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Le monde de demain est déjà là…
Dans quel monde vivez-vous, l’ancien ou le nouveau ?
Les clivages d’aujourd’hui
Aujourd’hui, les sociétés sont clivées autour d’idéologies qui s’opposent. Le mot liberté est brandi de toutes parts sans qu’aucun de ses soi-disant défenseurs ne sache toujours de quoi il est question exactement. Loin de moi la prétention de départager les belligérants, même si, comme beaucoup, j’ai évidemment mon point de vue sur la question.
Derrière les insultes, les menaces, les invectives des uns contre les autres, commence à poindre le véritable objet de la crise mondiale que nous vivons sous la piètre apparence d’une crise sanitaire. La crise évolutive de la conscience est en effet en train de se nommer de plus en plus explicitement : ce monde est-il de matière, de chimie et de technologie gérées par le hasard et mis en équation par la science, ou bien ce monde a-t-il un sens donné par une divine intelligence ? La question est fondamentale car d’elle, découlent les choix qui sont faits aujourd’hui par chacun de nous.
De l’histoire personnelle à la situation collective actuelle
En 1986, JE SUIS a frappé très fort à ma porte et je lui ai ouvert, je lui ai dit oui. Par le rejet d’une éducation religieuse culpabilisante et moralisatrice, j’avais envoyé le bon dieu et sa sainte clique dans les orties, et ma vision matérialiste parfaitement orchestrée par un mental contrôlant me donnait pleine satisfaction, ou presque. Je fus bien obligée d’intégrer le « presque » quand un beau jour, ou peut-être était-ce une nuit, la lumière s’imposa au point de bousculer toutes les constructions que j’attribuais à mes choix d’adulte libre.
En 1986, je fis donc un autre choix, celui de voir l’Esprit à la base de tout, présent en tout, source du sens de chaque situation que je vivais. Pas de retour de la religion dans cette nouvelle vision, car le Dieu était ici à l’intérieur de chacun et non point vengeur et punisseur. Il m’a fallu pas mal me bagarrer pour redire « Christ » et ne plus voir en ce mot le Jésus sanguinolent appelant au pardon et incitant à l’hypocrite charité des Tartuffe cherchant leur paradis.
Depuis 1986, j’ai donc une vision spirituelle du monde et le sens sacré de tout ce que je vis est présent dans ma conscience.
35 ans plus tard, en cette année 2021, la proposition qui m’a été présentée en 1986, est faite aussi à l’ensemble de l’humanité. L’intelligence divine créatrice du monde frappe à la porte de la conscience de chaque humain et lui dit : « Veux-tu te souvenir de moi ? Veux-tu me reconnaître ? Veux-tu sortir de ta condition d’homme-animal pensant et devenir le divinhumain que tu as la capacité d’être dès maintenant ? »
De cette invitation adressée à chacun, y compris à ceux qui sont entrés en religion scientiste, et même à ceux qui sont devenus intégristes avec le covidisme mené par des monseigneurs cathodiques, il résulte que deux chemins sont désormais proposés aux humains. Ces deux chemins sont réellement là, effectifs, officiels. L’un se voit, l’autre se sent dans la conscience et ne se voit que par les yeux du cœur, comme l’essentiel du Petit Prince.
Le vrai clivage est là. C’est le lieu de la scission.
Le choix net et précis, sans compromis
Le choix d’une vision du monde limité à la matière implique de tenter d’améliorer la société telle que nous la connaissons à grand renfort de techniques, de machines, de chimie et allant inexorablement vers le transhumanisme. C’est l’option de tous ceux qui désirent retrouver le monde d’avant avec ses antidépresseurs, la consommation anesthésiante, l’intensité des émotions, les conflits, les rapports de force, et l’économie comme règle de base de la vie sociale.
En parallèle, le choix d’une vision spirituelle du monde induit le constat que nous sommes en évolution vers une nouvelle espèce humaine organisée selon un paradigme inédit. La nouvelle espèce est celle de l’imago dei, divinhumain unifié, issu de la l’ancien homme, animal pensant, affranchi de la dualité et de la densité, et le nouveau paradigme est une coopération d’être souverains dans la joie de servir l’Amour et la Lumière, de faire vivre le Christ sur la terre. Corps vibratoire, de cristal lumière composé, conscience élevée de soi-même à la fois consubstantiel du tout et représentant unique du Divin, organisation sociopolitique en cohérence avec le trône royal et la cathèdre occupés par chaque souverain, sont les bases de la société qui n’est plus celle de demain mais celle d’aujourd’hui pour celles et ceux qui le veulent bien.
