement la vue par une goutte d’eau de son baptême. Alors que je me pose pour écrire sans connaître un traître mot de ce que je vais dire, me voilà tout à coup en proximité immédiate de l’entité spirituelle de Marie-Madeleine. Celle qui fut l’épouse de Jésus est là, dans l’atmosphère qui m’entoure et je sens qu’elle m’invite à m’intéresser à sa présence. Comme toujours je doute de mon ressenti et quelques éternuements viennent m’indiquer, au cas où je ne l’aurais pas perçu, que je suis impressionnée, même si j’ai de multiples expériences de son immédiate présence. Je me mets à l’écoute de ce qui est là, et j’entends…

Marie-Madeleine parle

« Mon temple, mon église », une œuvre de Hanna que je remercie

« Je suis la femme de Yeshua, la polarité complémentaire dans l’incarnation de celui qui fut Jésus. Je me présente à toi pour que tu te mettes en résonance avec la fréquence de l’archétype féminin manifesté dans la matière, tandis que Marie est l’archétype féminin absolu. Comprends-tu maintenant pourquoi Marie est présentée « femme vierge » et moi présentée « prostituée » ? Tu as là un symbole qui met en évidence les croyances que le psychisme collectif a imposées à la conscience des humains. Marie apparaît pur Esprit Féminin, force non manifestée ayant conservé sa totale divinité, sans aucune altération. Elle est aussi Mère car elle est celle qui va donner naissance dans le plan dense aux Essences Divines singulières volontaires pour venir sur la Terre. Marie est vierge car elle est dans le plan de l’absolu, celle qui donne sa force pour que la manifestation de l’humanité soit. A l’inverse, moi, Marie-Madeleine, j’apparais comme celle qui s’est compromise dans la matière, celle qui est arrivée sur la Terre, celle qui a pris corps et a expérimenté les plaisirs de la chair. Tandis que Marie est LA Mère, je suis l’épouse de l’homme incarné, la descendante d’Eve la pêcheresse qui a conduit, l’humanité à sa chute selon la légende élaborée par vos cerveaux au fur et à mesure que la sensation de coupure entre VOUS et vous s’est renforcée. En polarité avec Marie restée dans l’absolu, je suis le symbole de l’humain manifesté, altéré par l’apparence dense, régi par les 5 sens, plongé dans la relativité. Toute cette journée, vois-tu, tu as senti la présence aussi de Jésus dont tu sais qu’il a reçu dans sa chair l’information du Christ conscience solaire. C’est par lui que les deux femmes sont unies, par lui que l’humanité incarnée peut réunir l’absolu de sa mère et le relatif de son épouse. Par cet homme qui porte Christ et devient un dieu incarné, le non manifesté et le manifesté sont rassemblés ».

Un petit commentaire personnel sur le message

« Le soleil transperce la montagne » dans la vallée de la Gruyère en Suisse, une photo de Rosmarie Burri.


Je me rends compte de la puissance des enseignements que Marie-Madeleine, symbole de l’humanité manifestée, apporte et ressens une immense reconnaissance. Je comprends aussi que l’humanité incarnée est tout sauf ignorante de la manière dont l’expérience terrestre est organisée. Nous devrions davantage écouter les symboles (symbolum1 en latin) qui ont le pouvoir de contrecarrer le « diabolum » avec lequel notre psychisme à 2 faces sait si bien nous séduire.

Après ces quelques réflexions personnelles, je demande à Marie-Madeleine pourquoi c’est à une créature de genre masculin, en l’occurrence Jésus, qu’il revient de faire la réunion entre les 2 aspects du féminin, principe et manifestation.

La réponse de Maria de Magdala à ma question

« Pour qu’il y ait Mère, il fallait qu’il y ait un enfant, pour qu’il y ait épouse, il fallait qu’il y ait un homme. Si tu le veux bien je te donnerai encore bien des informations qui te conduiront à comprendre de plus en plus la trame qui s’est tissée et les broderies mentales qui ont occulté la vérité. Aujourd’hui, je vais me contenter de te dire que moi, Marie-Madeleine, au contraire de ce qui a été raconté sur moi, je n’avais rien oublié de ma nature divine lorsque je suis née. Tout comme mon époux et sa mère, j’avais totalement conscience de ma fonction, de ma mission. En mon sein le Christ était présent, je le savais par les parents qui m’avaient été donnés et par les sages qui m’ont initiée. C’est par la conscience solaire contenue en moi, contenue en lui, que l’aimantation avec « Rabbouni » a pu se faire. Je vois que tu commences à entrevoir ce que mon propos de ce soir apporte pour une nouvelle compréhension de l’humanité et surtout, tu le pressens, pour son chemin d’unification. Les lourds fardeaux que vous portez sur le dos sont maintenant prêts à être déposés. »

Je rends grâce et accueille mon bouleversement qui pourrait immédiatement mettre ma rationalité en route, alors que je sens que mes cellules et leur intelligence sont la voie pour continuer l’exploration.

1 : Symbolum : objet coupé en deux dont les parties réunies à la suite d’une quête permettent aux détenteurs de se reconnaître ».

Ce texte est lié à une émission diffusée en direct sur YouTube :

https://youtube.com/live/IFZ3dmlghzE?feature=share
🌞 Un enseignement fondamental offert par Marie-Madeleine sur sa fonction dans l’humanité, émission vécue en direct le mercredi 13 décembre 2023
10 commentaires sur Marie-Madeleine nous enseigne

Coucou le séparateur, je te vois !

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Mais quelle période les amis, quelle période !

Si nous nous contentons de regarder le visible, rien ne semble avoir bougé dans le monde. Après la crise de conscience planétaire survenue sous l’apparence d’une crise sanitaire, nos sociétés semblent en effet avoir trouvé un nouvel équilibre, un nouvel élan pour continuer comme avant. Mais dans les consciences individuelles, qu’en est-il ? Dans la conscience globale, collective de l’humanité qu’en est-il après ce grand rush des forces matérialistes qui ont voulu que les humains de se voient amas de cellules régies par la chimie et améliorables par les technologies du transhumanisme ? J’ai un élan de reconnaissance pour Rudolf Steiner qui, il y a un siècle, a si parfaitement décrit ce que nous sommes aujourd’hui en train d’expérimenter. Parmi des centaines d’ouvrages de ce grand guide il y a par exemple celui-ci : https://www.editions-triades.com/livres/spiritualite/themes-generaux/l-homme-entre-lucifer-et-ahriman/

Quelle conscience après la Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine (COVID) ?

Quel impact a eu cette offensive ahrimanienne sur la conscience humaine ? La guerre de tous contre tous a bel et bien commencé avec le projet de quelques humains d’empoisonner leur prochain sous couvert d’amélioration de leurs conditions de vie. L’état de guerre qui a commencé avec le COVID que j’ai été inspirée à nommer « Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine », et se poursuit avec les foyers en feu en Ukraine et en Israël, ouvre progressivement des brèches dans les consciences des individus et en conséquence dans la conscience collective. Les deux cheminent en parallèle quand bien même il y a de grandes disparités dans la lucidité des humains.

La force d’opposition à l’Unité sert la reconnaissance du Divin en soi

Tout comme Jésus au désert après son baptême, trouve dans sa confrontation avec « Satan » l’opportunité de renforcer son choix d’incarner le Christ dans sa chair, certains d’entre nous ont trouvé dans le pilonnage du soldat matérialiste scientiste envoyé par les manipulateurs du nouvel ordre mondial, une occasion de s’ouvrir à la nature spirituelle de leur être. Pour certains, la présence divine dans le corps est une véritable confirmation d’une intuition jusque là refusée par le psychisme, pour d’autres c’est une découverte qui change totalement l’horizon et a besoin de repères pour être comprise. Bref, le Satan moderne, tout séparateur narquois et invétéré qu’il est, a travaillé sans doute malgré lui, pour La Source, pour l’intelligence divine, pour le règne de l’Amour sur la Terre. La structure affective et cognitive des humains a été bousculée et des points d’interrogation venus se poser sur des certitudes forgées par l’éducation reçue, sur des croyances aux allures scientifiques, sur les représentations imposées par des blouses blanches cathodiques. Ce début de déséquilibre a permis à JE SUIS de murmurer à la conscience que les religions d’autrefois, après avoir été séparées de l’état, étaient de nouveau là, imposées par lui sous couvert de laïcité, que la vie intérieure n’était pas limitée aux sentiments et aux émotions mais qu’il y avait là, en soi quelque chose de grand et de puissant qui ne demandait qu’à se donner à celui qui le veut bien.

Après Ahriman, voici Lucifer

Ue carte du tarot Zen d’Osho

À peine remis de nos émotions ahrimaniennes, sans surprise arrive l’offensive luciférienne, précisément ciblée sur toutes les personnes ouvertes à la réalité de l’Esprit Source de Vie. Nous qui savons que nous sommes des êtres spirituels faisant une expérience humaine, nous voilà soumis à la tentation de la version luciférienne de la spiritualité. Lassés du new-age et de ses mièvres images d’anges, gavés des canalisations de maîtres ascensionnés qui nous serinent de patienter pour accéder à un monde meilleur, épuisés de ne pas parvenir à l’idéal de soi présenté comme la clé du bonheur absolu, écœurés d’entendre qu’il nous faut nous aimer et aimer pour tout résoudre, serions-nous prêts pour nous laisser séduire par les sirènes qui chantent qu’en réalité il n’y a personne ? Serions-nous intéressés de nous voir tout simplement victimes de notre égo, rarement défini mais toujours brandi, qui insisterait pour se croire libre et responsable de son incarnation ? Les agents de Lucifer sont gentils, très gentils, ils t’aiment et te remercient sans cesse, ils te félicitent pour ta belle réussite et t’invitent à les rejoindre dans le club des réalisés, de ceux qui ont goûté (le mot est essentiel, il faut avoir « goûté » !) au nectar du néant qui n’est rien d’autre que le tout, on n’est pas à une acrobatie sémantique près ! Ce qui compte pour eux, « tu vois », c’est que tu ne sois plus personne, que tu acceptes tout ce qui se présente à toi car c’est le Divin qui a tout voulu. Et lorsque ce n’est pas le divin qui a voulu, c’est ton déterminisme familial qui a installé les télécommandes de ta vie, car en vrai « tu vois », tu ne décides rien. Ce qui est le top, c’est ne plus avoir d’intention mais d’avoir le « courage » de se laisser absorber complètement par l’Esprit, appelé aussi vacuité, pour entrer dans la béatitude. Le discours est bien rôdé : si tu n’es pas d’accord avec ce qui est expliqué à grand renfort de théories sanscrites qui te signifient que tu n’as pas suffisamment de connaissances pour argumenter, c’est que tu résistes à l’éveil, que tu es prisonnier de « ton personnage » ou de « l’organisme humain ». Et là, on a pitié de toi et on t’aide à te hisser dans la guimauve qui va t’engluer dans le sirop, et te faire admettre que cette existence n’a aucun sens et qu’il suffit de se détendre pour attendre la mort qui enfin te délivrera de l’illusion dans laquelle tu es enfermée. De beaux sourires ponctuent les explications.

Mieux que la secte, la tentation de n’être rien.

Une magnifique photo pyrénéenne d’Anne-Marie Brachet, Guide guérisseur de l’Humanité à Brouilla dans le 66

Mon expérience dans un groupe sectaire, de 1986 à 1990, est d’une richesse infinie pour les grands enseignements que j’y ai puisés par l’expérience. J’y ai vécu la manipulation des dirigeants qui avaient divisé les groupes de la base pour former un groupe d’élite. C’est entre autres, ce qui m’avait ouvert les yeux et m’avait permis de démissionner, sans aucune difficulté d’ailleurs. Ici il n’y a pas de gourou, par de groupe constitué et par conséquent, aucun danger apparent de se laisser embarquer dans un égrégore sans structure. Pas de crainte de restriction des libertés individuelles ou d’emprise. C’est beaucoup plus subtil, la force diabolique d’opposition à la souveraineté divine de chaque humain s’empare des enseignants spirituels adeptes de la négation du MOI, du JE SUIS, au profit d’une spiritualité où l’individu déresponsabilisé est broyé dans une soupe sucrée par un amour qui tour à tour est affection et néant, où l’expérience terrestre ne s’inscrit pas dans une divine volonté d’évolution. L’objectif du séparateur d’aujourd’hui est de décourager ceux qui ont pris conscience qu’ils sont Esprit d’être un JE qui incarne JE SUIS, un souverain qui construit la vie divine sur la terre.

Le 11 janvier 2015, j’ai clairement senti que le JE était officiellement installé dans la conscience de l’humanité, dont la France était pour la circonstance, le tableau de bord qui permettait de voir où nous en étions dans l’évolution. Le diable demandait ce jour-là que nous défilions sous la bannière d’une identité unique et commune « Je suis Charlie ». Ce déni de l’individuation, de la singularité de chacun m’indiquait, par son contraire que le JE était bel et bien installé dans la conscience collective. L’invitation était donc donnée à chacun de se responsabiliser sur sa présence au sein de l’humanité pour construire une fraternité de 8 milliards de divins souverains. Le renforcement de ce JE passe aussi par le déni qui est fait de lui. La tentation de ne pas le reconnaître renforce  la puissance de notre détermination à le reconnaître et l’incarner.

Secte sans gourou, sans argent, mais bien gluante !

Les forces qui s’opposent à l’unification Homme-Esprit, qui veulent maintenir l’homme animal pensant en enfer et interdire la vie divine sur la terre, inspirent brillamment les personnes du matérialisme et de la spiritualité, distribuant des bonbons de déresponsabilisation à qui est prêt à se suicider psychiquement. Pour nous qui avons conscience de l’Esprit qui compose nos cellules, il est aisé de voir chez les chantres de l’agenda 20/30 et du grand reset, les grosses ficelles du « vous ne possèderez plus rien et vous serez heureux ». Il est parfois bien plus difficile de reconnaître l’emprise de la déresponsabilisation chez ceux qui, si gentiment, nous invitent à lâcher prise et à nous laisser absorber. Ils ne peuvent pas être nos preneurs d’otage, ils sont si « positifs » et nous apparaissent si sereins, installés dans un sourire permanent, si avancés et sages, certains se disent même réalisés. Ils sont tellement prêts à nous expliquer encore et encore que nous serons heureux quand nous dirons enfin, « ah, il n’y a personne ! », ils sont des enseignants magnifiques alors que nous ne sommes que des personnages égotiques ! De la secte, il était possible de s’extraire, de la guimauve nihiliste, je crains qu’au contraire, il ne soit guère possible de se sortir, tant la peur et la culpabilité d’être soi sont distillées. La secte d’aujourd’hui n’a pas de gourou, ne demande pas d’argent. Comme celle d’autrefois elle dit servir l’Amour, mais selon ma perception, sert le Satan en prônant la déresponsabilisation, l’abandon des intentions, l’impossibilité de vivre l’absolu depuis notre condition relative. Le séparateur est à l’œuvre en maintenant la dualité, la différence entre le divin et l’humain tout en disant l’inverse dans la théorie que ses haut-parleurs diffusent sur les ondes.

Rosace de lumière, un œuvre de Célia Gouvéiac que je remercie infiniment.

Le coup du vocabulaire

Et une petite dernière pour la route sur ce sujet : ce courant d’invitation à ne voir personne chez les humains, a la fâcheuse habitude que nous avons déjà connue avec les églises chrétiennes. Je les remercie d’ailleurs de cela car cet élément a été un indice majeur dans l’enquête que j’ai menée sur le sujet. Ce courant s’approprie le mot « éveil » comme l’église catholique s’est appropriée le mot « Christ ». Si un pèlerin de l’unification ne s’inscrit pas dans ce courant, alors c’est qu’il ne serait pas « éveillé », comme autrefois un chrétien ne pouvait pas se revendiquer du Christ s’il n’était pas catholique. L’hérésie a changé de juges mais elle est toujours active. J’aime me rappeler que si je suis bien éveillée, consciente de la nature spirituelle de tout ce qui est, je vis sous ma propre responsabilité une spiritualité libre et incarnée et je n’ai de comptes à rendre à personne, je décide moi-même de ma représentation du monde et rayonne ce que JE SUIS dans ce que je suis.

Quant à la réalisation du Divin dans mon corps humain, je la vis régulièrement, comme beaucoup de personnes rencontrées sur le chemin de l’unification. Mais de là à en faire tout un fromage, je m’en abstiens, je fais le choix de ne plus évaluer mais de vivre le mouvement permanente de la Vie !

Le présent article a été le support d’une vidéo diffusée en direct le jour-même de sa rédaction, le 6 novembre 2023. Cette vidéo est à visionner ci-dessous.

https://www.youtube.com/live/A9RnbZeX6g8?si=1tJ3sjGMAAspRQKf
10 commentaires sur Coucou le séparateur, je te vois !

L’épée michaélique nous invite au choix de la voie qui nous convient

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Nous sommes quelques jours avant l’équinoxe d’automne, au lendemain de la nouvelle lune. Nous sommes en gestation de nous-mêmes et en tant qu’adulte, que Melchisédech, nous voilà invités à nous engager dans la voie de notre naissance dans l’espèce divinhumaine.

https://www.youtube.com/watch?v=IaIg-F1cDrU
Cet article a été rédigé pour présenter une vidéo diffusée sur mon antenne YouTube le 16 septembre 2023.

Cela fait bientôt 4 ans que je propose sur YouTube des émissions très régulièrement, quasi quotidiennement. IL m’aura fallu ces 4 années pour commencer à voir plus clairement le message précis que JE désire transmettre, à sentir les couleurs de la conscience que j’ai de moi et du monde et dont JE souhaite témoigner. La création des émissions en direct, l’interview des invités que j’ai reçus, l’animation des « Regard de Vérité » et « Assemblée de Guérison » sont de merveilleuses opportunités pour soulever le voile de l’oubli de qui JE SUIS, de qui nous sommes.

L’écoute des autres diffuseurs de vision spirituelle, des experts en science, de spécialistes en courants spirituels spécifiques, a permis que je taille ma propre pierre, que j’affine mes représentations.

En 4 ans, je me rends compte que j’ai du changé de propos bien souvent pour témoigner de ce que JE SUIS : alors que je m’étais mise au service de mon âme, voilà que je vois celle-ci aujourd’hui en tant qu’interface entre l’Unité Primordiale et la condition humaine duelle, alors que je croyais dur comme fer que j’étais venue spiritualiser la matière, je vois aujourd’hui que la matière et l’Esprit ne sont qu’un et que c’est le psychisme qui est invité à se rallier à l’Esprit. Je ne cite là que deux aspects fondamentaux de ma vision qui ont été amenés à se retourner, mais il y en a d’autres, tous aussi importants les uns que les autres. Pour moi, pour nous tous qui nous souvenons de plus en plus de qui nous sommes, le voile de l’oubli se soulève, la mémoire de notre nature divine se révèle et le récit que nous avons créé à notre sujet apparaît chaque jour davantage dans sa dimension légendaire, voire mensongère.

L’image ci-dessus et qui illustre l’émission s’intitule « l’épée ». Il s’agit d’une œuvre numérique de Stéphane Breteau, que je remercie infiniment. https://web.facebook.com/profile.php?id=100023627856980

Je ne peux plus aujourd’hui, défendre les affirmations partagées publiquement il y a 4 ans : mon chemin de vérité me montre combien des croyances successives m’ont servi de béquilles pour avancer. Ma représentation actuelle du monde est encore pétrie de croyances qui résultent de mon insistance à m’incruster dans la dualité, même si mon intention est bien de vivre l’Unité. Pétrie de la légende collective de l’humanité, sculptée par le formatage familial, l’éducation nationale et religieuse, manipulée par mon psychisme à double face, je n’accède encore qu’à une partie seulement de l’Essence Divine qui me constitue. Par la force des choses, je suis obligée à une forme d’humilité qui m’impose de relativiser mes témoignages : je ne peux parler de ce que je vois du monde, de l’humanité et de moi-même, ici et maintenant, avec la conscience qui est la mienne, par le filtre des représentations que je crée du réel avec lequel je vis une relation tout en le créant. Je peux parler sincèrement de ma perception personnelle et relative de l’Absolu, de ma réalité du Divin que je manifeste en me souvenant que le voile est encore là, qu’il se soulève pour moi en même temps qu’il se soulève pour l’humanité toute entière. Ce que je dis aujourd’hui sera faux demain et pourtant il est nécessaire que je le formalise maintenant, marquant ainsi le pas que je franchis dans l’instant. Je sais la Vérité sur ma nature Divine et je ne peux en témoigner qu’avec les œillères qui m’en limitent encore la claire perception.

L’image ci-dessous est une œuvre d’Odile Lucky que je remercie et qui s’intitule « Le cône ».

Dans ces sables mouvants, ce qui me permet de ne pas m’enliser, c’est l’intention que je porte, c’est la cible que je me donne à atteindre, c’est le point 1 que je vois tout près parfois, et au loin aussi parfois. La responsabilité que je me donne dans cette incarnation est celle de dire haut et fort le sens haut que je vois à mon existence, c’est cela qui me permet de voir la voie que j’emprunte, de reconnaître le chemin qui est en cohérence avec ma conscience.

Dans cette période, 3 grands chemins se montrent à l’humanité pour continuer la suite de son expérience :

  • 1, le chemin de la matière en tant que seule réalité, tangible et objectivable par nos sens, compréhensible par notre intelligence,
  • 2, le chemin de la spiritualité qui sépare le créateur et la création et voit le salut de l’homme après la mort du corps et du personnage, au-delà de l’existence terrestre, une fois arrêtée la roue des incarnation,
  • 3 le chemin de l’Unité qui invite à voir le Divin dans tout ce qui est, dans tous les éléments de la création y compris les humains, qui rappelle à chacun qu’il est un dieu souverain qui crée en permanence le réel qu’il observe et avec lequel il est en relation.

Au bout de 4 ans d’émissions sur YouTube, je fais le choix aujourd’hui de me mettre au service de ce 3ème chemin. Tout en respectant totalement, les 2 autres chemins et les humains qui les parcourent, je m’engage à veiller désormais à la cohérence de mon choix, à plus de radicalité dans mes propos, à plus d’intégrité en faisant preuve de vigilance quand mon diable cherche à me maintenir dans la dualité. C’est parti pour vivre l’éternité avec ce corps et donc c’est parti pour faire de cette vie terrestre une vie divine où joie et Amour sont la loi des humains. Je m’engage à rappeler sans cesse que c’est pour vivre cette perception du monde que je suis là. Je me propose de ne plus offrir sur cette antenne une tribune aux orateurs qui prônent la mort du corps pour se sortir de l’enfer de l’humanité prise en otage par sa légende, je me propose de servir d’amplificateur aux voix qui chantent l’unité Homme-Esprit sous l’égide d’un JE qui prend la responsabilité du capital Lumière qui lui a été confié. Je sens que j’ai à me positionner fermement au risque de déplaire et de m’éloigner de ceux que j’affectionne. Je fais le choix de consacrer mon énergie à ce qui me semble en résonance avec ce que je ressens.

6 commentaires sur L’épée michaélique nous invite au choix de la voie qui nous convient

Cesser la guerre avec le corps, champ de bataille des différentes consciences de nous-mêmes

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Le jour de la St Amour de 2023, le 9 août, je décide de cesser la guerre dont mon corps de chair est le théâtre. En effet, j’ai pris conscience que mes cellules, manifestation parfaite de ma substance divine, étaient prises en otage par ma conscience psychique. La souveraine que je suis décide de libérer mon corps que je reconnais Esprit, de la domination exercée par le formatage humain qui a été le mien pour installer mon incarnation.

Ce sujet fait l’objet d’une émission dur mon antenne YouTube.

https://www.youtube.com/watch?v=_h84qBZIhBg

Les documents présentés au cours de cette émission sont là, téléchargeables librement.

12 commentaires sur Cesser la guerre avec le corps, champ de bataille des différentes consciences de nous-mêmes

Face aux épouvantails qui s’agitent, JE mets mon focus sur le monde que JE désire construire

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J’ai intitulé l’image qui illustre cet article et l’émission YouTube qui lui est reliée « Le cœur de Carol à St Gilles Croix de Vie ». En effet, Carol m’a fait parvenir le bout de ciel qu’elle a photographié au-dessus de sa tête hier soir. Avec ce cliché, je suis sûre qu’il n’y a pas de retouches, pas de trucages visant à nous faire voir des anges ou des signes spirituels à l’extérieur de nous. Je ne boude pas les belles images, ne rechigne pas aux œuvres qui traduisent la présence divine dans la forme terrestre, mais plus que tout j’aime la vérité, l’authentique. Nous qui nous souvenons de qui nous sommes, nous qui savons que dans notre densité la plus opaque, il y a la lumière, nous n’avons pas besoin de forcer le trait pour voir l’omniprésence de l’Amour dans la Création, nous n’avons pas besoin de faire des fausses images pour sentir la puissance infinie de l’Esprit dans toutes les situations de notre vie.

La Vérité, mon bâton de pèlerin sur le chemin de l’Unité

J’ai soif de vérité, je n’ai pas envie qu’on me raconte des histoires spirituelles pour me rassurer. Je ne suis plus inquiète, j’ai conscience de la continuité du Principe Créateur dans sa manifestation créée.

Dans le monde d’aujourd’hui, je peux facilement perdre mon latin. Quelle que soit la nouvelle que je lis ou entends, je me pose la question de sa véracité, de l’intention de celles et ceux qui l’ont diffusée. Il y a quelques années encore, je faisais relativement confiance aux réseaux alternatifs d’informations, j’accordais du crédit à ceux qui apportaient une voix discordante dans le concert des médias dominants. J’étais contente que des enquêteurs cherchent, fouillent, découvrent des pots aux roses qui ne sentaient pas souvent très bon. Aujourd’hui ma première question est : « que veut-on dissimuler pendant qu’on attire mon attention sur un sujet scabreux ? ». En effet, j’ai la sensation que l’attention des humains est sans cesse sollicitée vers des épouvantails pour qu’elle ne soit pas accordée à l’essentiel.

Une écorce peinte et mise en scène par Catherine Tissier que je remercie infiniment.

Reconnaître ce qui est essentiel pour soi

Qu’est-ce donc l’essentiel pour un être humain ? Sans hésitation, selon moi, c’est le sens de sa présence sur la terre, ce sont ses valeurs profondes, c’est sa vision de lui et du monde. C’est la conscience de notre existence qui détermine nos choix, qui est la base de nos comportements. Cette faculté que nous avons de dire « JE » est sans cesse nourrie par les informations au sein desquelles nous baignons et si nous n’y prenons garde, elle est envahie par notre perception de l’environnement au détriment de la direction que nous voulons donner à notre itinéraire sur la Terre.

Tout est là pour nous distraire car c’est ainsi que nous avons organisé l’expérience d’incarnation de notre divinité au sein de l’humanité. Nous avons fait le choix de rendre la matière et les humains tellement attractifs que nous en oublions l’essentiel, notre substance subtile. Et même quand l’attraction est causée par la peur, la colère, la tristesse ou l’euphorie, nous cédons encore bien souvent à la tentation. Nos institutions, qui sont évidemment la projection en dehors de nous de ce que nous contenons, sont des tentatrices admirables : un petit virus par ci, une guerre par-là, une pénurie en perspective, des menaces de censure, des pertes de liberté, le catalogue des épouvantails est épais et plein de vices.

Bien que leurs intentions soient opposées, les informateurs alternatifs ont recours aux mêmes techniques : les dénonciations de comportements irrespectueux et inadmissibles, les demandes de justice à rendre, l’annonce de mesures liberticides, les accusations de manipulations et coercitions, etc. Là aussi le catalogue est épais et plein d’intentions humanistes visant à défendre les opprimés.

Le discours et les images spirituels pour mieux dormir ?

« Humanité endormie », une œuvre d’Annie Kowaleski
que je remercie infiniment

Et puis il y a les spiritualistes de tous poils, héritiers des religions, du New Age, de la pensée positive qui distribuent des belles images, des beaux messages pleins d’espoir disant que la lumière a gagné, que les galactiques vont arriver et que sans doute ils sont déjà là. Ici on parle d’amour sans savoir vraiment dire ce qu’il est, on parle d’égo sans plus savoir ce que ce gros mot représente. Ici on continue de vivre dans la dualité avec des doses de positivité pour anesthésier la dure réalité. On perche, on s’échappe, on rêve d’un autre monde, on médite à fond, on devient végétarien car on aime les animaux, on dit « je t’aime » à tout va, on invoque les anges. On crée un monde parallèle en attendant que la population se réveille.

Et pendant ce temps-là…

Et pendant ce temps-là, pendant que l’attention est portée sur tous ces bruits, la conscience de soi est affaiblie, la perception de son pouvoir créateur s’éteint lentement. La clé entre nos mains ne trouve plus la serrure qui permet d’ouvrir la porte du nouveau monde. Le royaume des divinhumains est à l’intérieur de nous, il se construit selon nos choix, notre Divine Volonté. Nous avons la responsabilité de toujours décider de l’endroit où nous portons notre attention, où nous donnons notre énergie. Nous contenons dans notre système personnel tous les moyens des changements d’organisation sociale et il nous appartient de déployer ces moyens en mettant le focus sur ce que nous voulons, et non plus sur ce que nous combattons. Nous sommes véritablement souverains créateurs, des Melchisédech apparus sur la Terre pour régner sur la Cité de la Paix et instaurer le sacré dans tout ce qui est.

L’émission qui est liée à cet article est là :

https://youtube.com/live/EIyHatb_nBg
2 commentaires sur Face aux épouvantails qui s’agitent, JE mets mon focus sur le monde que JE désire construire

Une compréhension du sens de l’existence et de notre responsabilité

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La montée en puissance de la conscience du Divin en soi

Comment témoigner de la puissance que je sens dans mes cellules ? Comment faire sentir à ceux qui me lisent ou m’écoutent la conscience que je vis de l’importance du moment ? Le monde de la dualité ne peut plus dissimuler le mensonge qui constitue ses fondations. Les institutions sont dévoilées dans leurs intentions de nuire, il n’est plus nécessaire de le dire. Le temps est maintenant venu de vivre depuis la conscience de l’unité afin de ne plus être affecté par la duplicité de ceux qui prétendent encore diriger l’humanité. Lorsque j’écris ces mots, je capte le souffle de l’Esprit, aussi fort que le vent du dehors qui glace les sangs. Le souffle de l’Esprit est chaleur, feu infini, et il réchauffe les cœurs qui furent endoloris des effets de la terrible amnésie. C’est la fin de l’anesthésie, le terme de l’hypnose qui nous faisait avancer comme des zombies. Nous voilà conscients de la divinité que nous contenons, de notre chair qui est lumière, de la royauté dont nous avons la responsabilité.

L’image qui illustre cet article et illustre aussi l’émission qui lui est liée s’intitule « Le Jardin de la source ». Il s’agit d’un collage de Nathalie Escolier que l’on retrouve sur son site :  http://nathalie-escolier.com/

À la veille du jour de l’Ascension, il est clair que nous bénéficions d’une pluie d’informations sacrée émanant directement de notre Essence Divine. Même les planètes s’y mettent et déversent à flots les ondes dont nous avons besoin pour ne plus vivre selon les schémas dépassés, sortir des ornières creusées par les habitudes de survie de l’homme-animal pensant.

Tandis que les religions ont travesti l’enseignement de l’Esprit en l’enfermant dans la dualité, en agitant la peur et la culpabilité, en activant toujours plus le séparateur entre la création et le créateur, accusant la créature d’être coupée de sa divine nature, tandis que l’ésotérisme savant a fait croire qu’à une élite toute petite, la clé était réservée, tandis que la science matérialiste, s’est érigée en absolue vérité imposant ses douteux rituels et ses prêtres maléfiques, voici que vient le temps de la simplicité, de l’accès pour tous au sacré, au sens de l’existence. Lettrés ou illettrés, savants ou ignorants, possédants ou dépourvus de biens, tous sont invités au banquet qui vient. Par l’innocence décidée par le maître qui a la responsabilité de l’existence, par l’effacement de toutes les croyances au profit du constat de l’évidence de notre Divine présence, par le oui accordé au règne de l’Esprit, le royaume des cieux est ouvert, la vie divine peut se vivre sur la Terre pour tous les JE volontaires.

Sentez-vous le souffle ardent qui anime mes doigts sur le clavier ? Percevez-vous en lisant ces lignes, le feu sacré qui s’exprime ? L’Esprit Saint donné aux Apôtres il y a deux mille ans, est donné encore maintenant. Reconnais le Melchisédech qui s’est manifesté dans cet humain que tu es. Il est temps de suivre le Christ en toi pour te retrouver au centre de ta croix, ta joyeuse croix qui fait se rencontrer l’humain et le divin et abolit toute séparation, te faisant vivre l’unité dans la jubilation.

Ce soir, je vais parler de la compréhension du sens de l’existence telle qu’elle s’est posée avec une immense simplicité un jour dans le désert. L’émission d’hier dont Spinoza était l’inspirateur m’a poussée à formaliser ce qui était en jachère dans ma conscience et demandait pourtant à être partagé. (https://www.youtube.com/live/vl7oHvI8fxc?feature=share )

Merci à Rosmarie Burri de sa magnifique contribution.

https://www.youtube.com/watch?v=ilN4D8x104I

Les documents présentés lors de cette émission sont disponibles ci-dessous.

Votre contribution : on Une compréhension du sens de l’existence et de notre responsabilité

La transformation de la personnalité poussée à vivre l’Unité

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La transformation de la personnalité poussée à vivre l’Unité


Ce thème fait l’objet d’une émission diffusée sur mon antenne YouTube le 24 mai 2023. L’émission est coanimée par Coralie Château qui m’interroge sur la mutation en cours de la psyché humaine. En effet, si la personnalité, issue de l’Être Psychique a été l’outil parfait pour vivre la dualité et apprendre à reconnaître notre Divinité, elle est invitée aujourd’hui à devenir l’outil de la vie dans l’Unité Homme-Esprit.
Le Divinhumain qui émerge de l’homme-animal pensant transforme à la fois son corps et sa personnalité pour faire vivre l’espèce divinhumaine. C’est à la transformation de cet outil psychique que nous nous intéressons dans cette émission.

Le support écrit de cette émission est disponible ci-dessous.

L’abondance est toujours au rendez-vous. Véronique en est une messagère en m’envoyant ses notes de visionnage de cette émission. Avec son aimable autorisation, je les propose ici car elles posent formellement l’enseignement reçu sur la composition de la personnalité et sa transformation. Tous mes remerciements à Véronique.

8 commentaires sur La transformation de la personnalité poussée à vivre l’Unité

Faire rayonner JE SUIS dans l’humanité

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Comment un petit trajet de la vie ordinaire peut devenir un parcours initiatique, sans tambours ni trompettes, sans cape ni épée. Images perçues par les yeux de chair, sensations accueillies et écoutées, lien établi entre des information d’apparence séparée, sont les ingrédients d’un enseignement.

Hier, j’ai reçu de la très talentueuse Régine Chiffe l’image ci-dessus et les mots ci-dessous :
« Cette fin d’après-midi le soleil embrasait les roseaux de Camargue dans leur parure d’hiver, c’était somptueux !

Je t’offre avec joie cette magie de l’instant. » Régine

En allant joyeusement à la ville

Ce matin, je suis allée en ville et en traversant un village non loin de l’endroit où j’habite, ma conscience a associé 3 informations captées par ma vue :

  1. Une banderole disant : « Nous voulons un médecin ».
  2. Une affiche annonçant une soirée choucroute organisée par une association, sans doute les sapeurs-pompiers ou les parents d’élèves, je n’ai pas eu le temps de voir.
  3. Un pylône important où sont installées les antennes 4 et 5G et autres technologies qui permettent que je diffuse l’émission ç laquelle vous participez présentement.
https://www.youtube.com/watch?v=lDL8RB5oSEA
Cet article est lié à l’émission diffusée en direct le mercredi 8 février 2023

Au premier passage je n’ai vu que la banderole et tout de suite ai ressenti un malaise. Je n’ai pas vu « Nous voulons la santé », mais bien « nous voulons un médecin ». Et je me suis interrogée sur les situations de ma vie où je demande des moyens et non pas des résultats. Juste avant de partir de la maison j’avais eu un avant-goût savoureux du même genre et ce n’est que là en écrivant que le lien se fait entre les 2 anecdotes. Alors que ce matin, je n’avais pas faim et que j’avais eu le courage d’écouter mon ressenti et donc de ne pas manger, voilà qu’au moment où je dois partir, je sens que mon estomac vide m’appelle. Mais il est temps de partir et cela m’amène à conscientiser que je peux tout à fait trouver dans l’Esprit que mon corps est, l’énergie dont j’ai besoin, c’est une expérience que j’ai déjà vécue mais que ma personnalité n’a pas beaucoup aimée. Mais comme il me faut partir, je peux aisément lui dire à ma personnalité, que nous avons suffisamment de réserve pour la matinée. C’est ainsi qu’au lieu de me focaliser sur les moyens pour disposer d’énergie, je fais le choix de mobiliser en moi la puissance JE SUIS et de me nourrir d’Esprit. Je me rends compte que ma personnalité est plutôt contente de l’expérience. Je n’ai mangé du solide qu’à 14h et n’ai pas été en difficulté physique.

La banderole demandant un médecin est du même ordre et me donne à voir comment la conscience de l’humanité est aujourd’hui imprégnée de la légende humaine. Nous voulons des médecins, comme nous voulons un président de la république, comme nous voulons un parent ou un code moral qui nous indique le bien et le mal.

Nous voulons une soirée choucroute avec des copains pour nous divertir d’une existence guère à notre convenance. Nous mettons un peu de peinture rose sur les murs et de l’animation dans la prison. Et pour nous donner bonne conscience, nous soutenons financièrement une association et ce geste charitable nous permettra de reprendre de la saucisse et du vin blanc sans nous culpabiliser.

Juste à côté, nous avons le pylône support de la technologie qui nous relie avec les humains de la terre entière. Les ondes électromagnétiques sont invisibles, et pour la plupart d’entre nous leurs effets sur notre corps sont ignorés. Les téléphones, ordinateurs, et autres outils de communication sont des baguettes magiques qui satisfont notre besoin profond de participer à un groupe.

Avec ces 3 images réunies, j’ai eu un résumé de la société dans laquelle je vis quand je suis au rez-de-chaussée de mon édifice. Aussitôt, je me suis rappelée que mon luxe dans cette existence, c’est d’avoir un premier étage et de savoir m’y installer. Delà, je peux regarder l’étage de moi qui voudrait encore un papa, un président de la république ou un bon toubib pour le cas où, l’étage de moi qui cherche parfois le divertissement pour esquiver la rencontre avec le vrai profond, et l’étage de moi un peu geek, qui aime bien les nouveaux outils qui facilitent la vie et ne veut pas voir qu’ils m’asservissent aussi.

« En chemin », un œuvre d’Annie Kowalski

Ma vie au premier étage de mon édifice personnel

De mon premier étage, je peux contacter les vrais besoins du rez-de-chaussée, sans les juger. Je peux avoir faim sans honte et manger sans culpabilité, je me souviens que JE SUIS s’est manifesté dans la densité.

Depuis le premier étage, je peux avoir envie de me référer quelques instants à un expert qui sait, sans craindre de devenir soumise ou dépendante car je me souviens de JE SUIS qui est TOUT en moi.

Depuis le premier étage de l’édifice dont j’ai la responsabilité, je peux avoir du plaisir avec des mots croisés ou une chansonnette à écouter, car ayant décidé que le sens de ma vie est JE SUIS, je ne me perdrai pas.

Installée au premier étage, je peux, oui, je peux me dire que ce robot serait quand même utile dans ma cuisine ou au jardin, que ce téléphone a des fonctionnalités géniales, car JE SUIS va vite me rappeler ses infinies possibilités. Je me souviendrai alors aussitôt que jamais je n’ai été comblée par un outil, aussi pratique ou brillant soit-il.

Sans doute que la banderole, l’affiche de la choucroute et le pylône vus côte à côte ce matin ont été source d’enseignement. Un instant, j’ai été tentée par le mépris à l’égard d’une société qui « en est là » et aussitôt JE SUIS a dit : « Nous, (Toi-JE et MOI-JE SUIS) en sommes là pour que JE aie la motivation de siéger au premier étage et ne soit plus piégé par les tentations du rez-de-chaussée. Le rez-de-chaussée est ce qu’il est, tu en comprends le sens et l’utilité, je te donne les moyens d’en être le maître et c’est cela, lorsque tu choisis d’être le maître, qui me fait rayonner dans l’humanité. » Je rends grâce !

6 commentaires sur Faire rayonner JE SUIS dans l’humanité

Comment Jésus enseigne le JE SUIS

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La guidance de tous les jours est permanente

La guidance que nous recevons est permanente et emprunte toutes sortes de formes. Depuis ce matin, je reçois des messages venant d’humains qui me donnent des informations sur ce qui est à mettre en commun au cours de cette assemblée.

Ces indications terriennes bien évidemment viennent confirmer ce que JE SUIS me dit et que ma rationalité pourrait bien contester.

La fête des chandelles c’est jeudi 2 février. Là, nous ne sommes que le 21 janvier et ma raison ne voit pas pourquoi anticiper ce que dit le calendrier. Certes, le 2 la guidance est prévue avec un invité, mais tout à coup, je ne me sens pas le droit de donner priorité à mon intuition. C’est sans compter avec l’amoureuse insistance de JE SUIS qui ne dévie pas d’un pouce et me pousse à parler aujourd’hui de Jésus.

https://www.youtube.com/watch?v=ckfje8O2PFY

La célébration des chandelles, la présentation de la Lumière du Monde au Temple

La Chandeleur est un jour qui célèbre les chandelles, la lumière solaire symbolisée en occident par les crêpes qui sautent, et qui commémore la présentation de Jésus au temple, l’offrande de l’enfant humain au plan spirituel.

Le récit des évangiles

Dans le récit que l’évangéliste Luc fait de cet événement coutumier dans la tradition juive de l’époque il est dit ceci :

« Présentation au Temple »
Émail byzantin du XIIème siècle sur plaque d’or,

Kunstgewerbemuseum de Berlin

« Quand fut arrivé le huitième jour, celui de la circoncision, l’enfant reçut le nom de Jésus, le nom que l’ange lui avait donné avant sa conception. Quand arriva le jour fixé par la loi de Moïse pour la purification, les parents de Jésus le portèrent à Jérusalem pour le présenter au Seigneur, selon ce qui est écrit dans la Loi : Tout premier-né de sexe masculin sera consacré au Seigneur. Ils venaient aussi présenter en offrande le sacrifice prescrit par la loi du Seigneur : un couple de tourterelles ou deux petites colombes. Or, il y avait à Jérusalem un homme appelé Syméon. C’était un homme juste et religieux, qui attendait la consolation d’Israël, et l’Esprit Saint était sur lui. L’Esprit lui avait révélé qu’il ne verrait pas la mort avant d’avoir vu le Messie du Seigneur. Poussé par l’Esprit, Syméon vint au Temple. Les parents y entraient avec l’enfant Jésus pour accomplir les rites de la Loi qui le concernaient. Syméon prit l’enfant dans ses bras, et il bénit Dieu en disant : « Maintenant, ô Maître, tu peux laisser ton serviteur s’en aller dans la paix, selon ta parole. Car mes yeux ont vu ton salut, que tu as préparé à la face de tous les peuples : lumière pour éclairer les nations païennes, et gloire d’Israël ton peuple. » Le père et la mère de l’enfant s’étonnaient de ce qu’on disait de lui. Syméon les bénit, puis il dit à Marie sa mère : « Vois, ton fils qui est là provoquera la chute et le relèvement de beaucoup en Israël. Il sera un signe de division. — Et toi-même, ton cœur sera transpercé par une épée. — Ainsi seront dévoilées les pensées secrètes d’un grand nombre. » Luc 2, 21 : 40

Un plan sur la comète ?

Au jour-même du rapprochement de la comète avec notre planète, au moment d’aborder le mois qui « fait vriller » si je ne reste pas droite dans mes bottes, je décide de dire oui à l’invitation reçue de Jésus à le célébrer aujourd’hui.

Ce soir la guidance sera offerte à Jésus, à cet humain venu sur la Terre pour que le Christ prenne chair, pour que nos personnalités apprennent à se libérer de la légende humaine.

Je remercie toutes les personnes qui ont posé des petits cailloux blancs sur mon chemin depuis ce matin et m’ont signifié la direction à emprunter. Je remercie aussi mon mental qui a résisté car dans son barrage retenant le flot de l’Esprit, il a permis que la force emmagasinée soit plus grande encore lorsque le maître que je suis a dit oui à l’offrande voulue par JE SUIS.

Les 7 JE SUIS de Jésus

Pour couronner cette présentation de Jésus au Temple, il se trouve que j’ai reçu ce même jour du 31 janvier, une compilation des 7 paroles de Jésus où il dit ce qu’il est en nommant « JE SUIS ». Ces paroles sacrées sont à entendre non pas comme une identification humaine qui maintiendrait Jésus dans son humanité, mais au contraire comme autant d’affirmations de la reconnaissance par Jésus de sa nature spirituelle, du Christ qu’il porte en lui.

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Reprendre la main sur le processus de gestation qui a permis notre incarnation

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Nous sommes notre propre créateur. Nous avons nous-mêmes, être spirituel que nous sommes, décidé de nous manifester au sein de l’humanité sur la Terre. Lorsque nous faisons une démarche de conscience incluant notre nature divine dans notre existence humaine, nous répétons souvent cette affirmation que nous avons choisi notre incarnation et ses conditions, notre famille, l’époque, le tempérament, les atouts et faiblesses de notre personnalité. Pour autant, il est rare que nous mesurions la portée de ce fait, tant notre immersion dans la légende humaine et ses croyances limitantes fait obstacle à la présence de notre puissance spirituelle. En ce début d’année 2023, j’ai été inspirée au cours de s9 jours qui précèdent ma date de naissance, à visiter chacun des 9 mois de la gestation avec la conscience du Melchisédech que JE SUIS et que chacun de nous est.
L’objectif de cette fouille archéologique de nos cellules est de reprendre la main sur notre existence, de redonner à notre corps l’information vraie de sa nature spirituelle et d’évacuer de nos cellules tout ce qui nous a identifié à un pauvre humain privé de moyens de mener une vie divine sur la terre.

Un processus individuel au service du collectif

L’article ci-dessous reprend jour par jour, les marches de notre gestation avec les textes de présentation des émissions diffusées sur YouTube, consacrées à la reprise en main par le maître que nous sommes de notre vie. Seul manque le 6ème mois, correspondant au dimanche où il n’y a pas de guidance et qui, concrètement était pour moi un jour de trajet automobile entre les Pyrénées et le Poitou. Je remercie Muriel Gouguenheim qui a procédé à la compilation des textes et des liens vers les émissions YouTube et surtout qui m’a donné l’inspiration de faire cet article. Cette même Muriel est aussi l’auteure de l’image ci-dessous qui illustre mes propos.

« Cœur de guérison » de l’assemblée,
conçu le 4 mai 2022 par Muriel Gouguenheim que je remercie.

Guidance du Mardi 10 janvier 2023 : jour 1 / mois 1

Aujourd’hui, je m’occupe de me faire naître et je lâche la bride qui me retenait

L’image d’accueil de cette émission est un « OUI », majestueusement en accord avec mon actualité et merveilleusement peint sur une écorce pat Catherine Tissier que je remercie du fond du cœur et que je félicite pour son talent inspiré.

Aujourd’hui, je n’écris rien pour présenter cette guidance, car à la place je me suis occupée de ma naissance. Une de plus dont je vais témoigner sans peur et sans pudeur, pour offrir mon processus de conscience à celles et ceux qui eux aussi ont envie d’être des parturient(e)s, des maïeuticiens, des sage-femmes qui ainsi deviendront de sages humains conscients de leur beauté, de leur richesse, de l’Esprit qu’ils sont en vérité. Je ne vais rien préparer pour parler, comme d’habitude. Sauf que là, ça se bouscule au portillon, les informations pêle-mêle engorgent ma gorge et je sens que le moment est solennel. Aurai-je cette audace, ce toupet, ce culot qui me fait être derrière un micro et dire encore des mots sur l’expérience personnelle en prétendant à sa portée universelle ? Vais-je désobéir à l’obligation de la fausse modestie bien catho qui dissimule les frustrations et les colères ?

Nous verrons ensemble comment cette improvisation va se présenter.    

Bien évidemment, le récit des effets du massage que j’ai reçu a suscité des envies de recevoir aussi ce même type de massage. Le site internet de Chrislaine dont j’apprécie le travail est là : https://chrislainehaye.fr/

https://www.youtube.com/watch?v=pZ_x723HA8c&t=14s

Guidance du Mercredi 11 janvier 2023 : jour 2 / mois 2

Au bon moment, au bon endroit, le rendez-vous avec SOI

Avec le lancement des inscriptions aux séjours que je propose dans le désert tunisien en mars avril (https://unite-jesuis.com/les-activites/evenements-specifiques/ ), j’ai l’impression de rencontrer les peurs d’un certain nombre de personnes.

À partir de cette situation concrète, qui me concerne directement, je me rends compte de la tendance que nous avons tous selon, les circonstances qui activent le phénomène en nous, à déclencher des peurs de manquer, des peurs de ne pas être au rendez-vous où nous désirons ardemment aller.

Lorsque la peur prend les rênes, nous perdons notre sérénité et commettons des erreurs, la précipitation nous égare et crée de la complication pour nous-mêmes comme pour notre environnement. Alors ce soir, je sens de m’interroger sur mes peurs de manquer des rendez-vous, sur les précipitations que je mets en place de peur de ne pas être là au bon endroit, au bon moment. À quel endroit de ma vie, j’accorde une importance tellement grande que je peux perdre mon calme et bourrer mon JE de mes émotions ?

Je me rends compte que l’expérience de l’Unité, grandiose et nourrissante, qui se fait de soi à SOI, peut parfois sembler insuffisante et que nous cherchons encore et encore d’autres sensations, d’autres émerveillements, d’autres voies plus royales pour être ce que NOUS SOMMES.

Hier, la guidance m’a amenée à préparer pendant les 9 jours qui allaient suivre ma naissance en conscience. Aujourd’hui, j’étais dans le monde, en ville plongée dans les magasins où le rendez-vous avec les bonnes affaires me faisait de l’œil. La bonne affaire, le rendez-vous à ne pas manquer, l’expérience qu’il me faut absolument faire, je vois là, toutes les tentations qui ont jalonné mon incarnation conditionnée socialement, familialement.

Je commence à voir un peu mieux qu’il s’agit une fois de plus d’une traduction erronée de l’invitation sacrée qui nous est faite. En écrivant ces quelques lignes, j’entrevois de quoi il s’agit. C’est le rendez-vous avec mon corps, c’est la rencontre de l’Esprit avec la matière qu’il a créée. La bonne affaire à ne pas manquer, c’est l’expérience de l’humanité, de la créature qui manifeste sa divinité. Pour le second mois de la gestation, après l’immaculée conception d’hier, aujourd’hui je célèbre donc l’incontournable rendez-vous que JE a à organiser entre le Créateur et sa Créature. Le rendez-vous à ne pas manquer, le « must » du pèlerin de l’unification, l’incontournable de cette incarnation commence à se montrer à ma conscience : le bon endroit, c’est dans le corps, et le bon moment, c’est tout le temps.

Je n’ai pas besoin de me précipiter, naître prématurée serait un danger, une inutile complication pour moi aujourd’hui qui suis maître d’œuvre de ma venue sur la Terre. À plusieurs personnes qui me sollicitaient pour que je prenne à leur place la responsabilité de les inscrire, j’ai proposé d’avoir confiance en elle. Je percevais combien leur précipitation les plongeait dans la confusion et leur faisait perdre le chemin qu’elles voulaient tellement emprunter.

Ce soir, c’est évidemment moi que j’invite à la confiance. Alors, je me rappelle comment JE SUIS s’est fait inlassablement entendre de JE pour satisfaire les besoins psychiques et physiques inhérents à ma condition humaine, et je vois que la confiance s’est construite progressivement, pas après pas, au fur et à mesure que je m’affranchissais des croyances propres à la légende humaine, au fur et à mesure que je constatais et constate encore l’abondance.

https://www.youtube.com/watch?v=cNKVLXpNHSE&t=15s

Guidance du Jeudi 12 janvier 2023 : jour 3 / mois 3

Au 3ème mois de gestation la grande question est : j’y vas t’y, j’y vas t’y pas ?

L’image qui illustre cette émission n’a pas de titre. Il s’agit d’une œuvre d’Édite qui me l’a adressée au moment où j’allais commencer l’écriture de ces quelques lignes. Je la remercie chaleureusement car ce vase couleur « eau » est absolument en résonance avec ce que je contacte en mois dans le processus de mise en conscience de ma gestation, il y a 66 ans.

L’eau a beaucoup de place dans la base de mon corps, dans le bassin et j’ai pu ce matin, aller à la rencontre de la part de moi, imbibée par la légende humaine qui hésite à se lancer dans l’incarnation. Il aura fallu tout l’Amour et toute la puissance de JE SUIS pour ne pas faire demi-tour et choisir avec LUI de revenir sur la Terre.

Je ne vais rien dire ce plus avant la formation de l’assemblée car je sens que mon processus personnel est lié au chemin collectif et c’est ensemble que je désire découvrir ce qui va être mis en lumière.

https://www.youtube.com/watch?v=OMKGd8o672k&t=3147s

Guidance du Vendredi 13 janvier 2023 : jour 4 / mois 4

Prélude à l’assemblée de guérison du 14 janvier 2023 à Cierp-Gaud

A la veille d’une grande assemblée de guérison, un petit groupe est réuni pour une soirée intime où musique, poésie et guidance sont réunies. Avec l’aide de Sébastien qui éclaire et sonorise ce moment, j’ai enregistré la séquence consacrée à la spiritualité.

L’image qui accompagne cette séquence est une œuvre d’Annie Kowaleski, intitulée Luminescence. Merci Annie et félicitations pour ton talent.

Guidance du Samedi 14 janvier 2023 : jour 5 / mois 5

1ère partie de l’Assemblée de guérison de Cierp-Gaud, en Haute Garonne

Je remercie Sébastien Etcheberry qui assure la sonorisation, l’éclairage et la transmission sur YouTube de cette réunion.

Une assemblée de guérison est une réunion de personnes désireuses de mettre l’Esprit qui les constitue au premier plan de leur existence afin que celui-ci rétablisse la Vérité de leur identité, remette l’ordre divin dans leur vie.

Je propose aux personnes qui sont venues et à celles qui nous rejoignent via YouTube d’installer en elles l’état d’Unité JE-JE SUIS, afin de faire naître l’espèce divinhumaine qui doit remplacer l’homme animal pensant sur la Terre. Je me mets à la disposition de l’assemblée pour recevoir la guidance verbale de nos JE SUIS réunis et ainsi de faire vivre le Christ conscience solaire dans le noyau de nos cellules. La guérison de l’amnésie inhérente à notre légende humaine devient alors à notre portée. Les paroles de Jésus « ce que j’ai fait, vous le ferez aussi, et bien plus encore » prennent tout leur sens, toute leur envergure.

La matinée se conclut par un darshan, étreinte avec les personnes désireuses de sentir physiquement l’Amour de leur JE SUIS.

La seconde partie de l’assemblée de guérison a également été diffusée sur YouTube : https://www.youtube.com/watch?v=AFEb6r-Hgjg

Dimanche 15 janvier 2023 : Jour 6 / mois 6

Temps de pause dans l’exploration

C’est dimanche, je ne fais pas de guidance en direct. Je voyage entre Pyrénées et Poitou. Presque 600 kilomètres en voiture, dans ma matrice personnelle pour aller plus loin dans l’élaboration du corps et de la personnalité humaine qui vont me permettre de voyager sur la terre.

Guidance du Lundi 16 janvier 2023 : jour 7 / mois 7

Faire une infaillible alliance avec JE SUIS, car rien n’existe que la substance divine !

L’image qui soutient cette émission est un Mandala de Brigitte Baron qui propose des animations d’atelier mandala à domicile et des créations de mandala sur commande. Pour joindre Brigitte :  06 63 78 19 58 b.fleurdevie@live.fr

Dans le processus de mise en conscience de notre processus de gestation ayant conduit à notre naissance, ce lundi 16 janvier permet de contacter le 7ème mois de la grossesse. Toute la journée d’aujourd’hui, j’ai été empoisonnée par le stress, la sensation de débordement par les tâches à accomplir, avec un soupçon de plainte en fond sonore. Je me suis reliée à ma mère et au vu que cet état de doute sur la capacité à réaliser le projet en cours, à accomplir le travail à faire, lui appartenait. Grâce à elle, je suis arrivée dans l’incarnation en étant imprégnée de cette croyance. À l’aube de mes 66 années d’existence je prends conscience que c’est là un des merveilleux axes de transformation que JE SUIS a confié à sa créature dans l’expérience terrestre actuelle dont j’ai la conduite. Je perçois aussi cette journée de mise en lumière du 7ème mois de gestation est une magnifique opportunité de déprogrammation de ce paramètre humain hérité cellulairement de l’hébergeuse de l’embryon que JE SUIS a conçu pour se manifester.

Toute la journée, j’ai constaté aussi que finalement, je n’avais pas tellement envie de me défaire du stress, du doute sur ma capacité à faire face à la tâche. Et oui, ressentir ce malaise me donnait trois grands bénéfices :

  1. Celui de me sentir exister : grâce à la tension qui règne en moi, j’ai clairement la sensation de vivre, qu’une énergie circule dans mon corps, que ma personnalité a une grande valeur puisqu’elle est sans cesse au premier plan de ma conscience en répétant inlassablement « je ne vais jamais y arriver ».
  2. Celui de me sentir victime, certes de moi-même qui ai seule mis en place la situation que je vis, mais victime comme Monsieur et Madame Tout Le Monde qui existe au travers de la plainte.
  3. Celui plus sournois, plus caché de la fidélité à ma mère, de la loyauté à ce qu’elle m’a transmis. Je vois là une forme d’attachement, de maintien de la filiation humaine.

Que faire avec ces prises de conscience ? Les constater, surtout ne pas les juger, les accueillir totalement. Voir la réalité du psychisme en formation, qui prépare la structure de la personnalité et voir comment le corps est le tissu de l’imprégnation humaine qui permet à l’Être spirituel de venir faire son expérience terrestre, voir comment chaque cellule est informée de la névrose choisie pour progresser mais aussi voir que la présence divine est encore là, toujours là dans le noyau. Le vrai, le beau, le bon, le divin, le Melchisédech sont là, lumière d’or à regarder un jour, ce jour puisque le temps est venu de le faire.

En accueillant totalement les prises de conscience sans me critiquer, j’accueille le corps de l’embryon créé par JE SUIS, qui se prépare à sortir et je vois clairement en lui les deux aspects du futur être : l’aspect divin qui contient l’identité vraie que JE SUIS, et l’aspect humain qui est chargé de la culture maternelle, familiale, historique de l’humanité.

Par ce constat, je mesure tout à coup ma responsabilité d’aujourd’hui, celle qui consiste à reprendre la conduite de l’incarnation.
Me remplir de JE SUIS, ouvrir ma conscience à mon Moi Divin.
Me souvenir du plan individuel et collectif.
Me rappeler l’intelligence parfaite qui a tout organisé pour que l’espèce humaine manage elle-même sa transition vers l’unification.
Me saisir de moi-même, de mon corps à libérer de l’héritage auquel je suis restée attachée en croyant pourtant le contraire.
M’emparer de moi encore, de l’être psychique qui reproduit sans cesse les habitudes de l’humanité qui se croit coupée de sa Source.
Me redresser, installer ma verticalité, décider de ma souveraineté et préparer ainsi la naissance en pleine conscience.

C’est aujourd’hui au 7ème mois du processus que pour moi, en cette fin de journée, lorsque j’écris ces lignes, se présente le moment de faire une infaillible alliance avec JE SUIS. Reconnaître que JE a tout choisi et rien subi car JE et JE SUIS sont UNS. Cette reconnaissance de la consubstantialité de JE et de JE SUIS est le rétablissement de la véritable identité, le retour de la vérité, le règne de l’Esprit dans la matière, le constat que la matière est Esprit, car rien n’existe que la substance divine !

https://www.youtube.com/watch?v=T1EcRlMRPL8&t=55s

Guidance du Mardi 17 janvier 2023 : jour 8 / mois 8

Comment la science physique vient éclairer le 8ème mois de la gestation ?

L’image qui illustre cette émission est une photographie du ciel d’Ostende en Belgique, faite ce matin et transmise par Martine Hanquet, une fidèle contributrice de l’assemblée. Martine accompagne l’envoie de cette image lumineuse par ces mots : « Je sais que tu ne revisites que le 8e mois de grossesse aujourd’hui, cependant avec tous les soins qu’il reçoit, j’ai l’impression que le bébé promet d’être lumineux et rayonnant de compassion ! » Immense merci à Martine.

En effet aujourd’hui, nous sommes invités à mettre de la conscience sur notre 8ème mois de gestation. Sans savoir pourquoi, pour moi cette journée est marquée par l’enregistrement de plusieurs émissions sur la science physique en compagnie de Julien, l’expert en la matière qui nous partage ses connaissances tous les 15 jours sur cette antenne YouTube (https://www.youtube.com/playlist?list=PLGM4_0g9pp6vCRRam40gjhff-vabfzjuc).

Ce matin il était question de la physique classique et cet après-midi, nous avons traité de la relativité restreinte. Je ne peux qu’extrapoler et voir comment je suis invitée à voir avec ma conscience d’aujourd’hui que je peux libérer le bébé en gestation, des lois de la physique classique qui furent la norme durant plusieurs siècles, en l’informant de la relativité des choses. La loi de la gravité, le temps absolu de Newton ont dû être augmentés des découvertes effectuées par d’autres savants. Il y a donc une issue à la rigidité de la matière et une possibilité d’ajouter aux références fixes, des données relatives.

Certes, je ne comprends pas les équations qui démontrent les explications données par Julien, mais je sens que les deux exposés que j’ai enregistrés aujourd’hui me donnent la possibilité de libérer le bébé de l’enfermement dans la matière dense et figée en l’informant qu’en réalité, il s’incarne dans un monde où la relativité a sa place, où il pourra un jour devenir sa propre référence.

https://www.youtube.com/watch?v=gkUsAsS-DQ0&t=3s

Guidance du Mercredi 18 janvier 2023 : jour 9 / mois 9

Au 9ème mois de gestation, la conscience d’aujourd’hui est prête à accueillir l’enfant à naître

L’image d’illustration de cette émission s’intitule « Entre ciel et terre », et est un collage de Nathalie Escolier que l’on retrouve sur son site : http://nathalie-escolier.com/

Nous voilà arrivés au 9ème mois de notre gestation à observer depuis la conscience que nous avons aujourd’hui de nous-mêmes. Ultime opportunité à notre portée pour donner au fœtus l’information de sa véritable identité, le remettre dans la paternité/maternité spirituelle qui est à l’origine de sa présence dans un utérus prêt à être quitté pour entamer une expérience humaine. Pour moi, au cours de cette journée, il a été question de mécanique quantique grâce aux émissions réalisées avec Julien Ramonet, l’expert que je reçois sur cette antenne pour qu’ensemble nous apprenions les lois de la matière.
(https://www.youtube.com/playlist?list=PLGM4_0g9pp6vCRRam40gjhff-vabfzjuc).

