Petits éclairs sur le chemin de Pâques à l’Ascension

Lorsque vous partagez un document, merci d'en conserver la forme et le fond et d'en mentionner l'adresse sur le présent site : https://unite-jesuis.com/actualités/

Si vous souhaitez me faire part de vos réactions sur le sujet évoqué ci-dessous, vous pourrez le faire en bas de page.

Depuis le début de 2021 et encore plus depuis la Pâques, les prises de conscience se succèdent à la vitesse du TGV. Les grâces du Christ pleuvent, éclairant les zones ombragées une à une, irrigant les cellules rendues arides par la légende humaine incrustée. Pour tout être qui désire accueillir l’onde de la conscience solaire, c’est un festival quotidien. Ma journée du 15 avril s’est montrée particulièrement féconde et j’ai été inspirée à formaliser ce qui se montrait puis à en faire un sujet de guidance. Je mets ici ce qui est venu au fur et à mesure de l’écoute intérieure, de l’écriture, du questionnement.

L’Apocalypse se révèle, un peu… mais quand même !

Les 2 sceaux de l’Apocalypse

Au moment de l’Apocalypse décrite par Jean, le prophète qui entend et a les visions, il est question des deux sceaux bien distincts apposés sur le front des humains et aussi sur la main pour l’un d’eux.

Le sceau du Christ et le sceau de la bête connue aussi par sa dénomination numérique par le nombre 666. C’est ce second sceau qui figure sur la main droite de certains humains.

Cette compréhension du texte m’est parvenue ce matin, au lendemain de l’engagement renouvelé à servir le Christ, à offrir l’évolution de l’homme pensant actuel en homme-Esprit Unifié en Christ toutes mes ressources corporelles, psychologiques et spirituelles et plus s’il y en a. Elle est évidemment totalement partielle car dépendante du niveau de conscience qui est le mien aujourd’hui et j’entends bien que cette compréhension va s’enrichir au fur et à mesure que ma conscience va grandir, s’élever.

Le sceau du Christ, de l’Agneau de Dieu

Aujourd’hui 15 avril 2021 je perçois que l’humanité, invitée à choisir sa voie, à s’engager dans son choix de la vision du monde se sépare en deux camps reconnaissables par les sceaux :

Le sceau du Christ sur le front des 144 000 personnes qui l’ont choisi d’une part, et le seau de la bête sur le front et la main droite, pour les autres.

Il me semble que le sceau unique du Christ sur le front signifie que l’homme qui choisit cette voie, abandonne sa pensée humaine binaire et linéaire et revient à sa nature spirituelle qui comprend l’intelligence supramentale et la guidance par l’Esprit Saint, sa souveraineté délibérément mise au service du Christ. Le sceau agit tel un talisman qui élève la fréquence. On reconnaît « l’agneau de Dieu », Agni, le dieu du feu des hindous, le bélier sacrifié par les juifs d’Abraham, l’Agneau que Jésus symbolise, l’agneau que les musulmans sacrifient pour les deux Aïds. Tout à coup, je vois le feu de l’Esprit Saint nommé par l’Agni, rassembler toutes les traditions et hisser tous les humains sur la fréquence du Principe Divin Créateur.

D’ailleurs les 144 000 personnes rassemblées autour du trône du Christ qu’ils génèrent en se reconnaissant les uns les autres, me semblent désigner un 12 fois 12 multiplié par 1000. Il est probable que Jean fasse ici allusion aux 12 tribus d’Israël et aux 12 peuples arabes nés du temps de Jacob et d’Ismaël. Moi, je vois dans les 12 fois 12 les 12 signes du zodiaque en tant que signes solaires et les 12 autres en tant qu’ascendants. Cela parle du fait que les humains ont fait le tour du zodiaque en expérimentant tous les signes solaires et tous les ascendants, qu’ils ont donc vécu toutes les formes possibles de personnalité, de tempérament et ainsi accompli tout ce que l’incarnation humaine dans la matière permettait au libre arbitre de décider.

La multiplication par 1000, on le sait même si on n’est pas un grand ésotériste, parle d’un grand nombre, d’une multiplication sans restriction. Le sceau du Christ sur le front dépend de notre choix souverain et non pas d’une appartenance à une église ou une tribu. Le fait d’être dans le peuple élu ne dépend même pas de notre mérite ou de notre bonté, mais de notre décision au moment du choix. Le bilan est fait par le souverain et selon ses conclusions il choisir la voie qui lui convient : celle du Christ ou celle de la bête.