La réalité aujourd’hui du monde de demain
Il est là, le message que je souhaite transmettre aujourd’hui : le monde de demain est déjà là pour toute personne qui le veut bien. C’est un monde bien réel dans les différentes strates fréquentielles qui nous constituent. Ce qui a changé, c’est que désormais, la strate fréquentielle de l’homme unifié vivant sur la terre en Jérusalem Céleste, est devenue accessible à toute personne qui dit oui à l’appel de son JE SUIS pour élever sa conscience, élever sa fréquence.
Le résultat est de plus en plus visible : une partie de la population vit encore selon les règles du monde d’avant, régi par la peur et la culpabilité agitées par les hommes vêtus d’un costume de dirigeant de leurs semblables et ivres de l’autorité qui leur est sans cesse remise, et une autre partie de l’humanité vit déjà en unité avec l’Esprit en cohérence avec la souveraineté inhérente à sa nature divine. Pour cette deuxième catégorie, encore largement minoritaire en nombre, l’autorité suprême est en soi, l’Amour est la loi, la vie n’a ni début ni fin.
Sri Aurobindo parlait d’une « anarchie fraternelle », il est question ici plutôt d’une « JESUISlarchie », d’une organisation où le commandement est confié à la divine sagesse de chaque JE SUIS sans possibilité de délégation.
Je reviendrai plus tard, dans un prochain article, sur la dimension sociopolitique de l’assemblée informelle des personnes qui mettent en acte leur spiritualité libre et incarnée en proposant les bases du « Mouvement Organique de l’Homme-Esprit » qui est en train de se mettre en mots pas mon intermédiaire.
Pour l’instant, mon élan de ce jour est d’inviter toutes celles et tous ceux qui sentent déjà en eux la réalité du monde de demain dans un plan de leur conscience, à valider ce ressenti.
Ce que l’entité spirituelle « humanité » nous dit, nous qui la manifestons
« En effet, mon ami, tu ne rêves pas, tu vis réellement ce qui est déjà là. Ce monde était sous le voile et la vague de vérité qui déferle actuellement révèle les fruits de ce que nous semons depuis des siècles. Plus nettement, nous voyons la voie que Jésus a explicitée sans qu’à l’époque nous ne la comprenions. Même si la tentation de rester dans les vieux repères de la matière est encore bien vivace à certains moments, ne doute pas de ta capacité à tenir le cap vers ton Unité, ne fléchis pas lorsque les vents contraires ralentissent ton avancée car ton choix profond de te reconnaître Dieu incarné est plus fort que n’importe quelle adversité !
Le vieux monde se durcit, se sclérose, se raidit, il t’étouffe et restreint tes possibilités. Le monde de demain, déjà là, s’étire à l’infini, est en mouvement permanent, il te donne toujours plus le souffle de l’Esprit et stimule le Créateur que tu es. Dans l’Unité point d’adversaire ni d’adversité, mais la joie de coopérer, de cocréer, de communier ! »
Utiliser notre « double nationalité »
Aujourd’hui les deux mondes coexistent et pour beaucoup d’entre nous, nous avons « la double nationalité ». Nous avons encore le vieux passeport que le pays où nous sommes citoyens essaye de lester en nous emmenant dans une « impasse sanitaire ». Parallèlement, nous avons la conscience de l’être souverain que nous sommes, sans papier, sans justificatif autre que notre JE qui sonne et résonne dans le cosmos tout entier. Nous faisons bien des allers-retours d’un monde à l’autre, mais ne sommes pas dupes. Dès lors que nous avons choisi de dire « JE suis ce que JE SUIS, JE suis Présence Divine sur Terre, JE incarne le Christ dans mon corps de chair », notre nationalité cosmique l’emporte sur l’état civil contrôlé par des humains déguisés en gardiens de la loi humaine. Faire du tourisme dans l’ancien monde est encore possible et souvent épuisant, mais sans jamais oublier qui nous sommes de toute éternité. Je vais dans l’ancien monde, mais je n’en suis point, je suis un être Divin ayant pris momentanément l’apparence d’un humain, je me souviens de qui JE SUIS.
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