Aujourd’hui, toute la journée, j’ai entendu parler de superposition d’états, d’intrication et même en fin de journée de téléportation. Je ne souhaite pas extrapoler les information du domaine de la science physique vers ma représentation spirituelle de l’être humain et du monde dans lequel nous sommes. Je n’ai pas besoin d’appuyer ma perception de l’onde divine circulant dans mes cellules sur une théorie scientifique, aussi puissante et séduisante soit-elle. Je vois seulement que ce que j’ai entendu aujourd’hui des recherches menées par de célèbres physiciens émérites, a permis que je réinforme le bébé prêt à naître qu’il est à la fois un corps de chair et un Esprit, qu’il est à la fois pure information divine et entièrement humain.

Avec la responsabilité qui est la mienne aujourd’hui, je me sens la bonne fée qui va accueillir l’enfant à venir pour l’informer que sa forme terrestre est bien le support parfait de l’information divine qu’il est. La bonne fée va elle-même réchauffer l’enfant transi du froid de janvier, va aussi chantonner d’une douce voix une berceuse de nature à rassurer l’angoisse du bébé qui croit avoir perdu la musique des sphères. La fée marraine va surtout procéder à l’onction sur le front pour que la mémoire de la substance divine d’origine soit présente dans le lieu de la pensée qui plus tard se développera tant qu’elle supplantera la puissance de l’Esprit. Ce que JE SUIS est là aujourd’hui pour dire à l’humaine qui va naître qu’elle va momentanément oublier le projet de sa présence dans une forme dotée de 5 sens qui vont brouiller la piste de de la voie de l’Unité pour laquelle pourtant elle a choisi de s’incarner. Au terme de la gestation, JE donne au corps qui s’est développé selon les paramètres du règne animal, l’information de la présence divine dans chaque cellule. JE dis à ce bébé qu’il y a en lui une instance qui est sa conscience qui grandira, se renforcera et l’affranchira de toutes les dépendances au point que l’évidence de l’infinie abondance un jour lui apparaîtra. Ce jour est là, la perception de qui JE SUIS a pris la première place dans cette conscience qui a mûri, grandi, choisi parmi toutes les options qui se sont présentées. L’enfant peut naître et pousser son premier cri, remplir ses poumons du souffle de vie. Quelle que soit la mine des humains qui seront là demain, il a la garantie de son origine respectée, de sa divinité maintenue, de son but reconnu.

Guidance du Jeudi 19 janvier 2023 : Jour de naissance

Avec Marie-Josée Robichaud, nous fêtons joyeusement ce 19 janvier, jour de notre naissance

Marie-Josée Robichaud et moi avons eu envie de venir sur la terre le même jour à quelques années d’écart et des milliers de kilomètres de distance, elle au Canada et moi en France. Toutes deux avons donc choisi le cœur de l’hiver pour pointer le bout de notre nez hors du ventre de notre mère. Nous ne pouvions pas manquer de nous retrouver joyeusement en invitant les assemblées qui se constituent lorsque nous invitons les volontaires à nous rejoindre. Cette émission va donc combiner les inspirations musicales de Marie-Josée et les inspirations verbales que je recevrai.

A vous tous et toutes qui avez fait le choix de vivre avec moi ce processus de reprise en main de votre incarnation, j’offre mon immense gratitude.

Votre contribution : on Reprendre la main sur le processus de gestation qui a permis notre incarnation

Se sortir de la stratégie de la victime

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Le début de l’année 2023 est une opportunité inédite offerte à l’humanité pour accroître sa souveraineté, c’est à dire sa capacité à l’autonomie et à régner sur sa vie.

« Vision », un collage de Nathalie Escolier, que je remercie chaleureusement.

Une des clés du premier mois de cette nouvelle année consiste à choisir l’étage que nous désirons habiter dans notre édifice personnel. Le sous-sol est occupé par notre vision matérialiste de l’existence, le rez-de-chaussée est habité par notre pensée accordée à la vision dualiste, largement dominante dans nos sociétés, et le sommet du château est le lieu de notre conscience remplie de notre divine présence. Toute situation que nous vivons est réelle dans ces 3 étages. C’est le choix que nous faisons de la vivre au sous-sol, au rez-de-chaussée ou au premier étage qui va générer la nature de notre expérience et l’enseignement que nous en tirons.

Au moment de l’invitation que JE SUIS nous fait de monter avec LUI au premier étage, Un des écueils les plus ancrés en nous est l’identification à l’enfant forcément blessé que nous avons été au moment de la coupure du cordon ombilical et qui nous a laissé une cicatrice qui ne se referme pas.
Nous avons commencé notre existence par l’expérience de la dépendance qui allait nous pousser à conquérir notre autonomie, comme un peuple colonisé cherche à retrouver son droit à disposer de lui-même, à édicter ses lois, à gérer ses ressources, à se tenir droit.

L’enfant blessé auquel nous nous identifions a tendance à se sentir victime de toute personne qu’il sent ou croit plus forte que lui. De cette sensation de victime naissent des stratégies qui vont attirer des persécuteurs et des sauveteurs. C’est ainsi que se met en scène un triangle dramatique, appelé aussi triangle de Karpman, où le jeu non conscient consiste à tourner alternativement sur les 3 sommets. L’émission citée en référence évoque le phénomène, l’explique et apporte des suggestions pour cesser de faire la girouette sur les 3 pointes du triangle.

L’émission qui explique tout le processus est là. Elle a eu lieu en direct le jeudi 26 janvier 2023.

https://youtu.be/YM2xl-inqBI
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La règle du JE de 2023

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En ce début d’année 2023, je sens que je suis de plus en plus poussée à transmettre l’invitation de nos JE SUIS à les représenter dignement sur la Terre au sein de l’humanité. Pour être représenté dignement, JE SUIS a besoin que son ambassadeur se souvienne qu’il a un mandat du « Pays de l’Esprit » pour le représenter sur la terre, le pays de l’humanité.

Un dessin reçu par Marie-Odile et réalisé par Élodie Lagouy

Tandis que durant des siècles et des siècles, les ambassadeurs du pays de JE SUIS ont utilisé leur énergie à s’acculturer à l’humanité, allant jusqu’à oublier leur mission, voilà que CE qui nous a nommé à notre poste, qui nous a doté d’une ambassade (notre corps), d’un personnel compétent (notre personnalité), nous rappelle que nous sommes là pour LUI, pour qu’IL soit présent, qu’IL brille de tous ses feux.

https://www.youtube.com/watch?v=M5Mb4yPEhBo&t=1s
🌞 Guidance témoignage : Connaître la règle du JE et l’appliquer dans le jeu de la vie
Émission du mardi 3 janvier 2023

C’est donc le moment plus que jamais de réveiller l’ambassadeur du pays Divin que nous sommes afin qu’il sache prendre les décisions qui respectent et honorent sa Nation d’origine, afin qu’il représente activement l’Amour qui l’a nommé ici au cœur de l’humanité.

Après avoir été inspirée le 2 janvier 2023 à consacrer une émission de mon antenne YouTube à ce sujet essentiel dans l’évolution que nous menons pour nous-mêmes et pour l’ensemble de l’espèce humaine, je suis poussée à revenir aujourd’hui sur le sujet en expliquant davantage le phénomène qui se joue. Dans un désir de pédagogie, je m’appuie sur des schémas qui donnent une représentation visuelle du processus qui se joue.

L’émission du 2 janvier est à retrouver ici

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La tentation du doute et de la peur

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Cet article est lié à l’émission diffusée en direct sur YouTube le jeudi 3 novembre 2022.

Allez, c’est parti, je me lance dans le témoignage de mes états d’âme de ce début novembre, plongé dans l’ambiance cimetière, coloré par l’énergie du scorpion. Comme beaucoup d’entre nous, je suis descendue à la cave chercher un peu des réserves accumulées. Il arrive que le vin se bonifie en cet endroit et il arrive qu’il tourne vinaigre. C’est selon…

En l’occurrence c’est un élément un peu âcre de mes stocks que j’ai remonté à mon rez-de-chaussée de la dualité, tout en me souvenant que j’avais à ma disposition un magnifique étage supérieur avec vue panoramique sur le monde, celui de l’Unité. Ouf, la conscience de l’homme-Esprit unifié en moi aide considérablement à examiner en toute sécurité ce que j’ai le courage de remonter de mes stocks de peurs et de doute.

Photographie d’une sculpture réalisée par Édite qui souhaite rester discrète et que je remercie chaleureusement

Il y a quelques jours en effet, j’ai vécu un grand doute sur l’exactitude de quelques éléments des informations que je transmets. Le conditionnement humain qui lutte encore avec l’inspiration de mon Moi Divin est allé chercher un argument massue pour tenter de m’assommer, et pourquoi pas de me décourager, celui de ma position minoritaire dans le monde des « coachs spirituels » qui diffusent sur YouTube leurs trésors, comme je le fais moi-même.

Les majoritaires et la minoritaire

Majoritaires sont les personnes qui invitent au pardon, une pratique tellement aimée des personnes qui enseignent l’Unité que j’en suis venue à douter de ma captation de l’information que le pardon signifie maintien de la faute et par conséquent jugement, et par conséquent encore vision dualiste des situations. Et si ces fervents du pardon avaient raison et que ma position n’était au fond que le résultat d’un orgueil non conscient ou d’une survivance d’un rejet de la confession imposée dans l’enfance. La question était posée et le doute y afférent a commencé à grignoter la confiance que je construis pas après pas sur le chemin de l’innocence à trouver dans cette incarnation.

Majoritaires sont aussi ceux qui invitent à la fameuse voie du milieu, à cette sagesse qui éviterait soi-disant l’écueil du balancier qui fait aller d’un pôle à l’autre, et bien entendu d’un excès à l’autre. Le problème pour moi c’est que la proposition d’une voie du milieu me fait aussitôt me sentir coincée entre deux forces qui parfois convergent ou parfois divergent. Ma voie à moi, celle à laquelle j’aspire, est celle qui est au-dessus de la dualité, dégagée des forces divergentes et/ou convergentes. Mais tout à coup, j’ai été tentée de croire à on incapacité à vivre la sobriété du sage qui sait sereinement arrêter le mouvement qui conduit à l’extrême. La question là aussi était posée et le doute là aussi a commencé à grignoter la confiance que je construis pas après pas sur le chemin de l’abondance véritable à reconnaître en toutes circonstance sans compulsion ni restriction.

Majoritaires sont encore ceux qui donnent la mort du corps en tant qu’étape incontournable de l’existence humaine, faisant miroiter je ne sais quelle opération magique menant de la maléfique « 3d » à l’angélique « 5d ». Moi aussi j’ai longtemps cru cela, ne voyant pas la responsabilité que j’avais d’alchimiser ma personnalité pour maîtriser la densité de mon corps. Mais tout à coup la voix du séparateur a murmuré que sans doute je déniai la mort parce que j’en avais peur. Même si je me suis souvenue tout à coup que l’option de l’éternité dans l’humanité me demandait un immense courage et une foi absolue, la question là aussi était posée et le doute là aussi a commencé à grignoter la confiance que je construis pas après pas sur le chemin de la conscience de ma divinité manifestée, de ma responsabilité à autoriser la transfiguration ici, au sein de cette humanité.

Écorce peinte par Catherine Tissier dont je salue le talent et que je remercie chaleureusement

Il y a eu ainsi plein d’autres majorités qui sont venues à ma conscience fragiliser ma position minoritaire dans la sphère des spirituels engagés. J’aurais pu me laisser aller à une nouvelle descente à la cave où j’aurais trouvé encore quelques stocks de peurs, de doutes, de dévalorisation, d’espoirs anesthésiants, de morale faussement sécurisante mais m’indiquant le « camp du bien » si souvent présenté aujourd’hui. La bien-pensance utilisée avec brio par les institutions de la société ces deux dernières années peut, dans la sphère de la spiritualité d’aujourd’hui, se déguiser en invitation à une souveraineté qui cache en réalité une prolongation de l’obéissance aux règles de la dualité. Les canalisations sont authentiques mais passent toutes, chez moi comme chez les autres, par le prisme de la représentation du monde et de l’humanité du transmetteur.

Le retour à la responsabilité du choix effectué

En restant au rez-de-chaussée, j’ai largement eu le temps de visiter encore d’autres dossiers car JE SUIS est généreux et profite de ma disposition aux fouilles archéologiques, pour me montrer ce que j’ai à sortir du sable où de vieux vases étrusques personnels ont été conservés. À un moment, j’ai clairement vu le jeu pernicieux du séparateur venant titiller le 5ème élément de la personnalité, celui qui donne envie d’appartenir à des groupes, à ne jamais être isolé, à surtout ne pas vivre l’expérience de Jonathan le Goéland qui fut banni de son camp. À un moment, j’ai clairement senti l’appel à monter à l’étage de l’Unité et à sentir ce qui se passait alors en moi en voyant depuis le sommet de moi-même les situations évoquées. Et je suis montée, et j’ai senti. J’ai senti que même si je devais être seule sur ce chemin, sans même un seul ami, sans collègue avec qui échanger, je maintiendrais mon choix. J’ai senti que je n’avais pas besoin d’avoir raison en décrétant que les autres auraient tort, j’avais besoin de sentir dans mes entrailles la flamme de vie, la puissance du feu sacré qui anime ce que je suis dans cette humanité. J’avais besoin d’être moi-même ma référence et d’avoir le courage de porter avec ma totale responsabilité le courant que JE SUIS vient manifester au sein de l’humanité.

Alors que ceux qui aiment le pardon continuent de pardonner, que ceux qui aiment la mort continuent de s’y préparer, que ceux qui aiment la voie du milieu continuent de marcher en équilibre, que ceux qui se mettent dans le camp des purs et promettent le feu de l’enfer aux impurs qu’ils ont reconnus, continuent de procéder à leur tri ! J’ai finalement assez à faire à écouter mon ressenti et l’inspiration de mon JE SUIS. C’est une occupation à plein temps, je la choisis, je la chéris.

L’émission du jeudi 3 novembre 2022
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Le portail du 10/10/22 invite à la voie de l’Unité qui reconnaît le Divin en chacun

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Cet article a été rédigé pour présenter l’émission du 10 octobre 2022, donnée en direct sur mon antenne YouTube :

https://youtu.be/7o613-BoU8Q

Si on se souvient que nous sommes aujourd’hui le 10 octobre 2022, il n’échappe à personne que ce jour est numéroté 10/10 suivi du millésime en cours de 2022.

Que vient nous dire cette date remarquable par son identification numérique ?

Le 10 est un nouveau départ après l’accomplissement d’un cycle. Ce mois d’octobre n’échappe pas à la règle. Il nous invite à être dans la conscience que nous avons accompli le premier cycle de 2022 et que les 3 mois qui vont finir l’année en cours vont être consacrés à l’épanouissement de ce qui a été préparé depuis janvier. En septembre, riches des prises de conscience apportées par les expériences de l’année 2022, nous avons pu prendre quelques orientations dans notre vie, prendre des décisions inspirées par une nouvelle connaissance de nous-même, par la reconnaissance de l’être Divin que nous savons vivre dans notre corps.

Les 9 premiers jours d’octobre, conclus par une pleine lune, ont permis une révision de nos apprentissages, une confirmation de notre vision de nous-mêmes et du monde.

Le rocher de Tombelaine, dans la baie du Mont Saint Michel, une magnifique photo de Michèle Joly

Et concrètement, au quotidien ?

Personnellement, j’ai confirmé une nouvelle fois mon choix de l’Unité Esprit/Terre tant dans ma manière de vivre au quotidien que dans ma compréhension de la vie humaine. Je me souviens que JE SUIS est Esprit, Principe Créateur, Source infinie de toutes les formes de vie, je me souviens que l’information divine que JE SUIS est présente et active dans tout le monde manifesté et que ma mission est de reconnaître la Divine présence dans tout ce que je regarde, observe, connais. Au cours des premiers jours d’octobre, j’ai été amenée à entendre des guides guérisseurs de l’humanité qui, comme je le fais moi-même, sont au service de la conscience pour son élévation, au service d’un monde où l’Amour est présent. Un certain nombre de ces guides font état du fait que certains humains seraient dépourvus de nature divine et ne seraient que des amas de cellules se nourrissant de l’énergie de leurs semblable en activant leur bagage émotionnel. Il est évidemment établi que nous qui écoutons, comme eux qui enseignent, nous sommes « du bon côté », c’est-à-dire dans le camp des personnes pourvues d’Esprit et capables d’accéder à la fameuse 5D, présentée comme devant remplacer la 3D.

En ce 10/10/2022, probablement portail permettant d’aborder une étape nouvelle de l’action que nous menons pour l’évolution de la conscience collective de l’humanité et donc pour l’entité spirituelle Humanité, je souhaite me démarquer formellement de cette vision du monde. Ma vision unitaire de La Source et de sa manifestation polarisée sur la Terre m’amène à voir le Divin partout dans les règnes qui spécifient notre planète et dans toutes les créatures sans exception. Jésus me serine à la conscience que tout est bien plus simple que ce que les intellectuels humains ont imaginé pour compenser l’oubli de leur Vérité. C’est un des premiers vecteurs de simplification : voir que tout, absolument tout, est Esprit manifesté, densifié et voir que les ambassadeurs du Divin que nous sommes avons mandat à débusquer la présence de l’Esprit dans la matière, dans le corps de nos frères et sœurs. Ainsi la recherche des êtres qui seraient dépourvus d’Esprit n’est plus à mener, il est plutôt utile de se consacrer à l’apprentissage de la reconnaissance du divin en chacun même quand ce divin se cache bien derrière une personnalité totalement identifiée à un être de matière sans noblesse spirituelle. Grâce à ce que nous enseigne la physique quantique, nous savons que l’observateur a une influence certaine sur ce qu’il observe. Par conséquent, je suis absolument certaine qu’en reconnaissant le divin dans ce que j’observe, je facilite la mise en évidence du divin chez celui que je rencontre et reconnais dans l’Esprit qui le constitue.

À l’inverse, lorsqu’un guide guérisseur de l’humanité regarde un humain en étant persuadé qu’il est dépourvu de Divin, il contribue à l’inhibition de l’Esprit Saint chez la personne observée, ce qui va bien-sûr contribuer à lui confirmer sa certitude du départ.

Ma responsabilité dans l’évolution de la conscience

Toujours Tombelaine, toujours de Michèle Joly

Pour moi, les trois derniers mois de l’année 2022 vont être consacrés à informer de l’Unité, à inviter à l’Unité, à susciter la reconnaissance du Divin en chacun, à stimuler l’élévation de la conscience qui extrait de la dualité mortifère dans laquelle nous avons été enfermés depuis des siècles. La voie de l’Unité est exigeante car elle impose de sortir de tout jugement, de toute distinction entre les bons et les méchants. La voie de l’Unité nous met sur un pied d’égalité avec tous les humains qui sont, comme nous, Divins. La voie de l’Unité ne donne donc aucune garantie que nous serions du bon côté, dans le camp de ceux qui pardonnent. La voie de l’Unité nous convie à acter de notre éternité dans ce corps, excluant alors tout recours à la mort qui séparerait, par une justice divine immanente, le bon grain de l’ivraie.

Nous voilà pour ces 3 derniers mois de 2022 invités à prendre position clairement si nous souhaitons agir au sein de la première vague, ces 2 à 3% de la population se souvenant être là sur la Terre pour témoigner de la Vérité Divine dans la création. En ce 10 du mois 10, le portail est ouvert et laisse entrer tous ceux d’entre nous qui désirent servir à l’avènement de l’espèce Divinhumaine en reconnaissant le divin dans toute la création et toutes les créatures.

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En route vers la sainte Baume et la communion avec Marie-Madeleine

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Aujourd’hui lundi 12 septembre 2022, je suis en préparation de mon voyage vers la Sainte Baume où j’ai prévu d’arriver demain pour l’installation, avec Anne, l’organisatrice du séminaire « Regard de Vérité » que j’anime là-bas, tout près de la grotte où Marie-Madeleine est censée avoir vécu après que son époux Yeshua a ascensionné. J’ai aussi un rendez-vous avec Myriam que je ne connais pas encore et que je me réjouis de rencontrer pour qu’elle me parle de sa pratique de l’alchimie menant au corps conscient Une émission sera enregistrée et diffusée en différé Je prie juste les soutiens spirituels qui m’accompagnent de faciliter les aspects techniques de cette entrevue et tant qu’à faire je me souhaite aussi une belle route entre le Poitou et la Provence.

Lever du soleil en Corse, une photographie de Geneviève Serre que je remercie

Cet article est écrit pour présenter la guidance du jour. Au fur et à mesure que je tape les mots sur le clavier, je découvre ce qui m’habite profondément. Je vois que mon être spirituel est de plus en plus aux commendes de ma conscience pour que je voie clair, que je me rappelle qui je suis, que je n’oublie plus jamais que mon corps est Esprit Saint.

https://youtu.be/WSvZ0N7keBI
Émission proposée en direct le 12 septembre 2022

La mythe de Sisyphe et la parabole de l’enfant prodigue

Je sens que ces derniers jours de l’été 2022 sont intenses dans les changements de conscience que je vis. Mon chemin de décrassage de la culpabilité se fait en marchant plutôt joyeusement vers l’unification de ma nature spirituelle et de ma condition corporelle inhérente à ma participation à l’humanité. À force de débusquer ma certitude d’avoir fauté, manifestée dans mes comportements les plus anodins comme les plus impliquants, l’innocence totale, jusque-là inconnue, peut désormais s’envisager. La faute, la très grande faute des humains depuis que la légende d’Ève sévit dans notre conscience collective est d’être dotés d’un corps qui se laisse séduire par la matière, tout comme il séduit autrui pour l’emmener vers les plaisirs de la chair.

Combien de milliers d’années avons-nous passé à expérimenter la jouissance de tous nos sens, à jouer l’enfant prodigue qui doit aller jusqu’au bout de l’expérience pour se rendre compte de sa vanité ? Tel Sisyphe avec son rocher, nous hissons notre corps au sommet de nos plaisirs où nous perdons notre attention et redégringolons dans nos basses fréquences, expérimentant le manque et les dépendances souffrantes. Nos stratégies pour posséder, dominer, accuser n’y suffisent plus, nous avons faim d’Esprit, nos sentiments nous apparaissent un piètre substitut de l’Amour que nous n’avons finalement pas oublié puisqu’il nous constitue.

Une statue de Marie-Madeleine à la Basilique de Vézelay.
Photo de Francine Boulfray que je remercie

Aujourd’hui c’est l’heure du constat et de la décision à prendre : continuer à chercher dans l’horizontalité des ressources terrestres extérieures à nous-mêmes ou se tourner vers la vérité intérieure de JE SUIS. En faisant le choix de l’intériorité et donc de la reconnaissance de notre Divinité, nous voyons toute la création pur Esprit, pure Lumière, pur Amour, même notre corps. Ce corps diabolisé, sali par la morale, souillé par notre culpabilité, est lui-même Esprit Saint, comme Jésus était le Christ. Il n’est pas nécessaire de repasser une fois de plus par la dispersion de nos atomes pour aller rechercher la force de cohésion dans l’astral, le causal ou l’Esprit. Il suffit que nous décidions d’inscrire la Vérité de notre nature spirituelle dans notre champ de conscience, comme l’enfant prodigue a décidé de se souvenir de l’Amour inconditionnel de sa Source. Il n’y a alors plus de père et d’enfant séparés, il y a l’Esprit qui a engendré une créature pour qu’un jour elle fasse délibérément le choix de l’Amour. Il n’y a rien d’autre que l’Esprit et il est multiforme, du diamant, un des minéraux les plus durs, à l’informel pure information sans substance. Dieu EST, l’Esprit EST. Notre conscience est l’observatrice qui modifie l’objet observé, notre conscience est colorée par notre degré d’innocence et de culpabilité, notre conscience est influencée par notre niveau de foi et de croyance. Notre conscience détermine notre corps et dès lors que nous laissons JE SUIS la remplir, notre chair, c’est clair est totale lumière.

Demain, je vais m’immerger dans l’expérience racontée de l’existence de Marie-Madeleine. On dit que 7 fois par jour, des anges venaient la chercher pour la hisser au sommet de la montagne proche de la grotte où elle vivait. Comprenons aujourd’hui que 7 fois par jour, Marie-Madeleine décidait que son corps devait s’affranchir des lois de la matière. Son corps alors sortait de la légende humaine de la séparation et retrouvait le droit d’être LUI, pur Esprit, libéré de l’habitude de se densifier, de se limiter. Marie-Madeleine se souvenait du Melchisédech qu’elle était, de sa complétude divine. Là, il n’est plus question de féminin et de masculin, il n’y a plus de polarité, il y a la vérité de l’Esprit.

Merci Myriam de Magdala, ma sœur en Esprit, ma sœur en humanité, d’avoir vécu cette expérience pour qu’aujourd’hui je puisse en avoir connaissance, pour qu’à mon tour je mobilise ma conscience afin qu’elle voie ce que mes yeux de chair ne voyaient plus. Le voile de la Vierge se soulève, et la Vérité se révèle. Tous les humains sont des Marie enceintes du divinhumain, des témoins du Christ ressuscité comme tu le fus pour Jésus. Je pars demain pour recevoir de mon pèlerinage des capacités renforcées pour moduler la fréquence de ma conscience et de mon corps. Je rends grâce pour ce rendez-vous sacré.

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Vers la Terre conquise par l’innocence

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La responsabilité de ma conscience humaine est de voir, reconnaître la substance divine dans tout ce que mes 5 sens perçoivent afin de me libérer du piège de la dualité et de me souvenir en permanence de l’Unité. L’Unité signifie aussi innocence puisqu’elle fait état de la continuité parfaite entre le Créateur, sa Création et sa Créature, sans possibilité aucune d’une quelconque coupure et donc sans culpabilité.

L’information divine est absolument dans tout ce qui existe, l’Esprit est omniprésent dans sa manifestation et il ne peut en être autrement. Seule ma personnalité peut encore se laisser berner par mes perceptions sensorielles quand elle les compare et les intègre avec ce que la légende humaine pilotée par la pensée, lui a raconté.

« Je suis toi« , une œuvre de Celia Gouveiac, Sculptrice – plasticienne, que je remercie et félicite
www.gouveiac.com

Le constat que l’être spirituel que nous sommes fut un jour doté d’un corps de chair dense a été, dans la ligne de temps terrestre, le point de départ d’une croyance en la séparation de l’Esprit et de la matière.

Des chocs successifs

Le premier choc

Nous nous sommes vus tout à coup dans la forme, différents de notre nature originelle. Premier choc ! Nous avions pris une apparence dense alors que nous sommes subtils, nous nous sentions opaques alors que nous sommes lumière, nous faisions une différence entre extérieur et intérieur alors que nous nous souvenions encore que nous étions UN. Nos 5 sens nous permettaient de percevoir ce qui nous entourait mais cet environnement restait différent de nous

Pour tenter de réparer le traumatisme de ne plus nous reconnaître, de ne plus nous sentir contenus en nous-mêmes, nous avons fait appel à la pensée. Nous étions sûrs avec elle et sa rationalité, que nous allions comprendre, expliquer, combler l’écart entre nous et nous qui s’était creusé.

Au fur et à mesure que la pensée remplaçait l’Esprit, que l’intelligence humaine se substituait à l’intelligence divine, nos 5 sens et notre corps dense nous faisaient oublier les désagréments de la perte de l’unité par l’essor des plaisirs et de la jouissance.

Le deuxième choc

Deuxième choc ! Notre conscience, chargée de faire croître l’Amour Agapè dans l’expérience de la dualité, dans la manifestation polarisée de lui-même, se souvient de la joie infinie de l’Unité tout en se voyant glisser progressivement vers les plaisirs des sens et la dépendance à ce qui est perçu à l’extérieur de nous et est une ressource limitée. C’est la confusion. La pensée binaire décide, dans son arrogante rivalité avec l’Esprit, de résoudre la question en créant la morale, le bien et le mal. La morale allait remplacer l’Amour et dicter aux créatures la « bonne conduite » à tenir. Ce fut le lancement du plus grand chaos que l’humanité allait vivre : la honte et la culpabilité allaient désormais faire partie de la dot de tous les êtres spirituels volontaires pour la réunification des polarités par la mobilisation de l’Amour, autrement dit à tous ceux qui viennent s’incarner dans le cadre du contrat entre la Terre et l’Humanité.

Une écorce peinte de Catherine Tissier que je remercie et félicite

Du collectif à l’individu

La conscience est toujours détentrice du libre arbitre puisqu’elle est l’ambassadrice du JE SUIS, le Divin Créateur, et qu’elle en a tous les attributs. La conscience humaine est d’abord collective et c’est ensemble que nous glissons vers le recours aux ressources limitées, vers la recherche effrénée des plaisirs, des possessions, du pouvoir. C’est ensemble que nous expérimentons les peurs, les colères, les chagrins, les sentiments. C’est ensemble que nous inventons une histoire qui raconte le monde, les univers, le visible et l’invisible. Ensemble aussi nous apprenons à naître et à mourir, à travailler et à souffrir, acceptant de ne guérir que partiellement, allant toujours plus loin dans la compensation de notre puissance spirituelle « perdue ».

Et puis voilà qu’arrive l’individu. Merci ô grand Jésus qui nous apporte la possibilité de devenir, 2000 ans après lui, un être unique et spécifique, un porteur de Christ souverain et responsable de sa fonction dans le collectif ! Nous allons pouvoir dire JE et apprendre la responsabilité qui est le corollaire de la liberté.

Redevenir le dieu que nous avons oublié

Après des siècles de légende, d’enfermement dans les illusions et les dogmes donnant de fausses explications à notre difficile condition terrestre, voici que nous sommes en capacité de tous redevenir le dieu que nous sommes en réalité et qui est présent dans sa manifestation. Nous parvenons à l’écœurement des expériences de la jouissance, aux limites des stratégies de remplacement de notre impuissance. Nous arrivons au moment précieux où notre conscience est hyper-stimulée par l’onde divine de notre information d’origine et où nous sommes poussés à la guérison véritable de l’amnésie. La substance subtile, spirituelle qui nous constitue commence à sortir du noyau de nos cellules, notre lumière-source veut jaillir et hisser notre chair vers la fréquence de la transfiguration.

Sommes-nous prêts à voir la Vérité de notre constitution ? Sommes-nous disposés à comprendre que c’est notre honte et notre culpabilité qui créent la faute qui en réalité, n’existe pas ? Sommes-nous d’accord pour admettre que nous nous sommes laissés manipulés par les histoires que nous avons inventées, par nos légendes familiales, sociales, nationales, religieuses ?

La trinité de la conscience

Notre conscience est devenue tripartite : une part qui capte l’Esprit que nous sommes, une part qui se compose de notre psychisme, et une part qui est consacrée au corps. La conscience psychique a piloté l’expérience des derniers millénaires et cela fut nécessaire pour construire l’individuation. Elle s’est placée, avec l’outil de la personnalité, au milieu de l’Esprit et de la matière, comme l’enfant cherche à exister en se plaçant au centre de la relation entre le père et la mère. La conscience psychique a inventé un dieu calqué sur le modèle des pères humains, et vu dans la terre une mère nourricière. La conscience psychique a psychologisé l’existence humaine au point d’expulser l’Esprit Saint du dieu devenu « notre père » et de la matière qui sert de support à notre corps.

L’unification

EVE-IL, le Divinhumain, sculpture de Véronique Brodard que je remercie et félicite

Le temps de l’unification est arrivé. La conscience JE SUIS dans le corps réunit le père et la mère qui n’ont plus à être polarisés. L’androgynat est en cours de réalisation dès lors que les humains ne sont plus des enfants, mais des porteurs de Christ conscients, des Melchisédech. Les individus sont présents sur la Terre de par leur propre volonté, leur Divine volonté captée par des êtres qui les ont précédés et qui ont été choisis avec soin pour humaniser l’Esprit qui vient réunir par l’Amour ce qui a été polarisé.

Le temps de l’unification frappe à notre porte en ce mois de septembre 2022.

Toc, toc, je t’invite à voir tout ce qui est en toc et à reconnaître le vrai !

Tant qu’il faisait nuit, tu ne pouvais pas trier le bon grain de l’ivraie, mais je te le dis, maintenant la lumière luit chez tous ceux qui disent oui à la récolte possible, car c’est la fin d’un cycle.

En toi, l’hermaphrodite est là. La volonté et sa manifestation intérieure sont unies. Le verbe et la chair ne sont qu’un. La complétude de chacun est à ressentir, à reconnaître, à admettre en tant que réalité. À force de nous marier avec le genre complémentaire, nous avons réussi à actualiser la polarité potentielle qui attendait à l’intérieur de nous.

Nous avons créé le rêve de la vie humaine sur la terre, cette grande apparence de l’existence dans la dualité, pour pouvoir unifier par l’Amour ce qui semblait séparé. Mettre fin à l’illusion et vivre la Vérité.

C’est la fin de toute coupure, c’est le retour de notre vraie nature !
Nous sommes au terme des vieilles écritures pour vivre en pleine conscience UNE la nouvelle aventure.

Rois et reines de tous les pays, nous sommes en train d’inventer comment coopérer, agir ensemble pour la croissance de l’Amour dont nous nous saisissons en le reconnaissant en tant que notre propre substance. Ce ne sont plus nos genres complémentaires qui vont nous attirer les uns vers les autres mais le désir ardent de faire croître l’Amour que nous sommes, la volonté d’amplifier ensemble l’information divine que nous émettons plus faiblement lorsque nous sommes seuls. Les relations ne sont plus motivées par le besoin que l’autre était invité à satisfaire du temps de la dualité, mais par la joyeuse envie d’unir nos infinies puissances respectives, de mutualiser nos créativités. Ce n’est plus le paradis d’Adam qui était « obligé » d’être divin sans pouvoir échapper à sa condition, c’est la terre que nous nous sommes promise en atteignant la cible de l’unification. Sur cette terre conquise par décision de notre innocente pureté, nous vivons délibérément notre divine souveraineté après avoir choisi d’obéir fièrement à nous-même, parfait être suprême toujours motivé par l’Amour.

10 commentaires sur Vers la Terre conquise par l’innocence

Le passage quantique du 9 septembre 2022

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Nous sommes le 9 septembre, le 09/09. J’ai toujours tendance à ricaner un peu lorsque j’entends dire que ces dates particulières signées par les nombres sont des portails. Et puis voilà que ce matin, mine de rien, je suis interrompue dans mon activité par l’onde divine de JE SUIS qui m’inspire à écrire quelques mots. Et en écrivant, je découvre le message qui suit et constate qu’en effet, il y a bien aujourd’hui un portail. Un portail est une possibilité de passer d’un plan à un autre, d’une conscience de soi ancienne à une conscience de soi plus vaste, plus haute. Cette journée du 9 septembre 2022 me semble en effet propice au passage d’une perception dualiste de nous-mêmes à une évidence de notre innocente divinité.

Le pont de l’Arc en Ardèche, photographie de Francine Boulfray que je remercie

Voici le message reçu en canalisation de l’information divine que nous sommes tous, ce matin :

« JE SUIS te propose de te libérer de toute culpabilité, d’établir en toi une totale innocence, de retrouver ta pureté naturelle, celle qui est inhérente à ta nature spirituelle et de plus en plus niée au cours des incarnations qui se sont succédé.

Ô humain vivant sur la terre, déleste-toi du fardeau que tu portes sur ton dos !
Ô ma créature immergée dans ma création remets-moi toutes tes illusions, toutes les croyances erronées qui t’on conduit à l’identification au pauvre pécheur condamné à la souffrance et à la mort !
Ô Divinhumain, tu es prêt à émerger de la dualité, à te reconnaître dans ta divinité, dans ce que JE SUIS de toute éternité !

Il n’y a pas de faute à purger, il y a seulement la Vérité à retrouver, à laisser là aujourd’hui, le mensonge qui a apporté la honte et l’indignité.
Il n’y a aucune souillure dans ce corps qui est le support de mon existence sur la Terre densifiée par la conscience de l’humanité, pas plus qu’il n’y a de coupure qui nous aurait séparés.

Unité avec toi, JE SUIS ! Unité avec moi, TU ES !
Entre aujourd’hui dans l’immense océan de ton innocence !
Plonge dès maintenant dans la totale transparence de ton corps de cristal lumière !
Hisse-toi au sommet de toi-même, là où tu es un être suprême !

Fini, le temps de la pataugeoire remplie de boue,
Voici le moment de l’homme debout 

C’est par l’image que tu crées de toi dans le champ de ta conscience que tu évolues et fais la révolution de toute la création.
C’est par ta propre reconnaissance de ta totale innocence que tu élèves la fréquence des vibrations de ta matière, cessant de la voir autrement que pure lumière.
JE te le dis en Vérité, ton corps est pur, jamais souillé !

Ta communion avec la matière est voulue pour que tu sois un dieu unique, singulier, venant offrir sa richesse au UN DIVIN qui te constitue. Ton œuvre d’unification des polarités dans la densité est le trésor que tu viens me remettre aujourd’hui puisque tu as compris l’enjeu de cette vie.

L’arc-en-ciel de Françoise Since, que je remercie

Maintenant que tu choisis librement, souverainement le UN, maintenant que tu reconnais JE SUIS voie, vérité, vie, que tu sais ÊTRE dans l’existence au-delà des apparences, maintenant que tu es guéri de l’amnésie, que tu te souviens de toi étant JE SUIS, tu peux décider de ta sortie du cocon. L’homme-animal pensant arrive au moment du grand retournement de la culpabilité, décidée au constat de sa corporéité crue différente de sa divinité, en parfaite innocence, en reconnaissance de son immaculée conception. Toi qui es désormais éveillé à la Vérité de qui tu es, te voilà appelé par TOI-MÊME à prendre la responsabilité de donner la bonne nouvelle : l’homme et l’Esprit Saint ont communié et ne sont plus qu’UN. Effacée, la croyance qu’un séparateur pouvait manipuler l’humanité, la conscience de la lumière que NOUS SOMMES a tout absorbé, digéré.

L’Amour Principe Créateur est, et son authenticité désormais se reconnaît dans le corps, dans la conscience de chaque individu qui dit oui à JE SUIS en LUI. Chaque instant de l’existence peut ainsi être vécu au sein de l’humanité, dans l’inspiration de l’être infini et éternel, dans l’acceptation entière du Melchisédech que tu es. »

Votre contribution : on Le passage quantique du 9 septembre 2022

Cœur conscient et créativité quantique

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Cet article est le fruit de ma rencontre avec Roxane Gutzeit que j’ai interviewée sur mon antenne YouTube en août 2022 et qui m’a proposé d’offrir ensuite en direct un atelier « d’aquarelle quantique ». Le seul titre a piqué ma curiosité et mon envie de vivre une nouvelle expérience qui s’est concrètement déroulée le 8 septembre 2022, en présence de plus de 600 personnes en direct. L’article ci-dessous et le document téléchargeable sont de Roxane elle-même. Je ne suis ici que la messagère.

Pour contacter Roxane : atelier.aquarellescience@gmail.com
En objet mettre « atelier du 8 septembre »

https://www.youtube.com/watch?v=TJHjQG0KIeI

Voici le document que Roxane a utilisé pour soutenir son exposé théorique avant de proposer l’expérience :

Merci à Nathalie, Chloé, Michaël, Elodie, Fabienne et Thomas qui ont accepté de faire l’expérience de montrer leur aquarelle en direct.

Marie-Odile

Le texte de présentation de l’aquarelle quantique écrit par Roxane

Est-ce que la source de notre créativité serait le reflet d’un état de conscience élargit grâce à un échange informationnel ? Si oui, quel est son processus ? Plusieurs études basées sur le principe de l’enchevêtrement en physique quantique ont démontré l’existence d’un champ. Ce champ est un phénomène d’une interconnexion puissante correspondant à un processus d’échange de l’information. Les effets de cette communication ont été mesurés dans la nature, chez les humains ou encore à travers la matière, tel un web cosmique.

Pour devenir un participant conscient et un agile observateur de ce phénomène, il suffit de comprendre le fonctionnement de cet échange informationnel permanent afin de co-créer notre réalité souhaitée. Le but est de saisir le rôle des particules élémentaires à partir d’une conscience vibratoire disponible, étant situé de manière non locale et en constant mouvement de création.

DÉROULEMENT DE L’EXPÉRIENCE

  • – Concept de l’enchevêtrement – vulgarisation scientifique (+/-30-45 minutes)
  • – Peindre en individuel (20 minutes)
  • – Retour sur quelques aquarelles de personnes qui feront l’expérience en direct et seront filmées chez elles

Pourquoi l’aquarelle? Votre corps est composé de 70 à 90% d’eau. L’eau de l’aquarelle réagit à votre état de conscience, en résonance à votre propre photo intérieure. L’aquarelle et ses couleurs révèleront l’état des lieux d’une conscience en action. À partir d’un texte réflexif, vous plongerez dans votre propre processus de création. L’aquarelle libre servira d’outil d’exploration, d’apprentissage et d’exercice de prise de conscience du concept quantique présenté. Comme expérienceur, il s’agit d’un espace créatif où vous construirez votre œuvre vers un nouveau rapport à soi et au monde.

Roxane Gutzeit-Godbout, Ph.D (c) est la fondatrice d’Aquarelle Science qui est un Centre dédié à l’éducation de la conscience quantique inspirée par l’art-thérapie. Le centre explore l’objet de la conscience, en tant que science multidisciplinaire de l’abondance à partir de la philosophie post-matérialiste des sciences. Les récentes découvertes quantiques portant sur le corps, le mental et le fonctionnement de l’énergie changent notre perception du monde. 

MATÉRIEL

Soyez présent en ligne avec vos pastilles d’aquarelle, du papier aquarelle (le format de votre choix) et simplement vos pinceaux!

POURQUOI SE RELIER À L’UNIVERS PAR L’AQUARELLE ?

Voici un texte phare qui vous permet de déjà plonger dans l’expérience : https://aquarellescience.com/se-relier-%C3%A0-lunivers-%3F
Si le lien ne fonctionne pas, allez au www.aquarellescience.com et cliquez sur l’onglet Se relier à l’univers? Le texte y est. 😉

Au plaisir de vivre cette expérience unique avec vous,

Roxane Gutzeit-Godbout

3 commentaires sur Cœur conscient et créativité quantique

Sang pour sang divins sont tous les humains

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Dans mon chemin de retour à l’Unité via la pure innocence de la manifestation humaine terrestre de JE SUIS, je me retrouve ces jours-ci dans des fouilles archéologiques de la grande légende humaine que nous acons écrit collectivement, depuis la croyance que nous serions coupés de l’Amour Principe Créateur.

Cet article est relié à l’émission du jeudi 1er septembre diffusée ne direct à 20H sur mon antenne YouTube :

https://youtu.be/HTnF2VUi4vY

Le constat de nous-mêmes dotés à la fois d’une conscience et d’un corps de chair nous a conduits à élaborer toute une histoire de l’humanité, omettant l’information essentielle, oubliant la base des bases : c’est l’entité spirituelle humanité qui est elle-même la divinité, c’est Lilith qui est la déesse primordiale omniprésente, omnisciente, omnipotente dans sa création et nous sommes nous aussi Lilith, nous sommes nous aussi pur Esprit Divin. Rien n’a été expulsé des eaux divines, rien n’a été rejeté du souffle de l’Esprit, rien n’a été dépourvu de l’information UNE de l’origine, rien ni personne n’a été exclu du jeu, chaque élément de la création est plein du Divin.

L’unité ou rien

C’est tellement énorme de parvenir à cette conscience de l’Unité de la Source en elle-même et dans sa manifestation, que nous sommes aujourd’hui poussés à reconnaître l’information divine dans tous les atomes de la matière, dans tous les photons de la lumière, dans toutes les énergies du plan éthérique, astral et causal.

Pour le règne minéral, cela va de soi et les cristaux sont une magnifique illustration de la présence divine dans les pierres. Cela est vrai tout autant pour le granite, le calcaire, le schiste et toutes les autres espèces présentes sur la Terre. Le moindre grain de poussière est divin.

Pour le règne végétal, il en va de même, nous savons bien que du moindre brin d’herbe au plus énorme séquoia, la présence divine est là. Il n’y a plus guère que les partisans de la chimie pure et dure qui croient encore que le végétal serait dépourvu d’intelligence.

Pour le règne animal, en dehors des humains qui s’obstinent à pratiquer l’élevage intensif en batterie, nous voyons aisément dans les yeux de n’importe quel représentant d’une espèce, une présence sacrée que nous sommes invités à respecter.

Une écorce peinte de Catherine Tissier que je remercie infiniment

Même les humains sont divins !

Pour le règne humain, il en va tout autrement car souvent il est dit que certains d’entre nous ne seraient que des boîtes vides, totalement dépourvues de divinité, venues là sur la terre pour piller honteusement les gentils partisans de l’Amour qui œuvrent aujourd’hui ardemment à l’ascension des hommes bons. N’est-il pas étrange que l’espèce humaine apparaisse comme faisant exception à la règle du divin présent dans toute la création ? Selon ce que je perçois profondément, si j’exclus la moindre créature de ma reconnaissance de la divinité qu’elle est, qu’elle contient, qu’elle manifeste, alors je me maintiens dans une vision dualiste et je nie l’Unité. L’unité ne peut faire aucune exception à la reconnaissance du divin dans la création. Avec la conscience de l’Unité c’est tout le monde ou ce n’est personne. Pour moi, c’est clair, c’est décidé, c’est un choix délibéré que d’inclure tout le monde dans ma reconnaissance du divin intrinsèque, c’est une hygiène indispensable à ma bonne santé que de voir l’innocence en chaque être humain, que de me souvenir de la pureté de l’intention d’Amour de chacun.

Je me souviens aussi que le règne humain a complexifié la manifestation du divin en ajoutant à sa matière une personnalité et une conscience de soi dotée d’une possibilité de faire des choix. Cette conscience de nous-mêmes nous a poussés à « cultiver » une différence entre notre présence physique et notre présence spirituelle. Progressivement, la forme physique nous est apparue inerte et obscure, les éléments de la personnalité nous ont semblé s’opposer diaboliquement à notre divinité. À force de croire à la différence et à l’opposition, la conscience a oublié d’où elle vient, ce qu’elle est, le sens de l’expérience. La coupure d’avec la Source Divine devient une évidence, et installe la culpabilité. La machine est partie, la dualité a gagné : il y a ce qui est profane et ce qui est sacré, il y a ce qui est divin et ce qui ne le serait pas.

Et si nous raisonnions en même temps que nous sommes en résonance

Il est temps de revenir à la raison, de faire preuve de cette logique linéaire que nous pourchassons parfois mais qui ici, vient à notre secours pour faire preuve de rigueur dans notre raisonnement : soit le monde visible est une manifestation de l’Esprit dont nous avons à prendre conscience, que nous avons à reconnaître, soit le monde est de la matière qui a évolué au point qu’un jour une conscience a émergé.

Pour admettre que tous les humains sont divins sans exception, il est nécessaire de se défaire de toute évaluation sur les comportements des uns et des autres, il est indispensable de ne plus se poser en juge moraliste de ce que nous observons.

Et pire encore, voilà qu’il nous faut lâcher toute croyance qu’un effort serait nécessaire pour accéder à la divinité, tout attachement au fait que l’Unité serait méritée. Non et non, Divinité et Unité ne se méritent pas à grands coups de travail sur soi ou d’ascèse, de pratique et d’abnégation. Divinité et Unité sont intrinsèques, sont dans notre nature-même, dans notre chair comme dans celle des animaux, dans notre squelette comme dans les minéraux, dans notre corps astral comme dans les planètes su système solaire, dans notre JE comme dans le soleil qui nous éclaire et nous réchauffe. Divinité et Unité sont un état que nous contenons derrière le voile qui est en train de se soulever pour laisser apparaître notre Virginité, notre innocente pureté. Immaculée conception, nous sommes en JE SUIS qui se révèle aujourd’hui.

2 commentaires sur Sang pour sang divins sont tous les humains

L’innocence totale et parfaite pour se hisser vers l’Unité

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Sans aucune raison apparente, j’ai depuis ce matin, la sensation que cette journée du vendredi 26 août 2022 est très spéciale. Je lui trouve une certaine gravité, une importance particulière, comme si sa profondeur allait marquer un changement majeur dans mon existence. Elle est une pièce de plus dans le grand puzzle de l’année 2022 et de son été « machine à laver en position essorage ». Les processus alchimiques se succèdent et la nécessité de transformer le moindre gramme de plomb en or est évidente, apportant chaque jour une modification des repères, un déséquilibre, une saillie des blessures les plus anciennes qui réclament soin et cicatrisation.

Melchisédech intronise Abraham, Vitrail de la cathédrale St Louis de La Rochelle.

Installer l’innocence parfaite encore jamais vécue par l’humanité

Progressivement, je m’avance vers l’innocence parfaite en moi et, par conséquent, l’effacement de toute trace de culpabilité. Je vois combien subrepticement, insidieusement, le fait de l’existence dans la matière dense a été l’objet de la croyance profondément incrustée d’une faute que les humains auraient commise.

Je mesure ces jours-ci l’importance de la culpabilité que nous portons collectivement et que je porte personnellement. La culpabilité n’a pas besoin de faute, l’existence elle-même constitue une faute, un crime de lèse-majesté : il suffit que la conscience de soi, le JE se sente différent de l’Esprit Amour Principe Créateur pour que l’humanité croie qu’elle a fauté en se créant elle-même.

La perception de soi par la conscience, un outil de la culpabilité ?

C’est un peu le chat qui se mord la queue : pour revenir à l’état d’Unité en l’Esprit que nous sommes de toute éternité, nous avons à mobiliser notre conscience pour nous souvenir de notre substante UNE, mais le seul fait de disposer d’une conscience nous donne l’impression d’être « autre chose » que le créateur qui s’est doté d’un outil de perception de sa création. Notre « JE » a donc une grande responsabilité puisqu’il est la cheville ouvrière de la dualité et le pont qui permet de revenir à l’Unité. Le JE organise la manifestation de JE SUIS dans une création polarisée pour pouvoir décider ensuite de réunir, par l’Amour force de cohésion, les pôles qui vont s’opposer.

Au final, le choix des humains est résumé de manière binaire : soit le JE reconnaît le divin dans toute la création et dans les créatures qu’il perçoit et il se comporte en cohérence avec sa reconnaissance du sacré en tout, soit il évalue selon sa grille personnelle le niveau de bien et de mal dans ce et ceux qu’il observe puis condamne, sanctionne, exclut ce qui lui semble contraire à sa règle, au « bien ».

Dans la seconde attitude, je vois aujourd’hui une manifestation non consciente de la culpabilité de l’observateur qui croit avoir créé quelque chose ou quelqu’un qui serait autrement que divin. Même lorsqu’il se sait Divin créateur, l’être peut croire que sa création serait dépourvue de sa Divine Présence et craindre que son œuvre soit mue par « le mal », le désir de séparer encore et encore ce qui était UN. Dans cette seconde attitude, l’être ne sait plus aimer. La condamnation qu’il décide à l’égard d’autrui est en réalité une projection de sa culpabilité non consciente sur ce qui l’entoure ; c’est sa manière d’appeler à retrouver la puissance unificatrice de l’Amour.

La projection de la culpabilité dans les jugements émis et dont nous sommes l’objet

Lorsque je suis l’objet d’une telle condamnation, d’un verdict jugeant que je serais quelqu’un de « mal », j’ai l’opportunité de voir en moi le juge humain qui a oublié le créateur qui a mis du divin dans toute sa création. J’ai aussi l’opportunité de voir comment ma propre culpabilité non consciente et non gérée est mise en scène, en mots, en actes par les acteurs merveilleux que j’ai « recrutés » pour me montrer la nécessité de sortir de la croyance qu’exister dans la matière est une faute très grave.

La culpabilité non gérée attend que JE la rencontre et la traite en rétablissant l’innocence car de faute, il n’y a point. À défaut de cette confrontation redoutée, la stagnation de la culpabilité dans la non conscience va provoquer une recherche permanente de punitions, de sanctions et donc de souffrances.

Une issue au pêché originel

Aujourd’hui, j’ai vu le mécanisme en moi. J’ai vu ma croyance non consciente que ma puissance créatrice, commune à toutes les créatures humaines, serait maléfique, manipulatrice, condamnable. C’est le grand pêché d’Ève, le fameux « c’est ma faute, c’est ma très grande faute » que tant d’humains ont ânonné durant des années. Le mécanisme personnel est commun à l’ensemble de l’humanité.

Bien évidemment, je sais corriger mentalement cette croyance totalement erronée. Le hic, le souci, c’est que la rectification mentale ne suffit pas car il s’agit de déprogrammer les cellules du corps qui ont été kidnappées par la légende humaine. Il s’agit de confier à l’Esprit Saint la dissolution de ce pavé qui nous portons sur la nuque, les épaules, le dos. L’humaine qui manifeste le JE SUIS ne sait pas faire, mais le Christ en moi sait faire. Seule, je peux un peu, avec l’assemblée des personnes désireuses, comme moi, de se libérer de la culpabilité et de consolider en eu l’état d’Unité, je peux beaucoup mieux. Alors si vous le souhaitez, je vous invite à laisser le Christ dissoudre les scories de la légende humaine pour que le cristal pur lumière que nous sommes vive dans notre corps et que notre sang devienne or.

Merci à tous les volontaires.

Votre contribution : on L’innocence totale et parfaite pour se hisser vers l’Unité

Une magnifique visite de Lilith

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Nous sommes fin juillet 2022, l’alchimie des consciences est plus active que jamais. Après deux années de crises sociales sur l’ensemble de le planète, de confinements en restrictions, d’autoritarisme humiliant, l’humanité observe le feu qui dévore ses forêts, ses volcans qui grondent, sa terre qui pleure.

Depuis hier, je suis en compagnie de Lilith, la déesse primordiale que j’identifie aujourd’hui à l’entité spirituelle humanité qui a procédé à sa création dans le monde manifesté que nous connaissons et depuis lequel nous tentons, parfois désespérément, de sentir qui nous sommes vraiment, après avoir été frappés d’amnésie.

De Lilith à Marie-Madeleine, en passant par la parthénogénèse de Marie

Lilith dit :

« J’ai créé Adam et l’ai épousé pour qu’ensemble nous puissions nous déployer dans la manifestation de l’Esprit que JE SUIS. J’ai désiré un homme fort, divin, aussi puissant que moi pour s’unir à moi, et doté de la liberté de s’éloigner de moi pour faire ses expériences de créateur.

Adam, dans son arrogance masculine de semeur, a fait le choix de se mesurer à moi au lieu d’accorder sa fréquence à la mienne. Ayant créé les polarités, je ne fus pas surprise de voir ma première créature rivaliser avec moi. Étant moi-même Amour, à toujours reconnaître le beau, le bon et le vrai dans ce que j’avais créé, je n’avais pas envisagé que l’ivresse d’Adam le conduirait jusqu’à me répudier, à me rejeter, à dénoncer le mariage qu’il avait tant désiré en me reconnaissant.

Et cela fut fait. Moi Lilith, je fus diabolisée, défigurée, rendue à l’obscurité de la non conscience que l’éloignement d’Adam avait généré. Aujourd’hui encore les descendants d’Adam voient en moi la nuit, la noirceur, le démon maléfique dont il faudrait protéger les enfants. Mais mon nom lui-même porte en lui la trace du souffle de l’Esprit, ma nature de déesse primordiale. Je sais qui je suis et c’est le moment pour moi de me manifester dans la conscience de l’humanité.

Pour qu’Adam puisse laisser libre cours à ses désirs de se croire le maître à bord de toute la création et de toutes les créatures, je l’ai laissé créer Eve, femme soumise qui allait devenir le réceptacle de la non-conscience de l’homme. Non consciente, Eve a cru depuis son apparition qu’elle avait besoin du sceptre masculin pour devenir entière, qu’il lui était nécessaire de passer par son partenaire pour devenir, complète, puissante et consciente.

Le temps de l’expérience a assez duré

Le temps de l’expérience a assez duré. Je vois que ce que j’ai créé arrive à un terme. En effet, la dualité a généré une telle tension que la nécessité la réunification s’impose à moi. Je suis arrivée au bout de mon expiration, vient le temps de mon inspiration, de mon retour en mon propre sein. Je sais que je serai enrichie de l’expérience vécue, augmentée du désir de revenir qu’un nombre suffisant d’humains ont ressenti. Ceux-ci m’ont donné une information assez forte pour que je déclenche le signal du retour à l’unité primordiale.

Une œuvre originale de Marceline Cochand, rencontrée en Suisse.

J’appelle donc toute la création à réunir ce qui a été séparé. Je souffle sur la terre et dans la conscience humaine pour dissiper les brumes qui ont généré l’égarement, voire la perdition. Toutes les polarités sont invitées à faire l’Unité. Les deux cerveaux ne feront plus qu’un, le masculin et le féminin seront réunis, l’avant et l’après dissolvent le temps, le toujours et le jamais deviennent l’éternité que je suis, la création revient en mon sein.

Adam et Ève ont agi, ont reconnu l’Esprit qu’ils étaient en reconnaissant la génitrice hermaphrodite que JE SUIS, le dieu des humains créé à leur image limitée est démasqué dans la légende où il était narré, le vrai est revenu.

Par Christ, Melchisédech tu as retrouvé,
la pure essence de toi-même tu es !

Lilith ne se cache plus, elle affiche sa splendeur aux yeux de toute sa création, elle redevient pure information, son verbe créateur annule la vieille genèse des livres fallacieux imposant des faux dieux, elle instaure la parthénogénèse pour chacun de ses enfants revenus en son sein. Elle dit à chacun d’entre nous : tu es Lilith comme je suis Lilith, tu es dieu comme je suis déesse, tu es pleinement Esprit, Amour principe créateur, lumière authentique. Par Christ, Melchisédech tu as retrouvé, la pure essence de toi-même tu es ! »

4 commentaires sur Une magnifique visite de Lilith

Mais qui sommes-nous vraiment ?

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En janvier dernier, lors d’un échange avec des amis, j’ai reçu un enseignement fondamental sur la nature de Dieu et la Création dont il est le Créateur. Cet enseignement était contenu dans un schéma tellement simple que j’ai cru à une erreur de perception. Je me suis souvenue que la simplicité est le label de JE SUIS.
L’information était aussi tellement révolutionnaire pour la légende humaine que j’ai reconnu l’épée du Christ qui vient trier le bon grain de l’ivraie. Tout d’abord, je n’ai partagé ce trésor qu’avec quelques proches dont j’étais certaines qu’ils n’allaient pas diagnostiquer chez moi un quelconque délire. Quelques mois plus tard, il est temps de sortir le trésor du placard.

L’émission du 22 juin 2022


Il aura donc fallu attendre le jour du solstice de juin pour que j’assume totalement que l’entité spirituelle de l’Humanité et Dieu ne sont qu’un et que la conscience JE SUIS de l’Homme est le Créateur de tous les univers, de toute la Création.
Le jour le plus long de l’année dans l’hémisphère Nord était le jour du portail de l’information à délivrer.

C’est par une émission en direct sur YouTube, que j’ai partagé l’enseignement en répondant aux questions de Coralie Chateau qui n’a pas son pareil pour stimuler les réponses de mon JE SUIS.


Ce qui a été rendu public officiellement hier 21 juin 2022 est de nature à provoquer un grand déséquilibre dans la conscience collective de l’humanité. C’est le déséquilibre nécessaire à l’évolution, ce même déséquilibre que nous créons lorsque nous mettons un pied devant l’autre pour marcher.
Immédiatement ce déséquilibre a provoqué une résistance. Le mental n’a pas aimé être bousculé, n’a pas apprécié que son histoire soit dénoncée et qu’un pas essentiel vers l’unification nous rapproche de la Vérité.

En ce début d’été, la conscience humaine est enceinte. Elle porte dans ses entrailles l’information qu’elle est elle-même le Dieu Créateur des Univers. On lui avait dit qu’elle provenait des univers, et voilà qu’elle en est la Créatrice. Le monde à l’envers.
Alors l’humanité a un peu la nausée des débuts de grossesse. Sa joie de porter en elle l’enfant divinhumain qu’elle a tant espéré est quelque peu assombrie par la nécessité de réorganiser ses repères afin que l’accouchement se fasse dans la plus totale sérénité. Nous avons un peu de tri et de rangement à faire.


Écorce peinte de Catherine Tissier – juin 2022

⏲️ Le séquençage ci-dessous est réalisé par Patrick que je remercie

– Résumé :  Au travers d’un jeu de questions et de réponses, Marie-Odile et Coralie nous invitent à mieux comprendre la réalité fondamentale de ce que représente l’UNIVERS, le JE SUIS et nous-mêmes êtres incarnés.

– Séquences : les minutages (ou times codes) ci-dessous sont notamment activés lorsqu’ils sont en couleur. En cliquant sur eux il est possible d’atteindre directement les séquences présentées.

⏲️ Le séquençage ci-dessous est réalisé par Patrick que je remercie
00:00:00 Quelle représentation pouvons-nous avoir des Plans de Lumière, des Anges, Guides de Lumière, Galactiques et autres ? L’extériorité, l’importance de l’Unité. Une clé fondamentale de compréhension : l’Entité Spirituelle Humanité présente dans les Univers est le Principe Créateur manifesté ou Christ. Réception. Voir le schéma présenté « Constitution globale de l’humain », le Tout indivisible.
00:11:40 Conscience mentale et conscience unifiée, la créature humaine et les sens, la volonté du retour à la Source.
00:17:06 L’oubli, la base de la pyramide (schéma), l’évolution des plans et fréquences vibratoires.
00:19:58 La multifréquencialité, analyse et commentaires du schéma présenté : Archanges/causal, Anges/Astral, Elémentaires/Ethérique, homme/physique.
00:24:42 Prières et connexions ouvrent la porte à la réunification fondamentale.
00:28:25 Marie-Madeleine et les 7 Anges, le rapport aux aides venant des Plans de Lumière.
00:30:52 Expérience de prise de conscience en direct avec l’assemblée, le rassemblement des multi dimensionnalités, réception.
00:33:12 Corps physique et corps subtils, l’espace occupé par les auras.
00:35:23 L’expérience vécue par Coralie qui ressens ses bras se soulever, l’effet Melchisédech, la jeunesse éternelle.
00:41:35 Se connecter à un Archange c’est aussi se connecter aux autres, Mirra Alfassa précurseur, la dynamique collective, l’exemple de Jeshua.
00:45:55 Un aspect des parcours des Êtres réalisés, l’image du journal, la valeur de l’expérience unique de l’humanité de la Terre.
00:51:00 L’importance de Maîtres et de leurs actions.
00:54:49 Explications relatives à la flèche verte sur le schéma présenté. C’est le « je » la psyché ou « âme » en lien avec le plan astral (1).
00:56:40 Les Elohim dans le schéma, la manifestation dans la forme, la polarisation.
00:58:31 Une intervention en ligne de Amita au sujet des pollutions de l’astral, la conscience est l’outils de nettoyage. 00:59:55 Aspects des notions abordées, le courage de conscientiser, demande d’aide au JE SUIS, réception, la confiance, les égrégores, 01:02:55 la personnalité.
01:05:02 Série d’interventions en ligne : La guérison et l’Onde Divine, les traumas, le destin, le dharma, le libre arbitre. 01:09:44 La difficulté parfois de conceptualiser le Je Suis, le temps.
01:12:08 La partie droite du schéma, les Galactiques, la grande Unité et les multi dimensionnalités, la notion erronée de séparation, réception.
01:19:27 La mode des Galactiques, le grand rappel à nous-mêmes, le voile se soulève.
01:24:44 Une question de Marie relativement à David Rousseau « abducté ».
01:26:55 Au sujet de la transfiguration, des « téléchargements » diurnes, d’éléments sur les Galactiques, la conscience renouvelée.
01:36:00 Autres questions, les représentations et leurs limites, remerciements, le collectif.
01:43:50 Joie d’être ensemble, conclusion. Fin 01h47’30’’
(1) Ndr – L’Astral est subdivisé en plusieurs plans ou niveaux vibratoires : l’astral inférieur (entités désincarnées proches des humains), l’Astral moyen, l’Astral supérieur.