Le sceau de la bête

Le sceau de la bête est double bien évidemment : sur le front le sceau de Lucifer, et sur la main droite le sceau d’Ahriman. Lucifer sur le front s’occupe de la confusion entre la pensée et l’Esprit, de cultiver une morale du bien et du mal par un idéal savamment argumenté, se faire passer pour un authentique être de lumière messianique libérant les humains des fers mordants de la matière. Il maintient les chercheurs de prodiges spectaculaires dans le plan astral de la Terre. Il est la seconde bête qui conduit à en admirer une première.

Cette seconde bête, c’est Ahriman sur la main droite qui s’occupe de l’action dans la matière, du travail qui continue pour que la conscience humaine soit asséchée de l’Esprit qui l’a créée, qu’elle soit emprisonnée dans la matière. Le double sceau est apposé sur les humains qui adorent ces énergies lucifériennes et ahrimaniennes, qui vénèrent leur pouvoir de guérison (si, si c’est écrit, il est question des prodiges accomplis par la bête en matière de santé quand l’humanité s’apprête à mourir !), qui blasphèment contre le Divin, qui profanent le sacré.

Bien évidemment, selon mon interprétation du moment, la bête n’est rien d’autre que la science matérialiste dont j’ai déjà dit et écrit qu’elle est actuellement érigée au rang de religion d’état, dogme incontestable et dont la double face diabolique se présent par Lucifer et Ahriman.

La référence du chapitre 13 du texte de l’Apocalypse de Jean

Pour ceux qui sont intéressés, je renvoie simplement à la lecture du chapitre 13 de l’Apocalypse de Jean qui contient 18 versets au total et m’apparaît dans une limpidité accessible à un enfant. En le mettant dans le contexte d’aujourd’hui, je trouve le texte fulgurant de puissance et de sens, source d’une motivation formidable pour choisir son camp. La fin de la dualité se vit dans le paroxysme du 2, avec ce choix ultime pour nous-mêmes et pour le monde que nous voulons aujourd’hui.

Je mets ici le lien pour accéder à l’une des nombreuses versions de la bible, ici catholique.

Si vous avez envie de ressentir les ondes émises lors de l’évocation des sujets repris ici dans l’émission donnée en direct le 15 avril 2021, c’est possible ici, en cliquant ci-dessous.

Quand le langage précise la manière de nommer le Christ et de définir le supramental

Une formulation possible pour évoquer le Christ par le langage 

Le Christ est étymologiquement, un être « oint par le Divin », et donc un ambassadeur humain de l’Amour Principe Créateur, Information Divine à l’origine de toute création. Sa modalité d’être est perceptible sur la Terre par l’observation de l’astre solaire qui éclaire et réchauffe toutes les formes de vie sans condition. Logique puisque l’être spirituel que notre Soleil est, est une réplique locale et parfaite du Grand Soleil central des Univers, autrement nommé Dieu dans la tradition. En ce sens, il pertinent de dire que le Christ est la conscience de notre astre solaire, comme Marie est la manifestation humaine de la conscience de la planète Terre.
Le Christ est donc aussi, en toute logique une fréquence présente dans chaque humain, dont la constitution est une sorte de mille-feuilles de fréquences.

Prise de conscience de ce matin au sujet de la nature du supramental 

Le supramental m’apparaît en tant qu’intelligence émanant de la fréquence du Christ et qui permet à l’humain d’accéder à une compréhension de lui-même et de la vie terrestre incluse dans le cosmos en évolution. Le supramental est à l’homme-Esprit unifié en Christ ce que le mental est à l’homme animal, un outil de lecture du monde. L’outil permet de passer de la linéarité à la circularité, de la chronologie au non temps, de la logique de « cause à effet » à l’organisation de tout processus depuis et par le sens évolutif qu’il contient. Tout processus est tracté par le sens évolutif : le futur génère le passé ! Cela est une vision supramentale de l’expérience de l’existence.

Un point zéro ou un point UN ?

