Lorsque vous partagez un document, merci d'en conserver la forme et le fond et d'en mentionner l'adresse sur le présent site : https://unite-jesuis.com/actualités/
Si vous souhaitez me faire part de vos réactions sur le sujet évoqué ci-dessous, vous pourrez le faire en bas de page.
Un grand silence d’avril 2018 à février 2019
Il y a seulement quelques jours que j’ai compris ce qui m’avait maintenue en silence durant huit mois. Depuis avril 2018, je savais que je devais mettre à jour ma liste de diffusion des lettres d’infos que j’envoie essentiellement pour prévenir des articles que je publie ici, sur le site. Le problème, c’est que je ne faisais pas ce grand ménage et que cela a suffi pour inhiber l’élan d’écrire.
Au-delà de l’obligation légale de demander explicitement le consentement des destinataires des mailings à partir du 25 mai 2019 (RGPD de son nom poétique), je sentais que je devais mettre en adéquation mon action et la réalité de son effet. Plus concrètement dit, il était impératif que je n’envoie plus de mails qui n’arrivent pas ou qui importunent. Confusément, j’avais la sensation que des mails envoyés mais pas reçus ou pas lus encombraient mon corps astral et celui de la terre. Qui plus est, j’étais consciente que je me mentais en envoyant des courriers à 1200 personnes, feignant d’ignorer qu’à peine la moitié allait l’ouvrir et encore moins le lire. Je sacrifiais à la mode actuelle de donner priorité au quantitatif, mettant mon mouchoir sur le qualitatif. J’étais en contradiction avec moi-même…
J’étais en train de me redonner la preuve par l’expérience qu’une contrainte venue de l’extérieur (RGPD) est en adéquation avec mon besoin personnel, même si le fait de satisfaire à cette obligation suscite d’abord ma contestation et génère de la résistance.
Le saut dans le vide
Après quelques heures de prise de tête, d’essais en tous genres pour faire le grand ménage dans ma liste de diffusion tout en conservant les adresses, je finis par comprendre que mon JE SUIS me demande de la cohérence, de la droiture et de la confiance.
En clair, je dois envoyer à tous mes contacts un mail pour les inviter à se ré-abonner à ma lettre d’infos puis aussitôt après l’envoi, détruire toutes les adresses et coordonnées puisque je sais qu’une grande partie est obsolète ou plus intéressée par mes envois. Autant dire qu’après 12 années d’envois de mailings, je saute dans le vide et envisage de ne plus avoir d’abonnés.
La reconstruction
Une fois de plus je constate que l’exigence, le choix de la vérité, la rigueur sont source de joie et de satisfaction. Aussitôt ma précieuse liste détruite, je commence à recevoir les notifications des abonnements et je vois petit à petit la nouvelle liste de diffusion se créer, grandir, se développer. Je suis même gratifiée de quelques mails émanant de fidèles lecteurs qui profitent de ce grand nettoyage pour échanger quelques mots avec moi. Je ressens combien il est bon d’être dans un lien vivant, actif, voulu de part et d’autre….
Alors si en lisant cet article, vous constatez que vous n’avez pas encore procédé à votre inscription sur ma liste de diffusion, et que votre âme vous invite à le faire, surtout n’hésitez pas. Vous ne serez pas assailli de courriels, j’écris de manière irrégulière et surtout pour inviter à aller lire ce que je publie. Je ne vends rien, je n’ai encore jamais appelé à lever des fonds, je consacre mon énergie à contribuer à l’éveil des conscience à notre nature spirituelle.
Je m’abonne à la lettre d’infos
Catégorie : Annonce d'activités
Bjr Marie-Odile (je veux juste savoir)
Juste une petite remarque à propre du cœur spirituel qui reste en suspend par rapport à son placement.
L’information que j’ai en ma possession il serait placé dans le thymus ou son les 3 cœurs. Il est vaste, il contient l’énergie d’amour directement reliée à la vie des poumons et à l’organe du cœur physique.
Merci Monique de cette précision. Ce qui m’intrigue toujours dans ces cas-là, c’est la raison pour laquelle un mot est employé pour désigner autre chose que son sens habituel. S’il s’agit du thymus, alors appelons-le le thymus. Je suis volontairement un peu provocatrice dans ce domaine pour aider chacun à ne pas se laisser hypnotiser par un vocabulaire « spirituel » qui, parfois, nous fourgue des informations dualistes nous maintenant dans la légende humaine.