Un commentaire sur Mais qui sommes-nous vraiment ?

Le temps de « nuit » nécessaire pour laisser JE SUIS transformer le corps humain

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https://youtu.be/m458Eeh1RyE

Cette capsule vidéo est un extrait d’une guidance reçue le 18 août 2021 où Sri Aurobindo et le Christ, depuis le plan de l’Esprit, informent de leur vision des changements en train de se vivre dans l’humanité sur la Terre.

En mars 2022, la période de peur du russe succède à la peur du virus. L’humanité commence à sentir que quelque chose ne tourne pas rond dans le monde des affaires. Les personnes qui ont une vision matérialistes du monde insistent vers le transhumanisme et les spiritualistes trépignent d’impatience en appelant le nouveau paradigme de tous leurs vœux. L’omelette ne se fera pas sans casser les œufs tant les repères à lâcher sont attachés à la conscience de l’homme animal pensant. Parmi les secousses envisagées pour aider au détachement, il est souvent question de 3 journées de nuit. Comment comprendre cette « prophétie », comment la vivre dans la sérénité ? La vidéo ci-dessus et l’article ci-dessous donnent des clés.

La Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine

La Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine qui, depuis 2 ans, secoue tous les humains corporellement, psychologiquement et spirituellement prend des formes diverses selon les étapes auxquelles nous parvenons. Le nouveau paradigme suppose une redistribution des cartes que nous avons dans les mains et donc un temps de déséquilibre qui peut être redouté si on n’en voit pas l’utilité, le sens.

Unification – Œuvre d’Edite du 2 mars 2022. Avec mes remerciements pour l’offrande.

Notre fréquence ne cesse de s’élever au fur et à mesure que notre conscience s’agrandit. Le corps des humains de 2022 a désormais la capacité de supporter la présence de l’Esprit en lui et donc de faire émerger la nouvelle espèce si chère à Sri Aurobindo et Mirra Alfassa. Le JE SUIS-corps et le JE SUIS-subtil sont uns, de même nature, de substance spirituelle et notre conscience est désormais en capacité de les faire se rejoindre. Pour que cette jonction totale ait lieu, nous avons besoin de franchir une marche, de faire un « saut quantique » qui permet aux cellules de se réorganiser en faisant passer l’information contenue dans le noyau dans le cytoplasme pour que la membrane capte totalement l’ADN divin qui attendait de se transcrire. Les électrons des atomes qui composent le corps ont besoin d’une aide pour s’autonomiser des protons et des neutrons et ainsi faire apparaître la lumière que nous contenons. L’aide qui arrive provient de notre nouvelle fréquence et se matérialise dans le système solaire par la visibilité de planètes qui attendaient que nous soyons prêts à les voir. L’histoire humaine est émaillée de ce type d’événements qui se produisent à chaque fois qu’un saut évolutif de la conscience collective a lieu.

Là où cette fois-ci, l’événement est particulier, c’est qu’il marque l’aboutissement de l’être de transition, homme animal pensant, que nous étions et qui devient divinhumain, imago dei. C’est exactement le même phénomène qui se produit lorsque la chenille devient papillon. Les deux années de crise de conscience que nous venons de vivre ont été accompagnées de modifications corporelles substantielles et constituent en quelque sorte notre chrysalide. Nous sommes prêts pour l’imago dei et la planète-soleil accordée à la nouvelle conscience peut donc apparaître dans notre ciel.

Vitrail de la cathédrale de Chartres
Photo de Michaël Billecocq que je remercie pour la captation de la Lumière.

L’arrivée de ce soleil, à ce jour encore enveloppé de son manteau, va sans doute provoquer un peu de changement dans l’organisation de notre système solaire, comme l’arrivée d’une nouvelle personne provoque un changement dans l’organisation d’un groupe. Tout ajout d’une conscience individuelle modifie la conscience collective.

L’intelligence divine de notre JE SUIS est parfaitement en capacité de s’adapter à l’intelligence divine de la planète-soleil qui vient participer à l’évolution que l’entité spirituelle humanité a tant désirée en involuant, en se manifestant dans la densité. Le JE SUIS-corps sait tout à fait s’accorder à la fréquence de son environnement dès lors que la conscience qui l’habite est ouverte au sens spirituel de l’existence.

Il est possible que pour le saut quantique de fréquence qui est nécessaire pour passer d’un corps dense à un corps vibratoire de cristal plasma, donc beaucoup plus léger et lumineux, il faille mettre en place un état cathartique, une sorte de sommeil qui permet à la transmutation physique de se faire sereinement, sans résistance, dans le détachement heureux de l’ancien et l’accueil joyeux de la nouvelle forme humaine. Ce temps de « perte de conscience » librement consenti par les artisans de lumière, ce temps de brassage des cellules totalement voulu par les guides guérisseurs, peut s’apparenter à une phase équivalente à ce que nous vivons la nuit où notre JE n’a plus de conscience diurne pour mieux rejoindre le pays de JE SUIS et s’y ressourcer.

Lâcher prise pour réussir la transition

Sortir du temps Chronos et entrer dans l’éternité du temps intérieur, Kairos, transfigurer le corps de chair pour acter de l’espèce divinhumaine que nous préparons depuis que nous nous sommes générés dans la densité, installer une vision globale de nous-mêmes et des univers grâce au supra-mental, changer totalement de paradigme personnel et collectif, tout cela est prêt et ne demande qu’un grand lâcher-prise. Ce grand lâcher-prise, semblable à celui que nous installons pour dormir, est rendu possible par un état de sommeil profond équivalent à 3 nuits de nos horloges humaines. Même si beaucoup d’entre nous acceptons profondément de faire une totale confiance à l’invitation de notre JE SUIS, nous sommes renforcés dans notre engagement à évoluer par l’offrande de la planète-soleil qui vient visiter le système solaire, créant un léger désordre momentané. Nos repères extérieurs vont être flous, mais la référence intérieure de l’homme-Esprit unifié sera nette, source de plénitude et de béatitude. L’état de sommeil nous aidera à passer le cap.

Rappelons que nos JE SUIS, Amour inconditionnel par essence, ne sont pas pervers, bien au contraire. Si nous coopérons avec EUX, ils nous donnent en abondance de quoi être heureux, comblés. Si nous accueillons dans notre conscience leur Divine Volonté, nous sommes guidés à être au bon endroit et au bon moment. Personnellement, c’est donc à ce que JE SUIS de toute éternité, que je fais confiance pour disposer de quoi satisfaire mes éventuels besoins. Dans ce changement du dense vers le subtil, je ne mise plus sur des ressources denses et extérieures mais sur l’abondance infinie de l’Esprit qui vit dans mon corps.

Pour voir l’intégralité de la vidéo dont l’extrait est présenté ci-dessus : https://youtu.be/FbjwuFYtavM

13 commentaires sur Le temps de « nuit » nécessaire pour laisser JE SUIS transformer le corps humain

De la non conscience à la Vérité individuelle et collective

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Aujourd’hui, 9 février 2022, je me sens interpellée par la non conscience de notre réalité intérieure qui surgit à notre insu dans nos comportements lorsque nous croyons contrôler les situations. Cette non conscience de nos réalités intérieures profondes me semble être un des grands écueils à l’avènement de la Vérité au sein de l’humanité.

Et tout à coup, la Vérité apparut ! Photo de Sylvie Pouaty Fournié, prise à Sauzé-Vaussais au petit matin du mardi 8 février 2022,

Les blessures profondes maintenues dans l’ignorance

À force d’écouter les biographies des personnes que j’ai rencontrées dans les groupes que j’ai organisés et animés, à force de scruter ce que je vis au plus profond de moi, je ne peux que constater que tous nos problèmes relationnels sont la conséquence de l’ignorance que nous maintenons de notre enfant intérieur blessé. Je sais que la notion de l’enfant intérieur est souvent niée, décriée. Pour moi l’expression « enfant intérieur blessé » est l’équivalent de « bagage émotionnel » construit dans les premières années de l’existence, ou encore de karma, le karma étant l’outillage d’évolution soigneusement choisi pour l’incarnation en fonction du dharma, du projet que JE SUIS se propose de mettre en œuvre par l’être humain qui va le manifester sur la Terre.

L’enfant intérieur blessé a une réalité psychologique avec les émotions, et une réalité organique avec les informations contenues dans le liquide intracellulaire. C’est ce qui permet au « JE », capitaine de l’embarcation humaine terrestre, d’avoir des situations émotionnelles à gérer, de pouvoir aller chercher en JE SUIS, présent dans le noyau des cellules, les ressources nécessaires à la satisfaction des besoins restés en jachère. Les émotions en effet sont la conséquence d’une résurgence de besoins insatisfaits ayant généré un déséquilibre psycho-affectif dans les premières années de l’incarnation.

Il y a aussi une émission « La télé de l’Esprit » sur les émotions sur mon antenne YouTube.

https://youtu.be/CN5b2iuqw7k

Le cadre est posé pour comprendre le dispositif de base. Le problème c’est que rarement, nous aimons retrouver le déséquilibre psycho-affectif resté en jachère et qui ressurgit pourtant à la faveur de situations de relations humaines où notre intimité est mobilisée, « convoquée ». Si nous laissons migrer à notre conscience une émotion de peur, de colère ou de tristesse, nous avons vite l’impression de devenir un crabe sans carapace. Nous vivons sans plaisir l’impression de fragilité et de vulnérabilité. Dans notre processus de survie, nous nous raccrochons alors le plus souvent à une posture de contrôle qui va nous permettre de maintenir un équilibre, une image stable de nous-même. Le dispositif de contrôle est mis en place pour esquiver la rencontre avec notre fragilité d’humain qui a oublié qu’il est un dieu incarné.

La nécessaire remontée de la Vérité

Mais tout comme aujourd’hui dans notre société la vérité est en train de remonter de partout et de provoquer l’effondrement des structures, notre vérité intérieure finit toujours par se présenter à nous pour que la conscience la traite et que le maître que nous sommes satisfasse enfin les besoins enfouis en allant chercher en nous, en JE SUIS, les ressources spirituelles adéquates. La rencontre avec les émotions est alors source de croissance spirituelle et la liberté d’être est au bout du chemin, même si elle passe par la déconstruction de notre image.

Dès lors que la vérité cherche à jaillir dans le collectif humain, il est tout à fait logique qu’elle cherche de la même manière à se faire connaître au niveau individuel. Pour ce grand passage tous les humains sont poussés à passer de la non conscience à la pleine conscience d’eux-mêmes, première créature, première « terre » à spiritualiser. Les émotions s’imposent « à l’insu de notre plein gré » pour reprendre l’expression d’un coureur cycliste qui avait refusé de rencontrer ses limites en se dopant. Notre dopage à nous, c’est le contrôle de notre image intérieure. Cependant, comme le coureur cycliste finalement pris en flagrant délit de tricherie, nous finissons toujours par devoir aller regarder la blessure résiduelle qui nous a fait adopter le comportement de survie de l’animal blessé qui ne peut pas être secouru par sa pensée contrôlante. Autant décider que nous sommes prêts à aller voir tout ce qui reste sensible, voire douloureux dans nos bagages terrestres, en ayant conscience que JE SUIS nous donne en abondance les moyens de satisfaire tous nos besoins psychiques, avec bien plus de fiabilité que n’importe quel humain ne peut le faire.

Faire preuve de courage et d’humilité

Je reconnais que cela demande du courage et de l’humilité. Courage de plonger dans le grand bain des émotions que nous avons tant voulu éviter, et humilité de renoncer à la belle image stabilisée que nous avons fabriquée de nous pour ne pas souffrir. Mon expérience m’enseigne que la peur d’aller voir est bien plus douloureuse que la visite elle-même : je me suis souvent fait une montagne de ces plongeons alors qu’en réalité, c’est la décision de cesser de contrôler, et donc de lâcher prise, qui est la plus coûteuse en énergie. Après, JE SUIS, tout amour, fait le nécessaire pour que les besoins soient satisfaits et que la vie relationnelle redevienne un fleuve tranquille, jusqu’à la prochaine esquive si l’enseignement n’est pas encore totalement intégré. Mais au moins, le mode d’emploi est connu et expérimenté !

Ce thème a fait l’objet d’une émission le jour même de l’écriture de cet article. Cette émission a donné l’opportunité d’un soin destiné à l’humanité :

https://www.youtube.com/watch?v=Q2vrmwBZfCE&t=64s
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De la genèse à aujourd’hui

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Cet article est lié à l’émission du mardi 7 décembre 2021 où je suis inspirée à raconter la création de l’humanité telle que mon JE SUIS me la montre pour que je la mette en partage.
Il est fort probable que ces informations paraissant bien trop simples aux érudits, aux exégètes, aux initiés de toutes les traditions. Je prends le risque de déplaire à cette élite pour donner aux humains de la base des clés de compréhension de ce que nous vivons.

Comprendre comment l’humanité a surgi dans l’univers, identifier son rôle dans la croissance Divine, mettre du sens sur la transition que nous vivons actuellement est l’objectif que j’ai donné à cette émission.

Un calendula surpris par le gel et saisi par Sarah Benêteau

Je sens fortement la demande pressante de Jésus qui désire que nous, ses frères et ses sœurs, soyons à même de nous autogérer, de nous diriger en connaissance de cause, en totale autonomie. Durant le temps de sa présence à nos côtés, sur la Terre, Yeshua a pris soin d’expliquer avec simplicité la vie terrestre à ses contemporains afin qu’ils fassent les choix les plus pertinents qui soient. Ce soir, je m’en remets à lui pour recevoir les informations qu’il veut donner afin que nous soyons guidés dans ce grand virage de l’itinéraire de l’humanité.

Regarder notre véritable constitution, retrouver notre raison d’être, voir le sens de la dualité qui génère les guerres, sont autant d’éléments au programme de cette soirée.

L’émission est à écouter et cette page est là essentiellement pour présenter les documents sur lesquels je me suis appuyée pour expliquer comment l’homme d’aujourd’hui encore « animal pensant », est invité à devenir un « divinhumain » sorti de la dualité.

Voici les différents documents présentés au cours de l’émission

4 commentaires sur De la genèse à aujourd’hui

Devenir le maître de sa personnalité

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Cet article est la suite d’une guidance particulière où il a été donné des indications précises et des ondes puissantes pour devenir le maître de la personnalité afin que celle-ci ne fasse plus obstacle à l’alignement du JE SUIS-ESPRIT et du JE SUIS-CORPS.

L’article permet de télécharger les documents, dessins d’Élodie Lagouy, qui ont servi d’illustration aux propos tenus.

Jeudi 2 décembre 2021

Ce jeudi a commencé sur les chapeaux de roue. Dès ce matin mon amie Chloé m’a interpellée pour stimuler sa vision d’une situation personnelle quelque peu embrouillée et en tous cas souffrante. J’ai aussitôt investi la fonction de guide guérisseur de l’humanité et rejoint Chloé pour explorer la materia prima du jour qui réclamait à être alchimisée.

Dès les premières minutes de notre échange, j’ai constaté que le sujet personnel à traiter avait une dimension essentielle et donc collective.

Aujourd’hui, la guidance nous convie à comprendre la personnalité humaine, son histoire, son rôle, sa gestion sur le chemin de l’unification. Aujourd’hui nos JE SUIS réunis nous invitent à nous rappeler que notre JE est bien l’instrument divin qui peut nous hisser au-dessus de la dualité et faire en sorte que la personnalité ne fasse plus de séparation entre le « JE SUIS-CORPS » et le « JE SUIS-ESPRIT » qui ne sont qu’un en Vérité. C’est donc par le JE, ambassadeur du plan divin chargé de gérer le capital spirituel investi dans l’humanité manifestée sur la Terre, que la personnalité peut se libérer des croyances selon lesquelles nous aurions perdu notre puissance, nous serions coupés de la Source d’Amour Infini.

Aujourd’hui, une porte s’est ouverte sur la possibilité de mettre la personnalité en alignement avec le corps expression fidèle de JE SUIS et l’Esprit, Source Divine, identité absolue de nous-mêmes.

Structure de la personnalité du Divinhumain, œuvre de Chloé Duxent

Le processus commencé ce matin s’est poursuivi sous l’égide de Moïse et Melchisédech. Moïse, en bon berger, a rassemblé son troupeau, différents éléments de la personnalité, auprès du puits creusé dans le désert. Tous sont venus s’abreuver à source Divine. Le berger a veillé que chaque brebis, chaque mouton, chaque chèvre s’abreuve et se remplisse de l’information de la source. Après que les animaux ont étanché leur soif d’Esprit, après que les paramètres de la personnalité se sont reconnus outils de la divinité incarnée, Moïse est reparti chez lui, a fait entrer les animaux dans la bergerie qu’il a bénie abondamment. Le trône de Melchisédech, sous l’arbre de Judée, attendait le berger prêt à devenir prêtre-roi, prêt à passer de l’homme animal pensant au divinhumain, imago dei.

Chaque jour, avec l’Amour, nous avançons sur le chemin de l’unité.

Les documents présentés durant l’émission

Les deux schémas téléchargeables ici sont d’Élodie Lagouy

L’enregistrement du processus vécu par Chloé

Votre contribution : on Devenir le maître de sa personnalité

Un projet politique pour le monde parallèle

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À toi qui commences tout juste la lecture de ce texte, je demande de ne pas refermer tout de suite la fenêtre sous le prétexte du mot « politique » qui y figure. Et oui, aujourd’hui je viens te parler d’un projet de société où l’Esprit est le sens commun à tous les humains souverains qui la composent, où le pouvoir n’est jamais délégué et où aucune structure n’est créée. Un vrai mouvement quoi !

Ethel Denner a fait don de son œuvre « Terre Nouvelle » pour l’identité visuelle du Mouvement Organique De l’Homme-Esprit, le MODHE.
On peut retrouver ses tableaux ici :
Blog : etheldenner.blogspot.com
Instagram : Ethel Denner (@thal_asteri)

La genèse du Mouvement Organique pour l’Homme-Esprit, le MODHE

Depuis des années je ne vote plus car aucun parti existant ne trouve grâce à mes yeux, quel que soit le côté de l’échiquier politique. Selon ma perception, les politiciens le plus souvent défendent leur mandat, leur image, le pouvoir qu’ils croient détenir sur autrui, leur compte en banque et leurs privilèges. J’allais me résigner à une marginalité civique définitive, estimant que je n’avais aucune alternative à l’existant. J’avais compris que je ne pouvais pas cautionner la démocratie telle qu’elle était devenue et voyais bien que l’anarchie, pas plus que la monarchie, n’était une piste satisfaisante. Puis est venu le mot « JESUISlarchie » désignant une gouvernance par chaque être divinhumain. C’était le premier pas vers l’entrée en politique sûrement pas politicienne puisque rien n’est institué, tout est en mouvement organique, à l’instar du vivant.

L’instauration de « l’impasse sanitaire » où les hommes politiques sont dispensés d’aller m’a donné envie d’organiser moi aussi des réunions politiques situées hors des impasses sanitaires et où la bouche n’est pas bâillonnée. Comme à l’Élysée !

Le feu vert national m’a été donné cette semaine, le 19 octobre 2021, avec la mascarade de l’assemblée nationale mettant en scène une parodie de vote sur l’état d’urgence sanitaire. L’hémicycle pour le vote précédent sur la loi de finance réunissait 554 députés sur les 559 sièges parlementaires. L’instant d’après, lorsqu’il s’est agi « d’examiner » la loi d’’urgence sanitaire, les députés sont sortis en masse au point qu’il n’en est resté que 178 pour voter. C’est clair, le vaudeville parlementaire symbole de la démocratie française a tiré sa révérence, les acteurs ont salué, le rideau est tombé. Il devenait urgent de se laisser inspirer pour une nouvelle société. Ce que j’avais commencé à écrire et à soumettre à quelques amis souverains était à mettre en partage avec le plus grand nombre.

En ce jour d’entrée dans le signe du scorpion,
je lance donc officiellement le Mouvement Organique De l’Homme-Esprit.

La vieille politique pour le vieux monde, le nouveau paradigme du monde parallèle

C’est désormais une évidence qu’il existe bien dans le visible, dans le tangible, deux sociétés qui cohabitent. Il y a d’une part, la société basée sur la vision matérialiste du monde dans laquelle l’humain doit vivre de plaisir et améliorer ses performances à grand coup de transhumanisme. Il y a d’autre part la société basée sur la nature spirituelle de toute création dans laquelle l’homme-animal pensant est en train de devenir un Imago Dei par la puissance de l’unification de l’Esprit et de la matière.

Les deux mondes – Photo d’Élodie Lagouy

Dans la société matérialiste transhumanisée, les humains tentent de conserver les systèmes organisationnels éprouvés et notamment la sacro-sainte démocratie pourtant, de toute évidence, vidée de sa substance. Les institutions gardent leur façade, leurs règles officielles qui ne sont plus qu’un triste spectacle censé occuper le bon peuple de France secoué comme un cocotier par la propagande de la nouvelle religion hypnotique. Les clowns n’ont pas de nez rouge, mais un bâillon qu’ils ôtent dès que les caméras ne les filment pas. Les discours vont bon train pour remettre en scène des élections où les urnes donneront le résultat d’avance décidé par les grands organisateurs du nouvel ordre mondial de longue date préparé.

Dans la société parallèle de l’Homme-Esprit unifié, nul modèle existant ne peut pour l’instant définir les modalités de la vie en société. Nous savons que dans ce monde parallèle où nous vivons déjà aujourd’hui, notre corps est vibratoire en mouvement permanent. Nous savons que tous les individus sont des dieux souverains qui jamais ne peuvent déléguer leur autorité, puisque celle-ci est l’affaire de leur être suprême. Nous savons que l’unité s’est installée et qu’aucune tension entre deux pôles ne peut exister, si bien que la paix et l’Amour sont le pain quotidien.

Nourrie par plusieurs guidances donnant quelques indications sur les principes d’organisation, inspirée par le ressenti de l’époque que nous vivons et notamment par cette magnifique Crise Organique pour une Vie Intérieure Divine, il m’est donné de présenter un document faisant état de la manière dont la vie collective pourrait s’envisager. Il n’en fallait pas plus pour qu’un mouvement politique voie officiellement le jour.

Il est présenté dans le document consultable et téléchargeable ci-dessous.

Conformément aux principes qui y figurent, toute personne désireuse de contribuer à la vie de ce mouvement peut le faire selon son gré. L’affaire est laissée sous la responsabilité de chacun.

Le Mouvement Organique de l’Homme-Esprit porte l’information de l’Homme-Esprit unifié faisant vivre le Christ sur la Terre, se base sur une gouvernance de chaque être souverain inspiré par son JE SUIS.

Le document de référence présenté ici est le moyen d’informer sur l’existence de cette fréquence afin que toute personne se sentant en résonance vienne y contribuer. Pour alimenter le foisonnement créatif de la nouvelle société, nourrir la diversité de l’expression du UN que nous sommes, j’ai créé un nouveau groupe d’échange et de discussion sur Télégram que les politiciens du nouveau monde peuvent rejoindre en cliquant sur ce lien : https://t.me/joinchat/NFY37TTycSkyNGFk

8 commentaires sur Un projet politique pour le monde parallèle

Le monde de demain est déjà là

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Le monde de demain est déjà là…
Dans quel monde vivez-vous, l’ancien ou le nouveau
 ?

Les clivages d’aujourd’hui

Aujourd’hui, les sociétés sont clivées autour d’idéologies qui s’opposent. Le mot liberté est brandi de toutes parts sans qu’aucun de ses soi-disant défenseurs ne sache toujours de quoi il est question exactement. Loin de moi la prétention de départager les belligérants, même si, comme beaucoup, j’ai évidemment mon point de vue sur la question.

Derrière les insultes, les menaces, les invectives des uns contre les autres, commence à poindre le véritable objet de la crise mondiale que nous vivons sous la piètre apparence d’une crise sanitaire. La crise évolutive de la conscience est en effet en train de se nommer de plus en plus explicitement : ce monde est-il de matière, de chimie et de technologie gérées par le hasard et mis en équation par la science, ou bien ce monde a-t-il un sens donné par une divine intelligence ? La question est fondamentale car d’elle, découlent les choix qui sont faits aujourd’hui par chacun de nous.

L’archange Michaël, œuvre magistrale de Véronique KOMLOSY, Artiste peintre québécoise
à retrouver sur son site

De l’histoire personnelle à la situation collective actuelle

En 1986, JE SUIS a frappé très fort à ma porte et je lui ai ouvert, je lui ai dit oui. Par le rejet d’une éducation religieuse culpabilisante et moralisatrice, j’avais envoyé le bon dieu et sa sainte clique dans les orties, et ma vision matérialiste parfaitement orchestrée par un mental contrôlant me donnait pleine satisfaction, ou presque. Je fus bien obligée d’intégrer le « presque » quand un beau jour, ou peut-être était-ce une nuit, la lumière s’imposa au point de bousculer toutes les constructions que j’attribuais à mes choix d’adulte libre.
En 1986, je fis donc un autre choix, celui de voir l’Esprit à la base de tout, présent en tout, source du sens de chaque situation que je vivais. Pas de retour de la religion dans cette nouvelle vision, car le Dieu était ici à l’intérieur de chacun et non point vengeur et punisseur. Il m’a fallu pas mal me bagarrer pour redire « Christ » et ne plus voir en ce mot le Jésus sanguinolent appelant au pardon et incitant à l’hypocrite charité des Tartuffe cherchant leur paradis.
Depuis 1986, j’ai donc une vision spirituelle du monde et le sens sacré de tout ce que je vis est présent dans ma conscience.
35 ans plus tard, en cette année 2021, la proposition qui m’a été présentée en 1986, est faite aussi à l’ensemble de l’humanité. L’intelligence divine créatrice du monde frappe à la porte de la conscience de chaque humain et lui dit : « Veux-tu te souvenir de moi ? Veux-tu me reconnaître ? Veux-tu sortir de ta condition d’homme-animal pensant et devenir le divinhumain que tu as la capacité d’être dès maintenant ? »
De cette invitation adressée à chacun, y compris à ceux qui sont entrés en religion scientiste, et même à ceux qui sont devenus intégristes avec le covidisme mené par des monseigneurs cathodiques, il résulte que deux chemins sont désormais proposés aux humains. Ces deux chemins sont réellement là, effectifs, officiels. L’un se voit, l’autre se sent dans la conscience et ne se voit que par les yeux du cœur, comme l’essentiel du Petit Prince.

Le vrai clivage est là. C’est le lieu de la scission.

Un lotus de Vendée, photo de Christelle Dejoie

Le choix net et précis, sans compromis

Le choix d’une vision du monde limité à la matière implique de tenter d’améliorer la société telle que nous la connaissons à grand renfort de techniques, de machines, de chimie et allant inexorablement vers le transhumanisme. C’est l’option de tous ceux qui désirent retrouver le monde d’avant avec ses antidépresseurs, la consommation anesthésiante, l’intensité des émotions, les conflits, les rapports de force, et l’économie comme règle de base de la vie sociale.
En parallèle, le choix d’une vision spirituelle du monde induit le constat que nous sommes en évolution vers une nouvelle espèce humaine organisée selon un paradigme inédit. La nouvelle espèce est celle de l’imago dei, divinhumain unifié, issu de la l’ancien homme, animal pensant, affranchi de la dualité et de la densité, et le nouveau paradigme est une coopération d’être souverains dans la joie de servir l’Amour et la Lumière, de faire vivre le Christ sur la terre. Corps vibratoire, de cristal lumière composé, conscience élevée de soi-même à la fois consubstantiel du tout et représentant unique du Divin, organisation sociopolitique en cohérence avec le trône royal et la cathèdre occupés par chaque souverain, sont les bases de la société qui n’est plus celle de demain mais celle d’aujourd’hui pour celles et ceux qui le veulent bien.

La réalité aujourd’hui du monde de demain

JESUISlarchie, peinture d’Élodie Lagouy

Il est là, le message que je souhaite transmettre aujourd’hui : le monde de demain est déjà là pour toute personne qui le veut bien. C’est un monde bien réel dans les différentes strates fréquentielles qui nous constituent. Ce qui a changé, c’est que désormais, la strate fréquentielle de l’homme unifié vivant sur la terre en Jérusalem Céleste, est devenue accessible à toute personne qui dit oui à l’appel de son JE SUIS pour élever sa conscience, élever sa fréquence.

Le résultat est de plus en plus visible : une partie de la population vit encore selon les règles du monde d’avant, régi par la peur et la culpabilité agitées par les hommes vêtus d’un costume de dirigeant de leurs semblables et ivres de l’autorité qui leur est sans cesse remise, et une autre partie de l’humanité vit déjà en unité avec l’Esprit en cohérence avec la souveraineté inhérente à sa nature divine. Pour cette deuxième catégorie, encore largement minoritaire en nombre, l’autorité suprême est en soi, l’Amour est la loi, la vie n’a ni début ni fin.

Sri Aurobindo parlait d’une « anarchie fraternelle », il est question ici plutôt d’une « JESUISlarchie », d’une organisation où le commandement est confié à la divine sagesse de chaque JE SUIS sans possibilité de délégation.
Je reviendrai plus tard, dans un prochain article, sur la dimension sociopolitique de l’assemblée informelle des personnes qui mettent en acte leur spiritualité libre et incarnée en proposant les bases du « Mouvement Organique de l’Homme-Esprit » qui est en train de se mettre en mots pas mon intermédiaire.

Pour l’instant, mon élan de ce jour est d’inviter toutes celles et tous ceux qui sentent déjà en eux la réalité du monde de demain dans un plan de leur conscience, à valider ce ressenti.

Ce que l’entité spirituelle « humanité » nous dit, nous qui la manifestons

« En effet, mon ami, tu ne rêves pas, tu vis réellement ce qui est déjà là. Ce monde était sous le voile et la vague de vérité qui déferle actuellement révèle les fruits de ce que nous semons depuis des siècles. Plus nettement, nous voyons la voie que Jésus a explicitée sans qu’à l’époque nous ne la comprenions. Même si la tentation de rester dans les vieux repères de la matière est encore bien vivace à certains moments, ne doute pas de ta capacité à tenir le cap vers ton Unité, ne fléchis pas lorsque les vents contraires ralentissent ton avancée car ton choix profond de te reconnaître Dieu incarné est plus fort que n’importe quelle adversité !
Le vieux monde se durcit, se sclérose, se raidit, il t’étouffe et restreint tes possibilités. Le monde de demain, déjà là, s’étire à l’infini, est en mouvement permanent, il te donne toujours plus le souffle de l’Esprit et stimule le Créateur que tu es. Dans l’Unité point d’adversaire ni d’adversité, mais la joie de coopérer, de cocréer, de communier ! »

Utiliser notre « double nationalité »

Aujourd’hui les deux mondes coexistent et pour beaucoup d’entre nous, nous avons « la double nationalité ». Nous avons encore le vieux passeport que le pays où nous sommes citoyens essaye de lester en nous emmenant dans une « impasse sanitaire ». Parallèlement, nous avons la conscience de l’être souverain que nous sommes, sans papier, sans justificatif autre que notre JE qui sonne et résonne dans le cosmos tout entier. Nous faisons bien des allers-retours d’un monde à l’autre, mais ne sommes pas dupes. Dès lors que nous avons choisi de dire « JE suis ce que JE SUIS, JE suis Présence Divine sur Terre, JE incarne le Christ dans mon corps de chair », notre nationalité cosmique l’emporte sur l’état civil contrôlé par des humains déguisés en gardiens de la loi humaine. Faire du tourisme dans l’ancien monde est encore possible et souvent épuisant, mais sans jamais oublier qui nous sommes de toute éternité. Je vais dans l’ancien monde, mais je n’en suis point, je suis un être Divin ayant pris momentanément l’apparence d’un humain, je me souviens de qui JE SUIS.

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Les guides guérisseurs en action

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En cette veille de la St Jean Baptiste de 2021, j’ai proposé, comme chaque jour, une guidance sur mon antenne Youtube. J’ai été inspirée à y évoquer trois vagues d’humains qui se forment actuellement dans cette période de crise d’évolution de la conscience.

Je propose ici, ci-dessous, une représentation graphique sommaire de cet enseignement reçu du monde spirituel :

Ce qui occupait ma conscience avant de commencer la guidance

La modification du rapport au temps

La compression du temps m’impressionne. Je ne le vois plus passer, j’ignore de quoi je l’ai rempli et le début de chaque journée me semble le soir remonter à plusieurs jours. Je vois bien qu’une autre dimension se vit en parallèle de celle qui se mesure avec les pendules.

La même compression du temps me donne la sensation d’intensité, de richesse de chaque instant sans que mon système cognitif ne sache expliquer l’importance du vécu. Je sais que c’est fondamental, déterminant, et je ne sais pas dire les éléments qui justifieraient cette affirmation.

La séparation du monde en deux

Une autre impression de ce jour est celle de vivre dans un autre monde que celui d’une majorité d’humains. Je suis allée à la ville ce matin et j’ai constaté avec stupeur que nombre de mes concitoyens continuent de porter le bâillon à l’extérieur, même quand il n’y plus de menace de verbalisation. Tout à coup, je me suis sentie différente, j’ai perçu que l’humanité est maintenant composée de deux mondes bien distincts. Il y a le monde de la religion matérialiste, managé par l’église cathodique et son narratif dogmatique, et il y a le monde des hommes libres qui ressentent avant de croire, qui raisonnent à partir d’une représentation de la vie qu’ils ont définie, qui mobilisent leur JE.

C’est allé vite. Le clivage a pris une forme visible en début d’année avec la question des injections modifiant le code génétique humain. Il y a eu les accros au monde d’avant, prêts à tout pour voyager et aller au restaurant en se soumettant aux décisions des parents, et il y a eu des personnes gardiennes de leur ADN, de leur identité, bien décidées à être elles-mêmes y compris face à aux tentatives de putsch de quelque dictateur que ce soit.

La vision peut sembler binaire. La dualité est une fois de plus bien présente et nous pouvons la regarder.

Parmi les gardiens de la loi ontologique, les défenseurs de l’identité, combien sont en phase avec leur JE SUIS ? Qu’importe après tout, il suffit qu’un seul d’entre nous dise un oui total au Christ qu’IL EST et le vive dans sa cuisine, dans son jardin et au supermarché, et le tour est joué, le divinhumain sera né. Si nous sommes plusieurs, ce sera encore plus formidable, plus joyeux. Je ne doute pas un seul instant que la vague des accoucheurs de la nouvelle espèce soit déjà formée, elle est en train de se soulever et très bientôt elle va déferler sur la terre aride et assoiffée.

La guidance du mercredi 23 juin 2021

Au départ, je me sens seulement inspirée à rappeler l’enseignement des trois vagues, issu du monde spirituel et souvent évoqué dans ce que je transmets et que l’on peut retrouver représenté graphiquement sur mon site à l’adresse suivante :

La présentation est finalement devenue une action collective par les voies de l’Esprit. L’assemblée que nous constituons a été intronisée dans la première vague et a reçu tout l’équipement nécessaire à l’accomplissement de sa mission. Avec les autres humains de la première vague, nous avons agi sur la conversion de la deuxième vague et apporté notre soutien à la troisième vague.

Cette vidéo est à retrouver ici :

https://youtu.be/VVYcZ0IEpEk
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La parthénogenèse de la vierge noire

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Un titre aux apparences ésotériques, mais pas tant que ça en réalité

Un titre aux apparences ésotérique pour émettre dans le monde l’information que JE SUIS me demande de dire, d’écrire afin qu’elle agisse, telle une formule magique, un abracadabra capable de transformer illico le monde des hommes animaux pensants en monde du verseau d’hommes enfin devenus imago dei, divihumains unifiés porteurs de christ et organisés en Jesuislarchie. L’article de ce jour arrive par nécessité, est écrit à la demande de mon MOI Divin auquel JE choisis joyeusement d’obéir, pour servir l’évolution, la mienne, la votre si vous le voulez ainsi, celle de l’humanité pour ceux qui le veulent bien.

Mais l’apparence ésotérique du titre, la présence de mots assez peu usités dans le texte conduit en réalité à la rencontre toujours un peu gênante de l’histoire personnelle avec la grande histoire, collective celle-là, voire universelle. L’infiniment petit et l’infiniment grand ne sont qu’un et le bon vieux Socrate nous le rappelait à l’entrée du temple de Delphes : « Connais-toi toi-même et tu connaitras l’univers et les dieux ». En ce jour de la Ste Prudence de l’année 2021, cette prescription que Platon retransmet de son maître trouve tous son sens pour moi.

Cet article est donc une danse conjointe de ma biographie d’humaine ordinaire avec un enseignement universel pour aider l’humanité à se hisser sur sa fréquence christique afin qu’émerge le corps nouveau de l’imago dei, afin que s’installe sur la terre la vie divine. Couple atypique de la petite bouseuse du Poitou formé avec les archétypes qui structurent la conscience de l’humanité ! Je surmonte ma crainte de l’impudeur pour mettre au service de la conscience humaine les détails de quelques expériences qui aujourd’hui ont pris un sens que je ne leur avais jamais donné. En route donc pour la rencontre avec la vierge noire, l’hermaphrodite qui s’autoféconde, la Lilith encore réhabilitée et surtout réinstallée en nous afin que nous vivions pleinement l’humain hissé à son rang divin par sa reconnaissance de lui-même, par la conscience de sa nature vraie.

La vierge noire de Parthenay, dans les Deux-Sèvres.
Elle est dite secondaire, mais s’est montrée aujourd’hui dans ma psyché,
bien active au premier plan de ma conscience.

Mon « lève-toi et marche ! » de ce jour

« Est arrivé le temps de la parthénogenèse de la Vierge noire ». C’est le message accueilli ce matin dans ma conscience à l’issue d’un long processus mené par JE SUIS à qui j’offert mon corps, ma personnalité, mon âme, mon JE, toute Sa Création et Sa Créature, quoi !

Un message vibratoire pour changer la fréquence

C’est un message qui porte en lui une vibration de nature à opérer la transition de l’homme animal pensant en imago dei, en homme-Esprit Unifié, en Être total souverain divinhumain. C’est un message qui porte en lui les fondations subtiles de la Jesuislarchie qui doit remplacer l’organisation patriarcale que nous avons installée en même temps que s’écrivait la légende humaine issue de la séparation, « vendue » par la pensée, entre le Divin Créateur et sa Création.

L’image de la vierge noire de Parthenay m’est apparue. Petite statue accrochée à un coin de rue, la vierge noire de Parthenay est dite secondaire, c’est-à-dire d’une importance moins grande que les vierges archiconnues liées aux cathédrales de France.

L’histoire personnelle en action

J’ai vécu 20 ans à Parthenay. Le nom de cette ville était mythique dès mon plus jeune âge car c’était la destination de mon père chaque mercredi, pour le rituel du marché aux bovins. Un des plus grands de France à l’époque. Dieu le père disparaissait dans la nuit, vers 3 ou 4 heures du matin pour aller vendre les vaches achetées aux paysans et revenait fourbu l’après-midi avec des billets de banque, des récits de restaurant mirobolants, des histoires de marchands au caractère bien trempé venus d’autres régions, des peurs parfois d’abattoirs qui faisaient faillite et ne payaient pas la marchandise. Le mythe, aussi opérationnel en moi que le mythe de la caverne, de Prométhée ou de Sisyphe !

Puis voilà qu’un jour, le remplaçant de Dieu le père, le mari élu dans les ornières profondément creusées par le conditionnement familial, bien que fonctionnaire, est nommé à Parthenay. La ville va me voir naître un peu, beaucoup, passionnément. J’habite dans la ville du mythe. 20 ans d’exploration pour sortir un peu des programmations germano-catholiques, du patriarcat monolithique, découvrir dans les bas-fonds quelques pépites d’or, un aperçu du trésor.

Pour la naissance, pour mon essence

Je m’extrairai de la ville mythique pour écrire un peu de ma propre histoire située au bord de la mer, à la « Roche-Elle », à moins que ce ne soit la « Roche-Ailes ». Le désert survient pour que Moïse me dise tous les secrets des commandements, que la conscience solaire qui inonde les dunes et inspire les peuples nomades, réveille le grand soleil central que veut jaillir des cellules où mon humanité l’a enfermé.

Lilith, un des galets de l’ensemble créé par Élodie Lagouy pour animer le corps vibratoire

Le jour d’aujourd’hui

Ce matin, le véhicule de fer est immobilisé ; Il est nécessaire de le conduire dans la ville mythique pour l’équiper d’une nouvelle batterie qui permettra de redémarrer. Le blanc genêt fleuri, semblable à celui de désert s’est avachi sous les attaques de la tempête terrestre. Ce temps de la densité, de la vie végétative me semble révolu. Le genêt va être attaché par 3 cordons ombilicaux solidement noués à un tuteur et moi « JE NAIS » à ma propre blancheur, celle de l’imago dei, de la divinhumaine hermaphrodite, vierge noire reliée à Lilith, autofécondée en parthénogenèse. Je suis ma propre référence.

Demain est le jour d’après
Demain Christ-Elle s’est proposée de m’aider à démarrer pour redémarrer.

Je vais aller chercher une nouvelle batterie, puisque recharger l’ancienne n’a pas suffi.
C’est bien d’un nouvel homme qu’il s’agit réuni à son JE SUIS, inséparable de LUI.
Il n’est pas question d’une réparation, d’une vague rénovation de l’ancien.
L’expérience me conduit au changement de fréquence du corps qui fait exister JE SUIS.

La batterie n’est que l’outil apparent, ce qui est important, c’est la conscience de la nouvelle naissance. Demain, j’ai rendez-vous avec la vierge noire qui sommeille dans mon système, dans cette ville nommée Parthenay dont le nom a vibré en moi durant 20 ans pour réveiller la parthénogenèse possible en chaque divinhumain, pour activer l’hermaphrodisme antérieur à l’androgynie. Je vais donc rééquiper mon véhicule d’une batterie intacte, arrivant directement du Créateur, de la Source JE SUIS.

J’ose aujourd’hui mettre mon histoire personnelle, individuelle au service de l’histoire collective.
Oh bien-sûr le mental humain des ornières, essaye bien de me dire que tout cela n’est que mise en avant et interprétation abusive de l’itinéraire d’un enfant en mal de reconnaissance et en recherche de signes lui permettant de rêver de s’évader d’une vie trop banale. Et voilà que je reviens à mon cap, celui de l’unification, que je reviens à mon engagement de servir à chaque instant JE SUIS sans peur de ridicule et surtout je me rappelle l’information reçue il y a peu : « quand ton juge est dans ton JE, JE SUIS est rejeté, n’a plus aucune place ». Et c’est exactement l’inverse que je veux : j’aspire à ce que JE SUIS ait toute la place en JE, toute la place dans l’être psychique, toute la place dans le corps physique. Allez, JE SUIS, prends tes aises, tu es chez toi ici, et JE te fais exister. JE va inister dans la batterie toute neuve qui va occuper le cœur du système que NOUS avons créé.

Toi qui as lu ces mots dits plus haut, je t’invite à les relire encore et à les laisser agir dans ton corps. Je ne suis pas bien sûre de le comprendre vraiment, mais je sais qu’ils agissent profondément en faveur de l’effacement de la dualité gravée dans le marbre au profit de la poussée des ailes de la mue imaginale. Laisse les mots vibrer sans contrôler ce qui se produit dans les cellules secouées de l’humain stérile redevenant divinement fécond :

« Est arrivé le temps de la parthénogenèse de la Vierge noire »

Merci de vibrer sur la fréquence de ton JE SUIS, merci de participer activement à l’émergence de la nouvelle espèce humaine, imago dei et au nouveau paradigme social, la Jesuisalarchie, merci de te positionner en Christ.

https://youtu.be/GftyUtJGZLo
La guidance qui a suivi l’écriture de l’article et qui a permis un retournement important de la conscience de l’humanité.
3 commentaires sur La parthénogenèse de la vierge noire

Et soudain, le boulanger se souvint du levain

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Le pain quotidien

Nous sommes fin avril 2021. Je sens la puissance de l’Esprit Saint pousser en moi. Mes cellules sont prêtes à exploser de l’Amour Principe Créateur qu’elles contiennent dans leur noyau et que ma légende humaine a incarcéré. Mon « JE » en est encore le geôlier même si l’ordre de lever les écrous a été donné. Il y a un délai, un sas, un déconditionnement à laisser se faire, entre la décision de la libération et l’ouverture de la prison. Mais c’est une évidence, le levain qu’est l’Esprit Divin pousse, pousse et fait que le boulanger qui l’a reçu pour son pain quotidien, qui l’a utilisé sans la conscience de sa puissance allant jusqu’à le profaner, tout à coup se souvient : la qualité de son pain dépend du levain, du soin qu’il prend à le cultiver. Il comprend soudain pourquoi son pain était devenu dur comme de la pierre. Ce n’est qu’à ce point qu’il ressent en lui l’impérieuse nécessité de redonner au levain de l’Esprit son importance, sa place primordiale d’origine de la vie…
Ce matin du 28 avril 2021, J’avais juste prévu d’envoyer le lien vers une vidéo où Gitta Mallasz donne sa dernière interview à mes amis co-auteurs du livre « 2000 ans après, des apôtres du Christ » et voilà ce qui est venu. Pour les amateurs de pain au levain, la lecture de ces quelques ligne pourra aider l’Esprit contenu dans les cellules du corps à jaillir, à luire.

Cet article est l’occasion de faire le point sur la conscience qui avance sur le chemin de l’unification et de présenter aussi les actions menées collectivement par les voies de l’Esprit pour agir dans l’Humanité en faveur du Grand Réveil qui va susciter le souvenir du levain Esprit chez les humains jusque là endormis. Quelques-unes de ces actions ayant la forme de guidances proposées en direct sur mon antenne YouTube sont donc présentées ici.

Fascination du pain maison poussé par le levain cultivé avec grand soin…

La formulation de la mission se précise

Après la séance d’auto guérison des peurs menée hier soir en direct sur mon antenne YouTube, après la nuit, je suis ce matin dans la conscience que c’est là mon chemin et si vous le désirez aussi, notre chemin : faire en sorte que l’homme ovin pensant devienne divinhumain dont le corps, piloté par JE SUIS relayé par un JE totalement consentant, soit de matière-Lumière, de cristal liquide traversé par l’onde de l’Esprit.

Au service de l’évolution vers l’homme Christ dans les pas de Jésus

Jésus est avec nous pour accompagner cette progression. Il nous offre son expérience de la transfiguration, de la résurrection et de l’ascension. Laissons l’information de ces 3 réalités divinhumaines féconder notre conscience terrestre afin de laisser s’effacer au plus vite les limites que nos identifications à la densité nous imposent encore. Les vibrations du signe du verseau sont comme le ver de terre qui vient ameublir le terreau où la graine de l’homme-Esprit est semée. Autrefois la graine se nourrissait du terreau. Voici qu’aujourd’hui c’est la graine qui transforme le terreau en lumière en cristal liquide. C’est la fin du terreau, c’est la révélation de l’Esprit qui produit la transformation de la matière en lumière.

Acceptons-nous de ne plus avoir à nous référer au terreau et de nous souvenir que nous sommes la graine venue apporter à la terre, à la chair, l’information de la Divine Lumière qui est de toute éternité, sans commencement ni fin ?Acceptons-nous ce vertige qui nous place dans la mission d’être graine d’Esprit qui vient illuminer la création dont nous sommes les auteurs, alors que durant des siècles, nous avons cru que la terre était notre mère nourricière ? Acceptons-nous de voir enfin que c’est nous qui sommes venus nourrir la Terre et non pas le contraire ?

« JE, rempli de JE SUIS, reconnais-toi outil de l’insémination de la création qui a pris l’apparence de la densité, et assume ta mission de donner, donner, donner l’Esprit que TU ES. Transforme le terreau sur lequel tu es posé en cristal lumière afin que l’information Esprit qu’il contient se révèle aux yeux de tous et de chacun !« 

La prière que JE SUIS adresse à JE
Les révélations de la lumière Photo du 29 avril 2021 par Élodie Lagouy

La parabole du levain

Hier soir, j’ai eu l’image de l’Esprit qui est un délicieux levain qui fermente la farine et l’eau permettant de faire le pain. Le levain a donné au boulanger le mandat de le faire vivre. Le boulanger a pétri la pâte se souvenant longtemps des forces spirituelles que le levain contient, transformant la farine et l’eau en un pain vivant. Puis un jour, le boulanger a oublié les forces spirituelles du levain, croyant que son pétrissage, sa force musculaire, étaient à l’origine du bon goût du pain. Petit à petit il en est arrivé à voir le pain comme une pierre, bien dense, sans vie. Le levain a laissé faire : l’homme a transformé le pain en pierre.

Un jour Jésus est venu et a renversé l’histoire. Il a transformé les pierres en pain afin que l’homme n’ait plus faim. C’est maintenant la fin de la famine, le retour des forces de l’Esprit dans la matière. Notre travail du verseau, des vers de terre Esprit qui transmutent le terreau peut se faire. Ne nous méprenons plus sur qui nous sommes et agissons.

L’action pour maintenant

Notre mission a consisté longtemps à informer nos prochains pour que l’amnésie s’arrête, que la conscience de l’Esprit soit retrouvée, que la présence JE SUIS soit une réalité. C’est encore un peu d’actualité, mais je sens qu’aujourd’hui, nous sommes appelés à aller déjà sur la marche de l’escalier juste au-dessus. Sur cette marche, il est question du nouveau corps, de la fréquence du corps cosmique qui vibre sur la Terre. Sur cette marche nous émettons sur la fréquence divinhumaine de notre mille-feuille dans la conscience que nous inséminons ainsi l’entité humanité manifestée sur la Terre. C’est l’action !


Faire UN avec JE SUIS et LE laisser faire

Je sens personnellement que c’est ce qui va aider mon corps à se libérer des ornières de la matière qui le dévorent encore. Si je ne monte pas sur cette marche, je pourrais pleurer longtemps encore de la dévoration que l’ogre matière veut me faire subir. Mon regard se porte donc sur cette marche du dessus et mes yeux se sèchent, les larmes s’arrêtent. Je peux bien mâcher un peu de purée de cacahuètes, croquer quelques pommes, pourvu que je le fasse depuis la marche du dessus, dans la conscience pleine de l’action que JE mène sous la houlette de JE SUIS, grand fécondateur de l’humanité incarnée. Je ris alors de cette bouche programmée pour téter, de ces papilles avides de goûter, de cet estomac qui veut sans cesse être rempli. Cela n’est que terreau qui attend l’onde de l’Esprit pour être matière-lumière.

https://www.youtube.com/watch?v=WnuFGdAeCkg&t=7s
Depuis la Pâques 2021, les guidances des JE SUIS de chacun renforcent la coopération de l’Esprit et de l’humain.

JE SUIS répartit les responsabilités

JE, encore manipulé par l’être psychique sur le grand écran du film humain, avait décidé d’une chronologie, vu un grand effort à faire pour devenir « meilleur », ordonné un nettoyage de la grande saleté, voulait imposer une rémission des péchés. JE SUIS me dit :
« Détends-toi et vois ce passé qui s’en va dès lors que tu choisis de devenir MOI. Plus tu deviens MOI, moins tu es attirée par la culture humaine d’autrefois. Ne te mêle pas de la manière de faire. Toi, ta responsabilité, c’est de prendre les décisions sur ta destination, sur ton objectif essentiel. Décide de la destination de ce système dont tu as la gestion et moi je te donne les moyens d’y parvenir. Tu dois bien comprendre qu’aujourd’hui tu arrives à une étape où tu sais reconnaître ce que JE SUIS et que ton désir d’être MOI, de me faire exister dans notre création est ta profonde intention, ta seule aspiration. En toute logique, tu disposes de toutes mes forces spirituelles, de toute ma lumière, de toute mon intelligence pour aller joyeusement et aisément vers cette destination que tu choisis. Dès lors que je suis la destination, je suis aussi le chemin, je suis aussi les moyens qui propulsent le véhicule et le transforme au fur et à mesure qu’ensemble nous avançons. La non séparation entre toi et MOI est la clé. Sur la marche de l’escalier où tu décides de te hisser aujourd’hui, après la guérison des peurs, est l’Unité JE-JE SUIS. Je vais t’aider, si tu le veux bien, à renforcer cette réalité dans la conscience que tu as de toi, dans chaque situation que tu vis. Serais-tu prête à renoncer à l’effort que tu as cru être le gage de ta sincérité ? »
Et là, c’est un gros morceau catholique, ascétique qui se montre à moi. Je vois que j’ai le choix entre l’effort humain, et la confiance totale en JE SUIS.

Identifier la destination et m’y laisser conduire

Mon objectif actuel est d’offrir tout mon système pour que naisse la nouvelle espèce humaine, le divinhumain doté d’un corps de cristal lumière. Cela passe par un déconditionnement de mes cellules, leur déprogrammation de la légende humaine dont elles sont imprégnée depuis des siècles. La légende humaine s’est écrite au fur et à mesure que la conscience de l’humanité s’est unie à la matière allant jusqu’à s’identifier à elle au point d’oublier qu’elle EST Esprit manifesté dans la densité, et qu’elle reste ESPRIT.

S’identifier à la matière aboutit à considérer Vérité absolue et incontestable, la compréhension scientifique de la vie terrestre à partir de l’observation de la densité de la création en expulsant toute présence des ondes spirituelles qui la constituent autant que les corpuscules la constituent. Plus la pensée humaine a pris une place prédominante dans la conscience collective de l’humanité, plus la science matérialiste s’est imposée en tant que Vérité absolue, édictant des lois physiques que nul humain n’a le droit de contester sous peine de passer pour une personne insensée.

https://www.youtube.com/watch?v=1CHXVntwWLU&t=2s
La désidentification à nos rôles humains : une étape essentielle pour l’auto guérison de nos peurs. Un processus collectif mené le mardi 27 avril 2021 au service de tous les humains qui le veulent bien

Le chemin du retour à l’Unité

La pensée humaine, outil permettant le libre arbitre indispensable à l’individuation et au JE, a rivalisé avec l’Esprit Créateur, le souffle divin qui s’est manifesté dans le visible dense au point de vouloir le remplacer. La pensée veut être calife à la place du calife et prétend aujourd’hui pouvoir tout régir sur la Terre. Au fil du temps, elle a prétendu remplacer l’Esprit, a écrit une légende sur l’histoire de la vie, sur le fonctionnement des règnes minéraux, végétaux, animaux et humains, sur la place des éléments air, feu, eau et terre. Le boulanger croit dur comme fer que sa force musculaire ou les technologies mobilisées pour pétrir, les petites innovations de ses recettes ou le choix de ses farines sont la raison du succès de son pain. Il a même remplacé le levain par de la levure. Le pain est encore plus dur.

Les religions, continuent bien de parler du Divin et de l’Esprit en tant que source de vie, mais elles sont sont devenues dualistes : la matière corpusculaire d’un côté, et au loin, l’onde Esprit qui, selon le mérite des hommes, condescend à apporter sa manne à l’humanité. Le boulanger n’a plus accès au levain.

Aller fouiller dans les poubelles pour retrouver le levain

Mes cellules, manifestation terrestre de l’être spirituel que je suis, en sont arrivées à oublier l’onde Esprit qu’elles contiennent. Cette onde est même emprisonnée dans le noyau. Mon ADN, présent dans le noyau des cellules qui agrégées les unes avec les autres, forment le corps dont JE SUIS s’est doté pour EXISTER, ne peut s’exprimer que partiellement, la majorité des informations qu’il contient, sont inconnues, restées à l’état de potentiel sans autorisation de se révéler. Les scientifiques de la conscience dominante de l’humanité, nomment ce potentiel « ADN poubelle ». Je sens en moi que cet ADN veut s’exprimer, se déployer, que des séquences de mon génome doivent maintenant se traduire en protéines, livrer l’information divine qu’elles détiennent. De toute urgence, il me faut aller fouiller dans cette poubelle pour y retrouver le levain divin qui va dilater la pâte à pain qu’est ce corps de chair d’où l’Esprit a été expulsé.

JE, désigné par JE SUIS pour gérer Sa Création terrestre composée de matière, de psychologie et de savoirs, est imprégné des croyances de la légende humaine et s’y accroche. JE considère que l’aspect dense du monde dans lequel il mène l’Expérience du libre arbitre et de la responsabilité de représenter l’Esprit sur la Terre est devenu plus vrai que son pays d’origine, sa nature Divine. JE a fini par étouffer la majorité des informations de l’ADN, de l’Esprit, n’autorisant que quelques séquences à se transcrire. L’autorisation de la transcription est soumise à la cohérence du « texte » obtenu, à la légende humaine telle qu’elle s’est imposée dans l’observation de la matière dépourvue d’Esprit, du pain sans levain.

Le souvenir du dispositif

Mais voilà que l’onde JE SUIS a traversé mon atmosphère, que les effluves du levain sont revenues à la conscience du boulanger, que les membranes de mes cellules ont commencé à vibrer et que, par conséquent, le vague souvenir du feu de l’Esprit contenu dans le noyau des cellules a commencé à s’activer dans ma conscience. Voilà que l’être spirituel JE SUIS insiste pour exister sur la terre tout entier, qu’il est dans le désir ardent d’être actif et présent à 100%, qu’il me demande d’être JE SUIS à sang pour sang, chimiquement, biologiquement puisqu’il n’y a aucune différence entre LUI, l’information JE SUIS et sa manifestation dans l’humanité, laissée à la gestion de JE.

Évangiles apocryphes et ADN poubelle : même combat

JE SUIS me dit que sa richesse infinie, enfermée dans les cellules, devenues des geôles verrouillées par la science matérialiste divisant l’onde et les corpuscules, ne peut plus rester secrète, qu’il est maintenant nécessaire de la mettre en commun avec le reste de l’humanité. Je me relie alors à ces évangiles de Nag Hamadi, dits apocryphes parce que les institutions religieuses officielles ont décidé des canoniques. La version officielle, institutionnelle fait dogme, les autres écrit retrouvés sont suspectés de manquer d’authenticité. En fait, les textes retrouvés ne sont pas cohérents avec les traficotages qui ont été faits avec les évangiles de l’origine, avec l’interprétation ecclésiale, pontificale des enseignements apportés par Jésus qui a manifesté le Christ dans l’humanité. C’est clair les autorités religieuses, tout comme les autorités de l’état, exigent que l’enseignement de l’Esprit soit conforme aux décisions matérialistes qui tiennent lieu de vérité expliquant le monde visible et réunissant les humains.

A la découverte de nos évangiles personnels bien conservés dans l’ADN qui veut aujourd’hui se faire connaître

C’est l’heure pour moi de l’inversion, de lire les évangiles du noyau de mes cellules sans plus tenir compte des affirmations que les humains m’ont demandé de prendre pour la vérité, seule et unique, parce que soi-disant, elle serait prouvée par l’observation. Aujourd’hui je sais que l’observateur modifie l’objet de son observation. Si je suis persuadée d’une modalité de fonctionnement de la matière, je vais en avoir la preuve par mon observation. Mon a priori, ma grille de lecture détermine mon observation et vient se confirmer par ce que je vois.

Oser lâcher les repères collectifs qui structure la culture commune

Aujourd’hui, je mets de côté les savoirs qui m’ont été inculqués et décide d’observer le monde depuis mon JE SUIS, depuis ma réalité ondulatoire présente dans les corpuscules et non plus en séparant les deux aspects. La matière est présence de l’Esprit, l’onde Esprit fait vivre les corpuscules qui ne pourraient absolument s’agréger les uns aux autres sans le phénomène ondulatoire porteur de l’intelligence créatrice. Je me souviens que je me suis autogénérée, que j’ai mis en scène et écrit tout ce qui s’est joué, même si a conscience terrestre que j’ai de moi à ce jour est encore influencée par le système des croyances humaines qui constituent ce qui est appelé la science, qui donnent lieu à la morale et aux lois, qui aboutissent aux institutions régissant les peuples au détriment de la souveraineté individuelle inhérente à la divinité de chacun.

Jérusalem Céleste, nous voilà !

J’ai donc besoin d’une aide qui déjoue la force de mon mental qui continue parfois à vouloir se faire plus gros que l’Esprit, à être calife à la place du calife et maintient le conditionnement humain. J’ai besoin du supra mental qui permet de passer outre le pouvoir de la pensée, tellement en phase avec la légende humaine. J’ai cherché une technique, j’ai cherché une personne, par réflexe conditionné, un dieu extérieur est d’abord venu, un énième messie allait me sauver. Et voilà que le parfum aigrelet du levain s’est fait insistant, que les mots murmurés par JE SUIS ont été entendus. Voilà que j’ai su que c’est en montant avec JE SUIS sur la fréquence de l’Unité avec LUI, là où je peux totalement m’abandonner en LUI, qu’IL va activer le levain et repousser les limites de ce corps encore figé, gelé. Lui seul peut m’aider à m’élever au-dessus du monde de la forme, là où la substance subtile peut se répandre sans qu’aucun moule ne la contraigne. Ainsi JE autorise JE SUIS à disposer de sa créature dans sa création pour la mise en œuvre de notre projet d’homme-Esprit unifié dans un corps de matière lumière-lumière, transfiguration de l’ancien corps de chair. Avec son aide JE sors des ornières, des stratégies et des contrôles dont l’être psychique fut un expert. JE ne regarde plus en arrière pour vivre comme avant car rien ne va plus. Je regarde tout droit devant, après la transition, là où la vie Divine a instauré la « jesuislarchie, fraternité de divinhumains souverains. La Jérusalem céleste est là, j’y vis déjà à chaque fois qu’avec JE SUIS, je suis, sans plus suivre une autre voie.

2 commentaires sur Et soudain, le boulanger se souvint du levain

Après le Petit Poucet, les pas des géants

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Le point sur la situation du moment

Voici l’humanité arrivée à un carrefour déterminant. C’est l’heure du choix de la voie à emprunter pour continuer le chemin. Longtemps nous avons marché dans les sombres forêts où nos parents de chair nous ont conduits parce qu’ils ne savaient pas nous fournir la nourriture dont nous avions besoin pour grandir. Ils ont fait de leur mieux, se sont concertés pour savoir comment faire et finalement ont compris que le seul moyen pertinent c’est que ces enfants affamés d’Esprit trouvent eux-mêmes l’abondance de leur JE SUIS, construisent leur autonomie, déclarent leur souveraineté en se souvenant qu’ils sont des géants, des Divins créateurs.