A la suite d’une question qui m’était posée au sujet du point zéro, voici l’éclairage reçu et e que j’ai répondu.
Je ne sais pas trop quoi en dire car je ne connais pas ce qui est dit sur le sujet. Cette expression évoque pour moi, une information initiale de nous-mêmes, notre Moi Divin, notre JE SUIS, « avant » sa manifestation humaine sur la Terre. Ce serait notre côté « vierge », identité absolue dont l’information est présente corporellement dans une « cellule souche » gardienne de la Vérité dans notre corps.

Cette question est importante pour moi qui suis intéressée en ce moment par la capacité des souverains divinhumains que nous sommes, à autogénérer les formes dont nous avons besoin dans la matière pour notre corps-temple sacré. Organes, remise en place de l’ordre divin et de la Vérité dans les cellules, pleine santé, immortalité trouvent leur base dans cette cellule souche contenant l’information de notre identité divine, dans la présence JE SUIS permettant la transfiguration, la résurrection et l’Ascension de la chair.

C’est probablement ce point zéro ou plutôt point « initial » qui est à découvrir et à activer. En écrivant je vois comment il y a détournement diabolique de l’information. En effet, il ne s’agit pas d’un point zéro, qui vibre sur la fréquence du nul et du néant créés par le mental humain oublieux du Divin, mais bien d’un point initial, le point du principe créateur, de l’Amour primordial, qui est à trouver en nous dans l’espace sacré du cœur. Le point de l’identité absolue ne peut en aucun cas être un point zéro, mais au contraire un point « tout », un point Unité.

10 contributions

  1. Je voulais vous dire un grand merci Marie-Odile et un grand merci à l’Univers de m’avoir permis de croiser votre chemin….je me sentais seule et à bout de souffle, j’ai prié pour trouver ma famille d’âme et je l’ai trouvée…pour accomplir ce chemin d’ascention. J’ai hate de vous croiser lors d’un séminaire car déjà en plongeant dans vos yeux l’autre soir j’ai vécu queque chose que je ne peut nommer tellement c’était fort…le regard profond Divin…. Vous êtes un merveilleux instrument du divin qui nous redonnez force et courage et nous eclairez sur notre essence. Je ne rate aucun rdv de 20 h, j’y parle peu sur le tchat car c’est chaque fois très intense pour moi , je plonge vraiment dans un coeur à coeur avec mon Je Suis qui me fait dilater ma poitrine…
    Un immeeennnnce merci Marie-Odile, les mots me manquent…
    Fanny

  2. J’ai ré écouté et ai apprécié, gouté de nouveau … ta guidance quotidienne est d’un grand secours, en ces temps où je suis pas mal chahutée. Maintenir le cap, ne pas vaciller… merci au Christ d’être là et ts les etres de lumière sur le chemin.

    1. Bonjour Jeannie,
      Le chahut que nous connaissons vient de cette poussée vers le haut exercée par notre JE SUIS qui nous appelle avec amour à faire l’Unité avec lui. En même temps que cette force ascensionnelle, se développe une force égale vers le bas qui tente de nous scotcher à la légende humaine, au connu, au troupeau.
      Et bien-sûr nous avons envie de ne plus bêler avec le troupeau, mais nous ne savons pas encore comment va être notre vie de souverains et la tentation est grande parfois de rester dans le connu.
      Mais je vais te confier un secret de Polichinelle : en réalité, nous connaissons encore mieux JE SUIS, son pays, sa maison, son amour, car il est nous, il nous constitue, alors que le troupeau lui, est un étranger total où nous avons froid…
      A bientôt !

  3. Tel le petit Poucet dans la forêt, merci de faire partie de ces petits cailloux jonchant mon chemin de vie.
    Bernadette

  4. Merci du don Marie-Odile de tes précieuses prise de conscience du jour, je les trouve pertinentes et éclairantes. Le temps de l’apocalypse est bien là, je suis reconnaissant de cheminer à tes côtés en cette période du choix. Oui au 1, oui au Christ bien vivant en nos cœurs, oui à l’onction des JE SUIS. Gratitude.

Votre contribution :

Vous souhaitez vous exprimer, contribuer à l'évolution de la conscience sur ce sujet ?
Ecrivez votre commentaire ici et envoyez-le-moi afin que je puisse le publier.