Toutes les expériences ont été au service de la conscience

Il nous a fallu expérimenter toutes sortes de situations, d’échecs dans la quête de satisfaction, de plaisirs éphémères confondus avec la joie. De rochers de Sisyphe en sirènes d’Ulysse, de compréhensions limitées à notre raison en éclairs de génie tout droit venus de nos intuitions, la voie a fini par se dessiner. Le chemin se fait en marchant. Tout à coup le pèlerin se retourne et voit le changement qui s’est opéré dans sa conscience, constate qu’il s’approche de la Lumière à l’intérieur de son cœur, du lieu sacré qu’il croyait à l’extérieur dans la création dont il est en fait l’auteur. Les mirages disparaissent, la Vérité peut se dire : JE suis ce que JE SUIS, JE suis le Divin Créateur des créations et des créatures, JE et JE SUIS peuvent ne faire qu’un, le séparateur est reconnu, confronté, maîtrisé. Satan le séparateur va encore essayer de diviser l’Esprit et la matière, va tenter sans doute le pèlerin qui poursuit son chemin d’Unité de maintenir le corps dans les croyances expliquant la matière dense en expulsant l’Esprit et ses ondes divines pourtant à l’origine de tous ses mouvements.

Dans le jardin des « dames-d’onze-heures », ou « ornithogales en ombelle » offrent leur charme. Improprement nommées parfois « étoiles de Bethléem » qui sont elles des ornithogales d’Arabie, tant leur parenté et leur ressemblance les rapprochent. Mais l’heure n’est plus à la confusion, le discernement est de rigueur !


Petit Poucet au géant ?

A cet endroit de l’évolution, le Petit Poucet peut simplement se souvenir qu’il est un géant, à l’abri de l’ogre dévorant les enfants, parce que simplement, en vrai, il n’a jamais été un enfant. De toute éternité il est un être Divin, éternel, grand, très grand. Il comprend qu’il s’est identifié à la légende humaine et cru qu’il était dépendant des parents, des présidents, de ceux qui font des discours, qui coupent court à l’expression de ce qu’il sent qu’il EST.

C’est la fin du film, le grand réveil de la conscience. Le géant sent, sait qu’il est l’auteur et le producteur de tous les péplums, de tous les feuilletons, de toutes les séries qui ont servi à expérimenter la vie sur terre pour forger la main de fer du souverain. Le libre arbitre à exercer dans la dualité de la densité aboutit aujourd’hui, là maintenant, à la possibilité de choisir :
Suis-je matière, Petit Poucet condamné à la peur de manquer, à la faim et à la mort ?
Suis-je le Divin Créateur, grand orchestrateur de ma propre évolution, fournisseur illimité de tous les moyens nécessaires à l’expérimentation, pourvoyeur d’Amour sans condition ?

Le choix de la voie, c’est maintenant pour ceux qui sont réveillés

Le Géant et le Christ ne font qu’un, le Divin Créateur est enrichi du retour de ce Petit Poucet qui a vaincu la nuit, terrassé les monstres et les dragons et s’est renforcé de sa victoire sur les illusions. Sur le chemin de l’Unité rétablie dans sa Vérité, le géant va continuer son œuvre avec la Terre et l’humanité dans la sérénité de la puissance de l’Esprit qui agit par lui. C’est la grâce offerte au pèlerin qui choisit de servir le Christ puisqu’il sait que le Christ et lui ne sont qu’un, puisqu’il sait qu’il est conscience solaire, qu’il sait qu’il est lui-même l’être suprême, autofécondé, autogénéré, autogéré. C’est le moment de la « jesuislarchie », de la gouvernance par le JE SUIS de chaque souverain vivant en totale harmonie avec son semblable et prochain.
Pour le maintien dans le rôle du Petit Poucet, il y a encore des forêts de l’inconscience, de l’attirance pour la lumière qui mène à la maison de l’ogre, des repères illusoires sur le chemin. Il y a durcissement de l’expérience de la matière qui se cristallise au lieu de se spiritualiser. Il y a plus de technologies, plus de chimie, d’utérus externalisés pour faire des bébés clonés, des poisons qui viennent visiter l’ADN et le génome. Les âmes sont expulsées de la densité, l’homme démiurge ne voit que la pensée née de la matière où la vie doit sa présence à un hasard bien inquiétant. Le règne des peurs a encore de beaux jours devant lui…

https://youtu.be/1CHXVntwWLU
L’émission spéciale du 27 avril 2021 consacrée à l’auto guérison des peurs de l’humanité.

Comprendre le film de l’existence

Le jeu des projections et des identifications à nos rôles et nos fonctions conduit à une grande confusion. Nous croyons longtemps dur comme fer, dur comme « faire » aussi d’ailleurs, que nous sommes ces personnages qui agissent, ont des responsabilités, du travail à faire, des rangs à tenir. Ce système d’identification est ce qui est communément appelé l’égo, instance trop souvent confondue avec la totalité de la personnalité ou avec le mental.

Grâce à la confusion, il y a aspiration à la Vérité

Dans la nécessité de cette confusion qui nous fait aspirer un jour à la Vérité de ce que nous sommes, nous en venons à omettre la présence de l’auteur sacré des films que nous jouons. Or, il y a bien un auteur qui écrit soigneusement tous les scénarios des films, feuilletons et séries dans lesquels nous jouons avec sérieux et application. Cet auteur est aussi le producteur, celui qui finance, donne les moyens de la réalisation de ces superproductions bien plus passionnantes que ce qu’Hollywood nous donne en pâture.

Une image reçue de JE SUIS dans ma conscience et mise en humanité par Élodie LAGOUY

Le « JE », réalisateur parfait du film

Dans ce dispositif, notre « JE » est le réalisateur des films. Il fait les repérages pour sélectionner les endroits où les films vont être tournés, il choisit ses partenaires de jeu et ses accessoires, il fait la mise en scène et la direction des acteurs. JE, ce brillant réalisateur a toute la confiance de l’auteur et du producteur qui l’a scrupuleusement choisi et formé à sa convenance.
Mais parfois le réalisateur va tellement près des scènes qu’il veut voir à l’écran, qu’il oublie qu’il fait un film et qu’il est au service du producteur/auteur. Il plonge dans ses films, en devient lui-même l’acteur, improvisant son texte et réagissant au jeu de ses partenaires sans même se soucier d’écouter ce qui émane vraiment de lui.

Le rappel constant de l’auteur-producteur

Inlassablement, le producteur qui a recruté le réalisateur et le mandate pour s’exprimer dans le monde par son œuvre cinématographique, le rappelle. Il prend son porte-voix et depuis son fauteuil qui lui permet de toujours avoir la vue de son projet, il dit le sens, il redonne des moyens, il guide, il rappelle qu’il désire la joie et la simplicité dans la manière de réaliser.
JE SUIS, notre Moi Divin est cet auteur producteur qui guide sans cesse le brillant réalisateur, qui invite celui-ci à venir se rasseoir près de lui, à se décoller de l’écran où nul recul ne permet de voir l’effet de ce qui est tourné.
Dans l’apparence, il y a de nombreux films. Des scénarios différents les uns des autres, des acteurs divers plus ou moins beaux, plus ou moins jeunes, des intrigues spécifiques. En vrai, tous les films sont un seul film, le film de l’existence d’un humain, où les épisodes se succèdent jusqu’à ce que l’auteur puisse dire : « Enfin, j’existe ! Ce que JE SUIS est fidèlement manifesté sur la terre au sein de l’humanité. Enfin JE iniste, le réalisateur se souvient que je suis son soutien, son donateur, son inspirateur, que nous sommes UN ».

S’asseoir dans la salle et ne plus aller se coller à l’écran

La conscience du réalisateur se renforce, il met chacun à sa place, il sort de la confusion. Il sait où est son intérêt. Il a l’expérience de l’épuisement dans les rôles où il perdait la maîtrise de lui-même et des acteurs qu’il avait à diriger, il se souvient de la perte de son discernement lorsqu’il était immergé dans les scènes. Mais surtout, il garde une douleur affreuse dans son ventre des peurs paralysantes qui le tenaillaient dès qu’il jouait l’un des personnages de ses films. Ne sachant plus le sens de sa présence, il ne pouvait que suivre les influences des acteurs, des lieux, des objets qui l’entouraient. D’une certaine façon, le réalisateur était un enfant soumis à d’autres que lui. Il se souvient aussi que malgré le porte voix de l’auteur producteur, malgré la possibilité qu’il avait de toujours communiquer avec LUI, il ne parvenait pas à le contacter. Terreur, absence de sens, tourbillon d’une vie sans signification, sans perspective. Alors que tout est éphémère autour de lui, il ne voit que cette impermanence. Il mesure alors l’immensité de son désespoir, de sa peur.
Il prend la ferme résolution, bien sage qu’il est devenu maintenant, de ne plus aller se coller à l’écran et de maintenir avec l’auteur producteur la proximité nécessaire à la conscience du sens de leur œuvre qu’il sait commune, une.

L’abeille a trouvé le thym serpolet.
La conscience des abeilles est là, pour le jour de transition.

Le grand luxe : regarder tous les films, dans la salle, à côté de JE SUIS

Tout en continuant à réaliser le film en cours, la dernière super production du moment, celle qui fait vraiment vivre le Christ sur l’écran au point que le public le sent, le réalisateur revoit ses plus anciennes œuvres, celle de son enfance , quand il était humain débutant, encore ovin, oublieux de son statut de créateur absolu.
Il est encore tenté parfois de sauter à pieds joints sur la scène là où le film est projeté, tant son ressenti est réveillé par les images qu’il voit, les bruits qu’il entend, les parfums qui lui reviennent en mémoire, les saveurs qui l’appellent et le font saliver, l’envie de sa main qui cherche à toucher, le désir de sa peau d’être caressée. Les émotions ressurgissent, les sentiments l’envahissent, les pensées le saisissent. Il a parfois du mal à se maintenir dans le fauteuil de la salle à côté du producteur auteur. Il croit encore qu’il pourrait améliorer le personnage qui gesticule à l’écran.
Mais voilà qu’il a développé en lui la capacité à entendre son JE SUIS. Un simple murmure suffit, un souffle chaud ou frais sur sa joue, la sensation de son cœur rempli d’une substance à la fois douce et rassurante, l’impression de détenir en lui de la puissance est là, faible encore mais bien là. Il n’y a plus de séparation. Auteur, producteur et réalisateur sont unifiés.
Le JE a alors même la possibilité de rétroagir sur les vieux films, de modifier quelque chose. Non pas ce qui s’est passé, mais la manière dont il le regarde. Vu du point de vue de JE SUIS, tout prend un autre sens, a une autre envergure. Il n’y a plus de souffrances, plus aucune émotion, plus le moindre petit besoin.

Dans le sein de JE SUIS, je demeure et jamais je ne meurs

Le géant est vivant. Le Petit Poucet du début de l’histoire a fini son temps. D’enfant il n’y a plus, il y a compréhension de l’étape qui fut pour devenir confus et chercher la Vérité, pour en finir avec la dualité où Satan sut si bien séparer. L’enfant lui-même était une illusion, une histoire que les humains se sont racontée au point de la croire. En vrai, il y a le créateur qui a tout organisé, donnant une forme à sa création, animant la créature qu’il a autogénérée sans jamais l’expulser de LUI.
JE comprend, sent, constate. Jamais il ne lui aurait été possible de se dissocier de JE SUIS. Sans producteur, pas de moyens pour les films, sans auteur pas de scénario à interpréter. Et dire qu’il avait cru être abandonné, avoir été obligé de piller son environnement pour errer sur la Terre, il avait cru être impuissant, identifié à tout ce qu’il voyait mourir, dépérir, souffrir.
En revenant dans le sein de JE SUIS, en se souvenant qu’il fait UN avec LUI, JE retrouve sa demeure et sait que jamais il ne meurt.

Avènement de la nouvelle espèce humaine

Le géant ressuscité et augmenté de l’expérience dense du libre arbitre offert à sa conscience humaine sait aussi qu’aujourd’hui en ce jour d’avril 2021, il est là pour faire vivre le divinhumain, l’espèce qui succède à l’être de transition qu’est l’homme ovin pensant qui montre aujourd’hui son bâillon, honteux sûrement de sa propre trahison.
Ce géant abandonne la lutte avec sa nature profonde et s’en remet au Divin Créateur qu’Il est. Il se laisse nourrir par la flamme de l’intérieur, s’autorise à faire luire la lumière qu’il contient, accepte d’émettre sur la fréquence de l’être suprême qu’il sait être.
La forme de son corps, les aspects de son être psychique sont sur l’écran de la salle de cinéma. Les films furent vraiment intéressants dès lors qu’il les regarde depuis le confort de son siège royal, dans une belle salle qu’il reconnaît cosmique, stellaire. Le JE se laisse traverser par les ondes de JE SUIS qui agit à travers lui sur la Terre et dans l’humanité. JE accepte de se laisser mouvoir par l’Amour, il n’est plus préoccupé qu’à ÊTRE, à donner. La chenille est devenue papillon, plus de reptation dans la poussière, mais un joyeux vol dans les airs et la lumière…

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Petits éclairs sur le chemin de Pâques à l’Ascension

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Depuis le début de 2021 et encore plus depuis la Pâques, les prises de conscience se succèdent à la vitesse du TGV. Les grâces du Christ pleuvent, éclairant les zones ombragées une à une, irrigant les cellules rendues arides par la légende humaine incrustée. Pour tout être qui désire accueillir l’onde de la conscience solaire, c’est un festival quotidien. Ma journée du 15 avril s’est montrée particulièrement féconde et j’ai été inspirée à formaliser ce qui se montrait puis à en faire un sujet de guidance. Je mets ici ce qui est venu au fur et à mesure de l’écoute intérieure, de l’écriture, du questionnement.

L’Apocalypse se révèle, un peu… mais quand même !

Les 2 sceaux de l’Apocalypse

Au moment de l’Apocalypse décrite par Jean, le prophète qui entend et a les visions, il est question des deux sceaux bien distincts apposés sur le front des humains et aussi sur la main pour l’un d’eux.

Le sceau du Christ et le sceau de la bête connue aussi par sa dénomination numérique par le nombre 666. C’est ce second sceau qui figure sur la main droite de certains humains.

Cette compréhension du texte m’est parvenue ce matin, au lendemain de l’engagement renouvelé à servir le Christ, à offrir l’évolution de l’homme pensant actuel en homme-Esprit Unifié en Christ toutes mes ressources corporelles, psychologiques et spirituelles et plus s’il y en a. Elle est évidemment totalement partielle car dépendante du niveau de conscience qui est le mien aujourd’hui et j’entends bien que cette compréhension va s’enrichir au fur et à mesure que ma conscience va grandir, s’élever.

Le sceau du Christ, de l’Agneau de Dieu

Aujourd’hui 15 avril 2021 je perçois que l’humanité, invitée à choisir sa voie, à s’engager dans son choix de la vision du monde se sépare en deux camps reconnaissables par les sceaux :

Le sceau du Christ sur le front des 144 000 personnes qui l’ont choisi d’une part, et le seau de la bête sur le front et la main droite, pour les autres.

Il me semble que le sceau unique du Christ sur le front signifie que l’homme qui choisit cette voie, abandonne sa pensée humaine binaire et linéaire et revient à sa nature spirituelle qui comprend l’intelligence supramentale et la guidance par l’Esprit Saint, sa souveraineté délibérément mise au service du Christ. Le sceau agit tel un talisman qui élève la fréquence. On reconnaît « l’agneau de Dieu », Agni, le dieu du feu des hindous, le bélier sacrifié par les juifs d’Abraham, l’Agneau que Jésus symbolise, l’agneau que les musulmans sacrifient pour les deux Aïds. Tout à coup, je vois le feu de l’Esprit Saint nommé par l’Agni, rassembler toutes les traditions et hisser tous les humains sur la fréquence du Principe Divin Créateur.

D’ailleurs les 144 000 personnes rassemblées autour du trône du Christ qu’ils génèrent en se reconnaissant les uns les autres, me semblent désigner un 12 fois 12 multiplié par 1000. Il est probable que Jean fasse ici allusion aux 12 tribus d’Israël et aux 12 peuples arabes nés du temps de Jacob et d’Ismaël. Moi, je vois dans les 12 fois 12 les 12 signes du zodiaque en tant que signes solaires et les 12 autres en tant qu’ascendants. Cela parle du fait que les humains ont fait le tour du zodiaque en expérimentant tous les signes solaires et tous les ascendants, qu’ils ont donc vécu toutes les formes possibles de personnalité, de tempérament et ainsi accompli tout ce que l’incarnation humaine dans la matière permettait au libre arbitre de décider.

La multiplication par 1000, on le sait même si on n’est pas un grand ésotériste, parle d’un grand nombre, d’une multiplication sans restriction. Le sceau du Christ sur le front dépend de notre choix souverain et non pas d’une appartenance à une église ou une tribu. Le fait d’être dans le peuple élu ne dépend même pas de notre mérite ou de notre bonté, mais de notre décision au moment du choix. Le bilan est fait par le souverain et selon ses conclusions il choisir la voie qui lui convient : celle du Christ ou celle de la bête.

Le sceau de la bête

Le sceau de la bête est double bien évidemment : sur le front le sceau de Lucifer, et sur la main droite le sceau d’Ahriman. Lucifer sur le front s’occupe de la confusion entre la pensée et l’Esprit, de cultiver une morale du bien et du mal par un idéal savamment argumenté, se faire passer pour un authentique être de lumière messianique libérant les humains des fers mordants de la matière. Il maintient les chercheurs de prodiges spectaculaires dans le plan astral de la Terre. Il est la seconde bête qui conduit à en admirer une première.

Cette seconde bête, c’est Ahriman sur la main droite qui s’occupe de l’action dans la matière, du travail qui continue pour que la conscience humaine soit asséchée de l’Esprit qui l’a créée, qu’elle soit emprisonnée dans la matière. Le double sceau est apposé sur les humains qui adorent ces énergies lucifériennes et ahrimaniennes, qui vénèrent leur pouvoir de guérison (si, si c’est écrit, il est question des prodiges accomplis par la bête en matière de santé quand l’humanité s’apprête à mourir !), qui blasphèment contre le Divin, qui profanent le sacré.

Bien évidemment, selon mon interprétation du moment, la bête n’est rien d’autre que la science matérialiste dont j’ai déjà dit et écrit qu’elle est actuellement érigée au rang de religion d’état, dogme incontestable et dont la double face diabolique se présent par Lucifer et Ahriman.

La référence du chapitre 13 du texte de l’Apocalypse de Jean

Pour ceux qui sont intéressés, je renvoie simplement à la lecture du chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean qui contient 18 versets au total et m’apparaît dans une limpidité accessible à un enfant. En le mettant dans le contexte d’aujourd’hui, je trouve le texte fulgurant de puissance et de sens, source d’une motivation formidable pour choisir son camp. La fin de la dualité se vit dans le paroxysme du 2, avec ce choix ultime pour nous-mêmes et pour le monde que nous voulons aujourd’hui.

Je mets ici le lien pour accéder à l’une des nombreuses versions de la bible, ici catholique.

Si vous avez envie de ressentir les ondes émises lors de l’évocation des sujets repris ici dans l’émission donnée en direct le 15 avril 2021, c’est possible ici, en cliquant ci-dessous.

https://youtu.be/src9oHrQc0Q

Quand le langage précise la manière de nommer le Christ et de définir le supramental

Une formulation possible pour évoquer le Christ par le langage 

Le Christ est étymologiquement, un être « oint par le Divin », et donc un ambassadeur humain de l’Amour Principe Créateur, Information Divine à l’origine de toute création. Sa modalité d’être est perceptible sur la Terre par l’observation de l’astre solaire qui éclaire et réchauffe toutes les formes de vie sans condition. Logique puisque l’être spirituel que notre Soleil est, est une réplique locale et parfaite du Grand Soleil central des Univers, autrement nommé Dieu dans la tradition. En ce sens, il pertinent de dire que le Christ est la conscience de notre astre solaire, comme Marie est la manifestation humaine de la conscience de la planète Terre.
Le Christ est donc aussi, en toute logique une fréquence présente dans chaque humain, dont la constitution est une sorte de mille-feuilles de fréquences.

Prise de conscience de ce matin au sujet de la nature du supramental 

Le supramental m’apparaît en tant qu’intelligence émanant de la fréquence du Christ et qui permet à l’humain d’accéder à une compréhension de lui-même et de la vie terrestre incluse dans le cosmos en évolution. Le supramental est à l’homme-Esprit unifié en Christ ce que le mental est à l’homme animal, un outil de lecture du monde. L’outil permet de passer de la linéarité à la circularité, de la chronologie au non temps, de la logique de « cause à effet » à l’organisation de tout processus depuis et par le sens évolutif qu’il contient. Tout processus est tracté par le sens évolutif : le futur génère le passé ! Cela est une vision supramentale de l’expérience de l’existence.

Un point zéro ou un point UN ?

A la suite d’une question qui m’était posée au sujet du point zéro, voici l’éclairage reçu et e que j’ai répondu.
Je ne sais pas trop quoi en dire car je ne connais pas ce qui est dit sur le sujet. Cette expression évoque pour moi, une information initiale de nous-mêmes, notre Moi Divin, notre JE SUIS, « avant » sa manifestation humaine sur la Terre. Ce serait notre côté « vierge », identité absolue dont l’information est présente corporellement dans une « cellule souche » gardienne de la Vérité dans notre corps.

Cette question est importante pour moi qui suis intéressée en ce moment par la capacité des souverains divinhumains que nous sommes, à autogénérer les formes dont nous avons besoin dans la matière pour notre corps-temple sacré. Organes, remise en place de l’ordre divin et de la Vérité dans les cellules, pleine santé, immortalité trouvent leur base dans cette cellule souche contenant l’information de notre identité divine, dans la présence JE SUIS permettant la transfiguration, la résurrection et l’Ascension de la chair.

C’est probablement ce point zéro ou plutôt point « initial » qui est à découvrir et à activer. En écrivant je vois comment il y a détournement diabolique de l’information. En effet, il ne s’agit pas d’un point zéro, qui vibre sur la fréquence du nul et du néant créés par le mental humain oublieux du Divin, mais bien d’un point initial, le point du principe créateur, de l’Amour primordial, qui est à trouver en nous dans l’espace sacré du cœur. Le point de l’identité absolue ne peut en aucun cas être un point zéro, mais au contraire un point « tout », un point Unité.

10 commentaires sur Petits éclairs sur le chemin de Pâques à l’Ascension

L’affirmation de la souveraineté, la conscience de l’immunité

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Le moment est important

Il est banal de dire que l’époque que nous traversons revêt un caractère exceptionnel dans l’histoire moderne de l’humanité. L’année 2021 invite chaque humain à choisir le monde qu’il veut voir arriver demain. Que nous le voulions ou non, des options sont à prendre pour notre vie individuelle et pour la vie ensemble.

Le vieux monde est essoufflé, les structures anciennes s’effondrent une à une, les places occupées par chacun sont contestées, les démocraties qui semblaient à beaucoup le meilleur moyen d’organisation des sociétés sont devenues dans les faits, l’opposé de leur définition. La mondialisation des économies a progressivement amené une globalisation de tous les systèmes qui, autrefois, étaient l’apanage des nations. La fascination pour les technologies, l’admiration de la chimie élevée au rang de magie, la priorité accordée à la rationalité limitée à la seule matière, ont conduit à l’autoroute du transhumanisme où chantent les sirènes de l’intelligence artificielle, où les outils nous asservissent.

L’individuel et le collectif

L’individuation a fait son chemin : l’âme groupe d’autrefois n’est plus et chaque humain est bien une entité spécifique, un individu an capacité de dire « JE » en sachant ce que représente ce JE. Il reste certes un grand besoin d’appartenir encore à des groupes, plus pour s’y diluer mais pour y être soi. Il est remps en effet de construire désormais des sociétés où chacun conserve sa spécificité et se relie à son prochain. La fraternité du verseau nous appelle, constituée par des êtres souverains, où l’anarchie régie par l’Amour peut s’envisager. Les gros mots sont lâchés car oui, l’heure est arrivée !

Le carrefour de maintenant

Le carrefour auquel nous nous trouvons aujourd’hui nous offre, sans surprise, trois possibilités de choix pour notre avenir :

  1. La voie de l’homme augmenté par les technologies, la chimie, l’écologie, la science matérialiste devenue religion planétaire obligatoire.
  2. La voie de l’homme augmenté par l’Esprit, sa nature d’origine, inspiré par l’Amour absolu qui le constitue, guidé par sa reconnaissance du sacré, conscient de sa responsabilité personnelle au sein de la collectivité.
  3. La voie de l’absence de choix, de la croyance en son impuissance, de l’abstention, de la remise de son pouvoir de décision à autrui.

Le choix de la voie appartient à chacun, en fonction de nos valeurs, de nos aspirations, de notre foi. Depuis une année, nous avons vu naître des clivages entre les humains. Des fossés sont apparus, séparant des amis, coupant des liens familiaux, rendant inconciliables des représentations de la situation vécue. Au moment de l’unification inspirée par l’Esprit, le séparateur fait son œuvre… L’invitation à assumer son positionnement est décidément au centre de la tempête. Et comme toujours dans ce cas, les exercices pratiques sont donnés.

Et concrètement, c’est comment ?

Le cadre est posé, les éléments de l’équation sont connus. Reste à mettre en œuvre, à décliner dans le concret la voie que chacun décide d’emprunter. Personnellement, le choix de l’homme-Esprit unifié et souverain vivant en « anarchie fraternelle » où l’Amour est la loi, est le mien. Cette option générique, si elle est prise depuis plus de 30 ans, demande sans cesse à être confirmée par mes décisions du quotidien. En aucun cas, l’idée théorique du monde ne suffit, JE SUIS veut du concret, de la cohérence entre ce qui est dit et ce qui est fait.

Les deux décisions de la fin de l’hiver

Avant l’éclosion totale du printemps, j’ai été conduite à confirmer par mes choix, mon engagement dans la voie de l’unification de ma condition humaine avec ma nature divine pour que vive sur la Terre la « divinhumanité ».

La première décision consiste à investir toute mon énergie, toute mon attention sur la construction du nouveau paradigme qui doit succéder à la société qui s’effondre. Pas question en effet de lutter contre ce qui est encore là, si insatisfaisant, injuste ou insensé que cela me semble ! Pas question de chercher à restaurer l’ancien monde en mettant de l’enduit sur les fissures, en le repeignant avec un peu de doré ! Non, ce passé d’homme animal doté de pensée mais toujours en mode survie et instincts, n’est pas ce que je choisis de nourrir. Je choisis d’offrir ce que JE SUIS me donne au monde qu’IL m’inspire, à l’inconnu qui se construit au fur et à mesure que je m’unifie, que je me désidentifie des rôles humains et que je dis humblement oui au Divin. Dès aujourd’hui, j’agis avec l’intelligence spirituelle que me donne le supramental, je n’attends pas demain. Dès aujourd’hui, j’agis par les voies de l’Esprit en ne m’épuise plus en me battant contre les vieux moulins à vent, en contestant le système actuel à l’agonie et sans doute conscient de sa mort imminente. La verticalité que m’offre JE SUIS est sacrée, je l’honore en la servant et en m’en servant.
De nombreux frères et sœurs sur cette terre agissent de leur côté avec courage en confrontant les institutions, en utilisant le droit, la négociation, en modalité 3D ; je reconnais la pertinence, le bienfondé de ces actions et considère qu’elles sont complémentaires de celles menées par les voies de l’Esprit. Il me semble que là, comme ailleurs, la congruence est nécessaire, chacun étant invité à identifier le registre qui est le sien.

La seconde décision consiste à prendre position ouvertement dans le champ social où je vis mon incarnation, en utilisant toute la liberté que les règlements de plus en plus restrictifs me donnent encore. En l’occurrence, je fais le choix d’affirmer ma souveraineté et de dire ma foi en mon système immunitaire, refusant ainsi le poison présenté comme l’agent protecteur de mon corps.
L’ingénierie sociale rendue visible depuis un an est basée sur la peur et la culpabilité, les deux grands piliers de toutes les religions et sectes. Les outils de propagande sont mobilisés à leur maximum pour affaiblir le « JE » et faire de chaque humain un être normé, docilement soumis à ce qui sied à ceux qui prennent les décisions. Je vois évidemment là, l’inversion totale de ce que les forces d’évolution invitent les humains à faire. Il est en effet remarquable de voir comment le projet transhumaniste mondial est dans ses moindres détails, la traduction inversée de ce que l’Esprit inspire aux humains pour qu’ils s’unissent à leur divinité.
Mon choix est donc d’affirmer ma souveraineté en reconnaissant la loi de l’Esprit au-dessus de tout et d’assumer l’incarnation en moi de l’autorité suprême sans jamais la déléguer.

A la fin de l’hiver, au bout du chemin qui revient à la maison…

Ma contribution au collectif humain

Pour acter mes deux décisions, j’ai été inspirée d’une part à formaliser à partir de mon « JE » une déclaration de souveraineté et de foi en mon immunité, et d’autre part à lancer dans la conscience collective humaine une invitation à s’inscrire dans l’onde d’Amour absolu de nos JE SUIS pours ses créatures, pour les humains que nous sommes, en utilisant chacun pour soi-même cette déclaration de souveraineté et de foi en notre système immunitaire. Je ressens là une union entre le plan visible formalisé et l’action par les voies subtiles de l’Esprit.

L’intention de la déclaration de souveraineté

La déclaration est une affirmation de soi, de son « JE », sans aucun combat contre quoi que ce soit. Nulle revendication ne figure dans ce document qui n’est qu’un positionnement personnel, une affirmation de la singularité reliée à l’identité spirituelle de chacun. Face aux vents dominants qui abattent et font plier, se dresse là l’objection de conscience qui rappelle que face à JE SUIS, « JE » est responsable en première et dernière instance de tous les choix, tout au long de l’expérience terrestre. Décider en son âme et conscience est au centre de la problématique actuelle, la démarche proposée est d’abord de soi à soi, pour ensuite être en capacité de faire face au vent fripon qui pourrait nous faire chuter.

Comment s’approprier la déclaration de souveraineté ?

La déclaration de souveraineté et de foi figure ci-dessous et peut être, selon le choix de chacun recopiée, reprise, personnalisée, diffusée afin qu’elle soit le support de l’onde d’Esprit qui fait de chaque personne un roi, une reine et qui cherche à toucher les consciences de tous les humains, appelés à s’unifier à leur Moi Divin.

Si toi qui lis ces lignes aujourd’hui, tu souhaites t’inspirer de ce que j’ai écrit dans ma déclaration, et établir ta propre déclaration, recopie le texte qui figure plus bas et remplace les informations me concernant par tes propres données. Tu auras alors une déclaration personnalisée que tu modifieras et agenceras librement selon ta créativité. Je te demande alors de retirer mon nom du document que tu auras établi.

Si tu n’as pas le désir de prendre aussi radicalement position en ton nom et que tu souhaites néanmoins participer à l’onde d’Esprit qui veut se déverser sur la terre, contente-toi de diffuser autour de toi le document à mon nom tel qu’il figure ici sans le modifier, respectant les détails et laissant apparaître mes coordonnées, afin que je puisse assumer entièrement ce qui est transmis. Tu disposes un peu plus bas d’une image de ce texte que tu peux copier.
Dans ce même registre, il t’est possible d’inviter tes contacts à regarder l’émission que j’ai faite en direct sur YouTube le mercredi 10 mars dernier.

https://www.youtube.com/watch?v=LFW99rxd2q8&t=16s

Si le cœur t’en dit, témoigne de ton positionnement autour de toi, sans chercher à convaincre ou argumenter, dans la conscience que, inspiré par ton JE SUIS, tu nourris l’onde d’Amour absolu de nature à renforcer le « JE » souverain de tous les humains. C’est ta manière d’agir par les voies de l’Esprit.

Le texte à recopier par la méthode copier coller en vue de sa personnalisation

Je dis oui à ce que JE SUIS, je dis non au poison
En ce jour du 10 mars 2021 après Jésus-Christ
JE dis oui à ce que JE SUIS et je dis non à tout poison.
JE,
Conscience qui régit la créature humaine issue de la Créatrice Divine que JE SUIS, co-responsable de la création terrestre,
gestionnaire de mon corps, garant de ma santé et de mon intégrité
Affirme :Reconnaître la volonté de mon Moi Divin en tant que seule et unique autorité
Accorder une totale confiance à mon système immunitaire
Pouvoir activer moi-même les forces spirituelles internes de guérison en cas de besoin
Que le corps dont j’ai l’entière responsabilité sait à la perfection vivre en harmonie avec les virus, les bactéries et les microbes inhérents et nécessaires à toutes les formes de vie sur la terre
Me reconnaître souveraine, détentrice de l’autorité suprême, et ainsi décider par moi-même de ce qui est bénéfique pour mon corps, ma personnalité et ma conscience
Par conséquent, au nom de la morale et de la conscience que j’ai de moi,
JE décide :
De refuser l’absorption et l’injection de tout produit attentant à mon intégrité ou que j’estime contraire à l’Esprit que JE SUIS
Considérer la loi ontologique qui régit mon être, supérieure à toute loi humaine qui lui serait contraire
De refuser toute décision d’autrui me concernant sans mon accord explicite
De respecter et donner priorité à ma nature divinhumaine en toutes circonstances
En mon âme et conscience, je refuse par conséquent toute vaccination.
En mon âme et conscience, je refuse tout objet ou produit entravant ma libre respiration, ma libre expression.
Marie-Odile, passée par la famille Sansault
pour s’incarner et naître en humaine le 19 janvier 1957.

Démarche d’objection de conscience face à la menace des vaccins-poisons imposés
Marie-Odile Sansault www.unite-jesuis.com
et sur YouTube : https://www.youtube.com/channel/UCScVnesUk5l-9qf-0hKcsrA

Le texte à diffuser tel quel sans modification en recopiant l’image

10 commentaires sur L’affirmation de la souveraineté, la conscience de l’immunité

Les émotions : un accès à l’abondance divine

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Dans cet article rédigé en février 2021, je transmets un enseignement fondamental reçu du monde spirituel en 2007 et plus que jamais d’actualité aujourd’hui. Les « guides » expliquent que les émotions sont la « cuisson alchimique » de la psyché humaine, qu’elles ont vocation à hisser chacun de nous à sa source divine pour que nous retrouvions l’abondance qui satisfait tous nos besoins, absolument tous nos besoins.
En route pour comprendre comment nos émotions sont une porte d’entrée à la foi, au constat de la présence divine en soi !

L’archange Michaël de St Michel-Mont-Mercure en Vendée
Photo d’Élodie Lagouy

Avec JE SUIS, aidé de l’archange Michaël, prendre de la hauteur
et gérer ses émotions, mêmes celles qui nous semblent les plus sombres.

Connaître et reconnaître les émotions

Physiquement, l’émotion est :

  • un mouvement intérieur en réaction à un phénomène extérieur,
  • une énergie qui s’empare du corps en provoquant une dilatation ou au contraire, une contraction,
  • un phénomène qui provoque une accélération du rythme cardiaque et une modification de la respiration qui s’accélère ou se bloque.

La perception de l’énergie qui traverse le corps lorsque nous vivons une émotion est la base de sa maîtrise. Le corps est le tableau de bord du pilote que nous sommes invités à être au nom de notre JE SUIS.

Psychologiquement, 4 émotions « chef de file »

La vague des émotions

Au sens strict du terme du mot émotion, mouvement intérieur qui cherche à se manifester en réaction à un phénomène extérieur, il existe 4 grandes émotions : la tristesse, la colère, la peur et l’euphorie. Je précise plus bas les causes et la nature de chacune de ces émotions ainsi que la manière de les gérer, et même d’en profiter.
Elles peuvent se combiner entre elles dès lors que l’événement extérieur qui les provoque est complexe.
Les émotions peuvent aussi se combiner avec d’autres manifestations psychiques comme les sentiments qui résultent des phénomènes d’attraction/répulsion, des pensées qui résultent de nos activités cognitives, des états d’être tels que joie, plénitude, sérénité, anxiété, dépression, etc.
Plus l’émotion est mise en conscience rapidement après sa survenue, plus il est aisé de la traiter, moins elle se combinera avec d’autres aspects de la personnalité.
Les émotions de notre bagage personnel sont formées dans les sept premières années de l’existence et sont la conséquence d’un besoin psychique de l’enfant qui n’a pas été satisfait par les adultes qui l’entouraient et qui a donc provoqué alors un état de manque. Tout au long de notre expérience terrestre, nous voyageons avec ce bagage émotionnel qui s’ouvre dès que nous ressentons un manque psychologique.

Pour gérer au mieux les émotions, il y a lieu de les distinguer des sentiments, des pensées et des états psychiques. Ces trois phénomènes sont régis par d’autres lois et requièrent d’autres outils pour vivre harmonieusement. Cette distinction est une clé essentielle sans la connaissance de soi.

Bien qu’elles puissent souvent être inconfortables à vivre, les émotions ne sont surtout pas négatives. Inutile donc de chercher des émotions positives, sortons de la dualité, percevons l’énergie qui nous traverse et voyons avant tout le présent qu’elles nous font !

Spirituellement, les émotions sont l’outil royal de notre JE SUIS

Le système émotionnel est une composante essentielle de notre condition humaine, présente parmi les 5 éléments de la personnalité. La construction de ce système débute durant l’incarnation de l’âme et selon le projet d’accomplissement choisi pour l’expérience qui se prépare, et donc selon les données karmiques de chacun.
Le processus d’incarnation de l’âme comprend le tissage de la trame de la personnalité qui sera reliée ensuite au corps astral. C’est dans cette trame qu’est préfiguré le bagage émotionnel dont la constitution se poursuit dans les débuts de la vie terrestre, principalement dans la première septaine, grâce aux comportements des adultes accompagnant le développement de l’enfant.
A la demande de notre JE SUIS, parents et éducateurs vont nous offrir des manques, en même temps qu’ils nous donnent des atouts pour vivre notre existence.
Dans la période d’oubli total ou relatif de notre nature divine et de ses ressources, nous allons chercher dans notre environnement visible densifié, de quoi satisfaire nos besoins.
Par nos comportements stéréotypés , chaque expérience va nous conduire à constater que la satisfaction du besoin n’est que temporaire, partielle et finalement illusoire. Le manque est profond, archaïque, récurrent et force est de constater qu’il ne peut pas être satisfait humainement.

Chaque émotion est un moyen que JE SUIS emploie pour que nous allions chercher en LUI, à notre Source Divine, la satisfaction de nos besoins les plus archaïques et sans cesse mis à jour, après avoir progressivement constaté que les humains échouent à combler ce qui nous manque.

Nous cocréons avec JE SUIS des situations émouvantes aussi longtemps que nous ne décidons pas de nous combler nous-mêmes de joie divine.

Il est à noter que la joie ne fait pas partie des émotions. La joie est un état qui provient de l’alignement conscient de la personnalité avec JE SUIS, indépendamment d’événements extérieurs.
Elle se vit dans le corps au niveau de la région ventre/bassin et non pas à l’étage rythmique.

L’émotion est une grande amie du pèlerin qui chemine vers l’unification.
Le refoulement et la manifestation non maîtrisée des émotions sont de douloureuses ampoules au pied du pèlerin…

La gestion des émotions

Pour faire de nos émotions un outil de cuisson alchimique de l’être et en devenir le maître conscient, il convient d’en être le témoin neutre, de les assumer, de les respecter, notamment en introduisant de la conscience entre le mouvement intérieur qu’est l’émotion, et sa manifestation.

Les 7 étapes initiatiques proposées par nos émotions

Pour le chercheur spirituel, ce qui est proposé pour grandir et devenir un maître avec ses émotions, c’est une gestion en 7 étapes :

Le galet « Émotion » dans le protocole d’animation du corps vibratoire d’Élodie Lagouy

1. Face à un élément déclencheur, se rendre compte de l’émotion, la laisser venir, l’observer

2. Ressentir pleinement tous les aspects de l’émotion dans le corps physique

3. Respirer consciemment et profondément pour ralentir le rythme cardiaque et garder l’émotion à l’intérieur sans la manifester. L’intervention volontaire sur le souffle est le premier pas de la maîtrise de l’émotion et permet d’en réduire l’intensité.

4. Identifier l’émotion, notamment sa nature et son intensité puis la nommer intérieurement. Nommer la nature de l’émotion l’extrait de la non conscience et empêche qu’elle aille s’agréger à un égrégore qui vibre sur la même fréquence qu’elle.

5. Rester conscient du mouvement intérieur, observer l’élément extérieur qui a déclenché l’émotion et s’en détacher

6. Accepter « amicalement » l’émotion, se montrer compréhensif avec elle, l’accueillir comme un enfant

7. Entendre et conscientiser le besoin, la demande de l’être intérieur portée par l’émotion qui s’est produite et accueillir l’abondance de JE SUIS pour satisfaire le besoin. Rendre grâce.

La devise du maître : « J’écoute mon ressenti, je lui accorde du crédit, j’agis en fonction de lui »

Grandir par ses émotions

Pour avancer sur le chemin de la sérénité à l’aide des émotions, il y a lieu de renoncer :

  • Aux bénéfices apportés par nos comportements habituels, aux automatismes qui évitent de mobiliser notre discernement et notre liberté
  • À la croyance que manifester son émotion va apporter un soulagement
  • Aux avantages de la position de la victime qui cherche à se faire prendre en charge sans se responsabiliser


Pour transformer nos émotions en énergie disponible pour soi-même, il convient de décider de :

  • Oser s’écouter pour prendre la responsabilité de soi, accéder à sa souveraineté et n’être plus victime des circonstances ou des autres
  • Prendre ses émotions en charge en les conscientisant, en les entourant de compréhension et de gratitude en tant que révélatrices des besoins psycho spirituels à satisfaire
  • Faire confiance avec détermination à son JE SUIS infiniment désireux et capable de traiter tous nos besoins dès que ceux-ci sont conscientisés
  • Se souvenir que chaque émotion est une invitation de JE SUIS à être conscient de LUI, de son Amour, de sa puissance, de la Sécurité et du Créateur qu’il est.

En résumé

Le chemin de la sérénité passe par les étapes suivantes :

  • Constitution du bagage émotionnel en fonction de ce que l’individu est venu réaliser dans l’incarnation,
  • Apprentissage de comportements stéréotypés en situation d’émotion, notamment noyade ou refoulement, recherche de ressource dans l’environnement visible,
  • Activation du bagage émotionnel par la création non intentionnelle de situations visant à mettre en conscience les besoins intérieurs à satisfaire. A ce stade les émotions sont souvent subies,
  • Conscientisation et gestion des émotions permettant d’en faire un outil d’évolution, mise en évidence des besoins archaïques profonds,
  • Affranchissement du système émotionnel par l’unification Homme-Esprit sans création de situations d’émotion. A ce stade, l’être humain atteint la sérénité.

Pour continuer le chemin

Un document qui reprend l’ensemble des information

Une émission du 10 février 2025 au sujet des émotions

21 commentaires sur Les émotions : un accès à l’abondance divine

Le plus beau des cadeaux de Noël

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Quelques mots canalisés en ce jour du 18 décembre 2020 alors que je m’apprête à mettre en ligne un message reçu hier pour étayer l’émission « La Télé de l’Esprit » qui était consacrée à l’auto-guérison spirituelle des maladies.

La tradition des cadeaux de Noël est revue et actualisée, adaptée à la situation vécue sur la Terre par l’humanité.

En 2020, année de l’homme divin à faire vivre en nous, à manifester dans son corps de la nouvelle espèce, adapté à la fréquence actuelle de la Terre, le solstice d’hiver et la fête de la Nativité sont une merveilleuse opportunité pour donner à nos proches le plus beau des cadeaux qui n’ait jamais été.

Ce cadeau, ce présent, n’est rien d’autre que l’information essentielle qu’il y a lieu maintenant de rendre officielle : la sortie de la crise mondiale est dans la conscience de la reconnaissance de la divinité en chacun, la voie de résolution de la maladie endémique qui sévit sur la terre est la voie de l’Esprit à se rappeler en tant que substance vraie composant nos corps. Par notre Verbe témoignant de notre nature spirituelle, nous offrirons à ceux que nous connaissons le cadeau de leur éveil, le présent de leur JE SUIS retrouvé en eux-mêmes, la joie du sens sacré de leur existence.
Les événements vécus actuellement sont là pour le démantèlement du monde ancien que la pensée a créé, ils sont une aide des plans de lumière pour que nous coopérions activement à notre évolution menant à la création de l’espèce humaine unifiée à sa divinité.

La lumière de l’hiver à Vouvant – Photo d’Élodie Lagouy

Message du Christ canalisé le 17 décembre 2020 pour inviter l’humanité à l’unification,
vecteur d’auto-guérison de toutes les maladies

Ce message a été reçu pour l’émission « La télé de l’Esprit » consacrée à ce sujet.
Les intertitres ont été ajoutés a posteriori.

Dans votre civilisation aujourd’hui, la maladie est encore une grande préoccupation. Vos organismes pourtant se sont grandement renforcés au fil du temps, preuve en est votre longévité, la durée de votre existence, comparativement aux temps d’antan.

L’involution de la conscience humaine dans la matière, la progression de l’espèce humaine vers sa manifestation de plus en plus dense ont généré l’oubli de votre puissance infinie, l’amnésie de votre nature divine, et donné priorité à des croyances réduisant votre expérience à la seul matière, chimique, biologique qui serait coupée du principe créateur, des forces de vie.

Le séparateur et le mensonge

Funeste mensonge qui fut pourtant voulu et accepté par tous les plans de la manifestation de l’Esprit et même du non manifesté. Le séparateur a fait son œuvre, œuvre utile s’il en est car il a permis de vous donner le choix. Non contents de disposer de polarités dans la manifestation du UN, du principe primordial, de l’incréé, il vous a fallu vous opposer à ce que vous appelez encore le Père et qui n’est autre que vous-mêmes, ainsi qu’aujourd’hui vous le savez.

L’intelligence humaine dont vous avez été dotés, la pensée que vous vous êtes donnée, a voulu rivaliser avec l’intelligence suprême, avec le Principe spirituel.

En s’affranchissant du temps, passer de la 4ème à la 5ème dimension

En ces plans d’où je parle, il n’y a pas de temps. Le temps lui-même a été une invention à laquelle vous avez procédé pour aller toujours plus loin dans la dualité et dans l’éloignement de votre conscience humaine de son origine. De là où vous m’entendez, où vous me recevez vous pouvez avoir l’impression que l’expérience de la conscience humaine est d’une durée insupportable, tant vous savez que vous avez insisté pour donner raison à votre raison au lieu de lâcher prise et de reconnaître la substance subtile qui compose tout, absolument tout en vous et autour de vous. Aussi l’expérience humaine peut aussi bien n’être qu’une fraction de vos secondes que des milliards d’années.

En vérité, je vous le dis, tout ce que je vois, tout ce que je vis est hors de cette invention qu’est le temps et c’est donc ainsi que tout peut changer dans l’immédiateté d’une conscience qui s’élève, d’une marche qui se gravit. L’information Divine, Vérité qui sous-tend toute forme, est offerte en permanence à votre conscience individuelle et collective, qui la reçoit ou la repousse. Aujourd’hui elle est encore repoussée par un grand nombre d’humain qui lui préfèrent ce que les cerveaux chimiques ont écrit ou raconté pour expliquer la vie et l’univers.

Le système humain vu par JE SUIS activé par le soleil – Œuvre de Chloé Duxent

Le soulèvement du voile permet de voir l’Esprit qui est Source de Vie

Vous êtes toutefois de plus en plus nombreux à soulever le voile qui a occulté les trésors spirituels qui vous constituent et constituent le milieu dans lequel vous expérimentez la dualité, la densité et le libre choix. À chaque incursion dans votre système en 5 dimensions, vos cellules denses deviennent lumière, le temps est aboli au profit de votre permanence, l’unité homme-Esprit est rétablie. C’est alors la fin des maladies.

Dire oui à l’Esprit que vous êtes et le reconnaître pour vous identifier à LUI, à votre être suprême est le premier pas que je vous invite à franchir. Voir votre légende humaine pour ce qu’elle est, un chemin d’expériences jalonné de croyances venues de l’oubli de la Source de vie, et mettre cette légende sur l’île aux sirènes qui cherchent à vous dévorer après vous avoir séduits, est un second pas. C’est celui que vous êtes en train d’aborder aujourd’hui sur la Terre. C’est d’ailleurs à cet effet que tant de mensonges sont révélés, tant de masques sont mis en évidence. Ô amis, plus l’enfer de la vie humaine sur la Terre devenait difficile à supporter, plus les têtes pensantes ont cherché dans la matière à améliorer l’espèce, sans plus voir qu’elle est elle-même le créateur autant que la créature et la création, passant à côté de sa perfection.

La maladie vient pour guérir de l’amnésie

Pour celles et ceux qui se sont réveillés et ont retrouvé la mémoire, cette perdition ne pouvait pas continuer et une action a été organisée. La maladie est venue au secours des humains qui étaient en train de se noyer dans l’océan déchaîné de la perte totale du sens de l’existence.

En Vérité, je vous le dis, la maladie qui semble sévir sur la terre aujourd’hui est une guérison. Si certains d’entre vous continuent de dormir et refusent de sortir de l’amnésie, un grand nombre commence à ouvrir les yeux pour voir l’impasse de l’homme augmenté par les technologies, le crime commis par l’homme qui cherche à modifier le code divin qui est en lui, niant le principe-même de la Création. Le virus qui est accusé de tous les maux est en réalité une opportunité pour aider à l’ouverture des consciences de tous les humains, pour donner le goût de l’élévation, de l’Ascension que j’ai vécue après la résurrection de Jésus dans son corps de gloire. Le virus en lui-même n’est qu’un agent des nécessaires changements qui sont à faire pour harmoniser votre fréquence à celle de la Terre.

La crise d’aujourd’hui est une crise évolutive pour changer de niveau de conscience, faire émerger la nouvelle espèce humaine

Ne cherchez pas à revenir comme avant, cherchez plutôt à aller de l’avant, là où vos JE SUIS vous convient.

La guérison des maladies passe par l’abandon des croyances aux séparations, par la jonction de votre JE et de votre JE SUIS. La puissance infinie de l’Esprit a la capacité à rétablir la vérité de votre identité absolue, il vous revient de dire oui à la prédominance de votre essence dans votre existence. Tous les bobos disparaîtront, tous les maux seront transformés en énergie de vie à votre disposition, vieillissement et dégénérescence auront le souffle coupé, la transformation du vieux corps de chair en corps de lumière vaincra alors la mort, reléguée au néant qui l’a imposée.

Et toi, homme souverain, que veux-tu ?

Acceptes-tu ami d’être guéri ? De dire un grand oui à l’Esprit de puissance infinie ? De reconnaître en toi le Divin Créateur ? Ami, ensemble bénissons-nous, autorisons le souffle divin à nous envahir ! La transfiguration est à ta portée, avec la guérison totale elle t’est donnée !

Votre contribution : on Le plus beau des cadeaux de Noël

Histoire d’hypnose de foire

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Allons-nous continuer à être des complices passifs
de l’hypnose de foire organisée par décrets et textes de loi ?

Quand l’irrationnel est banalisé

Il suffit d’entrer dans un bar ou un restaurant en France et de garder active sa conscience pour voir que la population agit désormais sous le contrôle d’une autorité qui impose un comportement irrationnel. Le masque obligatoire pour entrer dans la salle devient inutile dès lors que le client est assis à la table où ses plats seront servis. En observant le degré très élevé de la soumission à l’autorité, je me suis interrogée sur le fait que les français, réputés pour être rebelles, aient accepté sans broncher de se plier à ces obligations dénuées de tout bon sens.

Au constat de l’irrationalité des obligations, s’ajoute la diffusion de nombreuses informations émanant d’éminents représentants de la science dominante elle-même, disant que le masque est injustifié et inopérant pour éviter la propagation de la maladie, rappelant que les mesures de confinement ou de quarantaine ne sont pas justifées. Le bon sens est là aussi absent.

Un lutin de l’Oliverie, photo de Sandrine VILLERS-POCHARD

Tenter de comprendre la soumission observée

Sachant que la population n’a pas tout à coup perdu son intelligence et son discernement, sachant que tout le monde n’est pas lobotomisé par le journal télévisé, sachant que nous ne sommes pas tous ensuqués par des drogues annihilant notre capacité à réagir, comment en sommes-nous arrivés à un tel degré de collaboration avec une autorité qui nous bâillonne, restreint notre liberté, réduit notre territoire et nous fait croire que c’est la guerre ?

Certes la peur de la maladie et de la mort est un excellent ressort pour inhiber la volonté, mais quand même, on sait que face au danger et donc à la peur, l’humain peut aussi mobiliser son agressivité et attaquer. Et là, rien, à peine quelques pichenettes de contestations tout de suite étouffées par les accusations de prôner la conspiration, insulte devenue une des plus répandues !

Depuis quelques jours, l’évidence m’est apparue : la population a été mise sous hypnose. Oh, pas l’hypnose qui permet de modifier son état de conscience et d’accueillir les vibrations de notre Moi-Esprit, pas l’hypnose qui guérit, mais celle au contraire qui pervertit, qui résulte de l’emprise de l’hypnotiseur sur le sujet ! L’hypnose de foire, l’hypnose de rue, de spectacle est bien celle qui a cours aujourd’hui.

Le modèle de l’hypnose de foire censée nous faire rire

Quelques recherches sur Internet pour voir de plus près les mécanismes utilisés par les grands fascinateurs qui savent à merveille soumettre des sujets à des consignes ridicules en vue d’amuser le public, m’ont confirmé la pertinence de mon intuition. Par égard pour les praticiens d’une hypnose authentique et respectueuse de leurs patients, je vais d’ailleurs employer ici le mot « fascinateur » pour désigner les personnes qui assujettissent la population.

Dans l’hypnose de foire, après quelques paroles rassurantes, le fascinateur cherche à créer la surprise, à désarçonner son sujet pour créer de la confusion, voire de la sidération et lui suggérer ensuite de « dormir », d’entrer en transe hypnotique. À partir de là, le sujet est placé sous la domination du grand fascinateur et lui obéit sans broncher, allant jusqu’à exécuter des consignes qui le ridiculisent et provoquent le rire du public. C’est la logique de type de spectacle.

Nounours, Nicolas, Pimprenelle et le marchand de sable

En France, la peur de la maladie et la déclaration de la situation de guerre ont permis facilement d’organiser une transe hypnotique collective et l’entrée sans heurt dans le confinement. L’usage répété de courbes, de graphiques, de blouses plus ou moins blanches pour communiquer dans les médias maintient l’état d’hypnose et les sujets sont ainsi téléguidés par les consignes des fascinateurs dans toutes leurs relations sociales d’abord, et maintenant autour de la table de la salle à manger familiale.

La question de la souveraineté est une nouvelle fois posée. Allons-nous être candidats pour obéir au grand prêtre, au marchand de sable qui donnait autrefois à Nicolas et Pimprenelle l’ordre de dormir gentiment, par le truchement du gentil Nounours ?

Folie, galet vibratoire d’Élodie LAGOUY

Mais qui hypnotise qui, en vrai ?

Les politiques qui montent sur la scène pour le spectacle d’hypnose de foire sont eux-mêmes sous hypnose. Leur marchand de sable à eux, ce qui les met en transe hypnotique, n’est pas visible par leurs yeux de chair. Les présidents, les ministres, les patrons des grandes industries, se croient les grands fascinateurs, les nounours qui endorment les enfants. Ils ignorent totalement qu’ils sont eux aussi sous hypnose et qu’ils obéissent à des consignes qui les ridiculisent autant que leurs ordres irrationnels nous abêtissent.

Les asuras, ces entités du monde subtil qui managent la peur pour contrer l’évolution de la conscience humaine sont les véritables tireurs de ficelles des marionnettes terrestres. Les asuras adorent que nous ayons peur car c’est leur nourriture, leur entrée, leur plat, leur dessert.

Le chant du cygne des asuras

Les asuras savent qu’ils ont déjà perdu le combat, ils savent que malgré leur action incessante nous allons vers l’unification, vers l’homme Divin, la réunion de la créature et du Créateur. Les asuras voient la conscience solaire qui se déverse sur la Terre, voient de plus en plus d’humains qui se souviennent de leur véritable substance, voient la capacité de nos corps à digérer le supramental. Les asuras voient le Christ dans sa gloire vivre sur la planète dans le cœur des fraternités qui se créent, les asuras voient la puissance de l’Esprit qui reprend ses droits sur la matière, et ils sont enragés de voir leur échec déjà avéré. Ils sont enragés et ruent, ils redoublent d’obstination à détruire, à soumettre les humains terrorisés, à entraver la souveraineté. Ils jouissent de leur pouvoir en passe de disparaître, ils savent que c’est leur chant du cygne, le dernier soubresaut de leur agonie.

Le réveil par les trompettes de l’Apocalypse

À nous qui savons la globalité de la situation, qui nous souvenons que toujours l’Esprit est à l’œuvre dans ce que nous expérimentons, il revient de ne pas accepter de monter sur la scène de l’hypnose de foire, de ne pas nous rendre complices des grands fascinateurs, mais au contraire, de toujours choisir la joie et la Lumière vraie, de sans cesse incarner la Vérité en manifestant pleinement notre JE SUIS. L’Amour absolu est là, en nous et autour de nous, nous LE sommes, nous LE rayonnons, la peur n’a donc pas sa place ici. La Source coule en nous, nous sommes immergés en elle et nulle légende humaine ne peut l’arrêter. La Divinité est présente au cœur de nos cellules, notre fréquence s’élève inexorablement dès que nous avons conscience de l’Être Suprême que nous servons. Là où nous sommes en Vérité, nul besoin de chercher le rire ou les plaisirs car la joie est là, en droit d’état.

Sortir de l’hypnose est un devoir. Moïse une fois de plus est avec nous pour que le pharaon d’aujourd’hui n’exerce plus sa fascination sur les êtres qu’il avait asservis. En hommes libres nous sommes reconnus pour accomplir le grand dessein Divin, réaliser l’Unité de notre Divine origine et de notre terrestre condition. S’il reste encore quelques parties de nous endormies, ordonnons-leur de se réveiller, de s’emparer de la belle énergie de vie qui hisse vers le sommet de nous-mêmes. Le vent de l’Apocalypse est bel et bien en train de souffler, les sceaux se défont, la Vérité se révèle. Recevons fièrement et humblement l’Esprit Saint qui bénit, de nos JE SUIS soyons les témoins avisés !

Les références que j’ai utilisées pour écrire cet article

Les sites que j’ai consultés pour l’hypnose de foire :
https://www.hypnose-therapie-breve.org/Hypnotiseur-de-spectacle-hypnotiseur-de-foire-hypnose-de-rue_a33.html
https://www.medecines-douces.com/Hypnose-de-Rue-Le-Scandale-_a1138.html
https://hypnose-clinique.ca/conference/messmer-spectacles/
Pour quelques informations médicales sérieuses : https://youtu.be/mFNSYAUntsw

15 réponses à “Histoire d’hypnose de foire”

  1. Avatar de Joseph
    Joseph

    Bonjour à vous. Le Monde est fou, c’est une évidence qui date….Comme beaucoup, je n’ai pas pris cette crise au sérieux, mais la répression ne laisse que peu de choix…Si on veut entrer dans un commerce, le masque est obligatoire, donc, le choix n’est pas possible…J’ai refusé le port du masque, au travail, ce qui m’a valu la perte de mon emploi, sans sommation…Vous parlez de respect ? Depuis quand l’ homme est-il un danger pour lui-même, si ce n’est à travers sa folie ? La peur de mourir se cache derrière de fausses belles paroles, on dit protéger l’autre, par peur de celui-ci et par nombrilisme, il n’y a que le Je qui compte, alors que je me fiche pas mal de mourir, ce qui me dégage des peurs communes…On se dit  » croyant « , mais on ne fait pas confiance au Divin, il serait sans doute bon de commencer à réfléchir, au lieu de trembler, au milieu de ses frères moutons….L’être humain que je suis, n’est qu’une partie de ce que je suis, je le sais depuis toujours, c’est pourquoi j’ai toujours interrogé l’univers, Dieu, la part divine en « moi »…Pour autant, je n’ai jamais cessé de chercher la vérité, le sens profond de la vie, l’invisible, situé au-delà du visible. La vie terrestre ne peut se limiter à être ce qu’on en voit ou croit savoir être. Ce qui est visible, bien que magnifique et splendide, vu sous un certain angle, n’est que bassesse et instinct de survie, loin de la perfection inhérente à ce que nous sommes réellement…

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Bonjour Joseph,
      Je suis très touchée de lire ce que vous écrivez avec talent, et qui rejoint si fort ce que je ressens de ce monde d’aujourd’hui qui a perdu totalement le sens de sa réalité divine.
      La crise d’aujourd’hui est de toute évidence une crise d’évolution des consciences individuelles et plus largement d’évolution de l’espère humaine. J’ai foi en notre nature Divine qui se rappelle à nous et nous invite à la vivre au lieu de nous confondre avec les apparences, les plaisirs illusoires de la matière.
      Comme il est bon pour moi de rencontrer des frères qui sentent aussi la poussée de l’Homme-Esprit unifié en quête sincère d’Unité ! Je sais que nous sommes nombreux, disséminés et souvent discrets sur la Terre et que la fraternité des hommes divins et souverains est en construction.
      Les petits chefs qui aujourd’hui licencient sans préavis ceux qui ne bêlent pas comme eux dans le troupeau seront eux aussi invités à se convertir, à opérer le grand retournement nécessaire à l’accueil de leur vraie puissance, celle de leur Divinité. Réjouissons-nous déjà de la générosité de l’Esprit qui touche même les plus rétifs à sa beauté et saura amener à sa reconnaissance !

  2. Avatar de Marie-Odile Sansault

    Merci Sylvie de ton amitié et de ta fidélité,
    Je peux tout à fait imaginer la sensation d’otage que tu ressens, tiraillée entre la loyauté professionnelle et la loyauté à ton JE SUIS. Il est de la plus haute importance en ces temps de voir les forces occultes à l’œuvre parmi les humains, de voir combien l’arrivée massive de la lumière christique suscite les ruades de ses opposants. De quoi nous inciter à choisir, à renforcer le choix de la voie de l’unification homme-Esprit que nous avons choisie.
    Être libre est un art qui s’apprend, au-dessus du balancier rébellion/soumission. Bref, les initiations continuent.

  3. Avatar de Nicole MORIN
    Nicole MORIN

    Juste une observation que je tiens à émettre par esprit de franchise. Au début, je me suis sentie contrainte et ai été rebelle.
    Maintenant, j’ai comme « métamorphosé » cette discipline imposée et je me sens libre et tout-à-fait consentante pour porter le masque. Je ne me sens pas du tout en état hypnotique, et mes proches non plus. Au contraire, mettre le masque est un acte solidaire, fraternel. Je le fais avec amour .. un certain humour .. et avec lucidité. Attentive aux échanges de regards .. qui d’ailleurs commencent à exister davantage. Il ne s’agit plus de résignation. Je me sens étrangement libre et paisible. En accord avec l’Esprit qui m’anime.
    En toute amitié.
    Nicole.

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Merci Nicole de ce point de vue exprimé ici.
      Heureusement que, comme toi, certains humains parviennent à mettre de la conscience sur leur choix de se masquer en en faisant un acte d’amour, de construction de la fraternité. Il n’en reste pas moins qu’une majorité reste régi par la peur de la maladie ou de l’autorité.
      Dans cet article je souhaitais aussi informer sur ce que nous rappelle le monde spirituel qui est à l’origine de tout ce que nous vivons : les personnes qui prennent les décisions pour la population sont régies par les asuras qui tentent leur dernier baroud d’honneur en freinant l’élévation des consciences. Comme toujours dans la fréquence de la dualité, ce qui freine est aussi vecteur de progression, dès lors que nous développons la conscience JE SUIS en nous, que nous nous positionnons en souverains.
      Au fond ce qui est le plus important pour chacun, c’est bien de se sentir UN avec JE SUIS, « en accord avec l’Esprit qui nous anime », ainsi que tu le dis.

  4. Avatar de Marie-Christine
    Marie-Christine

    Merci MARIE-ODILE Pour ce message ! Je suis allé écouter les informations medicales sérieuses aves la ”Dct Astrid Stuckelberger ” ce qui confirme ce que je pensais je suis moi même confinée après avoir fait le test qui soit disant est positif alors que je n’ai aucun symptôme, et combien comme ça ? Et nous passons dans leur statistiques comme positifs qui sous entend ’malades” mais nous devons tout de même prendre des précautions surtout quand il y ades personnes fragilisées autour de nous! Ceci dit il y a chez nous bcp plus de malades de ce virus à l’heure actuel qu’en mars!
    Je souhaite a votre petit groupe de passer une belle semaine lumineuse ! Marie-Christine

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Merci Marie-Christine,
      La grande comédie des chiffres d’apparence froids et neutres mais qui sont utilisés pour le management de la peur et de la soumission à l’autorité. De quoi y perdre son latin ! De quoi aussi stimuler notre motivation à vivre pour le sens sacré de notre existence.
      Ici le chantier a commencé dans la joie et la simplicité.

  5. Avatar de Chantal
    Chantal

    Merci Marie-Odile,
    Dans l ‘idée de l’ hypnose, hier matin il m’est venue le mot apoplexie, j’étais à ce moment là en présence d’une personne acculé par la peur en revendiquant le port du masque,
    vision vu d en haut me dit lâcher prise et confiance dans mon Je suis, posture de veille aussi pour moi

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Merci Chantal
      Le déficit en oxygène va finir par se faire sentir très vite désormais. Couplé à l’irrationalité, ce manque de nourriture pour les neurones va probablement générer des comportements désordonnés. A nous d’être témoin de tout cela dans la conscience de nos JE SUIS à l’œuvre dans tout ce qui se vit.

  6. Avatar de roseline tallon
    roseline tallon

    En lisant ce texte, l’energie d’amour coule en moi et déborde de partout. Que du bonheur d’avoir accepté d’etre au service de JE SUIS . merci a toi Marie-Odile d’avoir accepté de transmettre.
    Je vis dedans dans un bar, les clients viennent avec plaisir pour rire, parler et se retrouver sans contrainte , la joie règne dans ce lieu.
    Amitiés
    Roseline une soeur en Christ.

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Merci Roseline,
      Il est doux à mon cœur de savoir que des humains continuent de communiquer, de se rassembler dans la joie. Merci d’en témoigner.

  7. Avatar de karine
    karine

    Bonjour Marie-Odile, merci infiniment pour ces mots qui éclairent cet état léthargique de soumission actuel qui me questionne et m’impressionne et nous sort de notre souveraineté. Je suis ravie d’apprendre que le basculement est là et que la Lumière l’emporte sur l’Obscurité. Quelle chance de pouvoir lire et recevoir tous ces messages par votre intermédiaire et de ressentir la transformation à l’oeuvre dans nos cellules. Je vous suis d’une reconnaissance et d’une gratitude infinie d’être cette Porteuse de Lumière à la proue du navire nous montrant le chemin et nous invitant à nous laisser traverser par ce nouveau Souffle !!! De ma Lumière intérieure je vous bénis !!!

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Un grand merci Karine,
      Oui, le basculement a bien eu lieu au niveau de l’énergie et va très vite se manifester dans le visible densifié. Nous sommes là pour permettre à ce nouveau paradigme de s’installer, le temps que l’ensemble de la population se reconnaisse Esprit. Bénie sois-tu, toi aussi !

  8. Avatar de David
    David

    Merci Marie-Odile. Je trouve très pertinent ta lecture de la situation. J’ai aussi bien senti cet état d’hypnose de la population. De lire par tes mots vibrants cette vision de la situation vue d’en haut renforce ma posture de veille bien nécessaire en ces temps d’apocalypse. David.

    1. Avatar de Marie-Odile Sansault

      Merci David de ton retour d’homme éveillé. Tu as résisté à l’hypnose, n’as pas cédé aux fascinateurs et ainsi as pu recevoir durant tous ces mois, la puissance du supra mental en toi. Bravo !

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15 commentaires sur Histoire d’hypnose de foire

Se débarrasser du mythe du messie

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Se débarrasser du mythe du messie,
Accueillir en nous la conscience du surhomme
Message du 22 octobre 2020 reçu du Christ, par JE SUIS et Jésus réunis

Couleurs de l’automne chez Fabienne JOUAULT, en Bretagne

Tu es depuis quelques jours immergée dans le bain de l’Apocalypse, tout en toi ressent la poussée inexorable du changement, de la révélation du temps nouveau faisant suite à l’effondrement des temps anciens révolus. Tes cellules se préparent à ce séisme depuis que tu es dans cette incarnation, ta conscience sait intuitivement qu’elle est venue pour participer activement à l’événement, à l’avènement du Verbe manifesté, à la révélation de la Vérité de ce que ce monde est, de ce que l’humanité est véritablement.

Dans le chemin que tu as parcouru, comme beaucoup d’autres tu as, un temps, entretenu la croyance de bourreaux extérieurs et par conséquent de la venue d’un sauveur. Les religions de toutes les régions du monde ont bien-sûr imprégné les consciences des humains de cette croyance d’un messie, envoyé du plan divin qui viendrait libérer les corps de chair et les Esprits emprisonnés dans la matière de leur triste sort, mettant fin ainsi à l’anathème, affranchissant les fils d’Adam de leur condamnation aux travaux forcés et à leur sempiternel retour à la poussière.

Pour l’avoir toi-même expérimenté de nombreuses fois dans ta vie personnelle, qui en tous points est semblable au sort universel, de sauveur il n’y a point et quand il est dit que le Christ revient, ce n’est pas dans un seul corps humain, mais bien par les rassemblements de plusieurs en son Nom très Saint.

Le surhomme est en chacun

Nous voulons te parler aujourd’hui du surhomme qui n’est pas du tout un seul homme, un Christ qui descendrait dans un corps densifié et délivrerait l’humanité de l’esclavage dans lequel elle est plongée sans même en avoir conscience, croyant dur comme fer à son bonheur dans des véhicules de fer et par des communications établies au moyens d’outils qui détruisent tandis qu’on les utilise. Non, vois-tu, nous voulons te demander de parler à ceux qui veulent bien entendre que ce qu’ils sont en train d’attendre, pour être libres en totalité et agir sous leur propre responsabilité, c’est le surhomme qu’ils sont déjà, dans ce corps tel qu’il est, puisque désormais les cellules ont la capacité de faire vibrer en elles la conscience divine, la présence du Christ qui sait remplir votre royale couronne et ajouter la force supra mentale à la personnalité, et ainsi éclairer la pensée restée durant des siècles dans l’obscurité.

Comme toujours pour monter une marche du grand escalier de votre conscience individuelle et collective, il vous faut regarder vers le haut, vous souvenir de votre aspiration à l’unification de votre humaine condition avec votre divine constitution, et il vous faut aussi savoir laisser derrière vous les rêves éculés qui vous ont immobilisés dans une attente mortifère d’un grand frère libérateur, d’un messie sauveur qui n’aurait fait, une fois encore, que diriger vos navires en prenant un jour ou l’autre la place du grand navigateur que vous êtes en vérité.

Notre sauveur est à l’intérieur de nous

Dis à tes amis, à tes frères et à tes sœurs, que leur sauveur est à l’intérieur de leur cœur, dans leur JE SUIS totalement accueilli qui invite à être obéi pour que le règne de la joie soit établi, pour que l’Amour soit maintenant la Loi, sans nul besoin d’un homme-messie.

Point d’homme providentiel directement venu du ciel ou encore élu aux élections présidentielles, point de surhomme unique ayant vaincu maladie ou ennemis, mais bien un pouvoir posé en chacun d’être enfin souverain, d’avoir la main sur son grand jeu humain, sans que nul ne puisse interdire de respirer ou de dire, sans que personne ne vienne réduire le territoire sur lequel circuler avec son corps de gloire.

Levez-vous ô mes frères, votre paralysie est finie ! « Lève-toi et marche » ai-je dit dans les temps où j’étais manifesté en Jésus. Plus que jamais aujourd’hui, mon invitation est d’actualité. Je te le dis en Vérité, il est temps de trouver et renforcer ta verticalité, de sentir sous tes pieds l’élan que la Terre vient te donner pour aller avec elle dans les hautes sphères de la conscience de ton être. En toi en effet, est l’Arche d’Alliance enfin retrouvée, en toi est bâtie déjà la Jérusalem Céleste où règne la paix, où les hommes sont tous frères, en toi est la Divinité qui appelle à s’unir à ton humanité, aboutissement de l’exercice éclairé de ta liberté, en toi réside la royauté de l’homme évolué issu de la transition offerte par la planète Terre placée dans le système solaire, en plein dans ce que vous nommez la voie lactée. Le lait divin est offert à chacun, les bouches sont ouvertes pour s’abreuver au sein de la mère cosmique, pour vous nourrir de la puissance sacrée de la Créatrice des mondes manifestés.

Mais si, mais si, vous êtes bien le messie

Mais si, mais si, vous êtes bien ceux qui avez mandat à faire face à la bête qui marque la fin des temps, vous êtes bien ceux qui avez en vous l’épée de cristal diamant ayant capacité de faire surgir la Vérité de la géhenne aux obscures fumées.

Mais si, mais si, vous êtes chacun porteurs de la présence de l’Archange Michaël et du Christ réunis, et un seul mot de vous suffit pour arrêter les incendies, les déluges et autres pandémies. Au nom du Christ, parlez afin que le Verbe soit manifesté, et que par vous s’accomplisse la Divine Volonté.

Mais si, mais si, chacun de vous en Christ accueilli, chacun de vous reconnu en JE SUIS, est véritablement un messie. Point de prétention en disant oui à cette information, mais au contraire une grande humilité lorsqu’il s’agit de se conformer à ce qui est prescrit par JE SUIS, lorsqu’il s’agit de servir simplement et modestement ce qui est écrit au firmament de votre création.

Je fus le messie afin que vous le soyez aussi. Vous le savez, je n’ai pas été totalement reconnu lorsque je suis venu, et sur la croix, j’ai été rejeté. Inutile donc aujourd’hui de vous crucifier puisque déjà le déni a été une réalité. Reconnaissez-vous fils et filles de l’éternité, âmes androgynes parfaitement divines, vivez en votre souveraineté votre corps de gloire patiemment élaboré. J’étais le messie, vous l’êtes aussi.

Message reçu par Marie-Odile le jeudi 22 octobre 2020 après-midi
Les intertitres ont été ajoutés a posteriori.

2 commentaires sur Se débarrasser du mythe du messie

Messages de la faune et de la Mère Divine

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Le 13 octobre 2020, en interrogeant le monde spirituel sur l’actualité des plans subtils que nous avions à connaître,
un message de la faune sauvage et une transmission de la Mère Divine sont parvenus.

Message de la faune sauvage

Notre rôle dans cette période de changement est d’aider à maintenir les structures anciennes et de montrer la voie du lâcher prise, de l’obéissance totale à l’évolution. Nous ne pouvons faire montre d’opposition. Pas de libre arbitre, et donc pas de rébellion. Nous avons le sens du service, nous nous offrons au vivant sans jugement.

Ne vous battez pas pour nous. Aucun combat ne nous convient. Nous sommes au service du TOUT en étant ici avec vous. Regardez-nous, voyez notre dévotion à la Terre, notre acceptation sincère de la place que nous occupons. Nous allons beaucoup vous aider si vous acceptez de vous défaire de vos bons sentiments et que vous les remplacez par une observation neutre de nos comportements, dénuée de tout jugement sur vous-mêmes ou vos prochains. La manière dont nous nous adaptons au vivant est une sorte de mode d’emploi que nous vous offrons pour que vous sachiez comment procéder. Nous disons simplement totalement oui aux forces de vie, au courant d’ascension qui nous soulève de notre condition.

Comme nous n’avons pas, contrairement à vous, un organe sophistiqué pour penser, nous ne contestons pas, n’interférons pas, faisons confiance en notre substance corporelle pour se transformer. Elle sait comment se laisser transmuter.

Message de la Mère Divine

Il est bon voyez-vous que vous soyez conscients des forces d’opposition que vous rencontrez sur le chemin de votre unification au Divin. Cela m’aide considérablement pour vous guider et vous renforcer. La Vérité appelle désormais l’humanité.

  • La Vérité sur l’Essence Divine de toute la création
  • la Vérité sur la substance une de tout être et de toute chose
  • La Vérité sur le cœur qui doit gouverner. Souvenez-vous que cœur signifie reconnaissance du sacré, de l’Esprit présent partout
  • Vérité des pensées qui ne doivent plus rimer avec dissimulation, ne plus comporter d’intentions cachées. Transparence et sincérité sont demandées.
  • Vérité des faits qui conduit à revoir votre histoire débarrassée de ses travestissements, de ses déguisements

🙏🙏🙏🙏🙏

C’est la fin des faux prophètes, la mise en marche des soldats de lumière. La révolution peut commencer, d’abord à l’intérieur de chacun puis, naturellement et en conséquence, les renversements soudains des vieux édifices, des constructions factices.
Ne rien forcer, mais laisser monter en soi la véritable révolte, celle qui virevolte, agit dans l’infiniment petit dans les cellules du corps. La tête sera en bas, les pieds au-dessus, le raisonnement s’inversera. Le faux deviendra vrai, le vrai d’aujourd’hui issu des éprouvettes des laboratoires humain sera déboulonné. De quoi rendre fous les plus arrimés à leurs chiffres, leurs équations, l’ancienne géométrie en trois dimensions.

Les humains ne pourront plus alors obéir aux ordres qui créent le désordre dans la création. Ils se lèveront et, dressés en barricades subtiles, arrêteront les boulets de canon. Aucune matière dense ne pourra les toucher, les traverser. Leur sourire sera leur bouclier, car par lui, la puissance divine sera manifestée.
Aucune provocation face à l’humaine autorité, mais une foi et une lucidité donnant la capacité à s’opposer à tout ce qui est, en réalité, contraire à la Vérité.

Un lever de soleil d’octobre chez Élodie LAGOUY

Ne partez pas trop tôt car alors le combat viendrait et vous affaiblirait. Dans le délai qui est là, vous avez à veiller, veiller et surveiller.
Veiller sur ce monde, cette Terre et l’humanité.
Veiller sur vous et votre apprentissage à aimer sans aucune condition, cultivant sans cesse la perfection.
Veiller à accomplir sans cesse votre Unité avec votre Divinité.
Veiller et enfin trouver le moment attendu de l’éclair dans le ciel, de la foudre qui déchirera la nuit et éclairera, même les plus cachés sous le voile de l’oubli.

🌼 🌷🌻🌺🌼

A cet instant soyez assurés qu’aucune doute vous n’aurez. En plus des signaux extérieurs, vous aurez la joie au cœur, la sensation bien connue du chevalier pour qui l’heure a sonné d’aller dare-dare à Jérusalem. Le tombeau du Christ en effet sera à délivrer. Mais vous le savez, le sépulcre ne se laisse pas voir par les yeux de chair. Mon fils Jésus tant aimé a bel et bien ressuscité, le rocher dans lequel il a été enseveli n’a nul besoin de vos épées d’aujourd’hui.
Par votre intention sacrée, par la Divine Volonté par vous portée, l’action subtile sera menée, de là où vous serez, partout sur la Terre, bien aimés.

La Jérusalem Céleste est bien une vibration, dans vos cellules depuis longtemps en gestation, qui arrive là à maturité pour jaillir et s’exprimer.

Calme et sérénité, confiance et conscience de votre Divinité sont votre véritable bouclier.
Divine volonté par vous relayée, intention pure de dire la Vérité, bouche offerte au Verbe sacré sont en réalité votre épée.

🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎🌞🌎

Précisions

Les intertitres ont été ajoutés a posteriori.
Ces deux messages ont été lus durant l’émission « Vue du Haut avec le duo » coanimée avec David Pochard, en direct sur ma chaîne YouTube : https://youtu.be/JzNazF6uRmA

Votre contribution : on Messages de la faune et de la Mère Divine

L’unification homme-Esprit s’intensifie

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L’unification de l’homme-Esprit s’intensifie

Un dimanche d’octobre de l’année 2020. Banalité d’une journée d’automne qui hésite entre soleil et pluie, intensité d’une journée consacrée à communier avec mon JE SUIS et qui produit le témoignage qui suit…

Contexte du témoignage de ce jour

J’ai beaucoup écouté ces jours-ci les conversations de Mère avec Satprem. C’est une manne pour moi qui aspire à vivre l’Unité entre ma nature spirituelle et ma condition humaine. Tout ce que Mirra Alfassa a mis en conscience est un trésor inestimable, très précieux.

Les étoiles du jardin

Un enseignement vivant

Pour autant, depuis son départ de la terre en 1973, depuis le départ de Satprem en 2007, le temps a passé et le chemin s’est poursuivi. Sri Aurobindo, Douce Mère et Satprem ne voulaient pas fonder d’école et encore moins de religion. Cela n’a pas empêché certains de se positionner en gardiens de l’enseignement mis alors dans le formol pour le conserver dans son énoncé initial. Un vrai paradoxe pour ces trois-là qui sans cesse, parlent d’évolution.

Au début de mon écoute de ces précieux et magnifiques documents audios, je buvais les paroles, je les mâchais à peine pour les digérer au plus vite. Petit à petit, j’ai été comme rassasiée de l’enseignement, et j’ai commencé à écouter autrement, en me souvenant que c’est avant tout JE SUIS qui m’enseigne et va chercher dans les archives humaines ce qui est en résonance avec lui. Mais JE SUIS ne me demande pas d’arrêter d’avoir du discernement, bien au contraire. JE SUIS me dit « ressens », « écoute ce qui est là en MOI et que je te fais apparaître au travers de ce que tu ingères ». Loin de remettre en question les enseignements de Douce Mère, je sens que j’ai à les actualiser, à leur ajouter les acquis arrivés dans la conscience humaine grâce au chemin qu’elle a parcouru sur la Terre et dont elle a témoigné.

Ma perception toute personnelle

Ce qui suit est donc ma perception de la situation où se trouve la conscience humaine là, en octobre 2020.

En tant que témoin, je fais ici le récit de mes expériences et prises de conscience de ce jour. Rien de ce qui est dit ici n’est définitif ou absolu. Bien au contraire tout est en mouvement et relatif. C’est donc à lire avec discernement et écoute de la résonance ou de la dissonance en soi…

Unification de l’être humain avec son Être Suprême

Mon chemin d’unification

Dans le droit fil des recherches de Douce Mère et dans la mesure de mes capacités actuelles, je mobilise toute ma conscience pour vivre le plus possible un état d’unification de ma condition humaine avec mon Être Suprême, mon JE SUIS.

Ce matin j’entends JE SUIS qui me dit : « Je vais t’opérer ». « JE » lui réponds « Aujourd’hui, je n’ai aucun programme prévu, je me mets totalement à Ta disposition, fais de moi ce que tu désires ! »

Soleil d’automne

L’opération du chirurgien JE SUIS

Lorsque j’accueille JE SUIS totalement en moi, que je lui demande de prendre possession de moi, de m’opérer pour retirer toutes les cellules qui ne sont pas LUI, il apparaît qu’un résidu de culpabilité alourdit mon être. Cette culpabilité résiduelle provient du fait que je m’obstine à conserver en moi l’autorité de mon père de chair et la panoplie de ses outils : jugements, comparaisons, morale, injonctions au travail, invalidation de mes capacités à réussir ce que j’entreprends, etc.

Cette prise de conscience m’amène au dialogue qui suit :

« JE » choisis le gouvernement exclusif de JE SUIS »

« Ô JE SUIS, aide-moi à sentir que je suis remplie de TOI, que je suis, en permanence nourrie de ta présence en moi. »

Ce à quoi JE SUIS répond :

« Je me fais sentir de toi dès que tu m’en fais la demande. La responsabilité de la demande t’appartient, la réponse est en moi, la réponse est reçue par toi. »

Les lois de la nature, la volonté de la matière

Douce Mère évoque souvent la volonté propre de ses cellules, de son corps, très imbibé de la légende humaine, des croyances aux lois qui régissent la matière, la médecine et qui incluent la maladie et la mort dans l’expérience humaine. De fait, la nature a ses propres modalités de vie, son propre rythme et si l’homme n’interfère pas, il suit lui aussi ce rythme, l’évolution lente de la création. On peut parler alors de la volonté des cellules, de la volonté propre du corps.

JE SUIS me dit à ce sujet :

« À toi d’annihiler la volonté de ton corps, de la matière et de la remplacer par ma divine volonté ! »

L’action continue depuis le plan subtil

Grâce à cette information de JE SUIS, il me semble qu’aujourd’hui, j’ai compris les raisons de la mort de Mirra Alfassa. Elle et Sri Aurobindo se sont retrouvés sur le plan de l’Esprit pour libérer la Terre, la planète, des forces d’opposition à l’installation de l’Esprit dans la matière, dans les corps humains, à l’accueil total du supramental dans la conscience humaine, dans les « JE ».

Les souffrances de Mère au cours de son existence terrestre provenaient essentiellement des attaques de ces forces d’opposition qui passaient parfois directement en elle, parfois au travers des personnes qui l’entouraient. Elle avait fait tout ce qui était en son possible pour recevoir la conscience solaire, incarner la vibration de son être suprême, la fréquence supramentale, mais, depuis la Terre, elle ne pouvait manifestement pas aller plus loin dans la rectification des forces d’opposition. Un travail depuis le plan subtil avec Sri Aurobindo était nécessaire.

Leur action conjointe dans l’au-delà a permis que la fréquence de la matière s’élève au point que tous les humains ont désormais un corps qui peut devenir vibratoire, se transformer en corps de gloire. Cette même action a permis à la Terre d’élever aussi sa fréquence, ce qui explique que dans ses messages depuis quelques mois, elle nous dit qu’elle poursuit son évolution, quelle que soit la décision de l’humanité. Elle aimerait beaucoup que nous venions avec elle, mais elle peut poursuivre son chemin sans nous.

Soleil central, galet vibratoire d’Élodie LAGOUY

Le « JE », outil de pilotage du système de chaque individu

Un « JE » qui demande à vivre

Depuis 2015, les humains peuvent accéder pleinement à leur JE, donc à leur responsabilité d’être divin créateur. Ils ont une mission, une seule mission au fond pour spiritualiser la matière : faire en sorte que leur JE reçoive la volonté de leur JE SUIS pour la mettre en acte ici sur la Terre, dans leur corps. Désormais, le corps de matière ne fait plus obstacle puisqu’il a la capacité de vibrer sur la fréquence de l’Esprit, sans même que l’âme ne soit plus nécessaire.

Reste donc la personnalité qui, sans cesse, alourdit le JE, le tente, le freine. La personnalité est une traduction humaine de l’identité spirituelle de l’être, permise par l’âme qui a humanisé le JE SUIS. L’âme était en effet l’interface entre l’Esprit et la matière, elle animait la matière qui alors devenait un être humain.

Un JE conscient de lui-même

Il est urgent que les humains prennent conscience de l’importance de leur JE, instance à la fois psychique et spirituelle qui a le devoir de se reconnaître elle-même. C’est son côté autoréflexif, et c’est précisément là où se situe l’invitation à être responsable de nos décisions et de leurs conséquences.

« JE » doit être conscient de lui-même, être à l’écoute de JE SUIS pour lui obéir, s’auto-regarder agir en permanence, constater les effets de ses choix afin de les réajuster si nécessaire, tirer la substantifique moëlle de ses expériences pour les offrir à JE SUIS.

« JE » est porteur de l’identité spirituelle de chacun, la seule vraie, et dépositaire de la force d’Amour qui agrège les atomes et façonne la matière selon la Divine Volonté de JE SUIS.

L’identité de l’être dans le JE

Grâce à ce « JE » enfin installé en chacun, en s’emparant de lui-même tel qu’il est présenté ci-dessus, les humains deviennent les maîtres de leur personnalité, peuvent « redonner » leur âme à JE SUIS. L’Esprit et l’homme ne font plus qu’un, sans plus besoin de l’interface de l’âme. L’identité spirituelle est fièrement portée par « JE » qui a fait alliance totale avec JE SUIS. La personnalité n’est alors plus du tout source d’identité, même parmi les humains, c’est « JE » qui est le porte-drapeau de l’identité céleste et qui la manifeste, qui rend chacun identifiable et unique.

En 2020, il est donc vain de s’acharner sur la personnalité, sur la pensée, les affects, les émotions, les identifications et les appartenances, il est simplement nécessaire de remplir « JE » de JE SUIS et de s’en servir vaillamment, en Apôtre du Christ.

Dire « amen » aux cycles de l’évolution

À propos des mots

Distinguer langage et pensée

Souvent il est dit que les mots sont insatisfaisants pour nommer les perceptions ou expériences spirituelles vécues. Douce Mère le dit elle-même très régulièrement. Il me semble que cette affirmation est vraie si les mots sont inspirés par la pensée qui s’évertue à exister et à vibrer sur la fréquence de la matière.

En revanche, si on se souvient qu’il y a une différence notoire et essentielle entre langage et pensée, alors le langage peut être utilisé par la conscience remplie du supramental ou de la fréquence solaire. Les mots deviennent alors le Verbe et chaque humain a le don des langues, ainsi que Jésus l’a transmis à ses apôtres.

Les mots pour le dire

Je sens qu’il y a lieu de cesser les accusations contre les mots. De mon point de vue, il y a plutôt lieu d’avoir le courage de les laisser se prononcer par la bouche, s’écrire sur le clavier ou le papier, directement issus de la conscience, du JE. Le langage, tout comme le corps dont il est l’un des outils, est simplement au service de la conscience, du JE, maître de l’embarcation.

De cette manière, la conscience de l’être humain, remplie de supramental et non pas des résultats de son activité cognitive, des prouesses humaines de sa pensée, inspire le mot approprié, le fait vibrer et transmet l’information aux destinataires, sans l’altérer.

Les mots, tout comme l’intégralité de la création sans exception, sont absolument parfaits pour relater nos expériences d’unification avec le Divin, il suffit simplement que l’utilisateur des mots veille à nommer ce qui est dans sa conscience sans baisser sa fréquence sur la pensée qui elle, bien évidemment altèrerait le récit en interférant comme elle aime le faire.

Oser le verbe

Entretenir la croyance que les mots ne peuvent pas décrire les expériences vécues consiste à maintenir la conscience humaine dans la posture de son impossibilité à accueillir la Vérité, à la faire vivre sur la Terre. Alors oui aux mots inspirés par l’Esprit qui arrive dans nos consciences, oui au langage qui permet aux humains de véhiculer l’information qu’ils sont Esprit manifesté, oui au Verbe qui contient le Principe créateur et peut donc manifester la Volonté Divine.

Au commencement, il y avait le Verbe et le Verbe se fit chair. Dans le corps vibratoire, il y a le Verbe qui vibre et agence la substance universelle selon la Divine Volonté portée par chacun.

Pour finir, l’anecdote, clin d’œil de mon JE SUIS

En offrant mes services à JE SUIS ce matin, je n’avais aucune intuition de ce qui allait arriver dans ma conscience. Je sentais de rester à l’intérieur très tranquille ce matin et j’ai respecté cette proposition en tricotant et en notant quelques phrases de mes prises de conscience.

L’après-midi, j’ai marché deux heures dans la campagne et goûté l’automne avec plaisir. Au retour, j’ai pris quelques photos des fleurs qui illuminent encore le jardin, me disant qu’elles pourraient un jour me servir si j’écrivais un article sur le site, ce que je ne fais plus guère depuis que je diffuse les guidances sur YouTube.

J’ai voulu noter quelques mots de mes expériences, me disant que cela ferait la base d’un mail adressé aux amis avec lesquels j’échange régulièrement. Au fur et à mesure que les mots s’organisaient sans que ma pensée ne mette son grain de sel, j’ai constaté que JE SUIS me guidait pour partager avec vous qui me lisez, ce que j’avais vécu. Quelques retouches seulement ont été nécessaires et je me dis que JE SUIS est bel et bien mon meilleur partenaire !

24 commentaires sur L’unification homme-Esprit s’intensifie

Vision d’aujourd’hui et de demain

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Ce que je vois d’aujourd’hui me conduit vers demain.

Je vois aujourd’hui les habitants de la terre invités à rester à l’intérieur de chez eux, à l’intérieur d’eux-mêmes.
Je vois les habitants de la terre invités à porter des masques et à prendre des gants, comme ils le font le plus souvent dans leurs relations familiales, professionnelles, amicales, sociales.
Je vois les habitants de la terre regarder, incrédules et impuissants, l’économie jusque-là au centre de la société, s’effriter chaque jour davantage. Le dieu argent pourtant si vénéré est en train d’être détrôné, mais rien encore n’est là pour le remplacer.

Douceur sur la Terre, oeuvre de Christine FRASLIN

Le souffle de l’Esprit ?

Je vois des rêves qui trottent dans la conscience, des pensées qui galopent pour s’extraire de l’instant présent et imaginer un avenir encore et toujours humain. Le divin pour l’instant est encore interdit, proscrit, banni.
Je vois le poison « espoir » s’installer. Espoir du retour au connu, aux repères d’antan, même s’ils furent souffrants. Les anti-dépresseurs sont encore un gage de faux bonheur.

Je vois les dirigeants de ce monde pris dans les rêts qu’ils ont eux-mêmes tissés, éberlués de leur toute puissance déjouée, sidérés du piège dans lequel ils se sentent confinés.

Mais quelle est cette force qui a saisi la planète entière, qui a répandu sur la terre l’épidémie de la peur, qui a réussi ce qu’aucun dictateur n’aurait jamais osé décréter ? Quelle est cette puissance qui a posé une couronne au-dessus de la tête de chaque personne pour qu’un jour elle soit reine ? D’où vient ce vent qui qui apporte le chant à peine perceptible de la nécessité du changement ?

La force des habitudes, l’emprise des certitudes étayée par une science où règne l’arrogance d’une matière vue sans conscience, les prisons mentales de l’amnésie générale de notre véritable nature nient cette sublime force qui influence chacun de nous aujourd’hui, rejettent cette puissance qui mène tous les humains à la souveraineté et à la vraie fraternité. Le chant de la nécessité du changement profond est étouffé, le courant du retour à « comme avant » cherche à s’imposer.

La quête de solutions

Unité, Galet peint par Élodie LAGOUY

L’arsenal des bonnes résolutions du temps qui s’achève est vite résumé : un peu plus d’écologie et moins d’économie, une dose d’humanisme pour contrer froideur et sauvagerie mais finalement ne sauver que les apparences, un gros paquet de transhumanisme pour verrouiller le pouvoir matérialiste de l’homme sur la vie, le dragon mondialiste dans le collimateur pour ne plus s’y laisser prendre. Rien de nouveau sous le soleil, on prend les mêmes ingrédients, et la recette se perpétue, et l’espèce humaine se tue.

Si je regarde aujourd’hui ce que nous, ensemble, nous avons déjà construit en écoutant les inspirations de notre JE SUIS, je vois les habitants de la Terre se souvenir qu’ils sont Esprit, être divins de source unique, manifestés dans la diversité des formes et des personnalités.

Le monde de demain

Je vois des êtres humains qui savent spontanément que leur propre substance est identique à celle du voisin et qu’à ce titre, ils sont frères ou sœurs, car la dualité, tout à coup, les a quittés.
Je vois des êtres toujours humains, mais d’un aspect bien différent de ce qu’ils connaissaient d’eux avant : leur organisme est transparent, leur structure est cristal, leur chair est lumière et tout leur corps est en perpétuel mouvement, lemniscates nourrissant la fleur de vie de leur squelette inédit.
Je vois des humains accueillants et rayonnants, ne travaillant qu’à être, sans nul besoin d’effort, nourris par la conscience de l’Esprit infini, régénérés en permanence de la divine présence.
Je vois des humains émerveillés par la planète qui les a invités à continuer le mariage sacré de la Terre et de l’humanité. La planète elle aussi s’est bien transformée, aimant ce vent fripon qui sur elle a soufflé pour que le feu volé aux dieux par Prométhée leur soit rendu. Les humains divinisés peuvent enfin voir brûler leur buisson ardent et sagement l’utiliser… Les hommes se donnent, la terre s’offre, l’économie du don a enfin triomphé.
Je vois des humains conscients de leur éternité, libérés du spectre de la mort, affranchis des limites de la légende de l’espace-temps dans lesquelles ils furent enfermés. Le règne de l’instant présent, de l’abondance en toutes circonstances est désormais instauré.
Je vois des humains libres et responsables, souverains de leur être, sans territoire à défendre : leur existence est simplement une évidence. Les assemblées de souverains sont joie et simplicité, seulement constituées pour faire rayonner la Terre et l’humanité dans le système solaire et au-delà, dans la galaxie.

Homme-Dieu souviens-toi de toi pour construire ce monde que l’Esprit que tu es t’a envoyé bâtir sur la Terre, pour dépasser l’apparence de la dualité, pour réunir ce que tu crois séparé, pour intégrer ce qui te semble étranger !

Le temps de la préparation

Sans doute est-il encore trop tôt pour que la voix des spiritualistes éveillés à la nature divine se fasse entendre.
Sans doute faudra-t-il d’autres couronnes virales pour que la pensée dominante aveuglée par ses convictions matérialistes posées en vérité absolue, se laisse ébrécher et que s’infiltre en elle l’Amour infini de l’Esprit.
Sans doute faudra-t-il consentir au sacrifice d’autres corps d’humains sur l’autel des sacro-saints médecins pour entrevoir la magie de l’âme qui guérit et même évite la maladie.

Sans doute faudra-t-il encore un peu de patience à ceux qui se souviennent de la mission qu’ils ont choisie pour participer à l’évolution de la conscience. Le temps du retournement arrive, le moment de l’inversion est en active préparation et nous sommes, nous, en formation pour peaufiner la posture de maître inspiré par l’Esprit, que nous sommes appelés à adopter. Nous avons encore de vieilles hardes à déposer sur l’ancienne terre pour nous acheminer nus et sereins vers le monde de demain.

Le monde de demain est entre les mains de tous les humains, le monde de demain est déjà là, présent dans notre fréquence juste au-dessus de celle qui nous enferme dans les limites de l’espace-temps de la densité, devenues seule réalité.

Chacun de nous peut ouvrir son œil de l’intérieur et y découvrir la terre promise depuis la nuit des temps, la cité de la paix à la fois céleste et terrestre. Le Christ est bien vivant, dans notre sang, dans notre fraternité. Tout comme Lui, oints par l’Éternel nous sommes, tout comme Lui, fils de l’Homme nous sommes.

Pour entendre ce texte en podcast sur YouTube, c’est là, ci-dessous :

https://youtu.be/3zanJlf-teg

Marie-Odile
Dimanche 19 avril 2020

12 commentaires sur Vision d’aujourd’hui et de demain

Formation de la première vague

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Le changement annoncé

Vibration du dauphin bleu
Dessin inspiré de Christine FRASLIN

Depuis le temps que le monde spirituel nous annonce un changement de paradigme pour la terre et l’humanité, il finit par arriver. Les bouleversements du corps physique de la terre sont désormais visibles de tous, les indices d’un effondrement des structures existantes sont pléthore et surtout la révolution de la conscience humaine est déjà bien entamée, même si c’est à l’insu d’une majorité de personnes. En dépit du fait que les médias dominants continuent d’assommer la population de bien-pensance écolo végétarienne culpabilisante et de divertissements, la réalité est bien là : une véritable crise de sens est en train de bouleverser les humains. Comme toujours, à l’instar des collapsologues et des chantres de la théorie de l’effondrement, le premier élan conduit à chercher des solutions dans la matière, afin de survivre et de conserver son petit territoire. Fort heureusement, en parallèle, s’ouvre la solution spirituelle assortie d’une conscience élevée à notre nature divine qui pousse à laisser émerger une nouvelle espèce humaine, celle de l’homme-Esprit.

Dans ce contexte, la question est posée à chacun : veux-tu faire partie de la première vague des humains accédant à leur être unifié dans leur corps vibrant de lumière ?

Un état des lieux

Un chemin bien préparé

L’évolution vers l’humain de demain est en cours depuis le début de l’incarnation de la conscience de « l’entité-humanité » et de façon plus évidente depuis le début du XXème siècle. Les Blavatsky, Krishnamurti, Steiner et d’autres ont puissamment lancé les courants spirituels démarqués des religions et décrivant l’inévitable accès à l’homme unifié à son Esprit. Les travaux de Sri Aurobindo, La Mère et Satprem ont décrit avec précision les changements cellulaires nécessaire à la mutation du corps dense en un corps vibratoire, adapté à la nouvelle fréquence de la terre. Ces travaux magnifiques trouvent avec nous aujourd’hui, leur champ d’application.

Un chemin de conscience individuel

Nouvelle terre
Peinture de Sandrine POCHARD




Dans le contexte d’une évolution de conscience collective, étroitement liée à l’évolution de la conscience de la terre, chacun de nous avance à son rythme. L’éveil à notre nature spirituelle arrive pour certains très tôt dans l’existence, tandis que pour d’autres, il se produit tardivement, parfois au moment du denier souffle, voire jamais. Après l’éveil, se pose ensuite la question de l’implication, de la mise en œuvre de l’engagement que chacun prend à vivre son existence terrestre pour l’Esprit. Là encore, la diversité est de mise.


C’est ainsi que chacun de nous, selon ses choix se trouve aujourd’hui face à son JE SUIS et à sa divine volonté. Voulons-nous être des pionniers et expérimenter au plus vite la condition de l’homme-Esprit en invitant les autres humains à suivre notre chemin, ou préférons-nous attendre que la majorité des humains soit prête pour nous joindre à elle ? A moins que notre choix soit d’être un « dernier des Mohicans » ou un « irréductible gaulois » désireux de résister jusqu’à notre dernier battement de cœur à l’appel de l’Esprit ?

Ce qui caractérise la première vague

La vague qui ouvre la voie d’une fréquence élevée

Le Saint Sacrement
Peinture et feuille d’or sur bois d’Alexandra ANTOK



La première vague, telle que le monde spirituel la décrit, est constituée d’êtres humains éveillés, c’est à dire conscients de leur nature spirituelle, et désireux de guider, éclairer, enseigner et soigner leurs semblables. Ils se reconnaissent guides-guérisseurs de l’humanité. Émanant de la conscience de ce que leur JE SUIS s’est engagé à faire en se manifestant sur la Terre, cette reconnaissance de la fonction de guide-guérisseur est humble, elle est obéissance à l’autorité suprême accordée au Moi Divin. Elle est modeste car elle ne cherche en aucun cas notoriété et large audience, elle s’accomplit dans le quotidien de nos vies, par une manière d’être, par une conscience permanente du Christ vivant dans notre chair, par un accord à être le canal qui transmet les forces spirituelles qui nous traversent et nous inspirent. La principale caractéristique d’un guide-guérisseur de la première vague est probablement sa cohérence entre la conscience de lui-même et ses comportements dans sa vie de tous les jours.

La fonction de cette première vague est de contribuer activement et consciemment à l’avènement d’une nouvelle espèce humaine, celle de l’homme-Esprit, dotée d’un corps à la fréquence plus élevée que celle du corps densifié qui abrite actuellement notre âme.

Ça va, ça vient…

La première vague est en cours de constitution depuis quelques années et nombreux sont ceux qui ont senti cet appel à être utiles au monde, à contribuer à l’avènement d’une conscience plus élevée des êtres humains. Après l’enthousiasme du début de la quête spirituelle, les belles perceptions de l’Esprit en soi qui nourrit, après la formidable sensation d’appartenir à une équipe sympathique de chercheurs de sens authentiques, arrivent les événements de la vie qui permettent de confirmer l’engagement de servir l’Esprit. C’est là bien souvent que les affaires se compliquent ou même se gâtent. Un petit souci d’argent par ci, la maladie d’un proche par là, un sentiment amoureux suffisent pour que les priorités s’inversent et que tout à coup, la dimension humaine revienne au premier plan, reléguant l’Esprit aux oubliettes, soi-disant momentanément. On le sait, parfois le provisoire dure longtemps…

« Ce qui t’est donné par la grâce, tu devras en prendre la responsabilité. »

Cette phrase reçue pour me guider, revient sans cesse à ma conscience pour me redire que si la joie de vivre l’Esprit en moi m’a bien permis de m’engager à vivre mon existence humaine pour LUI, il me revient sans cesse de confirmer ce choix. Pour cette confirmation, rien de mieux que le laboratoire d’expériences de ma vie quotidienne : dans chaque situation banale que je vis, j’ai le choix de recourir aux ressources matérielles et humaines ou de mobiliser l’Esprit qui se donne à moi, de prendre mes options pour LUI. Le positionnement est ardu puisque dans nos sociétés, tout est organisé pour d’abord aller chercher à l’extérieur de nous les solutions à nos besoins, pour privilégier la réponse immédiate au développement durable de soi.

Concrètement ?

Ce qui s’incruste, ce qui s’attache
Photo de Jean-Marc SEGUY

Être de la première vague aujourd’hui implique en premier lieu de reconnaître l’Esprit, le JE SUIS en tant que sens de l’existence et par conséquent de comprendre toutes les situations vécues en y incluant le message et l’enseignement de notre Moi Divin.
En second lieu, la personne de la première vague fait en sorte que la posture de guide-guérisseur soit présente dans toutes ses activités, y compris celles qui ne sont pas directement consacrées à guider, éclairer, enseigner ou soigner. C’est la priorité donnée à l’Esprit dans tout ce qui est entrepris.
Ensuite, à titre personnel, une attention est portée à sa propre évolution. Ces derniers mois, le monde spirituel nous invite tout particulièrement à un apprentissage au détachement du monde de la forme, y compris de notre corps physique, à un affranchissement de nos croyances aux lois de la matière densifiée.
Un autre paramètre important concerne la posture de maître à adopter vis à vis de notre personnalité dans son ensemble afin de favoriser l’intuition, le 6ème sens, l’inspiration par le JE SUIS. Il s’agit de savoir maîtriser l’activité du mental, gérer ses émotions et ses sentiments, se défaire des identifications (le fameux égo) et résister à la tentation d’appartenir à tout système.
Le dernier point que je cite ici, mais qui n’est probablement pas la fin des caractéristiques de la personne de la première vague, est la volonté délibérée de contribuer activement et librement, sous sa propre responsabilité, à l’évolution de la conscience de l’humanité.
C’est l’Apocalypse qui est en cours, véritable révolution menée par les voies de l’Esprit qui agit dans le concret du monde manifesté, inspiré par les plans subtils de nous-mêmes et des entités bienveillantes qui nous accompagnent.

Et combien sommes-nous ?

Même si je reste prudente sur les chiffres que je perçois du monde spirituel, craignant de ne pas bien entendre ce qui m’est donné, il se trouve que cela fait plusieurs années que l’information reçue est constante. Il est question pour la première vague de 2 à 3% de la population mondiale. Nous pouvons convenir que c’est un nombre raisonnable. Il y a bien plus de deux cent millions de personnes sur la terre conscientes de leur nature spirituelle. On peut donc facilement estimer qu’avec l’aide des plans subtils, nous parviendrons très vite à être ce nombre de personnes qui mettent de la cohérence entre la conscience de nous-mêmes et notre comportement. Un effet de seuil sera alors atteint et la conscience globale de l’humanité sera alors convertie au règne de l’Esprit sur la Terre.

Une deuxième vague

Homéostasie, néguentropie, maintien à tout prix de l’existant

Naissance de la nouvelle terre
Dessin de Myriam LEPORI



Constituée de 80% de la population, la deuxième vague comprend tous les humains obéissant aux lois des institutions que nous avons créées. Même si parfois l’obéissance prend le déguisement de la contestation, il n’en reste pas moins que l’objectif est constant : maintenir les structures existantes en les modifiant le moins possible, faisant simplement en sorte qu’elles apportent un maximum de bénéfices immédiats. Fidélité aux lois d’homéostasie, tendance à la néguentropie, peur de tout changement risquant d’apporter de l’inconnu…


Dans ce maintien à tous prix, tout y passe : maintenir la démocratie qui insatisfait 50% des populations, sauvegarder l’économie pour le moins clivante, préserver les institutions qui déresponsabilisent quand elles n’asservissent pas, conserver les religions de toutes sortes et surtout la religion matérialiste et scientiste, j’en passe et des meilleurs. Ce maintien forcené est désiré par une grande majorité des personnes pour éviter d’avoir à prendre sa responsabilité individuelle. On redemande des berceuses pour continuer à dormir, on veut plus de techniques de bien-être pour moins sentir son mal-être, on réclame une meilleure climatisation pour mieux supporter l’enfer.

La cloche va sonner

Mais voilà que les temps arrivent où le réveil va sonner. Des événements parfois anodins, parfois de grande envergure, se préparent pour que la conscience s’ouvre à la réalité de notre substance spirituelle manifestée sous une apparence dense. La mémoire veut revenir et même si nous faisons de nombreux efforts pour qu’elle ne vienne pas perturber notre ordre établi, elle frappe très fort à la porte de chacun.
La conscience de la Terre est en chemin, s’élève de jour en jour et ses habitants ont impérativement besoin de suivre en parallèle la voie de leur évolution pour que la cohabitation puisse continuer.

Quand les repères vont être flous

Matière et Esprit réunis
Dessin d’Élodie LAGOUY

Je me souviens précisément de ce jour d’août 1986 où ma conscience a basculé d’une vision matérialiste du monde à une vision spirituelle du monde. Toutes mes constructions mentales se sont effondrées, tous mes choix de vie étaient questionnés, toutes mes croyances étaient à revisiter. En quelques mois, j’ai du remettre à plat mes valeurs, ce qui me liait au père de mes enfants, à mon travail. Trois ans plus tard, pour commencer à vivre humainement ce que JE SUIS de toute éternité, tous les paramètres concrets et visibles de ma vie avaient été modifiés.

Cette expérience personnelle tout à fait banale et ordinaire, est significative de ce qui est susceptible de se passer dans les prochains temps, en plus intense et surtout à plus grande échelle. Ce qui fut vécu à titre individuel bénéficiait de l’impulsion de mon JE SUIS, largement aidée alors par une poussée du monde spirituel. Ce qui se prépare aujourd’hui, parce que c’est une nécessité vitale pour l’humanité, va bénéficier de l’union sacrée des JE SUIS de toute la population de la terre en même temps que de la poussée fantastique du monde spirituel.

Dans cette tempête des consciences, il est tout à fait probable que les repères anciens deviennent flous, voire non visibles, et qu’apparaissent d’autres visions qui laisseront croire à un vent de folie. C’est là que la première vague trouvera sa place pour agir, pour guider, éclairer, enseigner et soigner.

La troisième vague

Une troisième vague est décrite par le monde spirituel lorsqu’il évoque les probabilités des transformations nécessaires au sein de l’humanité. 7 à 8% de la population, par un contrat d’âme assez peu visible du premier coup d’œil, s’est engagée à résister au changement. Au niveau visible, il peut sembler que ces personnes sont accrochées à la matière et à son bénéfice comme des berniques à leur rocher. Derrière ce premier niveau bien réel, pourrait bien exister aussi un niveau, occulte, où l’âme du résistant au changement se serait engagée à maintenir les structures existantes durant tout le temps nécessaire à l’installation du nouveau paradigme.

Avec cet engagement sacré, ces âmes se donnent l’opportunité de servir la conscience humaine tout en prenant le risque de ne pas savoir reconnaître le moment où il sera opportun de lâcher prise et de suivre le mouvement de la vie. C’est le moyen qu’elles ont choisi pour croître et se libérer de fardeaux du passé. L’époque actuelle de la révélation au sein de l’humanité est l’occasion pour chacun de nous d’apurer le karma, de remettre tous nos compteurs à zéro pour continuer l’expérience avec un niveau de conscience accru et d’autres challenges.

Dessin inspiré d’Aurélie LANDAIS

C’est aujourd’hui pour demain

Pour conclure cet article, je vais laisser l’Archange Michaël s’exprimer, nous délivrer son message du jour :

« Les clés sont entre vos mains. Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas. La Terre qui fut votre mère en vous donnant un peu de sa chair pour que votre âme ait un logis, est désormais votre partenaire. Depuis des mois, elle vous informe des changements qui s’opèrent en elle, elle vous invite à voir l’Être d’Amour qu’elle est, elle vous convie à vous préparer à de nouvelles noces avec elle. Elle n’est pas en fin de vie, bien au contraire. Elle est à l’aube de sa vie nouvelle, de son corps de gloire et vous dit avec ferveur : « Viens avec moi, déleste-toi de ce qui est lourd et pesant en toi. Laisse les transformations de ton corps se faire afin de poursuivre le voyage avec moi. »
Et moi, je vous le dis en remettant mon épée entre vos mains, il est temps de vous préoccuper de l’Esprit qui vous constitue, qui vous nourrit, qui fait le sens de votre vie. Détourne un peu ton regard des biens matériels de ce monde dans lequel tu as plongé mais duquel tu n’es pas, et tu seras ébloui par l’abondance qui est à ta disposition. Tes cinq sens sont appelés à décroître et ton 6ème sens à croître. Ton corps dense et opaque désire faire luire les particules de lumière qui le composent et n’attend que ta conscience pour vibrer sur sa nouvelle fréquence. Ta mission est maintenant clairement explicitée et je sais que tu attendais ce moment de ton engagement depuis que tu es né. La joie véritable de vivre au sein de l’espèce humaine t’est proposée, vas-tu oser ? »

Message reçu en canalisation le vendredi 8 novembre 2019

Je remercie chaleureusement et sincèrement les artistes qui mettent leurs œuvres à ma disposition. La plupart de ces créations sont inspirées par les moments de guidance et sont donc remplies de la puissance de l’Esprit.

4 commentaires sur Formation de la première vague

Arrêter d’être un enfant, devenir un maître !

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Vendredi 18 octobre à 20 H : mon second pas sur la télé du web tvjc.tv

C’est reparti !

Ma première expérience d’une émission en live sur tvjc.tv, en septembre, m’invite à poursuivre l’aventure, à continuer la diffusion de ce que je contiens et les partages avec vous qui participez à l’évolution de la conscience de l’humanité.

La période actuelle est propice à notre croissance spirituelle, à l’unification Homme Esprit, à l’édification d’une société plus fraternelle où l’Amour sera la Loi. Chacun de nous peut apporter sa pierre à l’édifice. L’émission du vendredi 18 octobre est l’une de ces pierres qui permet à l’édifice subtil de croître.

Nous retrouvons le soleil chaque jour, parfois paré de ses plus beaux atours.

Le rendez-vous du vendredi 18 octobre 2019 à 20 H

Pour ce second rendez-vous webtélé, je propose que nous consacrions la soirée à la question suivante :

Arrêter d’être un enfant, devenir un maître !

Dans notre précédent rendez-vous, le monde spirituel nous disait que la maturité actuelle de la conscience humaine était équivalente à celle d’un enfant de 6 ans, alors que nous sommes appelés à nous comporter en adultes de plus de 40 ans. Comment se défaire de nos comportements d’enfants blessés qui, trop souvent, prennent les commandes de notre « je », pilote de notre existence ? Comment accepter de lâcher les bénéfices que nous croyons obtenir en adoptant, la plupart du temps inconsciemment, une posture infantile ? Comment prendre conscience de notre refus de responsabilité, d’autonomie ? Comment être un adulte maître, libre et responsable, inspiré par son JE SUIS ?

J’aborderai ces questions dans le premier temps de l’émission, en vous invitant à réagir sur le chat avec des témoignages ou des questions qui constitueront la seconde partie de la soirée.

Pour vous connecter sur le site de l’émission :

  • A partir de 19H30 et avant 20H, aller sur le site TVJC
  • En haut, dans le bandeau blanc, cliquer sur « la télé »
  • Vous arrivez sur la page « attente du direct » où tout vous est expliqué
  • Pendant l’attente, pensez à rafraîchir régulièrement la page de votre écran. Vous aurez ainsi les éventuelles instructions pour entendre, voir et poser vos questions par le « chat ».

Un remerciement

Pour cette seconde édition, j’adresse à nouveau un grand merci à Jean-Claude qui met tout son talent, son savoir-faire et son âme au service de l’Amour en rendant possible la diffusion de ce qui émane du monde spirituel. 

Je me réjouis de vous retrouver pour cette expérience renouvelée.

Marie-Odile

L’émission pourra être vue en différé sur le site de tvjc et pourra être commentée après le direct sur le blog Unité Je Suis.

2 commentaires sur Arrêter d’être un enfant, devenir un maître !

Les commentaires des volontaires

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Se reconnaître volontaire

La guidance reçue ce jour dit clairement que la conscience de l’humanité est en train de basculer vers un plan plus élevé qui se souvient de son essence spirituelle. Celles et ceux qui, comme moi, sentent depuis longtemps qu’ils sont présents sur la terre pour accompagner cette élévation des consciences, cette ouverture des humains à leur divinité, ne peuvent que se réjouir même si de temps en temps, il nous arrive encore de douter, d’avoir peur, voire de contester notre engagement à servir le Christ.

Malgré nos atermoiements et nos hésitations, notre JE SUIS nous pousse dans l’assemblée des humains volontaires pour la construction d’un monde fraternel, pour l’avènement de l’Amour inconditionnel, pour l’ère de l’homme unifié à l’Esprit.

Le réveil a bien lieu et les transformations actuelles de la planète sont concomitantes de l’élévation de la conscience collective. Nous sommes effectivement en train de construire la Jérusalem Céleste qui manifeste le chemin parcouru depuis notre sortie du Paradis terrestre. Plus que jamais, nous voilà souverains, rois et reines des territoires subtils et denses dont nos JE SUIS ont pris la responsabilité.

Photo de Sandrine POCHARD

Dans la guidance du 21 juillet dernier, intitulée « Enseignement de Jésus » est donnée une image symbolique du corps humain de demain, doté d’une tête avec de multiples antennes qui reçoivent abondamment et avec précision les forces de l’Esprit. L’image du chardon m’est apparue et cette photo d’artichaut est très proche de la vision reçue.

Comment faire ?

Après ce long processus d’individualisation de chaque membre de la fraternité humaine, la diversité des personnes, des tempéraments, des modalités de vie est à son paroxysme et chacun est bien évidemment la créateur unique et singulier de l’action à mener pour l’Amour. Chacun avec sa sensibilité, son talent, ses élans trouve la manière pertinente pour contribuer à l’œuvre commune.

Par conséquent, si aujourd’hui, je vous invite à une modalité d’action, j’aime rappeler qu’elle a simplement vocation à figurer dans l’éventail des possibilités offertes à tous les volontaires de la Lumière du Christ, de la conscience solaire incarnée.

La modalité à laquelle je vous invite consiste à mettre en partage sur le blog que je fais naître aujourd’hui les mots qui décrivent votre expérience et votre ressenti à la suite de l’écoute d’une guidance.

Après maintenant un mois de diffusion des guidances en direct et leur publication en différé, je constate que chaque jour, je reçois quantité de mails décrivant avec implication et courage ce que les auditeurs/participants ont vécu. Je trouve tout à fait dommage d’être la seule à bénéficier des trésors qui sont écrits et pourraient véritablement être utiles à d’autres volontaires.

A vos claviers pour les commentaires !

Pour permettre des échanges d’expériences, pour faciliter la formulation des ressentis, pour contribuer au mouvement de la conscience qui s’élève, je vous propose donc de mettre en mots ce qui vient à votre conscience après avoir reçu la manne spirituelle donnée par le biais des guidances. En vous rendant sur le blog d’Unité Je Suis, juste en dessous du texte de présentation de la guidance, vous avez à votre disposition une partie commentaire pour exprimer votre expérience personnelle et la mettre au service des autres. Je suis certaine que c’est une manière très opérationnelle de contribuer à la construction de la confiance en soi, à la semence des graines d’Esprit sur la Terre, à la vague conscience christique qui veut nourrir l’humanité.

4 commentaires sur Les commentaires des volontaires

Une nouvelle manière d’agir

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L’année 2019 marque une étape dans ma manière de contribuer à l’évolution de la conscience collective de l’humanité. Ces trois dernières années, j’ai eu beaucoup de joie à recevoir chez moi, à l’Oliverie, pour vivre l’extraordinaire de l’Esprit dans l’ordinaire de la matière. Les rencontres en vérité où les JE SUIS de chacun ont été les chefs d’orchestre, ont offert au collectif humain la simplicité de l’unification, l’accès à la Jérusalem Céleste de chacun. Tout naturellement, une nouvelle marche de l’escalier se présente à moi, et je décide d’y poser le pied.

Des guidances pour agir

Depuis février dernier, je vis une aventure spirituelle parallèle et complémentaire aux rencontres évoquées ci-dessus : je reçois en canalisation des instructions du monde spirituel pour agir dans le concret au moyen des voies subtiles, par la mobilisation de la conscience. Au rythme de presque une guidance par jour, je capte des consignes très précises visant à donner aux humains les compétences nécessaires à la construction d’une fraternité où l’Amour inconditionnel est la Loi.

Nous sommes guidés

Pour recevoir les messages de mon JE SUIS et des êtres spirituels qui l’accompagnent, je fais le plus possible silence en moi, je m’ouvre à l’Esprit et accorde du crédit à l’information qui vient s’imprimer dans mon champ de conscience. Ma personnalité est là avec son lot d’émotions, mon mental est particulièrement présent pour veiller à la rationalité de ce que je vis, et il me revient d’être le maître de ma dimension humaine en mobilisant mon « je », instance de conscience et de décision en moi. Le meilleur moyen de procéder pour moi, a toujours été, depuis 2006 où mon canal s’est ouvert consciemment, de parler à voix haute pour exprimer ce que je vois et entends de mon être essentiel.

Au fur et à mesure que j’ai entendu et agi selon les instructions reçues, j’ai commencé à diffuser discrètement à quelques personnes rencontrées au fil des jours, ce que je recevais. D’abord, je me suis contentée d’écrire un résumé de la guidance. Très vite, quand j’ai constaté que le rythme quotidien se confirmait, je les ai enregistrées avec mon téléphone et j’ai transmis les documents sonores plus largement, notamment aux personnes qui étaient à mes côtés lorsque je recevais et qui contribuaient activement à la canalisation. C’est ainsi que petit à petit, une quarantaine de personnes ont été destinataires des guidances. Il m’est rapidement apparu que le monde spirituel avait besoin que nous soyons de plus en plus nombreux à relayer leur action pour que les humains guérissent de l’amnésie qui les a conduits à exclure l’Esprit de leur représentation d’eux-mêmes et du monde. La décision de diffuser ces guidances par Internet était en train de mûrir et bien entendu les moyens pour le faire me sont arrivés dès que j’ai été prête.

En route pour la diffusion

Les moyens pour diffuser les guidances sonores m’ont été apportés sur un plateau par Jean-Claude, déjà présent sur mon site avec les vidéos présentant la spiritualité libre et incarnée telle que je la vis. Son projet de créer une télé du web consacré à la spiritualité et à la santé convergeait parfaitement avec mon besoin et notre complicité de 2015 pouvait se réactiver.

En différé

Entendre les guidances enregistrées

J’ai donc le plaisir de vous convier à aller visiter le site TVJC.tv sur lequel vous pourrez entendre toutes les guidances que j’ai reçues depuis le 28 mars dernier, date à laquelle j’ai commencé à les enregistrer. Chacun de ces documents sonores est présenté par quelques mots sur le contexte du jour et un résumé assez succinct du contenu. J’ai à chaque fois tenté de donner un titre assez explicite qui donne la couleur générale du « voyage » auquel j’étais conviée.

Deux solutions s’offrent à l’auditeur potentiel : l’écoute via une connexion Internet si on en dispose, le téléchargement sur le téléphone ou l’ordinateur qui permet d’écouter sans avoir de connexion au Net.

En direct

Écouter en direct

En plus des guidances enregistrées, vous avez aussi la possibilité de les écouter en direct et donc de participer activement à la réception des informations, de vivre les sensations au présent, de contribuer à la puissance du canal. Cette fonctionnalité est offerte par le site TVJC.radio.fm

Le mode d’emploi est expliqué sur la page d’accueil, juste en dessous de l’image ci-dessus. Les horaires des directs sont annoncés sur TVJC.radio en cliquant sur l’onglet calendrier des directs.

Au moment où j’écris le présent article, la technologie du direct connaît quelques aléas. Le charme de ces aléas réside dans le fait qu’ils ont à chaque fois une origine différente : saturation du son, coupure dans le flux de l’émission, panne de wifi. Bien évidemment, nous faisons tout notre possible humainement et spirituellement pour fluidifier la diffusion en direct des guidances. En règle générale, la mise en ligne sur le site de tvjc.tv se fait dans les deux heures qui suivent le direct, le temps pour moi de faire les gestes techniques nécessaires, ce qui permet d’écouter en léger différé quand le direct n’a pas bien fonctionné.

A venir : les émissions en « live »

En complément de la diffusion des guidances, mon choix de répandre les informations reçues du monde spirituel passera prochainement par la mise en place d’émissions filmées en « live » sur Internet, à raison d’une soirée mensuelle. Dans la première partie de la soirée, je traiterai d’un sujet d’actualité spirituelle, dans la seconde partie, je répondrai aux questions qui seront posées par écrit, via un « chat » (communication textuelle en temps réel sur internet) modéré par Jean-Claude de TVJC.tv.
Dès que les dates et les thèmes seront connus, je ferai connaître les rendez-vous et indiquerai les modalités techniques pour participer.

Quelques précisions utiles

L’intention du monde spirituel telle que je la perçois

Après plus de quatre mois de réception quasi quotidienne des messages du monde spirituel visant à agir sur la Terre pour aider l’humanité à élever sa conscience, j’ai la sensation que je commence à voir se dessiner l’intention du monde spirituel et les moyens utilisés pour servir leur projet d’Amour.
Je vois quatre axes principaux dans cette intention : recourir aux humains volontaires, respecter le libre arbitre donné à l’humanité, renforcer la solidité des volontaires, amorcer une économie du don.

La passion du monde spirituel pour l’humanité

Le recours aux humains volontaires

Partout sur la Terre, des humains se souviennent de qui ILS SONT de toute éternité, savent qu’ils sont là pour être leur JE SUIS et contribuer à l’évolution de la conscience de l’humanité. Nombreuses sont aujourd’hui les âmes venues (re)vivre l’expérience du corps et du libre arbitre avec le désir ardent de guider, éclairer, enseigner, soigner. Tous ces êtres humains se mettent volontairement, chacun à leur manière, chacun avec leurs compétences, au service de leur JE SUIS, au service de l’Esprit. Ils sont des relais pour les êtres qui veillent sur le déroulement de l’expérience terrestre et humaine qui peuvent ainsi aisément transmettre leurs informations ou instructions à ces volontaires conscients de l’engagement de leur âme. Ces instructions sont toujours de nature à aider l’humanité à vivre son évolution vers l’Amour et la fraternité, vers l’Homme-Esprit unifié.
Les volontaires constituent un réseau non formalisé humainement mais bien visible au plan subtil. Pour ceux qui se sentent concernés pour être relais volontaires des actions menées par le monde spirituel en faveur de l’humanité, il est réconfortant de sentir ce réseau, de savoir que partout sur la Terre, des humains simples et ordinaires, relativement discrets, agissent pour que vive le Christ.

Le souci constant de respecter le libre arbitre

Une des grandes richesses de l’expérience de la conscience humaine sur la terre réside dans l’invitation permanente à faire des choix, à prendre des décisions, à se positionner. L’exercice du libre arbitre est précisément ce qui permet à l’âme qui s’est incarnée de renforcer l’Amour qu’elle est. Rien n’est écrit à l’avance et la responsabilité nous est laissée en toutes circonstances afin que nous l’assumions, que nous nous en emparions pour être ce que nous sommes.
Le monde spirituel, entre autres nous-mêmes dans un plan de conscience plus subtil, plus clairvoyant, ne cesse de nous envoyer des informations pour que nous retrouvions la mémoire de notre véritable identité, pour que nous vivions l’Amour. Longtemps, nous restons sourds et n’entendons pas ce qui toque à la porte de notre conscience. Il suffit alors que quelques humains acceptent librement d’entendre et de répandre l’information pour que l’ensemble de la conscience de l’humanité soit modifiée. De cette manière, le libre arbitre a bien été respecté, et les êtres de lumière et d’amour qui accompagnent notre expérience ont œuvré, maintenu leur engagement.

Renforcer l’équipe des volontaires

La Terre élève sa fréquence…

La planète Terre poursuit son projet de devenir un soleil. L’humanité s’est unie à la conscience de la Terre pour incarner la conscience solaire, tout comme Jésus a incarné le Christ, conscience solaire. Terre et humanité ont donc des projets convergents.
Pour que les humains puissent continuer à vivre sur la planète qui leur a été prêtée, ils doivent ajuster leur fréquence à celle de la Terre. Les changements, notamment climatiques, que nous pouvons observer actuellement sur la Terre sont probablement la manifestation de l’élévation de la fréquence de la Terre, bien plus que la conséquence de nos comportements de pilleurs. Il devient donc urgent que la conscience humaine s’élève, que la mémoire de notre nature spirituelle revienne pour être en cohérence avec le lieu de notre incarnation.

Les équipes de volontaires, les relais des effusions spirituelles sont actuellement formés, entraînés à vivre l’unification, à intégrer la réalité de l’Esprit dans leur quotidien, à stimuler leur conscience. Ils sont préparés par leur JE SUIS à être opérationnels pour le moment de l’effondrement des anciennes structures menant à la construction d’un nouveau paradigme où l’Amour sera la Loi, où la fraternité d’êtres souverains émergera.

Le don

Le dernier élément saillant que je perçois dans l’intention du monde spirituel au travers des guidances que je reçois, tourne autour du don, de l’acte de donner. A l’heure où l’économie monétaire domine les institutions humaines, à l’heure où des nouvelles monnaies toujours plus virtuelles, voient le jour, à l’heure où les systèmes d’échanges balbutient, le don est présenté par nos consciences élevées comme voie de sortie de l’impasse. Une véritable économie du don est en place puisque le plan subtil ne cesse de donner, en abondance illimitée, dès que nous prenons la responsabilité de nos besoins. Le don de soi, le don de ses talents, le don de son temps, le don de son énergie nous fait être humainement ce que NOUS SOMMES en Esprit. L’enseignement est donné, la voie est montrée.

Les choix que j’ai faits pour transmettre

Pour canaliser avec fluidité, j’ai toujours parlé à haute voix, que je sois seule ou avec d’autres personnes. La voix parlée me permet de maîtriser l’intervention de mes pensées et de faire en sorte qu’elles interfèrent le moins possible dans la réception des messages du monde spirituel.

L’humain et le Divin se côtoient

Les clefs nous sont données

Au vu de la spécificité des actions demandées par le monde spirituel dans les guidances, j’ai du faire face à quelques résistances de mon système cognitif, à quelques offensives de mon juge intérieur et de mes émotions. Pour déjouer ces entraves, je les ai nommées pensant que je ne partagerais les documents enregistrés qu’à un petit nombre de personnes. Ce fut le cas au début et aujourd’hui, au moment de diffuser largement les guidances, j’assume la part très personnelle, voire intime qui côtoie la dimension collective. Ici, si l’humaine que je suis est bien au service de l’Esprit, je ne m’efface pas pour dire le message, je témoigne de mes propres réactions, je fais part de tout mon ressenti, j’établis ouvertement un dialogue avec les êtres qui nous guident en général, avec mon JE SUIS en particulier.
Par ce choix ma pudeur a été mise à mal, tant mon lien avec le monde spirituel est ce que je vis de plus intime dans mon existence. Cependant, j’ai volontairement pris l’option de mettre mon expérience au service de mon âme, de mon JE SUIS que je reconnais être mon « employeur ». Mes hésitations, mes doutes, mes opinions font partie de mon expérience et ils sont donc présents en parallèle des instructions données par les plans les plus subtils.

Le vocabulaire et les images utilisés

Les êtres spirituels qui nous transmettent des messages savent à la perfection utiliser nos registres humains pour que l’information soit reçue et comprise.
Le vocabulaire des guidances puise donc dans mon registre lexical. Ce vocabulaire spécifique nomme la vision du monde et de l’être humain qui m’a été transmise depuis l’ouverture de mon canal verbal en 2006. Si cela est nécessaire, il est possible de voir le sens précis des mots employés sur le présent site, dans l’article Notre conscience : une clé pour l’Apocalypse
De la même manière les images que je perçois appartiennent à mon iconographie personnelle, sont souvent issues de mon quotidien, des végétaux que je vois dans le jardin, des lieux que j’ai fréquentés. Le message reçu par l’Esprit est donc véhiculé par mon bagage personnel qui fait résonance avec l’information choisie par les guides du plan subtil.

7 commentaires sur Une nouvelle manière d’agir

Mouvements intérieurs

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Difficile d’ignorer les soubresauts qui agitent la France depuis novembre 2018. Le pays a la fièvre jaune, la circulation est entravée, la colère et la haine déferlent, les enfants intérieurs blessés ont pris les commandes pour clamer combien « papa » ne les aime pas comme ils voudraient être aimés. Et l’enfant croit bien-sûr qu’avec un autre papa, il sera enfin aimé idéalement, qu’il aura tous les jouets qu’il veut. Le rêve d’un nouveau papa, d’une nouvelle maman, c’est l’espoir d’une vie meilleure, de désirs comblés, d’un paradis retrouvé, mais c’est aussi un maintien dans l’enfance et un choix de retarder le moment de se reconnaître libre, responsable et cocréateur de sa réalité.

Ce qui est dedans est comme ce qui est dehors

L’externalisation des causes de la souffrance

Crier, casser, haïr, menacer, attaquer l’autorité extérieure sont des actions qui externalisent, mettent en scène ce qui se joue à l’intérieur de soi. Avant d’exploser, de jaillir vers l’extérieur, il est sain d’écouter d’abord l’enfant intérieur mécontent du parent que nous sommes pour lui et qui peut hurler très fort. En nous précipitant trop vite vers l’extérieur, nous renforçons sa peine, sa souffrance, son vécu de ne pas être entendu. La non conscience de nos besoins propres est bien souvent une bombe à retardement.

Certes au plan visible, il y a toutes ces injustices sociales, il y a la misère matérielle qui empêche de consommer de manière illimitée, il y a des institutions qui satisfont bien mal les besoins des citoyens, certes il y a des changements à organiser, un nouveau paradigme social à construire, mais il y a aussi en nous, au plan non visible, un enfant intérieur qui vit l’injustice, la misère, la frustration, l’insatisfaction et tout cela sous notre propre autorité. La première cause de notre souffrance, c’est nous, c’est la manière dont gérons la relation du maître que nous sommes avec notre enfant intérieur, la manière dont nous manageons la coopération entre notre âme et notre personnalité, la manière dont nous mobilisons notre « je » pour conduire nos expériences de vie.

Dans cet article je vais donc m’employer à passer en revue ce qui a émergé à ma conscience ces dernières semaines grâce à mes chantiers intérieurs, en mettant en évidence les actions personnelles que je mène pour être le capitaine du navire avec lequel je voyage sur la Terre durant cette incarnation. En tant que cellule de « l’organisme » que nous, humains, formons ensemble, il est probable que mes chantiers parleront à certains d’entre vous qui me lisez. Au plus intime de nous-mêmes, nous touchons l’universel.

Est-il nécessaire de rappeler que mon intention ici est de témoigner, de mettre en partage ce qui fait sens pour moi et en aucun cas de donner un enseignement à valeur absolue ? Bienvenue dans ma subjectivité, ma singularité et la relativité qui en découle.

L’intention pure

Le premier chantier que je conduis actuellement concerne la pureté de mes intentions. Quelle est ma véritable intention lorsque je me lance dans un projet, dans une interaction avec autrui ? Je viens d’écrire ci-dessus que mon intention est de témoigner et non pas de donner des leçons. Quel est mon degré de lucidité sur ma véritable intention ? Telle la partie visible de l’iceberg mon intention me semble blanche, pure, lumineuse. Je suis au service de mon JE SUIS, de mon Moi Divin, et je m’emploie à témoigner de moi pour contribuer au renforcement de la conscience de notre nature spirituelle.

Une intention pure ?

Qu’en est-il de la partie immergée de mon iceberg, de mes intentions souterraines ? Sans douter de ma sincérité, il me faut aller voir si mon enfant intérieur blessé ne veut pas profiter de l’occasion pour obtenir une réparation, une gratification. Lorsque je me lance dans l’écriture de cet article, j’ai à me demander si je ne cherche pas aussi, à côté de mon intention officielle, à me faire aimer, à obtenir des signes de reconnaissance d’autrui afin de compenser mes doutes sur ma valeur, à avoir de l’importance, une place dans le monde. Si mon « je », instance de pilotage de mes décisions, se laisse remplir par l’humaine formatée, conditionnée, et se ferme à l’inspiration de mon JE SUIS, alors une foule d’intentions cachées, non conscientes, vont venir altérer mon projet, mon message, mon action.

Si le ménage n’est pas fait dans mes intentions, il en résulte que les intentions cachées l’emportent sur l’intention affichée et que, par conséquent, la cible visée n’est pas atteinte. Dans de tels cas, je déplore de m’être leurrée moi-même, de m’être menti, ce qui me laisse un goût amer. A ce désagrément personnel, il faut ajouter le constat du détournement de l’énergie que l’Esprit a investi dans le projet dont je me proposais de prendre la responsabilité pour le servir. Une double peine qui peut être évitée en prenant soin de me mettre au clair avec moi-même afin de maintenir toute mon attention sur l’intention énoncée, inspirée par mon JE SUIS.

Pour avoir des précisions sur ce qu’est l’enfant intérieur blessé et la manière de l’accompagner voir l’article de ce site « Devenir un maître en réveillant son enfant intérieur libre et joyeux
Pour avoir des précisions de vocabulaire utilisé et notamment sur l’âme, le « je », le JE SUIS, se reporter à l’article de ce site « Notre conscience : la clé pour l’apocalypse »

Sortir des clans

Au fur et à mesure de ma vie, je n’ai cessé d’appartenir à des groupes, à des clans. Le premier d’entre eux fut évidemment ma famille, là où j’ai appris à me comporter selon les règles explicites et implicites qui nous régissaient. Ma formation initiale à l’appartenance au clan familial allait s’avérer précieuse pour la suite de mon existence puisque, comme la majorité des humains, j’allais en permanence cheminer de clans en clans, de l’école à la religion, pour parvenir sagement ensuite au travail, en passant aussi par des associations aux groupes d’amis plus ou moins formalisés, du voisinage au pays tout entier. Chaque clan a ses codes, ses signes d’appartenance et il s’agit de s’y conformer sous peine d’en être rejeté et d’en souffrir.

Un goéland pour comprendre

Jonathan Livingston le goéland : une inspiration pour l’envol

La lecture du livre de Richard Bach, Jonathan Livingston le goéland a constitué un déclic pour moi. Grâce à ce petit récit, j’ai commencé à me reconnaître, à savoir que moi aussi je voulais voler plus vite et plus haut, autrement dit que je ne voulais pas reproduire à l’identique ce que j’observais de la vie au sein de laquelle j’étais immergée. Bien plus tard, j’ai compris que toute petite déjà, je me sentais étrangère parmi les miens. Je fais mienne cette phrase de Jésus : « Je suis dans ce monde, mais je ne suis pas de ce monde ». Ce ressenti profond, je le sais aujourd’hui, est la conséquence de la mémoire vive de ce que JE SUIS de toute éternité et qui est manifesté ici sous forme humaine. Seulement voilà, il y a aussi mon conditionnement humain, mon formatage social qui exercent une force contraire à mon envol et qui veulent à tout prix me maintenir dans les clans, dans les rangs.

Être ce que JE SUIS, vivre au quotidien l’unité de la femme-Esprit, nécessite que progressivement je m’affranchisse de toutes les règles claniques qui me maintiennent membre assujetti des différents groupes qui m’ont permis d’avoir une place dans le monde, d’avoir une image de moi. Pour chaque clan, j’ai à repérer les codes souvent non dits, les règles implicites qui structurent les relations, les secrets qui lient, les coutumes, le langage, la culture, qui constituent les signes d’appartenance. Aujourd’hui, lorsque je rentre en relation avec une personne rencontrée dans l’un de ces clans, je sens qu’il est impératif que « je » mobilise toute mon attention pour ne plus obéir à ces règles afin d’être moi-même, souveraine, en lien d’âme à âme avec autrui, avec la personne unique et spécifique qui est avec moi. J’ai la responsabilité de manifester fidèlement ce que JE SUIS, sans rien gommer, nier, restreindre. Le goéland peut et doit déployer ses ailes et voler comme il a choisi de le faire, mener sa quête d’absolu, vivre l’Esprit dans son corps humain. Le bannissement n’est pas son affaire, mais l’affaire du clan qui ne peut supporter sa singularité, sa différence, lui est libre et souverain.

Grandir ou rester ?

Carte du tarot zen d’Osho


Pour que la sortie du clan se fasse sans laisser de plumes, je sais que je dois d’abord reconnaître tous les bénéfices que j’ai encore à me maintenir membre du groupe, quel qu’il soit. Pour moi, tous les collectifs sont finalement des familles de substitution et me permettent soit de continuer à vivre ce qui a été heureux dans mon enfance, soit d’espérer obtenir enfin ce qui n’a pas été satisfait quand j’étais petite. En restant dans un clan, je me maintiens dans ma position d’enfant et retarde le moment d’être enfin une adulte-maître, le capitaine de mon navire terrestre. Tant que je donne priorité à mon appartenance à un collectif, je mise sur les ressources humaines à l’extérieur de moi pour tenter d’être heureuse et je me prive du ruissellement de ma Source en moi.

Je suis ce que JE SUIS

Mon choix d’aujourd’hui est clair, logique avec ma décision de consacrer ma vie à servir mon Moi Divin, mon JE SUIS : oui aux relations avec toutes les personnes que mon âme m’invite à rencontrer et que je reconnais dans leurs spécificités, non à mon intégration dans quelque groupe que ce soit. Mon intégrité suppose que je dise non à toute intégration. Il est clair que si je laisse ma conscience se remplir de ma personnalité et de ses envies, je vais avoir bien des difficultés à résister à la tentation de l’appartenance aux groupes. Afin d’éviter d’avoir tout effort à consentir pour préserver ma souveraineté, il me suffit de me reconnaître dans l’Esprit que JE SUIS, là où l’identification à la condition humaine n’est plus, là où mon souffle Divin me guide et m’inspire. Alors je n’ai plus besoin de m’extraire du groupe, je ne peux appartenir qu’à moi-même..

Rien n’est jamais acquis définitivement, chaque jour je remets l’ouvrage sur le métier. Toute rencontre avec un(e) autre est en effet une opportunité de construire un nouveau groupe rappelant encore une fois la famille initiale. C’est aussi par conséquent l’occasion de me positionner, en n’appartenant pas à ce qui est créé, en ne fusionnant pas afin de ne plus être l’enfant qui attend, mais bien la souveraine de mon royaume en relation avec les souverains des autres royaumes.

Se situer vis à vis des religions

Lourdement impactée par mon éducation catholique, j’ai tourné le dos à la religion dès l’adolescence. Acte de rébellion contre l’autorité du père et la morale de la mère, je faisais un premier pas vers mon affranchissement, je tentais de sortir du clan familial renforcé par un catholicisme de fait qu’aucun de mes ascendants n’avait jamais remis en question. Dans ma fougue et mon arrogance d’alors, j’ignorais que j’allais dix ans plus tard retrouver les rituels et les prières toutes faites dans un groupe spirituel qui me semblait bien plus « évolué », mais qui allait s’avérer sectaire, tout comme la religion catholique m’avait paru sectaire.

Ressentir, expérimenter, ne plus croire

La pensée matérialiste dominante : une morale consensuelle

Peu à peu, en cheminant sous ma propre responsabilité tout en rencontrant des personnes ou des écrits inspirants, j’ai forgé ma foi, ma conscience de l’être divin que je suis, et repoussé les croyances. Combien d’histoires nous sont racontées afin de nous faire croire à autre chose qu’à notre ressenti ? Combien de dogmes nous sont proposés pour offrir à notre conscience un dispositif de pilotage automatique qui nous dispense de prendre position à chaque instant ? Combien de règles morales, de bien-pensance prête à l’emploi nous sont présentées au cours de notre existence ? Comme j’ai été tentée bien souvent de m’en remettre à ces recettes largement répandues au lieu de mobiliser mon « je », d’exercer ma souveraineté !

Depuis 2006, je vis au quotidien une spiritualité libre et incarnée, sans référence à un courant formalisé, sans rituel, sans pratique ni discipline, sans morale établie. Je cultive mon ignorance du mieux que je peux, afin de recevoir de mon JE SUIS l’inspiration et décider selon mon ressenti de l’instant. J’apprends par l’expérience et je me laisse surprendre. Aucune faute n’est à avouer et encore moins à pardonner puisque bien et mal, juste et faux ne sont que des Illusions créées par la pensée humaine. Je choisis d’exercer pleinement ma responsabilité, de pratiquer mon libre arbitre tout en me souvenant que le conditionnement initial est toujours actif quand je m’identifie à la fille de mes parents, au produit de mon histoire et de mon environnement, ce que je sais ne pas ÊTRE.

Le dernier rempart : la religion d’état

Malgré la loi de 1905 qui stipule la séparation de l’église et de l’état, il subsiste en France une religion d’état, imposée à tous les citoyens au travers des institutions publiques gérant notamment la santé, l’éducation, le travail, et mettant l’économie au premier plan. En effet, la religion matérialiste est la norme incontournable, son dogme est basé sur une science qui ne reconnaît que la matière densifiée et à laquelle la population tout entière est priée de croire. Sa pratique est nourrie par une économie qui met l’homme au service du dieu argent, son culte est pris en charge par les médias qui ridiculisent gravement toute personne faisant allusion à une réalité spirituelle parallèle à la matière. J’arrête là la litanie des exemples qui disent la réalité de cette religion d’état, mais je pourrais en citer bien d’autres encore.

Un doute sur le bien fondé des vaccinations, doublé de l’usage de l’homéopathie pour se soigner et nous voilà adeptes de la théorie du complot ! Ne pas contribuer à la croissance économique et vouloir une école où l’âme de l’enfant est reconnue et nous voilà zadiste fumeur et rêveur ! Ne pas s’abreuver de télévision et pire encore ne pas avoir de compte Facebook ou Tweeter, et nous voilà hors la loi ou presque ! Les hérétiques d’aujourd’hui sont les personnes qui refusent la religion matérialiste, on met au bûcher ceux qui misent sur les forces de l’Esprit dans la matière.

La peur et la culpabilité, outils de management des ouailles


De cette religion d’état, il est bien difficile de sortir. En effet, parler de son âme quand les prêtres cathodiques pratiquent la grossièreté, l’ironie, le second degré, le lynchage pour faire rire, demande du courage. Dire avec bienveillance à son voisin ou à son cousin que vivre pour son JE SUIS est beaucoup plus intéressant que d’attendre la retraite et de voyager en camping car n’est pas tous les jours facile. Affirmer à ses amis que la guérison du corps par l’Esprit est notre choix, requiert de ne pas avoir peur d’être soupçonné d’être dans une secte. Comme toutes les religions, le matérialisme s’appuie sur les deux piliers que sont la peur et la culpabilité pour maintenir ses ouailles sous bonne obéissance. Calquée sur les religions classiques judéo-chrétiennes, musulmanes ou orientales, la religion matérialiste a une solide expérience de l’exercice du pouvoir, du maintien de ses fidèles dans l’obscurité, de l’encouragement à la superstition.

Après m’être extirpée du catholicisme obligatoire, je ne peux que poursuivre mon affranchissement et me positionner en dehors de la religion matérialiste, fût-elle religion d’état. Le clan est immense cette fois-ci et le risque d’exclusion pourrait bien aller jusqu’à paralyser ma dimension humaine au point de trahir de temps en temps ce que JE SUIS : quelques mensonges (pieux bien-sûr), un peu de stratégie de repli et de silence, une dose de compromis pour avoir la paix et le tour serait joué !

Mais je sais, par l’expérience, que la femme-Esprit a les moyens de ses exigences, que ma conscience hissée au sommet de moi-même ne craint en rien l’exclusion ou le rejet. Je peux donc être ce que JE SUIS, sans aucune pratique religieuse, sans me perdre dans les croyances et l’espoir, en me référant en permanence à la puissance de l’Esprit qui est dans mes cellules. Je suis l’autorité qui choisit d’obéir à ce que JE SUIS de toute éternité.

Prendre la parole

Pour finir la liste de mes chantiers intérieurs de ce début de 2019, je consacre quelques lignes à l’invitation que mon âme me fait : prendre le parole dans le monde, que ce soit en face de la personne que je côtoie au quotidien ou que je rencontre ponctuellement, que ce soit dans un groupe d’amis ou de parents, que ce soit plus largement dans la société.

Chacun à sa manière a quelque chose à dire au monde…

Être ce que JE SUIS est l’œuvre de ma vie. Ce que je réalise dans la matière est la part visible, palpable de ce que je crée et je m’efforce que ces créations manifestent fidèlement l’être Divin qui veut être présent sur la Terre par mon intermédiaire. Être ce que JE SUIS, c’est aussi témoigner de moi, dire mon ressenti, donner mon opinion, exprimer mes besoins et mes souhaits, oser nommer mes exigences. C’est contribuer à la construction commune du monde dans lequel je vis, là tout à côté de moi dans ma sphère immédiate, et là-bas au loin là où se prennent les grandes décisions.

Dans les milieux populaire on dit que « le silence est d’or et la parole est d’argent », dans les milieux « spiritualistes », le silence est prisé, associé à la sagesse, la sobriété. De par sa rareté, la parole du taiseux devient vite un cadeau précieux d’une valeur inestimable, tandis que celui qui parle aisément n’est plus vraiment considéré, tant il est facile d’accéder à ce qu’il est. Tous les parleurs ne sont pas des hâbleurs, et je sens qu’il est temps de réhabiliter la parole authentique, habitée et de ne plus céder aux censeurs.

« Sois le changement que tu veux voir pour le monde » disait Gandhi. Nous sommes nombreux à connaître cette phrase responsabilisante qui nous invite à nous souvenir de notre puissance créatrice. Mais combien sommes-nous à l’ânonner, à la répéter sans la mettre en acte, sans mesurer sa portée ?

La parole que nous offrons à nos semblables est un levain pour la conscience collective humaine, une graine que nous semons et qui va un jour germer. Quand, en plus, notre parole est remplie de l’Esprit que nous sommes, et non pas de la pensée humaine issue de notre personnalité, elle devient Verbe, verbe créateur et là nous créons le changement que nous voulons voir pour le monde. Oh bien-sûr, il m’arrive souvent de sentir que ma voix est bien faible au regard de celle des politiques, des journalistes, des artistes, mais je sais au fond de moi que ce ne sont pas les décibels ou la notoriété qui font la puissance de ma parole, mais bien la place que j’ai mise pour l’Esprit en elle.

Lorsque Jésus demande à ses apôtres, après qu’ils ont reçu l’Esprit Saint et le don des langues, d’aller dans le monde pour témoigner, il m’ouvre la voie, il nous ouvre la voie, pour témoigner aujourd’hui encore de ce que JE SUIS, de ce que NOUS SOMMES. Mon principal obstacle à l’offrande de ma parole se situe dans la croyance en l’inutilité de dire, ma croyance dans le manque d’intérêt de l’autre pour ce que je suis et dis, dans le fait que je ne serai pas entendue. Probablement qu’en effet, au niveau visible ma parole va avoir peu de poids, mais je sais qu’au plan subtil ce que j’émets est vivant, que mon verbe vibre sur la fréquence du cristal et que par conséquent, le courage de dire ma Vérité aura un effet sur monde.

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Être en contact

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Un grand silence d’avril 2018 à février 2019

Il y a seulement quelques jours que j’ai compris ce qui m’avait maintenue en silence durant huit mois. Depuis avril 2018, je savais que je devais mettre à jour ma liste de diffusion des lettres d’infos que j’envoie essentiellement pour prévenir des articles que je publie ici, sur le site. Le problème, c’est que je ne faisais pas ce grand ménage et que cela a suffi pour inhiber l’élan d’écrire.

Au-delà de l’obligation légale de demander explicitement le consentement des destinataires des mailings à partir du 25 mai 2019 (RGPD de son nom poétique), je sentais que je devais mettre en adéquation mon action et la réalité de son effet. Plus concrètement dit, il était impératif que je n’envoie plus de mails qui n’arrivent pas ou qui importunent. Confusément, j’avais la sensation que des mails envoyés mais pas reçus ou pas lus encombraient mon corps astral et celui de la terre. Qui plus est, j’étais consciente que je me mentais en envoyant des courriers à 1200 personnes, feignant d’ignorer qu’à peine la moitié allait l’ouvrir et encore moins le lire. Je sacrifiais à la mode actuelle de donner priorité au quantitatif, mettant mon mouchoir sur le qualitatif. J’étais en contradiction avec moi-même…

J’étais en train de me redonner la preuve par l’expérience qu’une contrainte venue de l’extérieur (RGPD) est en adéquation avec mon besoin personnel, même si le fait de satisfaire à cette obligation suscite d’abord ma contestation et génère de la résistance.

Le saut dans le vide

Après quelques heures de prise de tête, d’essais en tous genres pour faire le grand ménage dans ma liste de diffusion tout en conservant les adresses, je finis par comprendre que mon JE SUIS me demande de la cohérence, de la droiture et de la confiance.

En clair, je dois envoyer à tous mes contacts un mail pour les inviter à se ré-abonner à ma lettre d’infos puis aussitôt après l’envoi, détruire toutes les adresses et coordonnées puisque je sais qu’une grande partie est obsolète ou plus intéressée par mes envois. Autant dire qu’après 12 années d’envois de mailings, je saute dans le vide et envisage de ne plus avoir d’abonnés.

La reconstruction

Une fois de plus je constate que l’exigence, le choix de la vérité, la rigueur sont source de joie et de satisfaction. Aussitôt ma précieuse liste détruite, je commence à recevoir les notifications des abonnements et je vois petit à petit la nouvelle liste de diffusion se créer, grandir, se développer. Je suis même gratifiée de quelques mails émanant de fidèles lecteurs qui profitent de ce grand nettoyage pour échanger quelques mots avec moi. Je ressens combien il est bon d’être dans un lien vivant, actif, voulu de part et d’autre….

Alors si en lisant cet article, vous constatez que vous n’avez pas encore procédé à votre inscription sur ma liste de diffusion, et que votre âme vous invite à le faire, surtout n’hésitez pas. Vous ne serez pas assailli de courriels, j’écris de manière irrégulière et surtout pour inviter à aller lire ce que je publie. Je ne vends rien, je n’ai encore jamais appelé à lever des fonds, je consacre mon énergie à contribuer à l’éveil des conscience à notre nature spirituelle.

Je m’abonne à la lettre d’infos



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Quelques exercices pratiques pour l’unification de soi

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L’unification

Réaliser l’unité de soi

L’unification consiste à réunir deux ou plusieurs aspects de nous-mêmes préalablement distincts : voilà bien le moyen pertinent et adapté à l’enjeu de cette magnifique époque de dévoilement de l’Homme/Femme-Esprit que vit l’Humanité actuellement. Unifier notre réalité humaine et notre nature spirituelle revient à faire face au séparateur, revient à tenir notre cap face à cette force destructrice qui tend à morceler les entités que nous sommes, revient à rester le maître face à ce diable qui peut nous diriger dès que nous distinguons le profane du sacré.

Opter pour l’unification semble une évidence pour le chercheur spirituel qui veut fidèlement manifester son JE SUIS au sein de l’Humanité, mais la voie pour y parvenir est souvent jalonnée de pièges, de petites embûches d’apparence anodine qui nous retiennent dans la dualité, nous confinent dans une morale pré-établie définissant de manière absolue ce qui est bien et ce qui est mal. Pour la personne qui désire vivre une spiritualité libre et incarnée il peut être utile de mobiliser son JE pour s’unifier, d’accorder sa vigilance à sa propre unité. Cet article propose une série d’exercices pratiques d’introspection, qui dynamisent la conscience individuelle, renforcent la posture du maître souverain que nous sommes invités à être.

Je rappelle que ce qui suit n’est qu’un témoignage de ma perception, un partage de ma pratique personnelle et en aucun cas une vérité absolue qui viserait à faire école. Chacun pourra trouver à la lecture des lignes ci-dessous, des invitations qui font résonance comme peut-être des propositions qui susciteront désaccord ou rejet. Que le maître libre vive pour que la diversité de l’Esprit dans sa manifestation vive aussi !

Ma base, pour commencer : je suis ce que JE SUIS

Cette petite pratique de quelques secondes, c’est un peu l’équivalent du brossage des dents quotidien, c’est un exercice d’hygiène de l’être. Il consiste simplement à dire les phrases qui suivent, de préférence à voix haute pour pouvoir aussi les entendre :

Je suis ce que JE SUIS
Je suis Présence Divine
Je suis Amour
Je suis Lumière
Je suis Énergie
Et je nage dans le mouvement de la Vie

J’ai reçu ces phrases par canalisation en 2006, avec l’indication qu’elles allaient m’aider à me connecter immédiatement avec mon JE SUIS, avec mon essence divine. J’ai constaté qu’en prononçant ces mots en effet, je vis aussitôt l’instant présent dans mon corps physique, je ressens que ma forme humaine est remplie de sacré, que ma personnalité est maîtrisée. Souvent, je dis ces six phrases trois fois à la suite pour être certaine d’ouvrir ma conscience en grand à ce que JE SUIS et sentir l’alignement de mes différents corps. Je perçois alors ma colonne vertébrale en tant qu’axe de reliance entre la terre et le ciel et je sais que je suis disposée à recevoir ce que l’Esprit donne.

Chacun pourra avoir une expérience différente avec ces mots prononcés et entendus, qui ne sont pas une baguette magique, mais le support d’un verbe puissant pour qui s’y implique et accepte qu’il vibre dans son corps de chair.

Pratique de la vérité en toutes circonstances

Pour contribuer au dévoilement en cours dans cette période d’apocalypse, nous avons la possibilité de cultiver la vérité en toutes circonstances. Être vrai, dire vrai, est indispensable à notre unité personnelle autant qu’à l’harmonie du monde. Les exercices possibles pour cultiver la vérité sont donc de deux types : d’une part ce qui touche les faits et d’autre part ce qui touche notre être. Ces deux aspects de la vérité sont donc d’abord regardés.
Dans cet article, je ne parlerai pas explicitement du secret, des secrets, mais ils sont inévitablement concernés par le choix de pratiquer la vérité. Le secret demandé explicitement ou implicitement est, tout comme le mensonge, une énergie bloquée, interdite de circuler, qui peut aller jusqu’à se cristalliser dans le corps et provoquer une somatisation. Secret et vérité sont incompatibles.

La vérité des faits

Les cachoteries, le travestissement des événements, les dissimulations de certains de nos actes, le reniement de nos pensées ou paroles constituent les mensonges habituels dans la vie quotidienne. La plupart du temps, le mensonge sur les faits est utilisé en vue d’un bénéfice pour nous-même ou soit-disant pour autrui, ou en vue d’éviter un probable désagrément, une perte. Le mensonge est une stratégie de court terme puisqu’à la longue il se montre très coûteux en énergie psychique, voire enfermant dans une cascade d’autres constructions mentales qui finissent plus ou moins par se contredire et mettre l’auteur en déséquilibre. La peur et la culpabilité, même non mises en conscience, accompagnent immanquablement la pratique du mensonge.
Pour l’âme de la personne qui nie la vérité des faits réels observables, ce choix humain est une souffrance, voire une violence. Avec le mensonge, la pensée réécrit le réel et vient prendre le contrôle de la personne, tandis que de son côté, l’Esprit invite l’être humain à avoir la transparence du diamant. Par le mensonge, l’âme est en quelque sorte emprisonnée, priée de se taire puisque le JE rejette ce que JE SUIS lui inspire. Chaque mensonge prélève de l’énergie à l’âme sans qu’elle n’en reçoive en retour, et la gestion du stress généré par cette stratégie vient ensuite aggraver ce pillage des forces spirituelles à la disposition de l’individu.

La vérité de l’être

Apparence ou congruence ?

La vérité de l’être est de nature intime, pas forcément visible de l’extérieur, puisqu’elle concerne l’adéquation entre ce que la personne vit, est, et ce qu’elle montre. Déjà au niveau physique, nous sommes encouragés par la société et ses règles d’esthétique, à de multiples travestissements : parfum, maquillage, couleur et nature des cheveux, chirurgie plastique en sont les exemples les plus courants. Ces techniques et outils servent à changer notre apparence, à modifier la manière dont JE SUIS a désiré se manifester au sein de l’humanité, à tromper notre environnement sur notre véritable forme, nature. Le postulat de départ est qu’une beauté pensée par l’humain serait préférable à la perfection divine de notre corps qui évolue en permanence et donc vieillit.
De la même manière, il y a une esthétique psychique voire spirituelle, qui conduit nombre d’entre nous à adopter un comportement qui nous semble souhaitable au lieu de laisser émaner de nous ce qui est véritablement vécu et expérimenté en notre for intérieur. Nous sommes éduqués en effet à dissimuler ce que nous ressentons profondément au profit d’une apparence socialement, affectivement, spirituellement « correcte » et ainsi habitués dès le plus jeune âge à la dissociation. Nous avons bien évidemment de multiples justifications rationnelles pour maintenir la séparation entre ce que nous sommes et ce que nous montrons. Notre formatage au « comportement correct » est tellement puissant que nous sommes les premières victimes de ces dissimulations. Bien souvent en effet, notre véritable ressenti profond nous reste inaccessible, inavouable à nous-même, interdit à la lumière de notre pleine conscience. Un régal pour notre diable intérieur, notre séparateur qui a de ce fait une place de roi dans l’espace entre le vrai intérieur et le manifesté à l’extérieur.
La congruence, cohérence entre ce qui est ressenti profondément et ce qui est exprimé, manifesté, doit alors faire l’objet d’un apprentissage où les peurs de déplaire, d’être exclu sont confrontées.

Les exercices pratiques pour cultiver la vérité

Pour commencer
L’exercice de base, préalable à tous les autres sur le sujet, consiste à s’engager pour la vérité, à prendre la décision de dire la vérité des faits et à manifester la vérité intérieure en toutes circonstances. Décider de pratiquer la vérité revient à renoncer à tous les petits arrangements bien tentants parfois qui dissocient, opposent, le réel visible et notre réalité intérieure. Il s’agit de prendre conscience que notre âme nous donne les moyens d’assumer la vérité, tous nos actes, nos choix, nos ressentis.
Pour ce premier exercice, je propose un bref temps d’écoute de soi dans l’instant présent pour prononcer à haute voix la phrase suivante : « je m’engage pour la vérité en toutes circonstances ». Accueillir ensuite dans le champ de conscience les effets produits par cette décision d’engagement, sans jugement sur soi, sans explication ou justification, en privilégiant les sensations corporelles, les émotions et les sentiments aux pensées qui vont apparaître. Prendre acte de tout ce qui se présente à soi et dire oui à cette réalité du moment, à cette vérité de soi telle qu’elle est dans l’instant de l’engagement.
Cette séquence est à organiser autant de fois qu’elle fait du bien, qu’elle apporte de l’énergie, de la satisfaction, un sensation de plénitude et d’unité.

Inventaires quotidiens
Chaque fin de journée, il sera ensuite bienvenu de mettre en conscience le degré de mise en œuvre de l’engagement pris pour la vérité en répondant pour soi-même à ces simples questions :

  • Aujourd’hui, ai-je menti sur des faits, ai-je travesti le réel visible ? Si oui, quels bénéfices ai-je attendu de ce mensonge ? Quel a été mon ressenti au moment de ma décision de mentir ? Quel est mon ressenti maintenant ?
  • Ai-je aujourd’hui un secret, des secrets anciens ou récents qui occupent un espace dans mon champ de conscience ? Quelle est ma motivation officielle à conserver ce secret ? Ma motivation occulte ?
  • Aujourd’hui, ai-je écouté ma vérité intérieure, mon ressenti exact et l’ai-je manifesté sans masque ? Si non, quel était le motif de ma répression, de ma dissimulation ? Suis-je certain(e) de la pureté et de la clarté des intentions que j’ai énoncées à moi-même et à autrui ? Quel est mon degré de satisfaction là, à la fin de la journée, au constat de mes choix ?

Face aux réponses apportées à ces questions, il convient de constater sans tirer de conclusion sur sa valeur absolue, mais de percevoir son niveau d’harmonie, la fluidité de la circulation de l’énergie en soi, la présence de la joie dans son ventre. Si la satisfaction est là, elle sera moteur pour poursuivre l’œuvre de vérité, si l’insatisfaction est là elle sera moteur du changement à mettre en place au fur et à mesure des situations qui seront co-créées, l’essentiel étant  de revenir à la sincérité de l’engagement initial qui déclenche l’aide infinie apportée par notre JE SUIS, via notre âme, sans que notre mental n’ait à intervenir.

Des effets gigantesques

Nous sommes le monde, tarot Zen d’Osho

L’engagement personnel pour la Vérité fait vivre le Christ en chaque personne qui choisit ce chemin. « Je suis la voie, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi ». Ces paroles de Jésus disent combien la vérité est nécessaire à l’unité Homme/Esprit, combien il est indispensable de cultiver la Vérité pour être en connexion avec son JE SUIS, sa source, le Père. En pratiquant la vérité, l’énergie autrefois mobilisée à la dissimulation et à la stratégie, devient disponible pour soi, pour œuvrer,  pour réaliser ce qui nous est cher. L’âme est nourrie et la personnalité est en pleine santé.
Si les bienfaits de la pratique consciente et intentionnelle de la vérité sont immédiatement perceptibles à toute personne qui s’engage sur cette voie, au nom de son JE SUIS, les bienfaits sont également gigantesques pour le collectif humain. Si l’actualité du monde est à longueur de temps constituée des mensonges énormes des hommes politiques, des fourberies des dirigeants économiques, des leurres des « people », c’est que chacun d’entre nous nourrit l’énergie de la contrefaçon, alimente par son propre comportement dissimulation et travestissement. Les média font état d’une réalité collective qui résulte de nos comportements individuels, les écrans et les journaux sont les hauts parleurs de nos manières inavouées mais bien présentes dans notre réalité subtile. Si nous voulons baigner dans un monde vrai, avoir une organisation sociale véritablement transparente, commençons par une pratique personnelle constante de la vérité, sans exception, et celle-ci éclatera au grand jour partout ! Nous connaissons tous aujourd’hui les effets de seuil et savons qu’il suffit d’un petit pourcentage de la population engagée à vivre en vérité pour que la totalité du groupe humain se rallie, comme par enchantement, à la cause. Les clés sont entre nos mains d’hommes/femmes-Esprit souverains.

Halte au pardon, vive l’acceptation profonde

A chaque fois que j’ai partagé, dans les séminaires que j’ai animés, mon point de vue sur l’inefficacité du pardon, j’ai soulevé des tollés, suscité de vives réactions d’opposition. L’acte de pardon est bien vu, considéré essentiel pour parvenir à la paix intérieure, clé dite indispensable à la charité et à la pratique spirituelle. Peut-être en sera-t-il de même aujourd’hui encore avec cet article. Néanmoins, je persiste et je signe : je ressens que la démarche de pardon cristallise la culpabilité, donne priorité au mental et crée la division en soi. Pour autant, je ne goûte aucunement la rancœur et le ressentiment et aspire à la liberté et la légèreté du cœur. Ma proposition est de laisser le pardon derrière nous, au profit d’une démarche d’acceptation profonde.

Un peu d’histoire personnelle

Dès l’âge de 8 ou 9 ans, je dois aller me confesser pour, selon ce que les adultes me disent, me nettoyer avant de pouvoir recevoir l’hostie de la communion. Il paraît que je commettrais des pêchés et qu’en les avouant au curé, je serais pardonnée. Le problème, c’est que je n’ai absolument pas conscience de faire des fautes, et même quand un adulte me signale quelque chose de mal, cela ne fait aucun sens en moi. Alors avant chaque séance de confessionnal, je révise ma copie et cherche ce que je vais bien pouvoir dire au prêtre pour qu’il me donne ensuite ma pénitence et que je sois pardonnée. « J’ai désobéi à maman, j’ai été paresseuse, je me suis battue avec mon frère », sont en tête de ma liste des choses à dire. Alors que je suis une vraie championne de la culpabilité de fond, du pêché originel, je ne parviens pas à trouver vraiment la sensation de la faute commise.  « Faute de fautes », c’était déjà bien mal parti avec le pardon.
Plus tard, bien plus tard, peu avant mes 50 ans, je suis en séance de soins énergétiques annoncée comme une séance « karsher » qui va me nettoyer les cellules de fond en comble. Trois thérapeutes pour moi toute seule, tous plus branchés les uns que les autres. Arrive le moment où il est question de mon père à qui je devrais pardonner quelque chose. Les trois thérapeutes me demandent de dire une phrase du style : « cher papa, je te pardonne, va sur ton chemin de lumière ! ». Il faut s’y reprendre à plusieurs fois car les thérapeutes estiment que je n’y mets pas assez de cœur, que ça ne sonne pas vrai. Et ils ont raison. Même si je n’ai aucune envie de continuer à éprouver de la rancœur vis à vis de mon père, je ne sais pas du tout comment faire pour « pardonner » et surtout je ne ressens aucun soulagement. Le « karsher » pas plus que mes mots pourtant dits avec application, ne font rien du tout, je continue de considérer que mon père est quelque part coupable et que je suis sa victime. Je confirmais que c’était encore mal engagé pour le pardon.

Revoir la question de la faute

La démarche de pardon repose sur la reconnaissance d’une faute dont l’auteur serait coupable. J’ai longuement parlé de la culpabilité et de la notion de faute lors de mon précédent article et ne vais donc pas y revenir ici. Reconnaître une faute nécessite de savoir a priori ce qui est bien et ce qui est mal, de manière absolue, sur la base d’une norme collective ou personnelle. Dans cette vision dualiste, un acte qui n’est pas « bien » est « mal » et met donc son auteur en faute. Si cet acte a provoqué de la peine, de la nuisance, un tort, alors l’auteur du préjudice est coupable ce qui le met en situation d’être (peut-être ?) pardonné. Et comme « faute avouée est à moitié pardonnée », la première étape nécessite que l’auteur de la faute avoue son forfait et implore le pardon de sa victime, laquelle dans sa grande bonté accordera l’absolution. Le monde est ainsi divisé entre victimes et coupables, entre les bons et les méchants, ceux qui commettent les fautes et ceux qui les pardonnent.
Il est à noter que l’auteur de la faute n’est pas toujours un autre que nous-même et que ce qui est dit ici à propos d’un coupable extérieur vaut aussi pour toute faute dont nous nous attribuons la responsabilité. Dans ce cas, la transaction se passe entre différentes parties de nous-même.

Si, au motif que je souffre d’un acte dont mon voisin est l’auteur, je décide que celui-ci est en tort et qu’il a commis une faute, je me positionne en juge, position de supériorité, après avoir été sa victime, position d’infériorité. Du haut de ma position supérieure, j’aurais le pouvoir de pardonner, comme le curé autrefois pouvait me pardonner mes pêchés. Ce faisant, je ne démordrais pas que mon voisin a commis une faute et ma posture de juge me maintiendrait en position haute, confirmant l’autre en situation d’infériorité, à la merci de mon pardon. Balancier sans fin du rapport de force entre les humains au nom de leur loi, de leur connaissance tout à fait relative du bien et du mal.
Selon moi, la problématique du pardon réside dans la qualification de la faute. Si, comme nous y invite l’ère actuelle, nous sortons de la règle du bien et du mal et nous cessons de considérer « faute » un acte, un comportement, une idée, une croyance, alors il n’y a plus lieu de pardonner. La reconnaissance de notre âme incarnée dans notre corps, du choix de notre dharma par notre JE, conduit à la conscience de la co-création des situations que nous vivons. Cette réalité inhérente à notre nature spirituelle manifestée sur la terre n’annule absolument pas les prises de pouvoir des uns sur les autres et les souffrances parfois bien cruelles qui s’ensuivent. Pour autant, revendiquer la faute d’autrui revient à vouloir rester dans le balancier victime/coupable et juge/condamné-pardonné, tout en maintenant le fautif dans son statut de méchant persécuteur. Selon ce que j’ai pu observer, le pardon ne change rien à l’affaire, bien au contraire puisqu’il maintient la présence de la faute en la cristallisant. La seule chose qui peut faire sortir de la vision manichéenne, c’est l’acceptation profonde de l’expérience vécue, y compris lorsqu’elle a été ou est encore cause de souffrance. Lorsqu’il y a acceptation profonde de la situation, et plus encore reconnaissance de sa co-création, alors il y a reconnaissance de l’interaction entre deux auteurs, deux êtres dont les âmes ont passé contrat selon une modalité qui échappe parfois à la conscience humaine.

Comment procéder ?

Une fois encore, il s’agit de procéder à une introspection qui permette de mettre en pleine lumière dans son champ de conscience, tous les dossiers où subsiste la notion de faute commise par autrui ou par nous-même, toutes les situations où nous disons avoir pardonné.

Le préalable
Un préalable à cette recherche est nécessaire. Il s’agit en effet de s’interroger sincèrement pour savoir si nous sommes prêts à nous sentir un maître souverain et par voie de conséquence, à voir tout être humain en maître souverain. Ce n’est qu’en étant convaincu que chaque être humain est Esprit manifesté, porteur de Divinité, qu’il devient possible de vivre avec ses semblables en positionnement symétrique, sans plus chercher à dominer ou être soumis.

L’exploration à entreprendre
Cette exploration passe par quelques questions à se poser avec accueil des réponses sans jugement sur soi. Charité bien ordonnée commençant par soi-même, nous sommes la première personne pour laquelle le retrait de la faute peut être entrepris, c’est pourquoi la première étape de cet exercice consiste à répondre à la question suivante : « quelles sont les fautes dont je m’accuse ? » qui peut aussi être complétée par « quelles fautes me suis-je pardonnées ? »

Dans un second temps, la recherche portera sur les fautes dont nous accusons autrui : « quelles personnes selon moi sont fautives, coupables et de quoi ?. Là aussi on pourra poursuivre l’exploration en posant la question suivante « à qui ai-je pardonné ses fautes ? Quelles sont ces fautes ? »

La transformation
Une fois les réponses apportées à ces questions, il sera fait appel à l’âme reliée au JE SUIS, pour envisager de retirer toute notion de faute dans les situations identifiées, afin d’aller vers l’acceptation profonde de ce qui a été vécu sans s’identifier au statut de victime et sans qu’il n’y ait besoin de désigner un coupable. Il ne s’agit pas là de chercher des excuses, des justifications à l’auteur de l’acte qui a causé le préjudice, il ne s’agit pas non plus de chercher à comprendre le comportement de la personne qui « a nui », il s’agit bien de se centrer sur soi-même et de sentir que notre âme nous donne les moyens d’accepter profondément ce qu’elle a contribué à mettre en place, qu’elle nous invite à remettre en circulation une énergie jusque là bloquée par notre décision de justice personnelle.
Au sortir de ce processus, je peux dire pour chaque situation transformée : j’accepte profondément ce que j’ai vécu, souffert, je n’ai plus besoin d’un coupable, je me reconnais co-créateur de cette expérience.

L’acceptation profonde et sans réserve, bien différente de la résignation, redonne la liberté et la souveraineté à chacun. Dans le corps, tout devient fluide grâce au lâcher prise et à l’amour inconditionnel, il n’y a plus de place pour le séparateur puisque l’unité est là en soi.

Dans l’ère du bélier, nous avions la loi du Talion avec le fameux « œil pour œil, dent pour dent », avec l’ère du poisson et l’amour qu’elle a apporté, il y avait le pardon des fautes, dans l’ère de maintenant, celle du verseau, il y a reconnaissance de la souveraineté de chacun et conscience de notre divinité. La phrase « Père, pardonne-leur, ils ne savent pas ce qu’il font », attribuée à Jésus au moment de sa crucifixion devient aujourd’hui « Esprit, éclaire-les car ils sont dans l’obscurité ».

Et si nous parlions d’espoir

Encore un sujet que j’aborde au risque de déplaire à beaucoup ! L’espoir est en effet, selon moi un des plus grands poisons de l’humanité, et pour sûr, l’un de mes plus grands poisons. Dès que je dis ou entends le mot espoir, ma conscience se remplit d’un cantique que j’ai entendu dans mon enfance et qui serinait « je mets mon espoir dans le Seigneur, je sûre de sa paro-ole… » sur un air de rengaine. Quand je dis ou entends le mot espoir, je comprends tout de suite qu’il y a attente et passivité réunies que quelque chose de mieux arrive, qu’un sauveur intervienne pour améliorer une situation. Quand je dis ou entends le mot espoir, je vois qu’il y a démission, abandon de souveraineté, remise de pouvoir à l’extérieur.

La culture messianique

L’espoir du sauveur

Dans les mythes fondateurs de la société occidentale, il y a l’attente d’un sauveur, d’un être « oint par Dieu », messie, Christ, qui prendra les rênes de l’humanité pour régner, faire vivre l’amour et la paix sur la terre. Ce mythe nous maintient, nous les humains, en sujets gouvernés par un roi temporel parfaitement inspiré par l’Esprit. Toujours vivace, cette attente est en tous points semblable à celle des juifs de l’ancien testament qui espèrent un roi pour Israël, afin de les libérer, de leur permettre de vivre pleinement ce qui les anime.
Les catholiques de leur côté, voient en Jésus le messie qui est venu racheter les pêchés de l’humanité, ce qui permet d’attendre le jugement dernier avec plus de sérénité que si nous avions à assumer « nos lourdes fautes », dans l’espoir du paradis.
L’Islam pour sa part voit en Jésus un prophète messager de Dieu et annonciateur de Mahomet, qui accompagnera le « Sauveur de la fin des temps ».

Dans les trois religions monothéistes messianiques, nous sommes en attente, dans l’espoir de quelque chose qui va survenir et nous libérer de notre condition terrestre misérable. Et cet espoir inhérent a notre culture, notre formatage, nous le cuisinons à toutes les sauces, nous le déclinons dans notre existence, nous en émaillons notre quotidien sans toujours nous rendre compte de la passivité dans laquelle nous nous mettons, sans bien prendre conscience de l’assujettissement que nous programmons, sans voir que l’espoir du sauveur nous maintient dans une posture de victime.

L’exercice possible

J’écoute ce que je dis, je lis ce que j’écris, je discerne
Pour prendre conscience de nos comportements d’espoir passif, l’exercice que je propose consiste à repérer toutes les fois où je m’entends dire ou j’écris le mot « espoir » ou « j’espère ».
Parmi ces espoirs repérés, j’identifie trois catégories :

  1. Ceux qui me mettent en attente mais ne dépendent pas directement de mon action, comme par exemple :
    « j’espère que l’été va arriver bien vite », « j’espère qu’il va m’appeler », « j’espère que je vais gagner au loto », « j’espère que le nouveau président de la république va améliorer l’économie du pays »…
  2. Ceux qui relèvent de mes intentions et dépendent de mon action de mes décisions, comme par exemple :
    « j’espère que je vais déménager bientôt », « j’espère mieux communiquer avec mon âme », « j’espère que je vais avoir plus de relations profondes et vraies », j’espère que je vais être enfin heureuse »…
  3. Ceux qui sont des souhaits tournés vers autrui, comme par exemple :
    « j’espère que tu as fait bon voyage », « j’espère que tu as bien reçu le colis que je t’ai envoyé », « j’espère que tu guériras bien vite »…

Encore de l’introspection ?

J’agis pour ma souveraineté et mon unification
Pour la première catégorie d’espoir, il convient de regarder quel véritable besoin se présente par cette voie à notre conscience. Derrière chaque envie, désir d’amélioration, un besoin profond veut se faire connaître. Dans le cas présent, le désir d’amélioration semble dépendant de quelque chose d’extérieur à nous-même, ce qui nous pousse à considérer que nous ne pouvons rien en faveur de ce mieux attendu. L’exercice consiste donc à revenir à soi, à reconnaître notre besoin caché pour prendre nous-même la responsabilité de sa satisfaction. Pas de messie pour nos besoins propres, notre JE SUIS, via notre âme dans notre corps, est en capacité de nous donner ce qui nous est nécessaire, dès lors que nous sommes d’accord pour être autonomes et souverains.

Pour la seconde catégorie d’espoir, relevant de nos intentions véritables, il s’agit d’avoir le courage de prendre les décisions qui permettent de mettre de la cohérence entre la pensée, le désir, le besoin et l’action. La conscience des ressources offertes par l’Esprit que nous sommes permet de sortir de l’énergie plainte/revendication pour entrer dans la maîtrise de sa vie, dans le plein exercice de sa puissance créatrice afin que la joie, la vérité de soi, l’harmonie soient notre quotidien. Ce que j’espère dépend de moi, de mon JE relié à JE SUIS, de l’usage de mon libre arbitre, de ma conscience de l’abondance à ma disposition.

Pour la troisième catégorie d’espoirs, relevant de souhaits pour autrui, il y a lieu de vérifier si un besoin personnel est caché derrière la formulation. Si tel est le cas, traiter la question comme l’espoir de la première catégorie. Si tel n’est pas le cas et que l’espoir est un souhait authentique et désintéressé de bonheur pour autrui, se relier d’âme à âme avec la personne et laisser l’Esprit agir.

Et l’espérance alors ?

Je ne peux pas clore ce paragraphe sans dire un mot de l’espérance, qui se confond parfois avec l’espoir. Dans la terminologie que je retiens, l’espoir est une attente de changement qui touche la dimension humaine, matérielle, intellectuelle, affective, émotionnelle de la personne. Le changement est attendu grâce à une intervention un peu magique d’autrui ou des forces spirituelles.
L’espérance est plutôt liée à la transcendance de l’être, à la conscience de son chemin vers plus de conscience de l’Esprit qu’il est. L’espérance est liée à la relation qui s’établit avec le plan divin et est indépendante des événements de l’existence, de l’avenir en préparation.

Pour conclure et consolider

L’unification de soi nous invite à en finir avec la dualité, à être à la fois la créature et le créateur, humain et divin, maître et serviteur, mâle et femelle, dense et subtil. Ce qui est exprimé de façon polarisée dans le visible est un à la source et il nous revient d’en faire l’expérience en hissant notre fréquence, en élargissant notre conscience.

Être le maître de son existence n’est alors possible qu’en étant le serviteur volontaire et joyeux de sa propre essence, de son JE SUIS. C’est pourquoi, en guise de conclusion de cet article, j’ai l’immense honneur d’être invitée à rappeler ce qui est ici nommé « la devise du maître » :

J’écoute mon ressenti,
je lui accorde du crédit
j’agis en fonction de lui.

Au maître que vous êtes, je souhaite de magnifiques moments d’Unité, de grandes expériences de vérité totale, l’immense soulagement des acceptations profondes, de superbes transformations de l’espoir en action.
Merci.

18 commentaires sur Quelques exercices pratiques pour l’unification de soi

Revoir le karma et sortir de la culpabilité

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Pour ouvrir le sujet

Dans l’article d’aujourd’hui, juste à l’émergence du printemps 2018, je souhaite vivement apporter ma contribution au dégagement de la culpabilité enracinée dans la conscience humaine, ma pierre à l’édifice de l’innocence cachée en chacun de nous. Pour ce chemin de rencontre avec notre innocence, je propose d’aller regarder le germe de notre culpabilité et donc le pêché originel avec lequel nous naissons selon la Tradition, et d’aller aussi revisiter le karma afin de lui ôter le poids qui pèse dans notre conscience. Dans la série, libération de nos esclavages si nous le voulons, voici de nouvelles portes à ouvrir.

Comme tout ce que j’écris, cet article ne fait pas référence à une voie spirituelle formalisée ou reconnue, mais à ma vision personnelle de l’humanité et du monde. Cette vision spirituelle libre et incarnée, se construit au fur et à mesure de mes expériences et des enseignements puisés à la Source infinie de la connaissance, mise à disposition par l’Esprit à toute personne qui veut bien s’y abreuver. Pour rappel ou information, il pourra être utile de se reporter au début du précédent article publié afin que le vocabulaire employé soit explicite.

La culpabilité, vieille compagne de l’humanité

La culpabilité et moi

Le poids de la culpabilité

Du plus loin que je me souvienne, je vis avec la culpabilité. Certes aujourd’hui grâce au chemin de conscience parcouru, elle n’est plus qu’une option que j’ai le choix de retenir ou de laisser, mais durant des années tout était prétexte à me sentir coupable. Et lorsque je me sentais faiblement coupable, j’avais aussi la possibilité de me sentir indigne et donc honteuse, là aussi sous de multiples prétextes.
En m’intéressant à la psychologie humaine, j’ai très facilement attribué ces fardeaux à mon éducation assez pauvre en reconnaissance de ma valeur et assez riche en désapprobations et reproches variés, et surtout à la morale catholique dans laquelle je me suis immergée dès ma naissance. Voilà qu’en plus de la culpabilité et de la honte, j’avais aussi dans ma panoplie de « pauvre humaine » un statut de victime de parents qui n’avaient jamais entendu parler de Françoise Dolto et ignoraient l’importance des premières années d’existence chez une personne.
Autour de mes 30 ans, après une quinzaine d’années d’athéisme et de vision matérialiste, je vis une expérience d’éveil et découvre l’Esprit dans le corps qui me rappelle que je suis un être spirituel en train de vivre une expérience humaine et non pas l’inverse. Dans cette conscience qui s’ouvre, entre réminiscences de sagesses orientales, résurgence templière, quelques approximations new-age, des approches spirituelles qui s’avèrent hyper-mentales, de belles lectures de Steiner, de Satprem et autres auteurs inspirés, de magnifiques expériences humaines dans le désert et ailleurs, je m’initie à ce que JE SUIS. Le karma rentre dans ma vie et son corollaire, la réincarnation vient me donner bien des explications qui me manquaient cruellement pour voir le sens de mon existence.
Seulement voilà, l’approche karmique telle qu’elle est généralement présentée, vient chez moi, renforcer le terrible mouvement de balancier qui me fait osciller entre coupable et victime, tout en continuant à éprouver de la honte. Le tableau n’est toujours pas hyper plaisant à vivre, même s’il y a un grand mieux dans ma perception des situations.

La culpabilité et l’humanité

Là où tout a basculé

Dans ma jeunesse, je croyais être la seule à vivre en couple avec la culpabilité : les autres me semblaient plus sereins, plus confiants, plus innocents que moi. Et puis à force de fréquenter mes semblables, d’écouter leur témoignage, d’accueillir ce qu’ils sont intimement, je me suis bien rendue compte que chacun à sa manière connaissait la culpabilité. Rien d’étonnant puisque l’histoire de l’humanité narrée par la Génèse fait tout de suite état d’une faute impardonnable commise par Eve et qui conduit le couple de nos origines à sortir du paradis où il vivait heureux.

Il n’est nullement question ici d’aborder l’éventail des passionnantes interprétations de ce mythe de notre civilisation occidentale mais seulement de le considérer en tant que porteur d’une information essentielle pour la conscience globale de l’humanité. Dans notre conscience à tous, figure de façon plus ou moins visible et active, la croyance que notre réalité humaine inclut un faute et une condamnation par une autorité suprême. On peut donc dire que le pêché, cible non atteinte au sens originel, est inhérent à la condition humaine sur la terre.
Ma compréhension personnelle de cette croyance en une faute repose sur deux plans : le plan spirituel et le plan physique, biologique de l’être humain. Selon ce que je perçois, ces deux plans se superposent dans notre perception de nous-même, interagissent et déterminent nos comportements.
Pour ces deux plans, un point commun : la coupure dont l’être humain est l’objet, l’aptitude à être coupé, la culpabilité. Le mot culpabilité, de la même racine que « coulpe » que nous connaissons dans « battre sa coulpe » ou dans le fameux « mea culpa », évoque aussi la nature de ce qui peut être coupé, séparé. Même si l’étymologie n’est pas exactement la même, il se trouve qu’en français la culpabilité nous parle à la fois de la faute et de la coupure, de notre aptitude à être coupé.

De coupables coupures ?

La naissance de l’être humain commence par une séparation, confirmée par une coupure. Pour que le JE SUIS se manifeste sur la Terre, il s’humanise biologiquement par une gestation au sein d’un utérus, dans le ventre d’une femme. Lorsque le moment vient de devenir soi et de sortir de la symbiose, l’enfant provoque l’accouchement et aujourd’hui probablement inspire le médecin accoucheur pour fixer la date et l’heure de sa naissance. Cette séparation d’avec la mère s’accompagne presque aussitôt de l’acte qui confirme la nécessité d’être soi : la coupure du cordon ombilical.

Le début de l’altérité

Durant la gestation, le fœtus était porté, réchauffé, protégé, nourri sans avoir à mobiliser ses forces, tout lui était donné de manière automatique, la fonction maternelle s’exerçait biologiquement sans avoir à le décider. D’un point de vue organique, cellulaire, l’enfant vit la naissance comme une perte du paradis biologique au sein duquel il était plongé. La coupure est douloureuse, brutale et irréversible, d’autant plus inquiétante que le petit humain n’a pas encore les capacités à se porter lui-même, à réguler sa température, à se protéger et à se nourrir. Il n’est plus en symbiose, et il est à la merci du bon vouloir d’autrui, fragile, dépendant et sans aucun doute un peu désemparé même si une grande partie de sa vie est encore dans ses corps subtils et pas encore dans son corps dense, même si sa perception de l’Esprit est bien plus nette que celle de la matière dans laquelle il se propose d’apprendre à être.

Certes, je sais qu’aujourd’hui nous « psychologisons » fortement cette période de la grossesse et lui attribuons la cause de nombre de nos malheurs. Pour ma part, sans nier l’importance de la vie in utero pour le bien être dans la vie future, je vois ces phénomènes psychologiques liés au karma et à la structure de personnalité choisie par le JE SUIS et l’âme. Je reste persuadée que d’un point de vue biologique, l’utérus, le liquide amniotique, le cordon ombilical et le placenta sont un Éden pour le fœtus et que l’expulsion de ce paradis est vécue comme une punition, une sanction. Face à cette sanction, nous intégrons qu’il y a soit faute préalable de notre part, soit que nous sommes victime d’une immense injustice. Faute et injustice, culpabilité et posture de victime sont les deux pôles d’une même énergie avec laquelle nous allons avoir à composer avec plus ou moins de facilité durant notre existence.
Nos cellules se souviennent du traumatisme de la naissance et notre JE ignorera encore longtemps que cette naissance est le fruit de son propre choix, en accord avec l’âme et le JE SUIS, pour la nécessité de l’expérience humaine sur la terre. De la même manière, nous pouvons voir la sortie d’Adam et Eve du paradis en tant que choix délibéré de l’Esprit, pour la nécessité de l’expérience de l’humanité dans la densité.

Avant d’être des humains, nous étions des dieux

La genèse nous dit qu’avant de manger le fruit de la connaissance du bien et du mal, les humains vivaient heureux au Paradis. Ce bonheur était en quelque sorte obligatoire, non désiré. En effet, Adam et Eve étaient des humains attachés à l’Esprit, en unité parfaite avec leur créateur, avec la source de vie. Aucune alternative à leur nature divine n’existait dans leur conscience, ils étaient contraints de vivre selon la volonté divine de leur père, tout comme le fœtus est inféodé à la volonté de sa mère. En clair, le libre arbitre n’était pas encore disponible et la perception du subtil était plus nette que la perception du plan densifié.

La pensée, reflet de l’Esprit

Nous n’allions pas rester dans cette stagnation, puisque l’expérience propre à la Terre inclut que l’humanité exerce sa liberté dans la dualité. Le plongeon de la conscience humaine dans la densité va progressivement permettre aux humains, symbolisés par Adam et Eve, d’avoir avec la matière une alternative à l’Esprit. Il est donc probable qu’à un moment, la conscience humaine se soit dotée d’un corps suffisamment dense et élaboré pour mettre en œuvre le projet du libre choix. Il ne manquait plus qu’un outil propre à l’humanité, à la fois  semblable à l’Esprit et légèrement différent de lui. Lucifer se présente sur la Terre sous les traits du serpent et apporte avec lui la pensée, présentée comme fruit de la connaissance du bien et du mal. Avec la pensée, reflet exact de l’Esprit, l’homme va réfléchir, va pouvoir créer comme le Père lui-même crée. Grâce à la pensée, l’humanité va progressivement se détourner de la Source au point de l’oublier. Parallèlement au développement de la pensée chez les humains, les cinq sens prennent de plus en plus d’importance et la perception du monde subtil s’évanouit au profit du seul plan densifié, matériel. Tout ce processus, qui conduit à la situation d’oubli presque total de notre nature spirituelle que nous vivons aujourd’hui, est organisé par notre Esprit, notre dimension divine, autrement dit en accord avec la Source. Alors pourquoi est-il question de faute ? Quel est le problème que nous voyons lorsque nous mettons dans la Genèse, un de nos plus grands mythes fondateurs, une faute si grave qu’elle vaut une condamnation ?

Et les humains voulurent être Dieu

Doté de la pensée, de plus en plus en affinité avec la matière, dégagé de l’automaticité de son comportement divin, invité à exercer sa liberté, l’être humain se rend compte qu’il est un créateur non plus seulement du fait de sa nature spirituelle, mais aussi de par ses capacités humaines. Très vite, la pensée humaine vient se mesurer à l’Esprit, la créature rivalise avec le créateur. Nous, conscience humaine incarnée, représentés par notre Adam et notre Eve, nous voulons être calife à la place du calife, nous devenons les rivaux du Père, de l’Amour Principe Créateur.

Le plaisir de la matière par les cinq sens, la capacité à concevoir des objets concrets de sa main, l’installation des émotions et des sentiments, la jouissance du pouvoir, la liberté octroyée, détournent lentement mais sûrement l’humain de son paradis d’origine. Capable de procréer génitalement sans que l’Esprit n’intervienne de façon visible, l’humain se prend pour Dieu et veut éliminer cela-même qui l’a engendré.

Et les hommes se sentirent tout puissants, seuls…

Notre culpabilité a sa racine dans cette rivalité née des pouvoirs matériels, terrestres dont la conscience humaine s’est dotée pour pouvoir mener l’expérience de la liberté. Cette rivalité est perpétuée aujourd’hui encore lorsque, enfants, nous nous confrontons plus ou moins consciemment à nos parents, nous rêvons de les dépasser, voire de les remplacer. L’affaire se joue dans la naïve inconscience de la petite enfance, aux environs de 4 ans. Si ces complexes d’œdipe et d’électre sont sources de développement de la puissance de l’enfant, ils sont aussi caractérisés par une forte culpabilité. Nous rejouons individuellement avec nos parents de chair l’histoire de l’ensemble de l’humanité. Cela vient confirmer la culpabilité du cordon ombilical, la « mauvaise impression » ressentie à la sortie du ventre maternel.

Et maintenant nous sommes des humains amnésiques

Tout cela au fil des siècles de l’expérience de la conscience humaine avec la Terre, conduit à la situation que nous connaissons aujourd’hui : une majorité d’humain a oublié sa nature spirituelle, la vie dans la matière est devenue la seule réalité prise en compte. A force de se densifier, de connaître la matière compacte, la conscience globale de l’humanité est devenue amnésique, l’usage forcené de nos cinq sens a chassé notre essence et éteint notre sixième sens. L’amnésie est notre maladie d’aujourd’hui, cause de notre souffrance et autre source de culpabilité.

Tandis que nous sacrifions au tout économique, à la recherche des plaisirs sensoriels, à la consommation de loisirs, au charme des sirènes médiatiques, au leurre de l’amitié des réseaux sociaux, notre âme continue de nous rappeler la projet d’Amour pour lequel elle est présente dans nos cellules. Par nos intuitions et nos inspirations, notre conscience  continue de recevoir le souffle de l’Esprit, l’information de notre nature, les sollicitations de la mission à accomplir. Dans cette posture amnésique, au plus profond de nous, dans un espace de notre conscience plus ou moins caché, nous savons que nous trahissons notre JE SUIS, que nous sommes déloyaux avec nous-mêmes et avec le Principe Créateur. Pour cela aussi nous connaissons la culpabilité.

A la rencontre de notre innocence et de notre pureté

En nous souvenant de l’histoire de la conscience humaine qui fait le magnifique pari d’exercer la liberté dans la dualité, en nous souvenant de l’union sacrée entre la conscience de la Terre et celle de l’humanité, en nous souvenant des étapes nécessaires à l’évolution de l’incarnation pour que l’expérience soit réalisable, en nous souvenant que nous sommes des facettes de l’Esprit Un et que nous le manifestons dans la diversité, alors nous pouvons sortir de la culpabilité. Nous pouvons aller à la rencontre de notre innocence, de notre âme immaculée, de l’enfant intérieur spontané qui demande à vivre au grand jour.

Le karma regardé de plus près

Il y a encore un siècle, le karma était un concept des traditions orientales inconnu ou presque en Occident. L’édification d’un christianisme unifié par deux conciles au quatrième siècle repose sur un dogme clairement énoncé qui a supposé un choix sur la manière de voir le Créateur, le Christ et l’humanité. Pour la cohérence, les évêques de l’époque ont sélectionné et « corrigé » les évangiles et témoignages de l’enseignement apporté par Jésus pour qu’ils donnent de l’eau au moulin du dogme. Les évangiles canoniques sont exempts de toute mention explicite de réincarnation et de son corolaire, le karma. Les autres évangiles sont déclarés apocryphes parce qu’ils pourraient invalider la vision officielle de la croyance en Dieu telle que l’église chrétienne l’a définie.
En disant à ses adeptes qu’ils n’ont qu’une vie, marquée du pêché originel et menacée de l’enfer et du purgatoire en attendant le jugement dernier, l’Église chrétienne espère mieux asseoir son pouvoir, mieux canaliser le peuple. C’est le principe bien connu de la deuxième chance qui nuirait à l’effort pour réussir du premier coup ! Peur et culpabilité sur fond d’obéissance aveugle sont installés par la religion.

Le cycle des causes et des conséquences

Il y a environ un siècle, les occultistes ont ramené en occident le principe de la réincarnation et du karma. Considérant que l’être humain a eu et aura des vies terrestres avant et après celle-ci, la présence du karma  apparaît dans la conscience occidentale. La réincarnation, avec les vies successives qui autorisent à refaire des expériences terrestres,  peut présenter un soulagement comparativement à l’obligation, brandie par l’église chrétienne, de réussir en une seule vie . Seulement voilà, il y a le karma, sorte de loi du Talion pour soi-même où l’être est condamné à vivre les conséquences bonnes ou mauvaises de ses actes et qui constitue le bagage avec lequel nous arrivons sur la terre.
A y regarder d’un peu plus près, nous sommes finalement sur un concept assez similaire au pêché originel. Adam et Eve ont commis la faute pour tout le monde, le karma est le reliquat des conséquences des actes de l’individu. Et même si « les bonnes actions » procurent un « bon karma », en règle générale dans les courants spirituels orientaux, il y a une aspiration à se libérer de la roue des incarnations et donc d’en finir avec le karma pesant qu’il faut constamment améliorer.

Le karma indissociable du dharma

Début 2015, j’ai été brutalement enseignée sur la nécessité de mesurer l’importance du « JE », cette instance de l’être qui nous permet d’exercer notre libre arbitre, de prendre toute la responsabilité de nos actions. Au fur et à mesure que ma conscience s’est ouverte au JE, j’ai commencé à percevoir le karma d’une autre manière que celle que je connaissais par ce que j’avais pu lire ou entendre. J’ai de ce fait aussi été enseignée sur le karma en étant invitée à toujours lui associer le dharma, projet d’Amour Absolu à faire vivre sur la Terre au sein de l’Humanité.

Au tout départ du processus de manifestation sur la Terre de l’Esprit, par la Volonté de JE SUIS, l’âme, la conscience et le JE se forment concomitamment  sur le même plan subtil, et établissent ensemble le plan de l’expérience terrestre. Sur ce plan subtil, le souffle de l’Esprit rappelle à son trio que le projet est de représenter l’Amour Principe Créateur sur la Terre au sein de l’Humanité, est de faire vivre l’Esprit dans la matière. Lorsque ma conscience s’ouvre à ce que JE SUIS de toute éternité, je me souviens de ce désir ardent d’être là aujourd’hui sur la Terre, je ressens mon enthousiasme sans limite pour ce dharma individuel qui rejoint le dharma de l’ensemble de l’espèce humaine. Je me souviens aussi du karma que j’ai choisi pour réaliser au mieux la mission dont j’ai pris la responsabilité. Le karma m’apparaît alors en tant que potentiel d’amour que je viens actualiser. Ce potentiel s’organise en fonction des expériences vécues dans d’autres incarnations : toutes les cibles  que je n’ai pas colorées de mon amour se présentent à moi pour que je puisse les aimer. Mon obsession est de parvenir à reconnaître l’Esprit dans tout ce que je vais rencontrer et me donner à vivre sur la Terre malgré une apparence dense, mon obsession est d’aimer inconditionnellement et délibérément, intentionnellement et librement.

Dans cet « état d’Esprit » au sens propre, aidé par le monde angélique, JE, outil du libre arbitre déjà installé avec la conscience et l’âme, va choisir les conditions de son incarnation : la forme de son corps, la trame de sa personnalité, sa famille, son pays, le milieu socio-culturel, etc. Les choix qui se font à ce stade sont sous-tendus par l’impérieux désir d’offrir à l’âme les fruits de l’Amour, et « JE » dispose pour cela de tout le discernement nécessaire.
La dualité de la densité n’est pas encore aveuglante, la morale humaine ne peut rien juger puisque le bien et le mal ne sont pas ici une réalité, la pensée n’est pas encore là pour argumenter ou séparer. La mémoire de toutes les expériences de l’entité spirituelle que nous sommes dans tous les plans de l’univers est accessible, tel un livre ouvert, et le désir d’aimer nous guide. Et si nous choisissons des paramètres humainement difficiles à vivre, ce n’est en aucun cas pour nous punir mais parce que nous savons que cela est une opportunité pour contribuer à l’élévation de notre conscience individuelle et collective vers notre réalité d’homme/femme-Esprit.

Avoir le karma joyeux

Dans cette période d’apocalypse, de révélation de ce qui était caché, il me semble indispensable de voir la totale responsabilité qui est la nôtre dans tout ce que nous vivons. L’humanité est prête à sortir de l’enfance et de vivre sa souveraineté suprême, sans parent qui évalue et sanctionne, sans morale pour dire ce qui est bien et mal, sans se sentir victime ou coupable.

En choisissant de participer à l’expérience de la conscience humaine sur la terre, notre JE SUIS est joyeux et chacun de nous peut contacter cette joie d’être dans l’aventure. Cette joie est là dans l’instant présent quand la pensée est au repos, quand nous nous relions au noyau des cellules de notre corps physique. Là, nous retrouvons le sens de notre présence dans un corps de chair, au milieu d’une société qui a oublié au point de s’égarer dans l’éphémère. Si vous lisez ces lignes, c’est probablement parce que votre âme vous pousse à vous souvenir que vous avez tout choisi. Vous avez choisi d’être là pour contribuer à l’élévation de la conscience de la famille humaine, vous avez choisi vos talents et ce qui vous semble vos carences, vous avez choisi votre morphologie, votre famille. Rien n’est subi, tout est organisé minutieusement en vue de la croissance spirituelle que l’incarnation dans la densité va permettre. Alors aujourd’hui, je vous invite à regarder votre karma avec la joie de votre âme venue pour aimer, je vous invite à vous alléger des fardeaux que votre perception humaine de l’existence a créés, je vous invite à retrouver le désir ardent de vous-même sur la terre, je vous invite à voir que la perfection de chaque situation vécue apparaît dès qu’elle est mise dans la perspective du dharma, bref, je vous invite à vivre dans la joie et la simplicité que votre âme vous offre !

En guise de conclusion

Le présent article était en germe intérieurement depuis quelques semaines et comme souvent, je remettais à plus tard son écriture. Le 12 mars dernier, alors que j’ouvrais formellement ma conscience à mon JE SUIS pour avoir un éclairage, j’ai senti qu’il était pertinent d’enregistrer le message, ce que je ne fais plus depuis longtemps. J’ai vite compris que je recevais une aide pour me lancer dans mon projet d’écriture et ne plus l’ajourner. Chez moi le processus est long puisque si j’ai bien suivi l’invitation de mon JE SUIS et commencé ma rédaction le 12 mars, elle ne s’achève que le 23 mars.

Canalisation du 12 mars :

J’ai retranscrit le message qui m’était adressé mais peut intéresser aussi toutes les personnes qui désirent manifester loyalement leur JE SUIS. Je vous le mets en partage pour conclure cet article printanier.

« Tu dois œuvrer à la réhabilitation de la manifestation humaine de l’Esprit. Cette réhabilitation se fera d’elle-même dès lors que la conscience humaine aura retrouvé la mémoire de sa nature spirituelle, de la Source qui coule en elle. Quelle que soit votre forme, votre couleur, votre tempérament, quelles que soient vos pensées, vos émotions, vos passions, vous êtes Esprit et vous avez choisi d’être là, par vous-même, par la volonté de votre Esprit, de votre JE SUIS. Vous vous êtes donnés à vivre l’expérience de la liberté pour renforcer votre JE SUIS, pour rapporter à l’Esprit les fruits récoltés au cours de votre expérience sur la Terre.
Chaque expérience, par vous est évaluée au cœur de votre âme. La décantation vous permet de voir ce qui nourrit l’Esprit et ce qui l’affaiblit. Chacun de vos choix en vue de nourrir l’Esprit apporte l’eau de la terre à la source infinie, chacun de vos choix qui appauvrit l’Esprit plonge l’humanité dans un peu plus d’obscurité. Ainsi vous pouvez voir, savoir ce que vous désirez véritablement, ainsi vous pouvez décider en totale liberté de la voie que vous empruntez.
Toi ici, tu as à apprendre à te réjouir encore de la manifestation de l’Esprit que tu es, tu dois apprendre à ne plus ressembler à quelqu’un d’autre que toi-même, même à moi ton frère Jésus, qui te parle en cet instant, à côté de ma mère et sous l’égide de l’Archange Michaël. Je te le dis en vérité, n’essaye pas de me ressembler, sois à la perfection celle que TU ES. Il n’est nul besoin de faire des efforts pour œuvrer, il n’est nul besoin de renoncer pour œuvrer, il est juste nécessaire que tu dises oui à ce qui te met en joie et que tu dises non à ce qui n’est pas joyeux pour toi. Ainsi nul besoin de renoncer, ainsi par la joie laisse-toi guider ! Certes je peux t’aider car la vie humaine que j’ai expérimentée me permet de connaître ce que tu connais, de savoir ce que tu vis. Et si je peux te parler de mon expérience, en aucun cas, je ne souhaite que tu tentes de me ressembler. Sois celle que TU ES !
La question de plaire est toujours d’actualité : plaire aux autres, plaire à toi-même selon les critères dictés par la société humaine au sein de laquelle tu t’es incarnée. Plaire pour être aimée est vain, tu le sais. Plaire veut dire encore ressembler à une image que tu crois aimable, agréable. Et cela consiste une fois de plus à te trahir, à ressembler et non pas à être celle que TU ES. »

 

 

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Notre conscience : la clé pour l’apocalypse

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Aujourd’hui, je suis poussée à parler des transformations, des crises et des évolutions qui s’accélèrent. Je choisis de titrer « Notre conscience : la clé pour l’apocalypse », mais j’aurais pu tout aussi bien écrire : « La conscience individuelle, outil de la révolution mondiale », ou encore : « L’éveil spirituel : la vague qui transforme le monde ». Je me propose donc ici d’évoquer le rôle essentiel de chaque habitant de la terre dans les mouvements de fond dont nous pouvons ressentir les soubresauts.

L’apocalypse est un dévoilement de ce qui était occulté, une révélation de réalités restées cachées à notre conscience limitée, un avènement de l’homme/femme-Esprit, espèce humaine nouvelle puisque reconnaissant sa propre divinité. Toutes ces évolutions ne peuvent avoir lieu qu’en laissant derrière nous les structures anciennes devenues inopérantes. Lorsque nous résistons à aller vers le nouveau et à nous détacher des anciennes formes, il s’ensuit un chaos. C’est ce chaos que nous vivons actuellement sur la terre, un chaos qui ne fera que grandir tant que nous refuserons d’aller vers ce qui nous appelle, nous hisse, nous invite à vivre pleinement notre nature spirituelle.

Quelques précisions de vocabulaire

Se doter d’un vocabulaire commun pour se comprendre

D’usage commun, le vocabulaire employé dans cet article nécessite toutefois d’être précisé afin que les mots transportent au mieux les informations émises. Le sens que j’énonce est celui que je choisis de donner dans le spectre souvent plus large des significations que le mot contient.

Les notions et le vocabulaire que j’utilise ne sont pas rattachés à une école, un courant spirituel ou un groupe humain constitué, mais issus de ma façon de percevoir la connaissance du monde et de l’humanité. Les mots s’unissent à la notion qu’ils désignent, transmettant l’enseignement reçu au fur et à mesure du besoin que j’en ai.

La conscience

Lorsque je parle de la conscience individuelle, je la définis par : ce qu’un individu sait de lui-même et du monde. La somme des consciences individuelles conduit à évoquer une conscience collective et à ce titre on peut dire qu’un pays est caractérisé par ce que l’ensemble de sa population sait d’elle-même et du monde, et de la même manière, plus largement, on peut parler de la conscience globale de l’humanité pour désigner ce que l’ensemble des humains savent d’eux-mêmes et du monde.
En complément de la conscience, il y a tout ce qui est non-conscient chez l’individu et qui pourtant existe et agit en lui, à son insu. A dessein, je n’emploie pas ici le mot inconscient que la psychologie et encore plus la psychanalyse ont chargé d’autres aspects que je ne souhaite pas retenir. Il est probable que ce qui est nommé subconscient, dont le sens varie selon les écoles, fasse aussi partie de ce que je nomme non-conscient. Pour un certain nombre de personnes la réalité spirituelle du monde, l’âme humaine, sont non conscientes.

Le développement spirituel a vocation à élargir et élever la conscience et ainsi y accueillir, courageusement, ce qui est existe dans le non conscient individuel ou cosmique.

Le « JE »

En fonction de sa conscience, l’être humain dispose d’une certaine lucidité lui permettant de voir relativement clair et donc  de faire des choix. Pour procéder à nos choix nous disposons d’un outil psychique : le « JE ».
Lorsque nous disons « JE », nous le faisons à partir de ce que nous savons de nous et du monde et nous prenons position. Nous nous affirmons, nous choisissons nos options, nous décidons des voies que nous empruntons. Nous nous reconnaissons et agissons en tant qu’individu unique, spécifique.
Le JE est notre instance de décision, celle-la même qui fait que nous exerçons notre libre arbitre et que nous sommes l’ambassadeur de l’entité spirituelle manifestée en humain unique. Plus notre conscience est élevée et plus notre JE est mobilisé, plus notre libre arbitre est effectif. Le « JE » est véritablement l’outil qui permet à chacun d’être « un maître qui maîtrise sa vie », un être souverain.

Le « JE SUIS »

J’appelle « JE SUIS » la dimension spirituelle de l’être humain, son Moi Divin, l’Esprit qui est la source de l’existence de toute personne. JE SUIS est manifesté sur terre par ce que je suis humainement. En employant JE SUIS pour désigner notre nature divine, je souhaite signifier l’unité entre le créateur que nous sommes et la créature depuis laquelle nous avons conscience de nous-même dans notre manifestation terrestre.
Selon ce que je ressens en effet, la création est la manifestation fidèle et parfaite de l’Esprit, du créateur. Chaque élément de la création contient le principe créateur et par sa présence témoigne du sacré.
La nature de JE SUIS est éminemment spirituelle : il est constitué d’Esprit et constitutif de l’Esprit.

L’âme

L’ADN, selon une photo du magazine Sciences et Avenir

L’âme humaine est l’interface entre l’Esprit et la matière. Elle a l’élasticité nécessaire pour être à la fois enracinée dans le plan spirituel et être ancrée dans la chair, pour conserver la totalité de l’information de l’Esprit et se combiner avec les atomes qui constituent le corps physique qui vit dans l’espace-temps. Elle est « façonnée » par le JE SUIS lorsque celui-ci décide de se manifester sur la Terre et de faire une nouvelle expérience humaine. Elle est présente dans le noyau des cellules de chaque être humain, par le biais de l’ADN qui encode les informations de notre JE SUIS,  de l’entité spirituelle que nous sommes.
Grâce à la présence de l’âme dans le corps physique, l’Esprit que nous sommes est présent et a la capacité d’agir concrètement en nous, pour nous. Les demandes ou « prières » que nous adressons au plan divin peuvent alors être faites à nous-même, à l’âme dans le corps qui active JE SUIS, et non pas à une force extérieure, séparée de notre condition humaine.

La personnalité

La personnalité : 5 systèmes en interaction

Depuis l’ouverture consciente de mon canal en septembre 2006, j’ai abondamment été enseignée sur la constitution physique et psychologique humaine et notamment sur la manière dont personnalité est organisée. Ce sujet pourrait à lui seul faire l’objet d’un article ; je me contente ici aujourd’hui de citer les cinq éléments qui composent la personnalité humaine, dans l’ordre où ils m’ont toujours été présentés, sachant qu’ils sont en permanence en interaction.

Le système cognitif : il gère toutes nos activités de cognition, dont la pensée. Grâce à lui, nous raisonnons, nous mémorisons et gérons des informations, nous élaborons des concepts, nous évaluons, nous comparons, etc. Ce système est souvent appelé « mental » et prend alors une connotation désapprobatrice. En le nommant système cognitif, je lui conserve la noblesse de sa fonction, sans le juger.

Le système affectif : il gère nos sentiments, l’attraction et la répulsion, l’affection et la détestation, de l’amour jusqu’à la haine.

Le système émotionnel : il gère les quatre chefs de file des émotions que sont la tristesse, la peur, la colère et l’euphorie.

Le système d’identifications : il gère toutes les identités que nous nous donnons à partir des rôles, fonctions, places que nous expérimentons dans l’existence. Dès que nous disons « je suis… » en y ajoutant une information autre que « ce que JE SUIS », nous activons notre système d’identifications, nous nous reconnaissons au travers d’un des paramètres de notre dimension humaine. Emportant avec lui l’ensemble de la personnalité, ce système est souvent appelé « égo » et prend alors une connotation désapprobatrice. En le nomment système d’identifications, je le circonscris et lui conserve sa fonction, incontournable, sans le juger.

Le système d’appartenance : il gère notre besoin d’appartenir à des groupes humains tels que la famille, l’école, l’entreprise, les associations, les différents groupes sociaux formels ou informels au sein desquels nous agissons. Ce système nous rend plus ou moins sensibles au regard que les autres portent sur nous.

Et maintenant le corps…

Il reste un dernier élément que je ne vais pas définir mais que je souhaite citer juste à côté de ce qui est ci-dessus : le corps. Pour être rigoureuse je devrais d’ailleurs parler des corps puisqu’au corps dense, physique, s’accrochent nos différents corps subtils.
Je tiens ici à citer le corps physique car il est le lieu de vie dans lequel « JE SUIS » a mandaté « JE » pour être présent sur la terre. Par le corps physique, JE a toutes les informations nécessaires au pilotage de l’expérience terrestre. « JE » est en quelque sorte l’ambassadeur du monde spirituel au sein de l’humanité et le corps de chair est l’ambassade depuis laquelle il accomplit sa mission.

Nous humains, sommes invités à nous souvenir de qui nous sommes véritablement, à retrouver le sens de notre présence sur terre en vivant une spiritualité libre et incarnée, sous notre seule responsabilité et à partir des informations présentes dans notre conscience et notre corps. Si « JE » décide de reconnaître JE SUIS et de s’ouvrir à lui, aussitôt la conscience s’élève, s’élargit, l’intuition augmente, l’âme donne en abondance les ressources pour toutes les expériences de l’existence, l’apparente dualité est transcendée, l’unité JE SUIS/je suis se réalise.

Sortir de tous les esclavages

L’apocalypse que nous vivons actuellement nous conduit, si nous le souhaitons, vers notre souveraineté absolue, vers la possibilité de créer exactement l’existence que nous désirons pour nous et pour le monde. Bien qu’épris de liberté, nous maintenons bien souvent une posture d’enfant cherchant protection et autorité à l’extérieur de nous. Il n’est qu’à voir nos relations avec les institutions dont nous nous sommes collectivement dotés : nous passons de la plainte à la revendication, nous demandons des assurances et des garanties pour nous, autant que des sanctions pour ceux qui ont fauté, etc.

Les religions, ciment des groupes humains

L’évolution de la conscience humaine est marquée par un lent processus d’individuation. Avant de pouvoir dire un vrai JE, il a fallu que nous vivions d’abord l’expérience de l’âme-groupe dans des clans organisés, garantie de notre survie. Le clan était alors plus important que les individus qui le constituaient. Dans ces périodes tribales, claniques, la pratique religieuse était un ciment déterminant des groupes sociaux. L’athéisme ne pouvait pas exister, la spiritualité allait de soi et donnait lieu à une pratique collective, uniformisée avec dogme, vérité révélée et rituels identiques pour tous les membres de la communauté. Petit à petit les clans se sont agrégés donnant naissance à des sociétés qui se sont uniformisées en se dotant d’institutions. Les grandes religions monothéistes se sont installées un peu partout dans le monde, constituant des groupes encore plus vastes que les états, traversant les continents. Les religions se sont approprié la spiritualité au point que pour beaucoup, ces deux mots sont synonymes. Cette confusion entre religion et spiritualité est toujours une réalité aujourd’hui.

En occident, la fin du XIXème siècle et le début du XXème annoncent la fin de l’âme groupe. Industrialisation, urbanisation, découverte de la psychologie, émergence du marxisme, découvertes de la science matérialiste bouleversent nos sociétés en commençant à considérer de plus en plus l’individu avant le groupe. En même temps que la mondialisation économique s’installe et que l’argent devient un dieu, l’attention se porte de plus en plus vers la personne et son bien-être, le droit individuel rivalise fortement avec la morale collective, les religions amorcent leur déclin.

En 1905, la France a décidé de la séparation de l’église et de l’état, instaurant un principe de laïcité censé libérer le peuple de l’obscurantisme religieux. La conscience globale des français était-elle suffisamment élevée pour que nous soyons en mesure d’agir sans la peur de l’enfer et sans la culpabilité que les religions utilisaient pour garder leurs ouailles ? Etions-nous prêts à renoncer à un sauveur promettant des jours meilleurs ? Etions-nous disposés à être notre propre directeur de conscience qui sait se passer d’une morale pré-établie ? Un siècle après cette décision, force est de constater que la religion est toujours là, même si le credo a changé de destinataire, même si le rituel et la morale sont devenus profanes.

D’une religion à l’autre

Le scientisme, religion d’état ?

Si nous regardons aujourd’hui notre société, il me semble clair que les religions sont encore bien présentes. La pratique du catholicisme, du protestantisme, du judaïsme ont certes décliné, mais la science matérialiste citée comme référence indiscutable à tout bout de champ a pris un essor incroyable et la population est « priée » de croire les yeux fermés dès lors qu’il est dit : « il a été démontré, prouvé scientifiquement… » Les media ont remplacé les églises et les temples, délivrant désormais à domicile la connaissance officielle de la matière et des habitants de la terre, distillant une rationalité censée nous sortir des superstitions et des croyances, fustigeant et ridiculisant toute représentation du monde et des humains qui intégrerait l’Esprit. Le scientisme se pose en religion d’état d’autant plus fortement que la laïcité est devenue laïcisme.
Sous couvert du principe de laïcité, l’anticléricalisme continue de prendre sa revanche sur le pouvoir exercé par les religions, donnant de l’eau au moulin du scientisme qui cherche à nous « libérer des illusions métaphysiques et théologiques ». Seule la vision matérialiste a droit de cité dans les institutions où tout argument spirituel, même non religieux, est exclu. Tous les citoyens sont tenus de croire à la science telle qu’elle est enseignée dans les écoles, pratiquée par la médecine officielle.
Dans notre pays, la religion scientiste est religion d’état et ceux qui, malgré tout, s’obstinent à maintenir la réalité de la dimension spirituelle dans leur conscience, sont perçus comme irrationnels, rétrogrades ou auteurs/victimes de dérives sectaires. En France, avec l’arrogance des scientistes laïcistes, la vision spirituelle du monde et de l’être humain est devenue honteuse, inavouable, source de complexes. Elle a tout juste le droit d’être une sorte de loisir qui ne doit pas influencer notre manière de vivre notre quotidien et dont il est préférable de ne pas trop parler.

Pendant ce temps-là, une autre religion monothéiste traditionnellement implantée dans des parties du monde où le groupe est resté prédominant sur l’individu, a fait son chemin vers l’occident. L’islam, religion de la conquête et de la conversion du plus grand nombre, s’implante en proposant aux occidentaux « un prêt à croire et à bien faire », séduisant de nombreuses personnes qui ne voient pas le sens d’une vie basée sur l’argent et les plaisirs éphémères. Les imams, en prescrivant la conduite des fidèles et en les invitant à servir quelque chose de plus grand qu’eux, apportent une planche de salut à ceux qui sont perdus, même s’ils perpétuent une pratique courante en religion du « faites ce que je dis, mais pas ce que je fais ».

Enfin, parmi les religions bien présentes en France, on trouve aussi les courants spirituels orientaux venus d’Inde, du Tibet, du Vietnam  et autres pays d’Asie. Réincarnation, méditation, karma, swamis, gurus, ashrams, yoga font désormais partie du vocabulaire et de la culture d’un grand nombre de personnes. Même si les adeptes se défendent de pratiquer une religion, il est néanmoins toujours fait référence à un maître incarné qui montre la voie et offre la garantie de ne pas s’égarer.

Je pourrais aussi parler de la religion « anarchiste » des réseaux sociaux où l’affichage de soi-même et de ses opinions se fait  sans réserve, où les dénonciations en tous genres deviennent vérité absolue, où la publication de ses moindres faits et gestes donne sens à l’existence. Les réseaux sont devenus le sens de l’existence d’un grand nombre de leurs adeptes.

En finir avec l’obéissance à un maître extérieur, à un dogme

André MALRAUX en 1976

L’individuation est accomplie et le temps vient de construire les formes collectives d’hommes/femmes-Esprit au sein desquelles la responsabilité de chacun ne peut être déléguée, où la souveraineté de chaque être est une réalité permanente. Que l’on identifie ce nouveau paradigme à l’ère du verseau, à la cinquième dimension, à la Jérusalem céleste ou à toute autre référence, nous sommes arrivés à cette étape de construction qui requiert que les humains se souviennent qu’ils sont Esprit manifesté, détenteurs de puissance créatrice.

Visionnaire de cette étape du début du XXIème siècle, Malraux est souvent cité. Selon les cas, en vertu de cette confusion des genres dont il est question plus haut, on lui fait dire que ce siècle sera religieux, ou qu’il sera spirituel ou encore mystique. Dans une interview pour l’hebdomadaire Le Point de décembre 1975, Malraux a précisé sa perception des choses : « On m’a fait dire que le XXIe siècle sera religieux. Je n’ai jamais dit cela, bien entendu, car je n’en sais rien. Ce que je dis est plus incertain. Je n’exclus pas la possibilité d’un événement spirituel à l’échelle planétaire ». Sa conviction était profonde puisqu’il disait aussi : « Je pense que la tâche du prochain siècle, en face de la plus terrible menace qu’ait connue l’humanité, va être d’y réintégrer les dieux ». (Différentes sources dont l’article de Wikipédia consacré à l’auteur)

La révélation portée par l’apocalypse que nous vivons actuellement est sortie de tout ésotérisme, libérée de toute science occulte ou visible, elle est à la portée de chacun sans pratique ascétique ou discipline rigide. La révélation de notre véritable nature, spirituelle, est là dans notre corps de chair, offerte à notre conscience, n’attendant que notre décision de l’accueillir. Il n’est plus question de croire aveuglément ainsi que les religions ou les sciences nous y ont invités, il est question d’avoir conscience de qui nous sommes, d’avoir confiance en nous-même puisqu’Esprit nous sommes. La foi, conscience de notre réalité divine reconnue par notre JE, peut chasser les croyances mouvantes, les envies de suivre tout humain qui semble plus savant ou plus avancé que nous-mêmes.

Ce que Moïse fit pour les hébreux esclaves de Pharaon, nous avons à le faire pour nous-mêmes aujourd’hui : les tables de la loi sont dans notre corps,  le buisson ardent brûle à l’intérieur de notre cœur, la terre promise est celle sur laquelle nous vivons et où nous pouvons manifester l’Amour inconditionnel. Dès lors que nous mobilisons notre JE et que nous reconnaissons notre JE SUIS présent dans notre corps par notre âme dans nos cellules, nous nous affranchissons de toute autorité et protection extérieure, nous réalisons notre mission d’incarnation : être nous-mêmes, fidèles à notre essence subtile, créateurs joyeux de toutes les expériences que nous vivons.

La puissance pour remplacer le pouvoir

L’actualité de ces derniers mois ne cesse de mettre à jour les difficultés rencontrées par les humains avec leur sexualité. Sujet extrêmement délicat que je ressens d’évoquer ici, à l’appel de mon JE SUIS, mais que ma personnalité tend à vouloir censurer, par peur. Mais voilà que « JE » se mobilise et décide de suivre l’invitation de l’Esprit en proposant à ma personnalité de vivre l’expérience de cette communication en réalisant qu’il n’y a, en réalité, aucun danger si ce n’est celui que je crée par ma pensée me séparant de ma Source.

Homme puissant, femme amputée ?

Il existe un lien étroit entre l’énergie sexuelle et la puissance intérieure. Le langage courant en témoigne puisqu’il est question d’impuissance lorsqu’un homme a des difficultés avec son érection. Si la puissance est bien explicite pour le genre masculin, en revanche pour le genre féminin, cette dimension n’apparaît pas et même au contraire puisque notre conditionnement judéo-chrétien puis freudien, imprime dans la conscience collective que la femme serait un sous-produit de l’homme (Eve est façonnée pour Adam, à côté de lui ou de sa côte, qu’importe !), ou encore un homme dont les attributs sexuels seraient manquants puisque non visibles. D’ailleurs, en tant que petite fille, j’ai cru bien longtemps que je n’avais pas d’organe sexuel, tandis que mon frère lui était détenteur de quelque chose qui manquait chez moi. Cette croyance était d’autant plus forte que les explications maternelles sur la  procréation, directement sorties des manuels catholiques de l’époque, parlaient bien de l’utérus et des ovaires, mais jamais ô grand jamais du vagin ou du clitoris, parlaient de la fécondation mais pas des organes sexuels que la permettaient, parlaient du niveau biologique et sentimental mais surtout du plaisir qui pouvait se vivre. Je ne crois pas être une femme à part quand j’évoque cette croyance qui m’a donné du fil à retordre selon laquelle la femme serait un être amputé dont le sexe est preuve d’une blessure jamais refermée.

La logique de l’homme

Et pourtant, derrière cette apparente faiblesse de la femme amputée et désignée comme la pécheresse, l’empêcheuse de rester au paradis, se tient une véritable puissance : celle d’accueillir le sperme et de donner une descendance à l’homme. Sans la femme, l’homme est stérile, condamné à ne pas se reproduire, à ne rien laisser de semblable à lui après sa mort. L’humain mâle est dépendant de l’humain femelle pour se survivre à lui-même et cela est fort gênant, voire énervant. En toute logique les humains mâles vont donc faire en sorte de contrôler la germination de leur semence en prenant le pouvoir sur les femmes qu’ils choisissent pour procréer. Pour compenser sa sensation d’impuissance à se reproduire, certains hommes vont voir la pénétration comme un moyen de réaffirmer leur force virile, la femme possédée devant se soumettre à la domination de son partenaire sans que son consentement ne soit nécessaire. L’homme non conscient de sa puissance divine peut en arriver à user et abuser de sa force, de sa position dominante pour contraindre un être en position plus faible à avoir une relation intime avec lui. C’est ce comportement de survie animale qui est médiatisé avec tant de force ces dernières semaines.

Une illustration en avant-première
Le scandale de DSK en 2011 illustre parfaitement comment l’homme mâle persiste à ignorer sa véritable puissance. Dominique STRAUSS-KHAN en 2010 a tous les attributs du pouvoir : l’argent avec sa responsabilité au sein du Fond Monétaire International, la politique avec sa position éligible à la présidence de la république française, la famille avec une épouse riche, belle et célèbre. Cet homme est incontestablement influent et doté de possibilités d’agir selon son désir personnel en de multiples domaines. Probablement tous ces attributs du pouvoir sont-ils insuffisants pour que DSK ait conscience de sa puissance puisqu’il en arrive à contraindre une femme à avoir une relation intime avec lui. Enième tentative de sentir sa puissance, échec retentissant de sa recherche de toute puissance sur le monde par le contrôle et la possession de ce qui l’entoure, de tout ce qui l’entoure…

La logique de la femme

Séduire, séduire et encore séduire ?

De son côté la femme va vite comprendre qu’avec la sexualité et le désir qu’elle suscite chez l’homme, elle peut aisément manager les situations à son avantage, autrement dit manipuler son partenaire. Les moyens de séduire sont propres à chaque époque et à chaque culture, mais partout dans le monde, les femmes savent comment procéder pour être désirées, pour attirer l’homme fort près d’elles.
Pourtant, un peu partout dans le monde, la femme a longtemps été éduquée à ne pas sentir son propre désir et à ne pas avoir de plaisir dans sa sexualité. Une femme qui aime les relations sexuelles, qui assume son désir est encore aujourd’hui dévalorisée, source de moqueries et de désapprobation, perçue comme vulgaire : il est de bon ton que la femme se fasse désirer et de très mauvais goût qu’elle soit désirante.

Chez la femme non consciente de sa puissance, l’envie de séduire pour attirer l’homme et obtenir de lui des bénéfices s’oppose au souhait de préserver son intégrité physique, de garder à son corps sa noblesse en ne devenant pas un objet sexuel pour l’homme. La manœuvre est paradoxale et subtile puisqu’elle consiste à attirer l’homme au plus près, en lui faisant espérer de l’intimité afin qu’il s’attendrisse au point de devenir prêt à donner à la femme ce qu’elle attend, mais sans aller jusqu’à la relation sexuelle. Exercice d’acrobatie qui mobilise les techniques de séduction bien éprouvées telles que tenues vestimentaires sexy, parfums, maquillage, bijoux, etc. tout en jurant ses grands dieux que ce n’est pas pour plaire à quelqu’un d’autre que soi-même, et préservation de son intimité. A force de jouer avec le feu, il arrive qu’on se brûle… En matière de relations hommes/femmes, pour ne pas se blesser il est nécessaire d’avoir en conscience les codes sociaux, explicites et parfois implicites qui régissent les coutumes, quand bien même la femme souhaite que ces codes évoluent et même disparaissent.

Lorsque les femmes témoignent aujourd’hui des agressions sexuelles dont elles ont été l’objet, elles disent leur vérité, leur incontestable vérité. En se positionnant en victimes dénonçant publiquement des hommes qui les ont persécutées sexuellement, elles deviennent à leur tour des persécutrices en situation de prise de pouvoir sur leur prédateur, et demandent aux médias et au public d’être leurs sauveteurs. Ce mouvement de balancier maintient les protagonistes dans l’énergie victime/coupable, sans que jamais la conscience de la co-création de la situation ne soit mise en lumière. Je ne crois pas que cette prise de pouvoir des femmes, soit de nature à guérir les blessures ressenties. Rester dans ce triangle dramatique de victime-sauveur-persécuteur revient à rester en enfer, dans l’enfermement de la non conscience de la puissance divine et créatrice qui réside en chacun d’entre nous. Faire la guerre pour arrêter la guerre est une stratégie de survie inhérente à l’amnésie de la nature humaine et du sens de l’existence humaine sur la terre.

Un témoignage personnel
Mes peurs ont longtemps été très actives dans ma relation au corps en général et à la sexualité en particulier. Je n’ai pas appris à connaître cette énergie qui envahit l’être humain, j’ai plutôt appris par allusion et rappel de la morale catholique qu’il était mal d’y céder. J’ai interdit mon désir et mon plaisir avant de le libérer plus tard, bien plus tard. J’ai dit oui à des relations sexuelles par peur de perdre le partenaire qui était à mes côtés et dont j’espérais l’amour que je ne savais pas me donner. J’ai voulu séduire, allant parfois jusqu’à me trahir pour tenter de ressembler à ce que je croyais que l’autre aimait : je m’abusais moi-même et malgré moi, j’encourageais l’autre à abuser de moi.
Le cœur sensible au sentiment amoureux, je suis fragile dès que la perspective d’être aimée d’un autre humain se présente, dès que la possibilité d’être déchargée de ma responsabilité de me reconnaître se profile. Ma souveraineté est alors remise en cause, le maître que je sais pourtant être peut aisément redevenir un esclave. La sexualité est pour moi un facteur d’apprentissage, tout comme le sont aussi l’alimentation et l’argent, tous trois indicateurs de mon degré de pacification avec l’incarnation.
J’ai été formatée pour être une Eve à côté de l’homme. C’est ainsi que JE et mon âme ont considéré que je révèlerais le mieux par mes choix propres successifs, Lilith, la femme libre et consciente de sa puissance, celle qui ne se soumet pas pour avoir des miettes d’amour, celle qui est bien décidée à vivre pleinement sa souveraineté.

La puissance divine est en chacun

La lutte de pouvoir entre les genres humains a via la sexualité un terrain d’exercice, véritable champ de bataille dont il est question de sortir enfin, dans cette apocalypse d’aujourd’hui. L’énergie sexuelle n’est évidemment pas le seul facteur qui a installé la domination masculine dans notre histoire, mais cette énergie des profondeurs, cette force intime, est si essentielle que c’est celle qui émerge aujourd’hui dans la conscience collective de l’humanité et qui nous guide vers la prise en compte de notre puissance intérieure et, par conséquent, l’abandon des stratégies de survie issues de la croyance de notre coupure d’avec la Source, l’Amour principe créateur.

Tant que la puissance intérieure, divine, est ignorée, l’être humain cherche insatiablement à se rassurer par la preuve de son pouvoir sur tout ce qui l’entoure. Quête jamais satisfaite puisqu’il restera toujours des éléments échappant au contrôle. Ce n’est qu’en retournant son attention vers l’intérieur de soi que l’être humain, masculin ou féminin, rencontre sa puissance et trouve enfin la sécurité, l’inspiration de son JE SUIS pour conduire son existence terrestre.

Apocalypse now

L’apocalypse, c’est maintenant. C’est maintenant que nous avons la possibilité de regarder la vérité de notre nature spirituelle manifestée par la planète et l’humanité que nous formons. C’est maintenant que s’impose la nécessité de changer l’organisation des humains dans le monde. C’est maintenant que se révèlent les prémisses d’une humanité composée d’être souverains, responsables d’eux-mêmes, guidés par la joie, conscients d’être là pour participer activement à la spiritualisation de l’espèce et de la planète qui lui a été prêtée. C’est maintenant qu’il s’agit d’en finir avec les esclavages de toutes sortes en devenant le créateur conscient de notre réalité. C’est maintenant et tels que nous sommes aujourd’hui, que nous pouvons entrer dans la Jérusalem céleste munis de notre « JE », sceptre de notre souveraineté suprême et incontestable.

Nous n’avons nul besoin de nous développer davantage, d’apprendre plus, de lire encore les auteurs qui savent, de nous former pour nous perfectionner, de pratiquer des disciplines, nous sommes déjà ce que NOUS SOMMES, il n’y a qu’à le reconnaître. Une simple décision suffit : nous souvenir de qui nous sommes. Cette décision revient à ouvrir notre conscience à la guidance de notre JE SUIS, à être l’ambassadeur joyeux du pays de l’Esprit, à être d’accord avec nous-même, à considérer notre corps et notre personnalité absolument parfaits tels qu’ils sont aujourd’hui pour accomplir le dessein de JE SUIS.

L’Unité entre notre nature spirituelle et sa manifestation humaine sur la Terre est possible et nécessaire. L’apocalypse peut se faire sans douleur dès lors que nous ne résistons pas au mouvement de fond qui soulève notre conscience, dès lors que nous disons pleinement oui à notre volonté divine d’être là aujourd’hui pour contribuer à l’avènement de l’Amour sur la terre.

33 commentaires sur Notre conscience : la clé pour l’apocalypse

Un regard sur l’actualité

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Une lecture au-delà des opinions et des ressentis

Puisque le penchant pour l’écriture m’est revenu, je reviens à la page blanche aujourd’hui pour témoigner de ma vision de quelques événements de notre monde. Le premier métier que j’ai exercé est le journalisme et je retrouve là dans cet élan à mettre en partage ma lecture des événements du monde, un goût pour l’actualité qui m’avait quitté. Durant ces dix dernières années, je sentais que mon âme m’éloignait des média et de ce qu’ils transmettent, me préservant ainsi des réactions émotionnelles que les phénomènes de société provoquaient en moi. Il faut dire que mes séjours répétés dans le désert me mettaient à l’abri du brouhaha des informations.

Aujourd’hui, si je recommence à m’informer, c’est à l’invitation de mon âme qui me demande d’être encore plus dans ce monde afin de contribuer autant que je le peux, à ma manière, à l’avènement d’une conscience plus élevée dans l’humanité. Durant ces dix années, les modalités de circulation de l’info ont beaucoup changé. Les sacro-saints journaux télévisés sont désormais menacés par le flot ininterrompu des publications sur les réseaux sociaux que je m’obstine à ne pas fréquenter. Avec le regard sur l’actualité ci-dessous, je tente de prendre le contrepied de cette information instantanée et permanente en offrant une lecture de l’actualité distanciée, prenant en compte la globalité de ce que nous sommes, prenant en compte notre réalité spirituelle.

Dans cet article, je choisis de donner ma lecture de quelques situations ou événements récents ou en cours. Mon choix est totalement subjectif, basé sur mon ressenti et la lecture que j’en fais l’est tout autant, inspirée par mon JE SUIS via mon âme. S’il vous plaît d’apporter votre lecture personnelle de ces situations, vous êtes invités à le faire dans la partie commentaire. La diversité de nos points de vue individuels nous fait toucher l’universel, construire la Vérité…

En préambule : le tressage de trois niveaux de lecture

3 réalités qui se combinent

Pour moi, les événements qui se vivent dans le visible sont des éléments qui constituent un tableau de bord de ce qui se déroule sur un plan énergétique et spirituel. Pour toute situation que je vis, je sais que la conscience que j’en ai n’est pleine qui si et seulement si je tresse les trois réalités qui composent l’expérience :

  1. La réalité visible des faits, de l’observable qui est en résonance avec la densité, avec le corps physique.
  2. La réalité du vécu intérieur, psychologique, qui touche ma personnalité avec sont lot d’émotions, de sentiments, de pensées, d’opinions, de jugements, d’identifications, etc.
  3. La réalité non visible, occulte, liée à ma nature spirituelle, qui parle de l’âme façonnée par mon JE SUIS pour l’incarnation et qui contient le sens profond et sacré de tout ce que je vis.

Prendre le risque d’un retournement de nos perceptions

Il est à noter que ces trois réalités complémentaires peuvent parfois se contredire dans l’apparence. Il peut arriver en effet, qu’une situation vécue douloureusement au plan physique ou psychologique soit une magnifique opportunité mise en place par le JE SUIS et l’âme pour l’élévation de la conscience. C’est souvent le cas pour les maladies ou les situations d’émotions inconfortables.

A l’inverse, certains de nos choix « psychologiquement économiques à court terme » pour notre personnalité peuvent provoquer une souffrance pour notre âme. C’est le cas par exemple lorsque nous faisons le choix de miser sur l’approbation immédiate d’autrui au détriment de la priorité que notre âme nous invite à nous accorder en permanence.

La prise en compte de la réalité spirituelle des expériences vécues provoque parfois un retournement de nos perceptions. Retournement semblable à l’avertissement de St Paul dans la première épître aux Corinthiens « La sagesse de ce monde est folie devant Dieu ; car il est écrit « je prendrai les sages dans leurs ruses. » Et encore : « Le Seigneur connaît les pensées des sages, il sait qu’elles sont vaines. » (III-19-20)

Sortir de la vision manichéenne

La lecture des trois réalités simultanées et de leur combinaison permet d’avoir une vision globale, dynamique et élevée des expériences, sans déni de la réalité tangible, sans enfermement dans les rôles visibles en se souvenant que toujours, nous sommes invités par l’Esprit à nager dans le mouvement de la vie. Elle requiert d’accepter de regarder toute situation sans rester au niveau du « j’aime, je n’aime pas », du « raison ou tort », du « bien ou mal », du « bon ou mauvais », du « vrai ou faux » qui est notre premier mouvement, humain, quasi instinctif. Nos évaluations et jugements existent, ils sont inhérents à notre personnalité. Il est question ici, tout en les observant et les reconnaissant de ne pas s’y laisser enfermer, de dépasser les étiquettes que nous collons en permanence pour adopter un point de vue plus élevé et global, une conscience qui inclut la dimension spirituelle de chaque expérience et libère de l’instinct dualiste, manichéen.

De l’individuel au collectif

Il me semble que ce qui est vrai pour les expériences individuelles est aussi vrai pour les événements collectifs, pour tout ce qui touche un groupe, un pays, la population mondiale dans son ensemble. J’ai la sensation que depuis quelques temps, notre tableau de bord commun est rempli d’informations directement venues de notre nature spirituelle et qu’il est important que nous partagions notre lecture occulte des événements qui émaillent l’actualité. Gageons que le « tressage » des trois niveaux de lecture nous conduira à être « très sages », aux yeux de l’Esprit, bien évidemment.

La mort d’une idole, l’amour qui rassemble

Pour commencer cette revue d’actualité, je choisis de revenir sur l’événement national français que fut la cérémonie religieuse organisée pour la mort de Johnny Hallyday, le 9 décembre 2017.

Dans le visible, il s’agit de la mort d’un chanteur de variétés dont les nombreux succès ont accompagné plusieurs générations durant plus de 50 ans. Au niveau du vécu personnel, chacun aura ressenti de la peine, de l’indifférence, voire du soulagement, selon son affinité avec le style et l’œuvre de Johnny.

Johnny, vecteur de rassemblement

L’immense rassemblement visible qui s’est formé à Paris, l’incroyable réunion qui a eu lieu sur l’ensemble du territoire via la télévision, à l’occasion des obsèques me semble être la manifestation d’une vague d’amour qui dépasse le fait qui la suscite.  Au niveau occulte, il m’apparaît en effet que cet événement a été aussi la conséquence d’un souffle de l’Esprit invitant les humains d’une part à enterrer les idoles et d’autre part à se rassembler pour aimer. Au-delà de l’être qui a provoqué le rassemblement et qui nous rappelle par sa mort qu’aucun humain ne peut faire l’objet d’un culte, j’ai vu le fruit de l’invitation du monde spirituel qui vit avec nous, humains, l’évolution de notre conscience et de la planète.

Certes, il y a encore bien des pas à faire pour que cet amour d’un jour s’écrive Amour, passe de l’affection émue à l’Amour inconditionnel, christique, mais ce rassemblement qui abolissait les clivages le temps d’une journée, était une étape, un peu de lumière avant l’arrivée de l’hiver.

Des vaccins pour la conscience ?

En abordant le sujet des vaccins ici, je sais que je peux provoquer des réactions fortes. En effet, je me propose de dire publiquement, à haute voix, ma compréhension de l’obligation d’inoculer onze vaccins aux enfants, sous peine de ne pas pouvoir intégrer une structure collective.

11 vaccins obligatoires en France

En premier niveau de lecture, le corps. Le fait d’inoculer un produit chimique dans le corps humain a forcément des conséquences. En l’occurrence, d’aucuns y verront moult dommages, tandis que d’autres ne verront que les avantages. Mon bon sens m’a toujours fait considérer que rendre malade un bébé en bonne santé en le vaccinant était une bizarrerie, mais je peux entendre les arguments que la science matérialiste, cohérente avec sa vision de l’individu fait de matière, déploie pour expliquer les bienfaits du procédé.

En second lieu, le niveau du vécu intérieur, il me semble bien que les vaccins et leur obligation ont une conséquence immédiate sur la personnalité des humains concernés : le libre arbitre individuel est touché. C’est donc ici la question de l’obligation qui me semble centrale, la vaccination n’étant qu’un moyen pour faire l’expérience de l’obligation faite aux personnes et à leur corps. La libre disposition de son corps par l’individu est entravée. Au nom du bien commun décidé par quelques uns, la personne est touchée dans son intégrité, son JE, organe de décision pour son existence terrestre est contesté, affaibli, soumis. L’argument de la peur est brandi, la culpabilisation est utilisée pour faire céder les résistances à l’obéissance et la menace d’exclusion des structures collectives vient verrouiller le tout. L’autorité extérieure, en l’occurrence celle de l’état, l’emporte sur la souveraineté individuelle.

Pour le troisième niveau de lecture, celui de l’âme, de l’Esprit, on peut se demander ce que cette situation vient apporter. Quelle est la sagesse du point de vue de l’Esprit, dans cette situation « folle » d’un point de vue humain ? En effet, pour la personne qui se reconnaît homme/femme-Esprit, l’obligation vaccinale semble être une régression, un recul. En regardant les choses depuis mon âme, je peux au contraire voir un progrès, une marche sur l’escalier de notre évolution. En effet, je vois l’obligation portée par cette loi comme une invitation donnée à chacun de se positionner en objecteur de conscience, comme le faisaient autrefois les jeunes hommes qui ne voulaient pas effectuer leur service militaire obligatoire. De la même manière, nos JE SUIS nous invitent à arguer de notre conscience d’homme/femme-Esprit pour prendre position face à l’obligation des onze vaccins. Voilà une opportunité pour se positionner dans sa souveraineté de créateur sans être victime de l’état, parent de substitution.

Si les arguments sont donnés au niveau du corps physique, le débat est sans fin car opposants et défenseurs se battent comme de beaux diables à partir de visions de l’homme radicalement opposées.
Si les arguments sont déployés à partir de la personnalité, les affects et émotions l’emportent, tout débat portant sur les valeurs avec lesquelles chacun conduit sa vie étant parfaitement insoluble, ne conduisant qu’à des rapports de force.

Exercer sa conscience

Il ne reste donc, selon moi, que la voie de la conscience de qui nous sommes pour objecter de l’impossibilité de vacciner un bébé. Certains, abrités par une religion ou une secte reconnue, refusent les transplantations d’organes par éthique, au nom de la conscience qu’ils ont d’eux-mêmes. Là, il s’agit de se positionner individuellement, en son propre nom, en s’appuyant sur la conscience que nous avons de la constitution de l’être humain qui n’est pas seulement composé de matière. Le code civil français a intégré la notion du « libre consentement éclairé » pour réguler la relation entre le médecin et le patient. Dans cette situation, le médecin n’agit pas seulement en son nom propre dans la mesure où il met en œuvre une décision de l’état. Cela n’empêche en rien le citoyen d’exercer sa liberté de conscience, voire de refuser son consentement s’il le désire.

Ultérieurement, pourra émerger un éventuel mouvement plus collectif, venu de l’addition des postures personnelles. Avec la conscience actuelle de l’humanité, toute organisation, toute structure collective instituée fait chuter le niveau vibratoire et le nivellement par le bas emporte tous les membres du collectif, y compris les plus vaillants d’entre nous. Le « JE SUIS » de chacun veut vivre en toute personne et l’abri dans quelque groupe que ce soit ne me semble plus possible. La dimension collective a bien lieu d’être mais doit naître d’individus affirmés, souverains, maîtres de leur vie.

L’obligation vaccinale française me paraît être un des moyens à notre disposition pour nous conduire à l’exercice de notre liberté, de notre souveraineté. Nous pouvons d’ores et déjà nous saisir de cette opportunité car il y aura bien d’autres tentatives de la pensée dominante « d’améliorer la condition humaine » par les sciences et techniques. J’aborderai ce sujet un peu bas dans cet article en évoquant la poussée actuelle des forces ahrimaniennes qui inspirent le transhumanisme.

Le cas Donald TRUMP

Incontournables dans l’actualité depuis plus d’un an, les déclarations et prises de position du président des États-Unis, Donald TRUMP. La relation avec la Corée du Nord et son dirigeant, le mur de séparation avec le Mexique, le choix de mettre l’ambassade américaine à Jérusalem, le dénigrement de certains pays et de l’Islam, le comportement du président américain avec les femmes, sa manière de communiquer sans recul par le média de Twitter et bien d’autres sujets encore, sont autant de sources d’agacement, d’inquiétude, d’amusement selon les cas, mais surtout d’interrogation.

Trump, le miroir du pitre que nous sommes

Qu’en est-il du point de vue de l’Esprit ? La lecture que je propose ici, une des lectures possibles, est celle d’un TRUMP mettant en évidence l’état de la conscience globale des humains. Selon ma perception, Donald TRUMP nous montre chaque jour les grandes tendances de notre personnalité, les instincts qui se présentent à nous dès lors que nous ne reconnaissons pas le sens de notre existence, dès lors que nous n’avons pas la souvenir de notre JE SUIS. Cet homme pousse la non-conscience de la nature spirituelle de la terre et de ses habitants à son paroxysme, il nous offre un miroir grossissant de nos propres comportements, des conséquences de la domination de notre « JE » par la personnalité. D’une certaine manière, je peux dire que, collectivement, par notre amnésie de qui nous sommes et notre inconscience, nous avons créé le personnage de TRUMP.

Ces derniers jours, le président américain a fait tester sa santé mentale pour mettre fin aux accusations de folie dont il est l’objet. Une fois de plus dans une telle situation, le test a porté sur les capacités cognitives de la personne dont on ne peut absolument pas douter, et non pas sur sa capacité à gérer ses émotions et ses sentiments qui, pour moi, constituent la véritable interrogation, comme c’est d’ailleurs la cas pour grand nombre de leaders politiques mondiaux. Folie aux yeux des hommes ? Sagesse de l’Esprit qui nous montre dans un miroir grossissant incontournable nos peurs, nos intolérances, nos désirs de possessions et de domination d’autrui, nos calculs, nos instincts animaux qui font barrage à notre Intuition sacrée.

Si nous désirons agir sur l’amnésie et l’inconscience, nous pouvons agir. Non pas en manifestant contre TRUMP, non pas en dénonçant ses positions, ce qui reviendrait à alimenter sur le plan subtil, astral, ce comportement étonnant que nous avons observé et commenté depuis un an. Non, notre action une fois de plus est avec nous-mêmes. Chaque fois que TRUMP ou un autre d’ailleurs, prend une position qui nous fait réagir, crée une émotion en nous, nous sommes simplement en face d’un aspect de nous dérangeant et que nous voulons tenir éloigné de notre conscience parce que ne correspondant pas à l’idéal que nous avons dessiné de nous-même. TRUMP nous invite à cette confrontation avec nous, à notre vérité personnelle. Nous avons besoin que TRUMP soit un pitre, un triste sire pour voir voir le pitre et le triste sire que nous sommes dans notre face cachée. En ayant le courage d’aller à la rencontre de notre pitre, de notre pire noirceur, sans juger, sans accuser, sans même désapprouver, nous agissons pour l’élévation de notre conscience, nous contribuons à l’élévation de la fréquence vibratoire de l’ensemble de l’Humanité.

Des forces ahrimaniennes et lucifériennes en pleine action

Lucifer et Ahriman, groupe sculpté dans le bois par R. STEINER

Il y a un siècle, Rudolf STEINER nous a transmis par ses conférences et ses écrits, des informations très précises sur les possibles évolutions de l’humanité sur la Terre et sur les forces qui sont en action et influencent nos choix, nos comportements. Un des aspects de son enseignement qui me touche profondément concerne l’invitation faite à l’humanité de faire vivre le Christ, conscience solaire, Amour absolu, sur la terre en s’aidant du positionnement à adopter face Lucifer et Ahriman, les deux aspects de ce qui est communément appelé le diable et que j’appelle « les forces qui s’opposent à l’Amour ». Selon ce que je perçois, ces forces sont à la fois inhérentes à la nature dualiste de la création et créées/alimentées par nos émissions subtiles, nos rayonnements non conscients.

J’aime reprendre la terminologie de Steiner et comme lui, désigner « forces lucifériennes », celle qui exercent sur nous la tentation de nous désincarner, de nous voir pur esprit sans matière, et « forces ahrimaniennes » celles qui nous densifient, nous pressent de ne voir que la matière, de nier l’Esprit, de nous arrêter au seul plan dense et visible.

Ahriman dans notre quotidien

Tentés par ces deux forces, exactement comme Jésus fut tenté dans le désert après son baptême, nous sommes aujourd’hui particulièrement confrontés aux forces ahrimaniennes. Le « tout économique », l’être humain uniquement vu dans sa matière et ses réactions chimiques, la fausse laïcité qui impose une nouvelle religion de la science officielle et des techniques, sont des manifestations des ces forces. Si le projet de Lucifer est de nous faire snober la matière, celui d’Ahriman est de nous rendre éternels dans la matière sans plus avoir d’âme.

Début janvier, j’ai vu une interview de Frédéric BEIGBEDER, écrivain people et fêtard, au sujet de la sortie de son livre « Une vie sans fin », où il narre sa quête d’immortalité, sa recherche d’éviter la mort à tous prix. En l’entendant et en entendant les journalistes dialoguer avec lui, j’ai pris conscience brutalement du pas qui se franchit actuellement dans la mise en œuvre du projet implacable des forces ahrimaniennes. Avec les propos enjoués de Beigbeder et de ses complices des média, je ne faisais que commencer à comprendre l’importance du mouvement nommé « transhumanisme ». Pour les plus téméraires d’entre vous, une visite du site de l’association française de transhumanisme pourra faire l’effet d’un saut à l’élastique ou du visionnage d’un film d’Alfred Hitchcock.

J’avais déjà bien noté la pente dangereuse de ma dépendance aux technologies et à l’énergie qui leur est nécessaire, j’avais entendu parler bien-sûr de l’homme augmenté, de l’intelligence artificielle, des puces qui pourraient être greffées pour de multiples services (asservissements), j’avais déjà mis en garde tous ceux qui voulaient m’entendre sur les effets incroyablement nocifs de Facebook et des autres réseaux sociaux, j’avais vu avec effroi Meryl STREEP dans le film « The giver » en sentant confusément que nous n’étions plus si loin de ce désir économique d’éradiquer toutes les incontrôlables émotions. Oui, j’avais l’intuition que l’homme chimique et mécanique et son intelligence rationnelle, corticale était en train de prendre le pouvoir sur le monde, mais là, tout à coup, j’étais en face de d’une parole qui disait ouvertement chercher à « ralentir le vieillissement humain, et pourquoi pas, à terme, le stopper complètement, voire le rendre réversible » et continuait en affirmant que « mourir doit devenir un choix (une possibilité pour ceux qui le souhaitent), et non plus une contrainte. » (Citation du site de l’association française de transhumanisme, onglet Immortalité ?)

Dans ses transmissions, Rudolf STEINER a évoqué l’incarnation en un être humain sur la Terre de l’entité Ahriman. Chacun d’entre nous peut déjà voir en certains êtres très influents sur l’humanité des aspects de cette puissance, qu’ils se nomment « montagne de sucre » (Zuckerberg), Hugh GRANT (PDG de Monsanto) ou Bill GATES. Si ce n’est déjà fait, ce processus de manifestation concrète, visible de la puissance ahrimanienne que nous créons et alimentons par le refus de vivre notre nature spirituelle, est bien en route.

Lucifer nous donne la main

Inévitablement, en parallèle du pilonnage des forces ahrimaniennes, nous captons aussi les influences des présences lucifériennes. L’indéfinissable mouvement « new age », apparu il y a une cinquantaine d’années, a sans aucun doute été un vecteur de manifestation de ces forces qui éthérisent, invitent à positiver à tout prix, invoquent un amour « bisounours puisque tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil », proposent de se réfugier dans des vies antérieures pour comprendre le présent, évoquent l’ère du verseau, etc.

Les religions quelles qu’elles soient ne font rien d’autre non plus que de nous inviter à miser sur un monde futur, meilleur, où le corps et la personnalité n’existent plus, où l’homme en a fini avec l’existence terrestre et où le père accueille les enfants qui ont fini de s’égarer après les avoir jugés.

Grâce à ces forces lucifériennes qui envahissent la conscience de bon nombre d’entre nous qui cherchons à nous souvenir de qui nous sommes vraiment, un contrepoids s’établit face à l’omniprésence d’Ahriman. Nos pensées sont colorées par un discours spiritualiste, angélisées par des méditations qui nous font quitter momentanément le réel, contribuant à forger une image d’un monde meilleur où l’individu s’est dissous dans un amour indifférencié.

La conscience de soi, la conscience de JE SUIS

Je me souviens de qui JE SUIS

La présence influente des puissances Lucifériennes et Ahrimaniennes n’est opérante qu’avec l’assentiment des créateurs que nous sommes, qu’avec l’aval de nos JE. Si nous cessons de diaboliser le diable et que nous le regardons dans sa fonction utile, alors nous pouvons le voir pour ce qu’il est : un séparateur de l’Esprit et de la matière qui nous invite à l’unification, un diviseur du créateur et de sa création qui nous invite à reconnaître notre puissance créatrice illimitée, un tentateur qui nous fait croire que notre dimension humaine serait notre seule réalité et qui nous pousse à accorder du crédit au ressenti de la présence de l’Esprit dans nos cellules.

Oui, nous avons le choix aujourd’hui de vivre en fonction de notre représentation du monde et de l’être humain :

  • ne voir que notre densité dans sa formule chimique, ne considérer que l’intelligence corticale rationnelle, voir nos ressources uniquement dans ce que les hommes puisent dans la matière ou produisent
  • en complément du réel densifié et de la dimension humaine, se souvenir que nous sommes Esprit manifesté, que nous avons accès à une source infinie de vie, de santé, de guérison, d’intelligence, de connaissance et que nous avons désiré ardemment être présents sur la terre et dans l’humanité en cette période

Savoir qui nous sommes est une chose, vivre en fonction de cette conscience en est une autre. Nous sommes bien nombreux à savoir que nous sommes esprit manifesté, mais bien peu d’entre nous a le courage de faire ses choix de chaque instant dans cette conscience.

Il est d’usage de dire que l’angoisse fondamentale de l’être humain puise son origine dans le fait de savoir que nous allons mourir. Tous les psys, « experts » en personnalité, que les médias invitent désormais le disent. Cette thèse est probablement justifiée dès lors que la représentation de l’existence humaine commence avec la naissance et se termine par la mort. Or, il me semble bien qu’en écoutant mon ressenti profond, je perçois plus d’angoisse à vivre qu’à la perspective de mourir. Vivre dans la conscience de ma propre décision d’être là, dans la conscience de ce que JE SUIS se propose de faire en venant sur Terre dans l’humanité, vivre dans la conscience d’avoir à gérer les conséquences de tous mes choix, actes et émissions subtiles, vivre ainsi donne la mesure de la responsabilité qui m’incombe. Une responsabilité qui peut me paraître bien lourde, et comparativement la fin de l’existence assez attirante. Et pourtant, cette responsabilité m’enthousiasme, me rend joyeuse dès que je me hisse sur ma fréquence de femme-Esprit et c’est chaque jour le choix que je fais.

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Une année 2018 pour bouger

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Bonjour à toutes et à tous et meilleurs vœux

Le mat du tarot Zen d’Osho

Comme le veut la coutume, je viens en ce début d’année vous offrir mes meilleurs vœux pour les douze mois de l’année 2018 qui vient de commencer. Je vous souhaite de vous souvenir chaque jour de qui vous êtes de toute éternité, d’être le plus possible fidèle à votre JE SUIS dans vos choix quotidiens, dans vos comportements. Je vous souhaite de rayonner votre Moi Divin parmi les humains, de féconder la conscience de l’Humanité de l’Esprit que vous êtes.

J’ai perçu dans les dernières semaines de l’année 2017 une invitation pressante à prendre conscience des bagages pesants qui étaient à déposer ou à transformer afin de commencer 2018 d’un pied alerte et innocent, tel le mat du tarot, appelé aussi le fou.

Petits ajustements en faveur de l’alignement, positionnements de maître à prendre, comportements d’enfant blessé à guérir, ont égayé le mois de décembre qui vient de se terminer. Alors, je nous invite en 2018 à être « fous » aux yeux des hommes pour que notre sagesse, celle vue par le monde spirituel, vive cette année plus que jamais.

Des vents de changement

A l’image des vents forts qui ont soufflé ces dernières semaines, l’Esprit souffle sur la Terre et dans le creux de l’oreille des humains. Je ressens souvent un fond de colère en moi lorsque je vois l’état de conscience de l’humanité : la dimension économique est toujours majoritairement au centre des préoccupations, la science matérialiste est devenue en France, sous couvert de laïcité,  une religion d’état, la planète est défigurée, pillée et saccagée sans scrupules, les chercheurs de lumière sont encore en proie à la peur du bannissement de leur famille humaine, sociale ou professionnelle.

Un goéland pour évoquer Jonathan Livingstone banni de son clan

Parallèlement à ce constat accablant, je perçois une poussée du monde spirituel absolument merveilleuse, je constate que la communication de conscience à conscience est de plus en plus à notre portée, nous affranchissant des technologies dont nous pourrions être esclaves, je rencontre des personnes qui aspirent à vivre concrètement au quotidien la réalité de l’homme/femme-Esprit, je suis émerveillée des synchronicités qui mettent le sens ses situations vécues en évidence. Je ne cite là que quelques trésors qui ornent notre quotidien ; en réalité ils sont innombrables.

Depuis plus de dix ans, je communique fluidement avec mon Moi Divin et par conséquent avec les êtres subtils qui accompagnent la Terre et l’Humanité dans leur évolution conjointe. Depuis plus de dix ans, j’entends invariablement la même information : il suffit que 2 à 3% des humains vivent l’unité dans leur quotidien, vivent la cohérence entre leur nature divine et sa manifestation humaine, accordent leurs actes et leurs choix à leur nature spirituelle pour que le basculement de la conscience globale ait lieu. Un effet de seuil se produira alors et tout naturellement la pensée dominante d’aujourd’hui, coupée de la Source, pourra s’évanouir au profit d’une conscience de l’immortalité de l’âme, de l’Amour Principe Créateur présent en chacun, du sens sacré de l’existence terrestre.

J’appelle ce basculement de tous mes vœux et comme je sais, depuis que Gandhi l’a exprimé, que je dois « être le changement que je veux pour le monde », je m’emploie à cultiver ma cohérence de femme-Esprit, d’être Divin manifesté en humaine dans la densité. Je m’emploie à veiller à laisser mon champ de conscience suffisamment vide, disponible, pour y accueillir la guidance de mon JE SUIS, l’intuition venue de l’Esprit. Il me faut alors chaque fois laisser de côté ce que je sais de mes apprentissages humains et de mes lectures, sortir de la seule apparence dense de ce qui m’entoure, me souvenir de qui je suis. Alors là, seulement là, le miracle se produit et je dispose de l’information globale, de la compréhension  qui restait non visible tant que je faisais appel à mes ressources humaines, à ma rationalité, à l’acquis de cette incarnation.

Renoncer aux rôles, aux identifications

Je constate aussi combien être femme-Esprit unifiée requiert de renoncer aux rôles, fonctions, costumes qui ont constitué mon identité, qui m’ont permis d’occuper une place reconnaissable dans le monde. Chaque rôle que je tente de garder, croyant qu’il n’est pas nécessaire ou possible de m’en défaire, me donne à vivre l’expérience du détachement. Pour illustrer mon propos, je témoigne ici  de l’expérience que je vis au niveau familial, qui n’est qu’un exemple parmi tant d’autres dans le catalogue des rôles et fonctions que nous avons tous pris pour exister dans le monde.

Giotto – Saint François se dénude et rend ses vêtements à son père humain

Durant plus de vingt ans, je me suis abondamment identifiée à la fonction de mère que j’ai occupée auprès des deux enfants dont le JE SUIS a choisi  de se manifester sur la Terre par mon intermédiaire. En bons maîtres pour moi par leur comportement et leurs choix de vie, ils m’apprennent que, devenus adultes et ayant à leur tour un rôle de père, ils n’ont plus besoin d’une mère. La distance géographique, la rareté des conversations m’avaient fait croire à la réalité profonde de ce détachement visible. C’était sans compter avec les liens affectifs non visibles qui subsistaient et que ma conscience ignorait ou refoulait. Les circonstances font qu’aujourd’hui, malgré les liens indéfectibles qui m’unissent à ces deux êtres, les relations sont devenues quasi impossibles Je peux voir en effet, à la peine et la colère que j’éprouve parfois de cette réalité, ce qui me restait d’attachement à ce costume de maman. Lorsque j’élève ma vision et capte le point de vue de l’Esprit,  je vois clairement toute la pertinence, toute la richesse de cette situation humainement rugueuse. Je la mets alors en lien avec cet enseignement de Jésus dans Matthieu (19-29) : « Et quiconque aura quitté, à cause de mon nom, ses frères, ou ses sœurs, ou son père, ou sa mère, ou sa femme, ou ses enfants, ou ses terres, ou ses maisons, recevra le centuple, et héritera la vie éternelle. » Au nom de l’Esprit, du Christ, je suis poussée à quitter mes rôles, mes costumes, mes affects pour être ce que JE SUIS, nue comme François d’Assise affirme qu’il va nu à la rencontre du Seigneur, allant jusqu’à rendre, sur la place publique, ses vêtements à son père humain.

Confronter mes peurs

A ceux que j’ai rencontrés depuis que j’ai fait le choix de la sédentarisation, j’ai souvent témoigné de la similitude de mon environnement actuel avec celui de mon enfance. Cette similitude a occasionné un inventaire du bagage émotionnel, constitué par nécessité karmique, depuis ma naissance et que je porte vaillamment dans cette existence. Pour apprendre l’Amour, je me suis donné à vivre son opposé :  la peur.

Aujourd’hui, je veux partager avec vous deux peurs essentielles qui sont encore bien présentes en moi et génèrent des comportements qui s’avèrent ensuite insatisfaisants. Le fait de témoigner de ces peurs est une manière de les confronter, de les assumer et de m’en sentir le maître. Et puis peut-être que pour certains d’entre vous, il pourra y avoir résonance !

La peur de ne pas faire assez

La première peur dont j’ai pris conscience ces deux dernières années est la peur de ne pas faire assez. Formatée à faire toujours des efforts, à chercher le dépassement de moi, éduquée dans la croyance que je ne serai pas satisfaisante, j’ai acquis la certitude que je ne fais pas assez et par conséquent, tenté de corriger cette « erreur » en en faisant toujours trop. Vous pouvez mieux comprendre maintenant ma propension à écrire des lettres un peu longues !

Je suis donc en apprentissage du juste dosage de mon action, non pas à partir d’une norme extérieure qui d’ailleurs n’existe pas, mais à partir de mon ressenti, de la joie que je ressens à agir, de la sensation que j’atteins un palier satisfaisant dans ce que j’entreprends.

La peur de mal faire

Ces jours-ci, j’ai pris la décision de recommencer l’écriture et la diffusion de mes témoignages. Cette lettre de début janvier 2018 est le fruit de cette décision née de l’échange que j’ai eu avec deux visiteuses venues me rencontrer à l’Oliverie en décembre. Grâce à cet échange avec Sylvie et Antoinette, j’ai vu comment je me restreignais depuis plusieurs mois d’écrire un article à publier de peur de ne pas faire ce que mon JE SUIS m’invite à faire. J’ai parlé plus haut du nécessaire détachement des rôles et fonctions. Craignant de ré-endosser le costume de l’enseignante, du guide spirituel, j’ai inhibé toute parole collective, interdit toute communication publique.

Ceci n’est qu’un exemple parmi d’autres de ma peur de mal faire qui rejoint celle de ne pas être à la hauteur de la tâche, de la mission. Tout comme la petite fille avait peur autrefois de faire une bêtise qui serait sanctionnée par les adultes, la femme humaine d’aujourd’hui a peur de déplaire à… son JE SUIS. Vieille histoire de l’humanité qui grandit dans la peur de Dieu, abondamment encouragée par les religions. Confirmation de notre difficulté à prendre la totale responsabilité de nos expériences et de les évaluer par notre ressenti. Abandonner la règle du bien et du mal, de la raison et du tort, de la culpabilité vs innocence, de la morale a priori pour faire confiance aux force de l’Esprit qui nous inspirent est le chemin que je désire emprunter.

Le cadeau du passage

Le chemin d’incarnation – Myriam LEPORI

Un beau cadeau à partager avec vous pour ce premier article de l’année. Un cadeau que j’ai reçu aux dernières heures de 2017 et qui a illuminé mon passage de l’ancienne année vers la nouvelle, un cadeau qui rayonne dans la pièce principale de la maison où je vis. Depuis que j’ai accroché au mur le tableau figurant le processus d’incarnation de l’âme humaine, j’ai été invitée à faire quelques modifications à l’intérieur de chez moi, et sans nul doute parallèlement à l’intérieur de moi.

L’artiste, Myriam LEPORI, a commencé cette toile en 2015 et l’a complétée au fur et à mesure que l’inspiration venait. Et voici qu’au terme d’un processus de plus de deux ans, les touches finales sont posées et l’œuvre est achevée.

Ainsi désormais, au cas où je viendrais à l’oublier, j’ai sous les yeux chaque jour, la représentation de l’Esprit qui crée l’âme afin de s’humaniser et de faire l’expérience du libre arbitre dans la densité. Le tableau vibre, active dans mes cellules la présence divine, stimule mon engagement à être qui JE SUIS. Aucune excuse donc si j’omets de me souvenir que je suis Esprit manifesté, venue sur la terre pour en témoigner !

Si vous êtes intéressés pour accrocher aussi chez vous une copie de ce tableau, Myriam vous donne rendez-vous sur son site pour en savoir plus : https://www.atelierdelessenceciel.com/projects 

Un rappel pour finir

Avant de finir cet article, un rappel sur les rencontres que je propose à l’Oliverie. Au vu des expériences des premières rencontres, j’ai simplifié la formule initiale présentée en mars 2017. Vous pouvez voir ou revoir ce qu’il en est grâce au lien suivant : https://unite-jesuis.com/rencontres/

Je ressens beaucoup d’enthousiasme pour ces rencontres où chacun est simplement lui/elle-même sans rôle à tenir, sans enjeu, sans résultat visé. L’instant présent guide, le ressenti du moment inspire, la conscience ouverte à l’Esprit que nous sommes agit. Dans ces moments d’échanges authentiques, je trouve les humains magnifiques.

Marie-Odile
Le 8 janvier 2018

 

 

 

 

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Nouvel épisode

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Bonjour à toutes et à tous,

Une année et demie sans vous écrire, sans vous proposer de rencontres.

Une année et demie à m’enraciner sur un coin de terre, dans la verdure, au milieu des sources, au cœur de la nature.

Une année et demie de solitude relative, de grandes journées de silence, de grands moments de reliance avec ma source, avec ce que JE SUIS.

Une année et demie de maturation, d’introspection pour qu’émerge à ma conscience ce qu’être Femme-Esprit veut dire aujourd’hui dans le concret du quotidien, dans la densité de mon humanité.

Une année et demie pour des rencontres aussi, ponctuelles, au gré des intuitions, des envies, des opportunités pour apprendre à sentir ce que je désire vraiment vivre avec mon prochain.

Arrive en même temps que se profile le printemps 2017, le moment de fermer cette parenthèse active et féconde et de commencer un nouvel épisode du feuilleton de mon existence.

Une perception de moi revisitée

Grâce à ces soixante années d’expérience de l’incarnation en tant que Marie-Odile SANSAULT, je commence à avoir un peu de recul et à voir les différentes vies que j’ai eues dans cette vie. Je perçois chacune de ces vies comme autant de tentatives d’être l’expression fidèle de l’âme contenue dans mes cellules, elle-même ambassadrice de l’Esprit, de JE SUIS.

En arrivant sur la terre, par l’intermédiaire de mes parents de chair, j’ai d’abord consacré l’essentiel de mon énergie vitale à m’adapter à l’environnement humain et terrestre auquel JE SUIS a désiré participer. Mon désir profond d’être moi a souvent été éteint par mon désir impérieux d’appartenir aux groupes successifs au sein desquels j’étais plongée. Petit à petit mon besoin d’appartenir au monde a diminué tandis qu’au contraire mon besoin d’être vraiment moi, est devenu vital. Petit à petit, il m’est de plus en plus possible de m’affranchir du regard d’autrui, d’exercer mon libre arbitre en fonction de mon ressenti profond, de mon intuition.

A L’Oliverie, le coin de terre où désormais je vis, j’ai assez vite compris que mon âme m’avait inspirée à choisir un lieu fort ressemblant à mon point d’atterrissage dans cette incarnation : ruralité profonde, hameau de trois maisons, petit bois, nécessité de « travailler » la terre, isolement, etc. Ces conditions que j’avais tant critiquées durant mon enfance et mon adolescence, voilà que là, je les choisissais intentionnellement. Petite farce pour me rappeler que cela même que j’avais détesté autrefois n’était en réalité que mon propre choix, parfait pour le karma que « JE SUIS » se proposait de transformer ici en dharma. Belle invitation à dire encore une fois totalement « oui » à ma condition humaine, à mon histoire, à mes déterminants familiaux. Je reconnais mes conditions d’arrivée sur la terre en tant qu’atouts pour jouer, pour expérimenter l’Esprit dans la matière, pour manifester ce que JE SUIS.

Ces bases une fois encore revisitées, j’ai pu progresser dans l’acceptation de la forme, de la densité, de la pesanteur, de ma dimension humaine et me sentir prête à ré-ouvrir mes bras au monde, pour recommencer à agir visiblement et témoigner. C’est ainsi que vient d’être créé un nouveau site Internet, toujours nommé « unité-jesuis » mais reconstruit totalement pour correspondre à la perception que j’ai de moi actuellement.

C’est avec une grande joie que je vous invite à aller visiter ce site, réalisé avec la complicité fraternelle de Philippe LE DUAY (comtoimeme.com/), au terme d’un processus guidé par nos âmes.

Vous y trouverez la présentation des rencontres que je propose et une possibilité dans les pages « actualités » de me faire part de vos réactions et ainsi de contribuer à l’évolution de la conscience sur les sujets abordés dans les témoignages que je mets en ligne.

Une posture dépourvue de fonction

En allant plus loin dans l’acceptation de ma condition humaine, je vais plus loin aussi dans la conscience de l’Esprit que je suis. Inévitablement cela me conduit à reconsidérer la posture avec laquelle je souhaite être en relation avec les autres, la posture à partir de laquelle je ressens d’agir pour accomplir ce que JE SUIS, via mon âme, désire faire dans la matière. Très vite une évidence s’impose à moi : je ne souhaite plus, je ne peux plus pratiquer la relation d’aide. Autrement dit, dans toutes mes relations, je désire être en position de symétrie. L’asymétrie inhérente à la situation d’aide est devenue pour moi source de souffrance. J’ai eu besoin d’aider toutes ces années non seulement parce que j’en avais le goût et le talent, mais aussi pour compenser la certitude que si je ne donnais rien, je n’avais pas le droit de vivre. Le fait d’aider les autres redorait momentanément la piètre image que j’avais de moi. Étape nécessaire et source de grandes joies, mais qui doit prendre fin.

Grâce à ces 18 derniers mois durant lesquels je me suis centrée essentiellement sur moi, veillant à ne pas me retrouver en train de répondre aux demandes d’aide, implicites ou explicites, je me suis apporté la preuve que ma valeur est liée à la présence de l’Esprit en moi, je me suis souvenue que ma légitimité d’humaine tient à la Volonté de mon être divin d’expérimenter une nouvelle fois l’humanité. Les évaluations dont, comme nous tous, j’ai été l’objet tout au long de mon existence, les calculs de mérite, les efforts pour correspondre à ce que je croyais qui était attendu de moi ne peuvent en rien agir sur le sentiment de ma légitimité, ne peuvent en aucun cas chasser la sensation d’être une nullité dont l’imposture va être découverte.

Le mandala de Laure

Je comprends aussi qu’un de mes marquages de naissance est de ne pas avoir répondu aux attentes, probablement non conscientes, de mes parents. De ce marquage est venu une propension à croire que je n’en ai jamais fait assez pour mon environnement, pour les autres et que c’est pour cela qu’ils ne sont pas heureux. En cette année et demie, j’ai cessé de faire pour les autres et j’ai vérifié que cela n’avait pas changé grand chose à leur bonheur, mais que par contre cela avait grandement impacté mon bonheur à moi. Je me suis accordé plus d’attention, je me suis donné plus de soin mettant en application ce que j’ai si souvent enseigné : j’écoute mon ressenti, je lui accorde du crédit et j’agis en fonction de lui. J’ai pu aussi vérifier que lorsque je ne mettais pas en œuvre cette devise du maître, les événements concrets de la vie quotidienne venaient me rappeler mon engagement et m’invitaient, parfois durement, à revenir à ma guidance intérieure.

Guider, éclairer, enseigner, soigner restent bien les quatre axes de ce que je ressens avoir à faire dans le monde pour être mon âme. Je vois aujourd’hui la réalisation de cette mission non plus par une fonction particulière dans un groupe, mais par le seul fait de témoigner de moi en Vérité, par le fait d’être le plus possible Marie-Odile, femme-esprit qui se souvient de qui JE SUIS de toute éternité, par le fait de vibrer sur ma propre fréquence.

Les rencontres à L’Oliverie

Je reviens donc vers vous avec de nouvelles propositions de rencontres où la relation d’aide, et donc l’asymétrie, a disparu. Place désormais à des rencontres amicales où chacun témoigne de soi, de ce qui est accessible dans sa conscience au moment présent. Dans ces rencontres, j’ai rendez-vous avec moi-même, comme mes convives ont rendez-vous avec eux-mêmes, je participe aux échanges au même titre que les autres personne présentes, sans animer, réguler, accompagner.

Ma responsabilité, au cours de ces rencontres est d’offrir un espace-temps favorable à l’expression totale de sa vérité, à l’élévation de sa fréquence, à la conscience de l’unité esprit-matière, humain-divin. Tout comme le désert fut ces dernières années une oasis pour se connecter à sa source, l’Oliverie est une oasis de verdure pour être soi dans sa totalité, être avec les autres dans sa vérité, être homme/femme-Esprit bâtisseur d’un monde où l’Amour est la loi.

Et pour que l’unité Esprit-Matière soit toujours en ligne de mire, je propose que certaines journées de rencontres soient organisées autour du jardinage ou de la cuisine. J’aime plus que tout que la spiritualité soit incarnée, que la méditation et la prière soient pratiquées dans chacun de nos actes les plus ordinaires et concrets, que la pleine conscience soit là en permanence. En regardant dans le rétroviseur ces 18 derniers mois, je vois que la dimension spirituelle n’a pas été extraite de mon quotidien par une pratique, une forme spécifique, mais au contraire vécue derrière ma brouette dans le jardin, en faisant la vaisselle, en échangeant avec les visiteurs venus passer une journée. Quelle joie de me souvenir que je suis esprit manifesté en tondant l’herbe, en épluchant les légumes de la soupe, en racontant à un frère ou une sœur ce qui est dans mon cœur !

Et l’argent dans tout cela ?

Vous qui me lisez aujourd’hui, peut-être vous souvenez-vous que depuis 2009, j’ai expérimenté la dé-monétarisation des prestations que j’animais, afin de situer mes échanges avec vous au niveau subtil, d’âme à âme. Pour pouvoir vivre pleinement cette expérience je m’étais allégée des charges inhérentes à la gestion d’un logement et avais fait le choix du nomadisme, dans une version moderne et donc confortable, qui m’a conduit à me faire accueillir là où j’étais appelée à organiser des groupes et animer des séminaires.

En 2015, avec la nécessité de changer la forme de mon action, vient aussi le besoin de me ré-enraciner et de me sédentariser dans un lieu dont je dois prendre la responsabilité. Avec un maison, reviennent les charges, les besoins d’argent pour l’équipement et la maintenance. Je dispose du capital de la vente de ma précédente maison pour faire face aux investissements, le RSA venant à la rescousse pour les frais de la vie quotidienne.

La tentation est alors grande de reprendre une activité rémunérée pour avoir des revenus et aménager la vieille grange accolée à la maison et qui représente un grand potentiel d’accueil de groupes. A cette perspective, je ne ressens que poids et obligation et aucunement de joie. Je vois vite comment le lieu que j’habite pourrait devenir un projet en tant que tel et perdre sa place d’outil au service de ce que mon JE SUIS désire accomplir.  La pente est glissante mais mon âme est puissante. Je laisse mûrir encore, passer les semaines et les mois, totalement confiante dans le processus et en septembre 2016, la lumière se fait sur la forme que je souhaite donner à ma présence dans le monde.

En organisant des rencontres  chez moi, je décide de mettre le coin de terre que j’occupe à l’Oliverie à la disposition de celles et ceux qui désirent contribuer à l’émergence de la société des hommes et femmes Esprit. Il me paraît donc approprié que les visiteurs contribuent à la maintenance du lieu-ressource qui les accueille, donnant une sorte de colocation à la journée, comprenant aussi de la co-restauration lorsque je prépare les repas. La formule est d’ailleurs de plus en plus répandue dans divers secteurs et entre dans un dispositif appelé officiellement économie collaborative.

Avec ce choix, j’ai la sensation de continuer l’expérience de la responsabilité partagée, de la conscience des échanges humains réalisés simultanément au plan densifié et au plan subtil.

Pour finir

Avant d’écrire les derniers mots de cette lettre qui ouvre un nouvel épisode de mon existence, je veux encore dire que je ressens beaucoup de joie à retrouver une forme pour agir dans le monde. Ma joie est accompagnée d’une petite peur, comme à chaque fois qu’une merveille est là. Je dois dire qu’il m’est arrivé de m’inquiéter de ne rien voir venir à ma conscience car j’avais imaginé que 6 mois suffiraient à l’émergence de propositions à vous retrouver. Là, je vois que le moment est bon, que ce printemps 2017 est propice à revenir dans le monde, à vous écrire, à vous inviter.

Merci d’être là.

Bonus inattendu

J’avais terminé l’écriture de cette lettre le 23 février alors que le site n’était pas encore tout à fait prêt pour vous l’envoyer. Durant ces contractions nécessaires à la naissance, j’ai refait durement l’expérience de la gravité et de la pesanteur en… chutant du haut de l’escabeau, le samedi 25. Tombée de haut, comme quand je suis arrivée dans cette existence, je suis partiellement immobilisée et dois me soigner. Je mise sur les forces de l’Esprit pour conduire mon autoguérison et comprends très vite, sous la guidance du monde spirituel, que j’ai là une opportunité pour guérir les blessures de l’enfant suradapté, pour expérimenter la puissance guérisseuse de la présence divine en moi. Je repasse sur « mon point zéro », sur ma ligne de départ, toutes mes cellules peuvent être réinitialisées et se caler sur la fréquence de JE SUIS, transformant mes croyances de séparation et de dualité. Je confronte aussi mes résistances, mes tentations de préférer les procédés humains de soin au lieu d’accueillir totalement la puissance guérisseuse de l’Esprit, je rencontre ma peur de ne plus pouvoir communiquer avec les humains si je dis pleinement oui à l’Esprit.

Durant ce processus intime, la tempête météorologique me donne raison de rester à la maison, devant le feu, à tricoter, à laisser se tisser la structure dont JE SUIS a besoin. Lundi 6 mars, un vieux prunier très haut s’est fait déraciner par le vent. Juste après que j’ai demandé de l’aide pour transformer les vieilles croyances enracinées très profondément qui mettent en moi des limites à l’action de l’Esprit… Il n’est pas tombé pour des prunes, cet arbre ami !

Et pendant que je me guéris, jour après jour, choisissant de redonner à mes cellules l’information de JE SUIS, la construction du site Internet avance et sa naissance approche.

Marie-Odile

 

29 commentaires sur Nouvel épisode

La spiritualité pratico-pratique

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Date des vidéos : été 2015

La spiritualité pratico-pratique au quotidien

Contexte de ces vidéos

A la demande de Jean-Claude, ami vidéaste créateur de TV JC sur You Tube, j’ai présenté devant la caméra quelques bases de ce que j’appelle la spiritualité libre et incarnée. C’est ainsi qu’a vu le jour une série intitulée « Mobiliser son JE pour être son âme dans le monde ».

L’exercice qui m’était demandé était fort intéressant :  présenter six exercices pratiques favorisant l’élévation de la conscience et permettant de vivre la dimension spirituelle  dans la vie quotidienne. Chaque séquence devait être d’environ 5 minutes. Une septième vidéo était consacrée à une évocation de mon parcours de vie.

Les tournages ont eu lieu à Annecy et dans sa région, dans des lieux magnifiques et inspirants, à la fin de l’été 2015.

Au moment où je mets ces documents en ligne, nous sommes en février 2017. Il est probable qu’aujourd’hui, je formulerais certaines choses avec d’autres mots. Cependant, sur l’essentiel, ce qui a été formalisé dans ces documents me semble toujours en phase avec ce que je suis.

Les six vidéos d’exercices pratiques

La vidéo présentant mon parcours de vie

En complément de ce que vous pouvez lire dans la section « Qui suis-je » du présent site.

 

Votre contribution : on La spiritualité pratico-pratique

Au delà du visible

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Au-delà du visible : l’actualité française et sa dimension occulte

Date du témoignage : 31 janvier 2015

Contexte du témoignage

Dans le bouillonnement d’informations, d’émotions, de sentiments et d’opinions générés par les crimes de début janvier 2015, j’ai ressenti le besoin de cultiver le centrage, la nécessité de diriger sans cesse ma conscience vers l’intérieur de moi, dans ce « lieu » où le monde de la forme m’apparaît en tant que manifestation de l’esprit UN, dans cet état où le visible et l’occulte se côtoient, dans ma Jérusalem intérieure où l’Alliance entre le Divin et l’Humain est.

Heureusement inspirée par mon âme, j’ai vécu ces trois dernières semaines en retraite, principalement seule et dans le silence. Parallèlement à mon introspection, poussée par la sensation de devoir le faire, je me suis informée sur les événements du monde, ce que je fais très peu en temps ordinaire. J’ai cherché aussi les éléments de construction de notre civilisation, tentant de comprendre ce qui se joue aujourd’hui dans l’évolution de la conscience humaine. Cela m’a invitée à écouter sans cesse mon ressenti, pour ne jamais m’arrêter aux informations données par les médias, quels qu’ils soient. De la même manière, je me suis souvenue que l’histoire des peuples est narrée selon les objectifs et la vision du monde des narrateurs.

Mes questions étaient : Qu’est-ce qui vibre vrai en moi dans ce que je lis, j’entends, je vois ? Qu’est-ce que je peux percevoir en complément des représentations des faits qui me sont communiquées ?

Lors de mes recherches, sans cesse, j’ai maintenu dans ma conscience que les scènes qui se déroulent à l’extérieur de moi sont la manifestation des scènes qui se vivent à l’intérieur de moi. Sans cesse, j’ai maintenu en ma conscience la réalité du lien qui unit chaque humain, qui fait de l’humanité un grand corps dont chacun de nous constitue les cellules. L’histoire et la conscience globale de l’humanité dans laquelle je suis incarnée ici et maintenant sont en interdépendance avec ma propre histoire et ma conscience individuelle.

Témoignage

Agar et Sarah, Ismaël et Israël

En moi, j’ai reconnu les deux femmes qui furent mères des deux enfants d’Abraham : Agar et Sarah. Sarah la princesse stérile, épouse officielle d’Abraham, qui offre à celui-ci son esclave Agar pour qu’il ait une descendance. D’Agar naîtra Ismaël, reconnu ancêtre des arabes et du prophète Muhamed, de Sarah devenue fertile à plus de 90 ans, naîtra ensuite Isaac, futur père de Jacob rebaptisé plus tard Israël.

Sarah, femme de « la couronne », de la pensée, du mental, veut diriger la situation et va devenir jalouse d’Agar, femme qui détient l’énergie vitale, le feu sacré, au point de l’humilier et de demander à Abraham de la chasser, avec son fils, dans le désert.

La puissance d’Agar vient de la terre et veut, à travers moi, à travers nous, s’élever vers le ciel et le soleil, tandis que la couronne de Sarah peut accueillir la lumière d’or, l’énergie divine dans mon corps, dans notre chair. Par Christ en moi, en nous, ces deux énergies ont la possibilité de se rencontrer et de s’unir afin que l’amour vive, afin que la Jérusalem céleste existe dans ma chair, en nous, sur la terre, promise et obtenue par la réconciliation en moi, en nous de ce qui s’opposait.

Ce qui est dedans est comme ce qui est dehors, ce qui est présent en moi dans l’individu est présent aussi dans le collectif au sein duquel je suis. Ismaël, fils d’Agar et Israël, petit-fils de Sarah, sont présents sur la scène que j’observe à l’extérieur de moi. Partisans de l’Islam dont Ismaël est l’ancêtre avec ses 12 peuples, et partisans du judaïsme dont Israël est le père avec ses 12 tribus, se combattent partout dans le monde ou presque, et en France maintenant de manière violemment ostensible. Sortir de la rivalité fraternelle est possible, s’affranchir de la dualité est le but, vivre l’alliance véritable entre le divin et l’humain est désormais l’affaire de chacune des âmes incarnées que nous sommes. Jésus, venu pour que Christ, Amour absolu, vive dans le corps, dans la chair, nous donne à tous la responsabilité de l’alliance, la mission de continuer son œuvre en unissant en nous le ciel et la terre, l’esprit et la matière.

Le territoire est en moi, il est en chacun

Lorsque j’étais à Jérusalem la dernière fois, en 2009, je percevais la lutte de territoire et la tension entre les deux courants, celui d’Ismaël et celui d’Israël. Je percevais aussi que le courant chrétien, présent dans cette ville 3 fois sainte, cherchait pareillement à défendre et occuper de l’espace, au nom de Jésus .La France, pays à la culture façonnée par le christianisme, pays qui s’est doté d’une devise riche de sens, était un pays où les habitants pouvaient jusque-là se dire juifs, chrétiens, musulmans, bouddhistes, hindouistes, anthroposophes, adeptes d’une spiritualité libre et incarnée, athées, libres penseurs, francs-maçons, etc. La France, comme d’autres pays sans aucun doute, a cette possibilité de réunir les courants qui, dans le visible, s’opposent.

La dimension christique n’est pas limitée à l’homme que fut Jésus. L’incarnation de Christ, conscience solaire, Amour absolu, dans un corps de chair s’est faite pour que chaque être humain soit lui-même un Maître conscient de sa divinité, de sa mission d’unir l’esprit et la matière, la pensée de Sarah et le feu sacré d’Agar. En cessant de m’identifier à mes apparences humaines, à mes fonctions et rôles, à mes pensées, émotions et sentiments, en cessant de chercher à l’extérieur de moi dans le monde de la forme, je reviens à ma Source, je sens mon essence et vois les jeux de mon existence parfaitement adéquats à ce que je suis de toute éternité, au-delà de cette forme.

Le territoire que je croyais devoir conquérir est là, sans limites, en moi. Les biens dont je croyais manquer sont là en abondance. L’amour que je m’essoufflais à chercher est là, simple et joyeux. L’intensité que je veux pour ma vie est là, évidente. La paix règne et rayonne. Si je suis avec moi-même, mon territoire ne peut pas être occupé par quelqu’un d’autre et de la même manière je n’ai nul besoin d’occuper le territoire de quelqu’un d’autre, puisque ma pleine présence en moi constitue un territoire.

Les religions et les religieux se battent encore pour des questions de territoire, de biens et de pouvoir. A nous, individuellement, par notre responsabilité propre, de nous souvenir de notre essence divine, de l’illimité que nous sommes, de la substance subtile et infinie que nous remplit, pour que vive notre Jérusalem intérieure et que soit ainsi pacifiée la ville terrestre de Jérusalem, lieu hautement chargé en énergie, en symbole et en histoire.

De façon opérationnelle et quotidienne

Avec les belles intentions ci-dessus, se pose la question du comment faire. En effet, comment vivre concrètement, au quotidien, la dimension christique qui unifie et pacifie, qui permet la rencontre des courants qui s’opposent ? Comment être cette Vérité à laquelle Jésus nous a invités pour être Christ ?

Mon expérience m’enseigne que lorsque je vis des situations insatisfaisantes, le plus souvent, je n’ai pas été lucide sur les intentions qui ont motivé mes choix. Dit d’une autre manière, je n’ai pas été totalement honnête avec moi, je me suis fait croire que je faisais tel ou tel choix pour servir mon âme, alors qu’en réalité je cherchais à contenter ma personnalité. Pour moi, lorsque j’ai des décisions à prendre, des choix à faire, importants ou d’apparence anodins, il est aidant de me poser les questions ci-dessous :

  • Quels résultats je souhaite, quelles sont mes véritables intentions ?
  • Quels bénéfices spirituels, psychologiques, matériels j’attends ?
  • Est-ce que je conserve bien mon autorité sur moi-même ? Mon autonomie ?
  • Est-ce que je n’essaye pas de me faire prendre en charge, de me faire aimer, de me fondre dans un groupe ?
  • Ma décision est-elle fondée sur un supposé devoir ou sur la joie authentique ?
  • Suis-je totalement sincère ou y a-t-il une attente secrète, inavouable ?
  • Suis-je lucide sur mes véritables besoins profonds, ceux de mon enfant intérieur, ou suis-je restée à l’étage des envies de l’adulte adapté ?

Ces quelques questions, dont la liste pourrait s’allonger, me sont utiles pour trouver et maintenir ma posture de Maître et agir en vérité. Il m’arrive d’aller trop vite parfois dans mes choix et d’omettre de pratiquer cette « hygiène de la conscience » qui me permet pourtant de vivre la cohérence et donc la paix.

La responsabilité de chacun

Olivier à Bechaleh, Liban – Photo Leïla WARTIG

Cette vérité de soi au quotidien, cette honnêteté irréprochable sur nos intentions, sont exigées de toute personne qui désire faire vivre l’Amour et la fraternité sur la Terre en commençant par son environnement immédiat. Cette exigence qui pourrait nous paraître parfois un peu austère, grave, est surtout une merveilleuse garantie que nos investissements d’énergie, d’intelligence, ne se retourneront pas contre nous, que nos choix ne nous affaibliront pas.

En effet, lorsque je regarde le niveau occulte des événements de début janvier 2015 en France, il me saute à la conscience que les forces subtiles qui s’opposent à l’amour, se nourrissent abondamment de ce qui reste caché à notre lucidité, de ce qui est occulté ou refoulé en nous. Ces entités lucifériennes et ahrimaniennes qui influencent nos comportements humains se remplissent des pensées, émotions et sentiments que nous créons et ne gérons pas, qui vivent en nous à notre insu.

Pour moi, il n’y a pas de complot fomenté par certains humains contre d’autres, il y a nous, responsables de notre lucidité, de nos permanentes créations matérielles, psychiques et spirituelles et de leurs conséquences. Pour moi, malgré les apparences, il n’y a pas de dirigeants financiers, politiques ou religieux qui seraient des bourreaux, pas plus qu’il n’y a d’individus manipulés et victimes, mais il y a nous, invités à être des maîtres libres et exerçant notre liberté.

J’entends beaucoup revendiquer la liberté d’expression. Ne revendiquons plus cette liberté, exerçons-la ! Ne confions à personne la responsabilité d’exprimer ce que nous ressentons, pas plus à un ami qu’à un journal ! Osons dire notre ressenti face à notre frère lorsqu’il nous procure la joie de venir vers nous, lorsqu’il nous fait de la peine par une blague qui nous blesse, lorsqu’il nous inquiète, lorsqu’il nous fait grandir. Osons dire notre vision du monde, notre représentation personnelle de la vie sur terre ! Témoignons de nous, chacun avec nos talents !

Par cette liberté de maître pleinement exercée, par cette exigence de vérité en nous, nous révélerons la présence de l’Amour absolu dans le cœur de chaque humain. Nous ferons vivre Christ, conscience solaire sur la terre, nous atteindrons la terre promise.

Votre contribution : on Au delà du visible

Devenir un maître en réveillant son enfant intérieur libre et joyeux

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Date du témoignage : 07 juin 2013

Contexte du témoignage

L’année 2012 et le début de 2013 ont mis la lumière en moi sur l’enfant intérieur qui vit dans mes cellules. En effet, en moi comme en chacun de mes frères et sœurs humains, vit un enfant libre, joyeux, innocent et insouciant qui attend que je vienne le réveiller. Il s’est endormi à un moment de ma vie où il a compris qu’aimer n’était pas aussi simple que dans la pureté de ses intentions. Il a donc choisi de dormir et de présenter au monde ses masques d’enfant adapté aux règles de la société basées sur une logique rationnelle et matérielle. L’enfant protège ainsi les valeurs de l’Esprit, met l’Amour qu’il est venu vivre en sécurité en attendant de pouvoir déployer librement ses ailes. Cet enfant, ambassadeur loyal de notre âme, peut se réveiller dès lors que l’adulte que nous sommes devenus accepte de s’engager à l’écouter, à soigner les blessures d’autrefois. Le potentiel (pote en ciel) peut alors s’actualiser pour que le maître que nous sommes vive en toute simplicité, pour que notre « je suis » puisse pleinement rayonner …

Réveiller l’enfant intérieur libre

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Les 7 étapes de l’existence en vue de la maîtrise, par le réveil de l’enfant intérieur

En chacun d’entre nous sommeille un enfant libre, joyeux, innocent, insouciant. C’est celui que nous avons été au moment de l’incarnation de notre âme, remplis du désir ardent de venir sur la terre pour aimer, refaire l’expérience de l’Amour et de la liberté conjugués. Cet enfant libre, ambassadeur de notre âme est plein de ressources disponibles pour le maître que nous sommes. En allant réveiller cet enfant endormi, nous nous auto-guérissons et nous nous offrons nous-mêmes la possibilité d’être heureux et en bonne santé en accomplissant notre mission d’âme.

Quelques mots viennent compléter et expliciter le schéma ci-dessus qui trace les étapes successives du chemin de la maîtrise et de la croissance. La compréhension de cette chronologie permet de décider de s’auto-guérir, de se donner à soi-même l’amour dont notre enfant a besoin.

Étape 1 : Enfant libre

C’est le moment de la naissance où l’être humain est encore totalement rempli de sa foi, de son désir d’aimer. Même si la personnalité a commencé à se former in utero, le projet d’aimer reste entier. Le lien avec le monde spirituel est encore tel que ce projet imprègne chacune de nos cellules. L’enfant libre est le véritable ambassadeur de notre Moi Divin, porteur du projet de notre âme pour cette incarnation.

Étape 2 : Enfant blessé

Après quelques mois ou années d’existence, nous constatons qu’aimer n’est pas si simple et qu’être aimé inconditionnellement l’est encore moins. Nos expériences nous font connaître frustration, émotions, douleurs et déceptions. Nous comprenons vite que pour être aimés des autres, nous devons adopter un comportement « adéquat » à ce qu’ils attendent de nous. Ces comportements adaptés constituent nos masques qui dissimulent notre vrai visage, protègent notre Vérité. Nous mettons alors l’enfant libre que nous avons été en sommeil, attendant d’être suffisamment « grands » pour faire comme bon nous semble, en fonction de nous et non pas d’autrui.

Étape 3 : Mise en place des protections

Afin de souffrir le moins possible nous construisons des protections : en ressentant le moins possible ce qui se passe intérieurement, nous nous épargnons la conscience de notre peine, nous évitons de sentir la dissonance entre notre ressenti et notre discours/comportement. Nous mettons en place des stratégies visant à obtenir l’amour d’autrui tout en tentant d’éviter à tout prix de percevoir ce qui fait mal.

Étape 4 : Adulte suradapté et démissionnaire

Derrière nos murs protecteurs, nous nous adaptons au monde et à la société. Nous suivons les usages des groupes auxquels nous appartenons, nous nous conformons à la morale, au détriment de ce que nous désirons profondément vivre, de la satisfaction de nos besoins profonds. Nous vivons « en surface ». Nous constatons cependant que nos stratégies pour obtenir de l’amour et ne pas ressentir notre peine ne sont plus très efficaces et sont même paradoxales : elles nous enferment et nous piègent. L’insatisfaction peut aller jusqu’à la dépression et la maladie. L’adulte, démissionnaire de lui-même, reste identifié à l’enfant blessé qu’il a été.

Étape 5 : Éveil de la conscience du maître

Pour tous les humains en démarche de conscience de leur nature spirituelle, l’appel de l’âme se fait entendre et le rendez-vous qu’elle donne à chaque être humain est un jour honoré. La personne comprend qu’elle est un maître, libre et responsable d’elle-même, créatrice de sa vie. Elle commence à s’affranchir du regard d’autrui et à faire coopérer son âme et sa personnalité sous la direction de sa conscience. L’adulte ne démissionne plus de lui-même et reconnaît, jour après jour, les besoins de son enfant intérieur.

Étape 6 : Sollicitation de l’âme

Le maître s’engage auprès de l’enfant intérieur en devenant lui-même son propre père et sa propre mère. Il redonne à l’enfant le droit de ressentir ce qu’il ressent, de l’exprimer. Tous les éléments stockés dans le bagage émotionnel1 et affectif peuvent parvenir à la conscience sans censure. Suffisamment en contact avec son âme et par conséquent avec sa Source, le maître accueille avec bienveillance tout ce que l’enfant vit intérieurement. Le maître, en mobilisant les ressources de son âme, se charge de répondre aux besoins d’amour absolu que ce ressenti révèle.

Étape 7 : Réveil de l’enfant endormi

Le maître sait solliciter son âme pour avoir, de la part de son Moi Divin, tout l’amour dont il a besoin. Il sait que seul cet amour absolu lui correspond. Il retrouve le sens de son existence, se met en route pour accomplir sa mission de vie en recevant de son enfant libre réveillé l’enthousiasme nécessaire à son chemin humain. Il renforce quotidiennement la cohérence entre la conscience qu’il a de lui et ce qu’il fait. Il œuvre pour son unification, il fait vivre Christ en lui.

En guise de « conclusion » …

La mise en lumière de ce processus d’autoguérison, accessible à toute personne désireuse de s’engager à manifester son « je suis » au sein de la fraternité humaine, m’a permis d’avoir une autre compréhension des paroles de Jésus citées par l’évangéliste Marc : « Laissez venir à moi les petits enfants, et ne les en empêchez pas; car le royaume de Dieu est pour ceux qui leur ressemblent. Je vous le dis en vérité, quiconque ne recevra pas le royaume de Dieu comme un petit enfant n’y entrera point. » (Marc, 10, 14-15)

Je comprends aujourd’hui qu’il est question de faire venir à ma conscience le petit enfant que je suis encore à l’intérieur de moi, afin que Christ, que je contiens ainsi que tout un chacun qui le reconnaît, lui donne l’amour du Père/Mère divins dont il a besoin. Il m’appartient de me relier à la source infinie de l’amour inconditionnel pour en être remplie, nourrie, guérie. En route donc vers mon propre royaume, où il est attendu que je règne en maître, éclairée par la lumière divine !

1 Pour plus d’information au sujet des émotions, activez ce lien : https://unite-jesuis.com/utiliser-ses-emotions-pour-grandir/

3 commentaires sur Devenir un maître en réveillant son enfant intérieur libre et joyeux

Les temps modernes

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Date du témoignage : 23 septembre 2012

Contexte du témoignage

L’été 2012 m’a placée devant l’évidence que l’humanité a soif d’amour, faim de lumière et que les êtres qui ont retrouvé leur nature spirituelle peuvent aisément guider leurs frères et leurs sœurs sur le chemin de la reconnaissance de la divinité, en étant simplement eux-mêmes, en témoignant de leur « je suis ». Parallèlement, je constate combien toute démarche spirituelle libre peut provoquer méfiance, suspicion, voire moquerie auprès des personnes qui campent dans une vision matérialiste et institutionnelle du monde. L’accusation d’être dans une secte ou d’être manipulé/manipulateur est devenue en France l’argument qui tend à reléguer le chercheur spirituel, à le bannir de la société. J’ai ressenti à la veille de l’équinoxe d’automne que le monde spirituel m’invitait à communiquer sur les deux courants qui s’affrontent actuellement dans les consciences humaines : le courant de la pensée matérialiste et le courant de l’essence divine présente dans l’humain.

Témoignage

Les deux courants en jeu actuellement

Aujourd’hui, choisir sa représentation du monde devient une quasi nécessité pour tous ceux qui sont en route vers le maître qu’ils sont, vers le croisement de leur humanité et de leur divinité, vers l’unification de leur chair et de leur lumière. Deux courants sont en effet en pleine confrontation actuellement sur la terre et dans la conscience de l’humanité : le courant de la vision spirituelle du monde où tout procède de l’essence divine pour y revenir, et le courant de la représentation matérialiste du monde où la pensée régit la matière selon des lois humaines édictées et promues en vérité absolue.

Rien de bien nouveau en fait, puisque ces deux visions du monde ont cohabité depuis bien longtemps sur la terre si on s’en réfère à l’histoire et aux différentes philosophies qui ont été portées par les hommes. Au fur et à mesure que la conscience humaine a cheminé dans l’incarnation, elle s’est éloignée de son lien sacré avec les éléments de la nature, s’est séparée de son origine spirituelle pour donner de plus en plus la priorité à sa pensée basée sur une observation de la matière réduite à sa dimension mécanique. Le courant des sciences exactes, l’organisation de nos sociétés autour du seul principe économique, les prises de pouvoir de certains humains sur d’autres, tout cela a concouru à forger une pensée dominante qui, peu à peu, s’est imposée comme vérité absolue et incontestable. Parallèlement, les principales religions instituées ont organisé une collaboration avec cette pensée dominante, en lui servant souvent de caution et de bonne conscience, mais surtout en décrétant avoir le monopole de toute aspiration spirituelle. Du grand art pour cette pensée qui, de cette façon, a la possibilité de contrôler l’ensemble des activités humaines. L’élan spirituel a ainsi le droit d’exister, mais il est normé, cadré, canalisé par un dogme, une pratique, des rituels portés par des chefs religieux reconnus par leurs pairs du monde politique, économique et social. La pensée dominante a tout prévu, y compris notre accès à la divinité par les institutions qu’elle contrôle parfaitement et qui lui ressemblent !

Pensée humaine et essence divine

Forte de sa position dominante la pensée et ses adeptes sont allés plus loin en explorant les possibilités du mental et notamment ses capacités créatives, si proches de ce que l’essence divine nous invite à utiliser pour être pleinement le maître incarné que nous sommes. C’est là tout le courant de la pensée créatrice, de la pensée positive qui incite les humains à utiliser le pouvoir de la pensée sur la matière. La pensée en effet est aussi un phénomène ondulatoire qui peut,  s’il est mené avec force, produire des effets visibles sur la matière, sur l’environnement des personnes. Bien évidemment, la force de la pensée n’est pas de même nature que la puissance de l’essence divine que nous mobilisons dès lors que nous faisons consciemment appel à notre âme, à l’amour et la lumière de notre moi divin. Les deux voies sont efficaces, les deux procédés pour agir sur notre environnement conduisent à des résultats, les deux techniques pour être créateur de sa vie aboutissent à un résultat. Avec la pensée, c’est la force qui sera mobilisée, avec l’essence divine, c’est la foi en notre nature spirituelle qui est à l’œuvre.

Nous y voilà ! C’est bien là où nous sommes aujourd’hui dans la grande aventure de l’incarnation de la conscience humaine sur la terre. Nous sommes devant ce choix qui s’était posé déjà autrefois au Jardin d’Eden lorsque les humains ont eu la possibilité de reconnaître leur déterminisme divin ou bien de s’affranchir de leur origine pour faire l’expérience du libre arbitre. La pomme de la connaissance du bien et du mal a ouvert la voie de la dualité, du libre arbitre, de la pensée mentale, de l’identification à notre nature humaine au détriment de la souvenance de notre nature divine. Le long chemin de l’incarnation de cette conscience que nous sommes nous a humanisés, éloignés de notre source, plongés dans la matière au point de nous aveugler. Parallèlement, notre véritable substance, notre nature divine a continué de vivre, de nous parler, de nous inviter à être à la fois des êtres humains et des êtres divins. Sans cesse, l’amour qui nous constitue nous a rappelé que nous sommes là pour aimer, sans cesse la lumière que nous sommes nous a conviés à éclairer, sans cesse l’esprit que nous sommes nous a invités à spiritualiser la matière qui nous a été confiée. Inlassablement, dans la forêt de nos pensées les plus matérielles, dans les buissons de nos identifications les plus humaines, dans le labyrinthe de nos émotions les plus cuisantes, dans la jungle de nos sentiments les plus assourdissants, notre Moi Divin s’est rappelé à notre conscience, notre âme nous a inspirés en nous proposant la joie et la simplicité.

La croisée des chemins

Photo Sandrine POCHARD – Le Miomo en Corse

Deux mille ans après la venue de Christ sur la terre par l’intermédiaire de Jésus, nous sommes à la croisée des chemins, invités à être à notre tour des Christ en réalisant la rencontre au centre de la croix de notre dimension humaine et de notre dimension divine. En reconnaissant notre essence divine et en mettant notre pensée à sa place d’outil, nous reconnectons avec notre puissance spirituelle, nous offrons à la matière la reconnaissance de sa nature lumière, nous réalisons l’œuvre que nous avons choisi d’accomplir en venant vivre l’incarnation humaine.

Mais voilà qu’au moment où le souffle de l’esprit vient se faire entendre auprès de quelques-uns, au moment où les prises de conscience fleurissent parmi les humains, au moment où l’évidence de notre identité subtile émerge, le courant matérialiste, porté par les adeptes de la pensée, se rebiffe, cherchant à maintenir sa place dominante. L’offensive du courant matérialiste est perceptible aussi bien au niveau individuel qu’au niveau collectif.

Les ruades de la personnalité

Au niveau individuel, l’attaque prend la forme de remontées de vieilles émotions qui tendent à placer notre conscience dans un registre extrêmement bas, ou encore de ressassements mentaux qui nous dévient de l’instant présent. Les freins à notre avancement vers notre « je suis » dans l’incarnation utilisent le support de notre personnalité pour maintenir notre vision des situations au ras du sol, le nez dans le guidon, et empêcher toute élévation. La vie perd alors de son sens, l’amour paraît un mythe impossible à vivre, la confiance s’amenuise, le doute s’installe, la foi n’est plus là et le repli sur soi semble la seule issue. Pour chacun d’entre nous les offensives de notre « diable » personnel sont spécifiques, liées à notre histoire, à nos blessures, à nos axes de progrès dans cette existence. Malgré cette originalité des expériences de chacun, il semble bien que cette fin d’été 2012 nous conduit tous et toutes à vivre la confrontation à nos démons.

 

Le Christ dans le désert par Ivan Kramskoï

Dans ce contexte, je ne peux que penser encore une fois à Jésus dans le désert lorsqu’il est tenté par Satan à 3 reprises. A l’instar des humains que nous sommes, Jésus est invité à ressentir Christ en lui, pour résister à l’envie de pouvoir et de gloire que le diable vient lui présenter. Tout comme Jésus autrefois, nous sommes aujourd’hui porteurs de cette énergie christique, constituée d’amour et de lumière, et tout comme lui nous avons potentiellement le discernement nécessaire pour choisir notre voie, et résister à la tentation de prendre le pouvoir sur la matière, sur les autres humains. Tout comme lui, nous pouvons connaître la vanité des possessions de biens, toujours insuffisantes pour calmer notre faim, nous pouvons accéder au sens sacré de l’existence et y voir la magnifique aventure de la conscience qui cherche à croître et à faire croître l’amour dont nous sommes issus et constitués.

Une pensée dominante arrogante

Au niveau collectif, l’offensive matérialiste est visible dans toute son arrogance dans les différents phénomènes de société dont les médias se font l’écho. Le courant de la pensée matérialiste s’exprime bien évidemment en premier lieu au travers des données économiques présentées en tant que seuls critères sérieux pour mesurer la valeur d’un état, d’une entreprise ou même d’un individu : le Dieu argent règne en maître absolu sur la planète et ses habitants et toute personne désireuse de sortir de l’unité de mesure économique est considérée irréaliste, rêveuse, utopiste, voire malade mentale. Ce courant est également fort présent dans toutes les institutions qui structurent nos sociétés occidentales, que ce soient celles qui gèrent notre santé, l’éducation des enfants, la politique, etc. Ces institutions, au nom de la laïcité ou de la liberté de penser, excluent toute possibilité de se référer à une vision spirituelle du monde sous peine d’être aussitôt taxé d’être sectaire ou manipulateur. Passe encore de dire son appartenance à une religion, à la franc-maçonnerie, au bouddhisme, à un courant spirituel de l’Inde, cela peut même sembler de bon ton ou « tendance », mais parler de l’âme issue de son moi divin et affirmer que nous sommes un maître, un être de lumière incarné pour spiritualiser la terre, 100% responsable de toutes les situations que nous vivons, là c’est l’étiquette du délire assurée !

Vivre sa spiritualité dans le concret

La pensée dominante oppose son mépris à toute personne qui se démarque du consensus implicite qu’elle impose par sa rationalité, sa logique, sa vision mécanique et matérielle du monde. Face à cette arrogance, il convient de ne pas se laisser impressionner, de se référer à notre ressenti, de se souvenir que les systèmes en place aujourd’hui dans nos sociétés invitent plus au combat qu’à l’amour, à l’effort qu’à la joie, au mérite plus qu’à la reconnaissance de sa valeur d’être, à la complication plus qu’à la simplicité. En vivant sa dimension spirituelle dans le concret, dans la chair, l’être humain se donne la garantie de la réalité tangible de ses expériences, en faisant tous ses choix en fonction des fondements spirituels de la vie sans pour autant nier les contingences de l’incarnation, l’être humain réalise Christ en lui, spiritualise la matière et accomplit ainsi sa mission d’âme.

Les temps modernes (Charles Chaplin – 1936)

Dans ces temps modernes où les systèmes institués par les hommes sont acculés à voir leurs nombreux échecs et où, parallèlement, les puissantes aides apportées par le monde spirituel deviennent de plus en plus palpables au point qu’une véritable vague de « chevaliers de la lumière » s’est constituée, il n’est pas étonnant de voir la « bête » matérialiste se cabrer et cracher son venin. Le temps de la révélation du préalable de l’énergie sur la matière, de la nature divine de l’humain a de quoi affoler les chantres du visible, du pondérable, du fini. Les êtres qui se reconnaissent humblement maîtres d’eux-mêmes, créateurs de leur réalité, auteurs de leur vie sont subversifs et menaçants pour une société où il est incongru de vouloir prendre sa responsabilité au lieu de souscrire des assurances pour tout et n’importe quoi. Être un maître agissant librement à partir de sa seule vérité intérieure a de quoi inquiéter les dirigeants officiels ou officieux de toute société qui préfèrent de loin être confrontés à un groupe organisé, cadré, structuré.

Prendre position pour une vision spirituelle du monde

Il me semble donc que cette période de fin 2012 qui a tant été attendue et commentée invite les authentiques chercheurs de lumière à prendre position de façon assez radicale en faveur d’une vision du monde résolument spirituelle, sans plus faire de concessions aux innombrables pouvoirs détenus par la pensée. C’est une invitation que le monde spirituel m’a bien souvent demandé de relayer et j’accepte de le faire une fois encore, au risque de me répéter.

Si jusqu’à maintenant, nous pouvions encore composer avec les règles humaines de la pensée dominante en les considérant comme incontournables, aujourd’hui il est proposé de poser de véritables actes de foi en l’essence divine en agissant selon notre puissance reconnue, en œuvrant délibérément pour l’amour et la lumière, en suivant l’enseignement de Jésus qui a montré la voie de la dimension divine accueillie pleinement dans l’être humain. L’opposition à notre évolution ne peut pas s’imposer à nous, elle n’a de prise que si nous acceptons de nous renier, d’ignorer notre puissance. La conscience dont nous sommes dotés est l’outil de notre souveraineté, le siège de notre propre autorité sur nous-mêmes, l’arbitre éclairé de la lutte que livre encore parfois notre personnalité à notre âme. Sachons nous reconnaître, sachons utiliser notre libre arbitre en notre faveur, sachons choisir l’amour, la joie et la simplicité !

 

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